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Coronavirus - Covid 19


Messages recommandés

Finalement, c'est Rika Zaraï qui avait raison :

https://medicalxpress.com/news/2023-02-wild-inhibit-covid-virus.html (10 février 2023)

Une étude de l'Université Emory révèle que deux plantes sauvages communes contiennent des extraits qui inhibent la capacité du virus responsable du COVID-19 à infecter les cellules vivantes.

Ou pas :

Il serait inefficace, et potentiellement dangereux, pour les gens de tenter de se soigner avec ces plantes, soulignent les chercheurs. En fait, la fougère aigle est connue pour être toxique, préviennent-ils.

Pour Mme Risener, l'un des aspects les plus intéressants du projet est qu'elle a elle-même recueilli des échantillons de verge d'or et de fougère aigle. Outre la collecte de plantes médicinales du monde entier, le laboratoire Quave effectue également des visites sur le terrain dans les forêts du centre de recherche Joseph W. Jones, en Géorgie du Sud. La Fondation Woodruff a créé ce centre pour aider à conserver l'un des derniers vestiges de l'écosystème unique des pins à feuilles longues qui dominait autrefois le sud-est des États-Unis.

"C'est impressionnant d'aller dans la nature pour identifier et déterrer des plantes", dit Risener. "C'est quelque chose que peu d'étudiants diplômés en pharmacologie ont l'occasion de faire. Je serai couverte de terre de la tête aux pieds, à genoux sur le sol et rayonnante d'excitation et de bonheur."

https://theconversation.com/advantages-and-challenges-of-anti-covid-nasal-vaccination-the-promises-of-a-french-approach-197746 (13 février 2023)

Avantages et défis de la vaccination nasale anti-Covid : les promesses d'une approche française

Seule la vaccination nasale peut agir directement au niveau de l'entrée du virus. Mais il faut aussi préciser que les cellules immunitaires qu'elle y active (lymphocytes T et B résidents dans le nez, la bouche et les voies respiratoires supérieures) diffèrent de celles activées par la vaccination intramusculaire classique (c'est-à-dire systémique). En outre, la vaccination nasale induit des lymphocytes B qui produisent des anticorps particuliers, les IgA (immunoglobulines de type A), qui ne sont que très faiblement induits par la voie intramusculaire - qui induit principalement des lymphocytes B produisant des IgG (immunoglobulines de type G).

À noter : Les IgA ont une plus grande capacité que les IgG à "capturer" les virus afin de les neutraliser. Autre avantage des IgA : elles sont plus "polyvalentes" que les IgG et peuvent donc conserver un niveau d'efficacité important malgré d'éventuelles variations du virus. Pour toutes ces raisons, la vaccination "mucosale" permettrait de prévenir les formes même modérées de la maladie et de bloquer la transmission interindividuelle, pour atteindre une immunité stérilisante.

Le vaccin FluMist est le seul exemple de vaccin intranasal disponible en santé humaine ayant reçu une autorisation de mise sur le marché (AMM). Ce vaccin contre la grippe est basé sur une forme atténuée du virus responsable (influenza), approuvé aux États-Unis et en Europe, et présente une efficacité supérieure à celle du vaccin intramusculaire chez les jeunes enfants. En revanche, son efficacité est moindre chez les adultes en raison de leur immunité muqueuse déjà acquise, due à des infections contractées antérieurement.

Notre candidat vaccin a donné d'excellents résultats contre plusieurs variants du SRAS-CoV-2, avec une protection contre la maladie et une limitation significative de sa transmission, dans des modèles précliniques de référence (souris et hamsters). Notre objectif est maintenant de valider son efficacité lors d'essais cliniques chez l'homme, prévus pour 2023.

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  • 2 months later...

https://www.jim.fr/medecin/actualites/pro_societe/e-docs/origine_du_sars_cov_2_laccident_de_laboratoire_fortement_evoque_a_lacademie_de_medecine_197069/document_actu_pro.phtml (21 avril 2023)

Au Laos, Marc Eloit a ainsi découvert chez la chauve-souris un virus, qu’il a appelé Banal-52, similaire à 97 % au SARS-Cov-2. Principale différence entre les deux virus : le Banal-52 ne présente pas de site de clivage à la furine, une particularité qui explique la très grande contagiosité du SARS-Cov-2 chez l’homme. Or, en réalisant plusieurs passages du Banal-52 chez des souris génétiquement modifiés ayant des récepteurs cellulaires proches de ceux des hommes, Marc Eloit a semble-t-il démontré que ce site furine n’a pas pu apparaitre naturellement.

Si c’est un simple doute que Marc Eloit a exprimé, son collègue Patrick Berche s’est voulu beaucoup plus direct. Pour l’ancien directeur de l’Institut Pasteur de Lille, tout porte à croire que le virus s’est échappé d’un laboratoire, à commencer par les incohérences de la thèse de l’origine naturelle. En effet, si le virus était né dans la nature, l’épidémie serait apparue progressivement, en plusieurs foyers dispersés et non pas uniquement à Wuhan à proximité du laboratoire P4. « Si des animaux vendus sur le marché de Wuhan ont été porteurs du virus, comment-ils ont pu transiter sur des centaines de kilomètres sans faire aucun cas ailleurs ? » s’interroge le chercheur. Patrick Berche a conclu son intervention en évoquant une information révélée en 2021 par un groupe de scientifiques indépendant, le Drastic, mais passé inaperçu : avant la pandémie, le laboratoire P4 de Wuhan procédait bien à des expériences de gain de fonction, le projet Defuse, consistant à insérer des sites furine dans des virus de chauve-souris.

Depuis 2020, les laboratoires P3 et P4 manipulant des pathogènes hautement dangereux se sont multipliés dans le monde, y compris dans des pays ne présentant pas a priori pas toutes les conditions de sécurité requises comme la Côte d’Ivoire, le Kazakhstan ou l’Arabie Saoudite.

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Il y a 19 heures, ksimodo a dit :

Il a réalisé 6 passages. Ca ne veut pas dire que celà ne peut pas se produire avec 100 passages.....La seule conclusion est que " sur 6 passages en condition labo, celà n'est pas passé". Le reste est de la supputation et mérite le conditionnel. Le terme "na pas pu" est scientifiquement inapproprié.

Si tu lis attentivement tu verras que le terme "n'a pas pu" n'apparaît pas tout seul mais accompagné de "semble-t-il".

Si "n'a pas pu" avait été écrit sans nuance, tu aurais raison, mais la double locution "semble-t-il" "n'a pas pu", me parait en revanche scientifiquement appropriée et de bon aloi.

Modifié par Wallaby
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Si je lis attentivement, le "semble-t-il" est un modérateur du propos, pas un modérateur de l'hypothèse scientifique, et partant de là, le côté péremptoire de l'hypothèse est à peine mitigé et fait largement passer celle-ci pour une conclusion - ce qui la rapproche dangereusement de l'escroquerie scientifique...

Ethiquement et épistémologiquement, ce n'est pas très correct... mais la question est de savoir si c'est le chercheur ou si c'est le rapporteur (journaliste) qui pose les choses de cette manière...

Quoi qu'il en soit, plutôt qu'un "Marc Eloit a semble-t-il démontré que ce site furine n’a pas pu apparaitre naturellement", il aurait largement été préférable d'écrire "Marc Eloit a semble-t-il démontré que les probabilités d'apparition naturelle de ce site furine sont réduites".

 

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La locution employée n'est de toute pas trés usuelle dans un cadre habituel scientifique.

Ca va trop vite, trop loin, et le conditionnel est employé avec trop de parcimonie, pour l'ensemble de l'article.

 

Même avec des résultats plus probants, le conditionnel est généralement employé.

Une rédaction typique serait par exemple:

" nous avons réalisé 100 passages, et il y a eu 1 réussite sur le site furine. Celà nous indique que celà aurait pu se passer dans la nature".

Une expé avec peu de répétition ou ne voit rien est trés loin, vraiment trés trés loin, de la conclusion "semble t'il il ne se passe rien". Pour ça il faut de nombreuses répétitions, dans de nombreux endroits.

Tiens, pour enfoncer le clou. En 6 passages, il a des variants sur d'autres sites ? Combien ? Et pourtant, des variants, on ne peut pas dire qu'on en manque in situ. Forcément, sur des milliards de milliards ( et bien plus ) de réplication, la survenue d'un évenement rare n'est plus la même. 

Non, c'est vraiment fragile.

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Il y a 4 heures, ksimodo a dit :

La locution employée n'est de toute pas trés usuelle dans un cadre habituel scientifique.

Ca va trop vite, trop loin, et le conditionnel est employé avec trop de parcimonie, pour l'ensemble de l'article.

 

Même avec des résultats plus probants, le conditionnel est généralement employé.

Une rédaction typique serait par exemple:

" nous avons réalisé 100 passages, et il y a eu 1 réussite sur le site furine. Celà nous indique que celà aurait pu se passer dans la nature".

Une expé avec peu de répétition ou ne voit rien est trés loin, vraiment trés trés loin, de la conclusion "semble t'il il ne se passe rien". Pour ça il faut de nombreuses répétitions, dans de nombreux endroits.

Tiens, pour enfoncer le clou. En 6 passages, il a des variants sur d'autres sites ? Combien ? Et pourtant, des variants, on ne peut pas dire qu'on en manque in situ. Forcément, sur des milliards de milliards ( et bien plus ) de réplication, la survenue d'un évenement rare n'est plus la même. 

Non, c'est vraiment fragile.

Pas de message de présentation dans la rubrique dédié ? C'est dommage je pense que vous méritez que l'on en sache un peu plus sur vous :wink:

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Il y a 11 heures, ksimodo a dit :

Mon CV ( ni celui des autres participants d'ailleurs ) ne présente probablement aucun intérêt. D'ailleurs, je déteste l'argument d'autorité.

Il ne s'agit aucunement de dérouler son CV mais d'abord de faire preuve de respect et de courtoisie 

Tous les forums du monde possède une partie présentation, certains obligeant même d'y passer avant de poster ailleurs

L'idée c'est aussi de savoir grossièrement à qui on s'adresse. On pardonnera peut être plus a un adolescent qu'à un adulte par exemple. 

Je t'invite à le refaire ici du coup

http://www.air-defense.net/forum/30-presentez-vous/

 

Modifié par clem200
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Il y a 5 heures, clem200 a dit :

Il ne s'agit aucunement de dérouler son CV mais d'abord de faire preuve de respect et de courtoisie 

Tous les forums du monde possède une partie présentation, certains obligeant même d'y passer avant de poster ailleurs

L'idée c'est aussi de savoir grossièrement à qui on s'adresse. On pardonnera peut être plus a un adolescent qu'à un adulte par exemple. 

Je t'invite à le refaire ici du coup

http://www.air-defense.net/forum/30-presentez-vous/

 

si je peux me permettre d'en rajouter un poil, si le nouveau est bactériologiste, par exemple, on aura plus confiance à lire sa prose sur le sujet que quelqu'un qui s'informe sur BFM...

Modifié par christophe 38
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La formation ou le CV ne font pas tout.

Sur le sujet, et d'autres en sciences, il y a une infime minorité d'escrocs patentés ( et gros communicants ) qui ont micro ouvert dans les médias. Et ils sont prof, HDR, chercheurs avec X publis, responsable d'IHU :huh:...) ....Pourtant, ceux là peuvent être débunkés par un étudiant de master 1 ou 2 un peu astucieux, qui a ce stade à un CV ridicule en comparaison.  Bien entendu, en science, à côté de 1% d'escrocs bruyants, il y a 99% de gens qui bossent efficace ( plus ou moins ), et dans l'ombre.

Je préfère de loin la qualité de l'argumentaire et de la démonstration.

Hélas, pour le quidam dans un domaine qu'il ne connait pas, savoir ou est le bon grain est un exercice sans doute assez  vain. 

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Il y a 10 heures, ksimodo a dit :

Hélas, pour le quidam dans un domaine qu'il ne connait pas, savoir ou est le bon grain est un exercice sans doute assez  vain. 

Je dirais qu'il est difficile ... ce qui revient parfois au même. Mais au delà des questions de CV - dont on se fiche un peu car les diplômes ne sont pas téléchargeables sur ce forum - cela n'empêche pas de se "présenter" c'est-à-dire simplement dire pourquoi on prend le temps d'écrire ici.

En guise de CV je me fie plutôt au contenu des posts, sur la durée ils permettent toujours de savoir à qui on s'adresse.

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Voilà qui est fait. La prez'.

Même si je suis persuadé que ça ne sert pas à grand chose. 

Comme dit psacal, sur la durée, le nb de messages, on se fait une idée des personnes sans avoir à chercher son message de présentation. Idée parfois juste ou parfois fausse, probablement souvent entre les 2 pour la réalité, d'ailleurs.

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  • 2 weeks later...
  • 1 month later...
Il y a 2 heures, Titus K a dit :

Les Premières Personnes Malades Par La COVID-19 Étaient Des Scientifiques Chinois À l'Institut De Virologie De Wuhan, Selon Des Sources Du Gouvernement Américain
Les trois scientifiques étaient engagés dans des recherches sur le « gain de fonction » sur les coronavirus de type SRAS lorsqu'ils sont tombés malades.

https://public.substack.com/p/first-people-sickened-by-covid-19?utm_campaign=post&utm_medium=web

MICHAEL SHELLENBERGER, MATT TAIBBI, ALEX GUTENTAG. 13 JUIN 202

  Masquer le contenu

Après des années de déclarations officielles contraires, de nouvelles preuves solides ont émergé suggérant que le virus connu sous le nom de SRAS-CoV-2 s'est échappé de l'Institut de virologie de Wuhan (WIV).

Selon plusieurs responsables du gouvernement américain interrogés dans le cadre d'une longue enquête menée par Public et Racket, les premières personnes infectées par le virus, "patients zéro", comprenaient Ben Hu, un chercheur qui a dirigé la recherche "gain de fonction" du WIV sur les coronavirus de type SRAS, ce qui augmente l'infectiosité des virus.

Plus de trois ans après l'épidémie de la pandémie, beaucoup dans le monde avaient renoncé à apprendre l'origine du SRAS-CoV-2, le virus respiratoire hautement infectieux qui a tué des millions de personnes, et la réponse à laquelle il a fermé des entreprises et des écoles, bouleversé les sociétés et causé d'énormes dommages collatéraux.

Les fonctionnaires des États-Unis et d'autres pays ont suggéré à plusieurs reprises qu'il n'était peut-être pas possible de découvrir l'origine de la pandémie. « Nous ne le saurons peut-être jamais », a déclaré Anthony Fauci, ancien directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, qui a supervisé la réponse à la pandémie pour deux administrations.

Maintenant, les réponses sont de plus en plus à portée de main. Des sources au sein du gouvernement américain affirment que trois des premières personnes à être infectées par le SRAS-CoV-2 étaient Ben Hu, Yu Ping et Yan Zhu. Tous étaient des membres du laboratoire de Wuhan soupçonnés d'avoir divulgué le virus pandémique.

En tant que tel, non seulement nous savons qu'il y avait des scientifiques du WIV qui avaient développé des maladies de type COVID-19 en novembre 2019, mais aussi qu'ils travaillaient avec les plus proches parents du SRAS-CoV-2, et insèrent des caractéristiques de gain de fonction qui lui étaient uniques.

Lorsqu'on a demandé à une source à quel point elle était certaine qu'il s'agissait des identités des trois scientifiques du WIV qui ont développé des symptômes compatibles avec la COVID-19 à l'automne 2019, on nous a dit : « 100 % »

« Ben Hu est essentiellement le prochain Shi Zhengli », a déclaré Alina Chan, biologiste moléculaire au Broad Institute du MIT et à Harvard, et coauteure avec Matt Ridley de Viral : The Search for the Origin of Covid19. Shi est connue comme "la femme chauve-souris de Chine" et a dirigé la recherche sur le gain de fonction au WIV. « Il était son élève vedette. Il fabriquait des virus chimériques de type SRAS et les testait sur des souris humanisées. Si je devais deviner qui ferait cette recherche sur le virus risqué et qui risquerait le plus d'être infecté accidentellement, ce serait lui. »

Hu et Yu ont fait des recherches sur la nouvelle lignée de virus de type SRAS d'où provient le SRAS-CoV-2, et en 2019, ils ont coécrit un article avec Shi Zhengli qui décrivait les lignées de type SRAS qu'ils avaient étudiées au fil des ans.

Jamie Metzl, ancien membre du comité consultatif d'experts de l'Organisation mondiale de la santé sur l'édition du génome humain qui a soulevé des questions à partir du début de 2020 sur une possible origine pandémique liée à la recherche, a déclaré : "Cela change la donne s'il peut être prouvé que Hu est tombé malade de COVID-19 avant quiconque. Ce serait le « pistolet fumant ». Hu était le principal chercheur pratique du laboratoire de Shi. »

Des sources disent à Public et à Racket que d'autres organismes de presse poursuivent des aspects de cette histoire. Samedi, le Times de Londres a cité un U.S. anonyme. Un enquêteur du département d'État a déclaré : "Il est devenu de plus en plus clair que l'Institut de virologie de Wuhan a été impliqué dans la création, la promulgation et la dissimulation de la pandémie de Covid-19."

Public and Racket sont les premières publications à révéler les noms des trois travailleurs du WIV malades et à les placer directement dans le laboratoire qui a collecté et expérimenté des virus similaires au SRAS prêts pour l'émergence humaine.

La semaine prochaine, la Direction du renseignement national devrait publier des documents précédemment classifiés, qui peuvent inclure les noms des trois scientifiques du WIV qui étaient probablement parmi les premiers à être malades par le CoV-2 du SRAS.

Un projet de loi signé par le président Biden plus tôt cette année prévoyait spécifiquement la publication des noms et des rôles des chercheurs malades au WIV, de leurs symptômes et de la date d'apparition des symptômes, et de la question de savoir si ces chercheurs avaient été impliqués ou exposés à la recherche sur le coronavirus.

Le 29 décembre 2017, deux ans avant le début de la pandémie, la télévision d'État chinoise a diffusé une vidéo qui comprend une scène de Ben Hu regardant un travailleur de laboratoire manipuler des spécimens. Ni l'un ni l'autre ne portent d'équipement de protection. La même vidéo montre des scientifiques du WIV à la recherche de virus de chauves-souris avec peu d'équipement de protection. « S'ils s'inquiétaient d'être infectés sur le terrain, ils auraient besoin de combinaisons complètes sans lacunes » pour être en sécurité, a déclaré Chan. « C'est le seul moyen. »

La recherche WIV avec des virus vivants de type SRAS a été réalisée à un niveau de sécurité trop faible, "BSL-2", explique Chan, "Quand nous savons maintenant que le virus pandémique est même capable de s'échapper d'un laboratoire BSL-3 et d'infecter de jeunes travailleurs de laboratoire entièrement vaccinés".

Alors que les scientifiques justifient une telle recherche comme nécessaire au développement de vaccins, le président Barack Obama a interdit le financement fédéral de la recherche préoccupante sur le gain de fonction en 2014, parce que les experts étaient parvenus à un consensus sur le fait qu'elle était trop dangereuse. Cependant, le National Institute of Health et le NIAID dirigés par Francis Collins et Fauci, et un important bénéficiaire du gouvernement américain, EcoHealth Alliance, ont estimé que leur travail sur les virus de type SRAS ne tombait pas dans les définitions de préoccupation de la recherche sur le gain de fonction et ont financé ce projet en Chine et en Asie du Sud-Est.

En mars 2018, la WIV, l'EcoHealth Alliance et l'Université de Caroline du Nord ont demandé une subvention de 14 millions de dollars des États-Unis. Defense Advanced Research Project Agency DARPA va concevoir des "sites de clivage de furine" dans les coronavirus de type SRAS afin d'étudier comment cela a affecté leur capacité à se développer et à causer des maladies.

Les scientifiques disent que l'élément clé du virus COVID-19, qui l'a rendu si transmissible par rapport à ses proches parents, était son site de clivage de furin unique.

La DARPA a rejeté la subvention, mais il semble maintenant que le WIV ait de toute façon avancé la recherche. Le Times of London a rapporté que des collaborateurs américains du WIV s'étaient manifestés et avaient déclaré que les scientifiques de Wuhan avaient mis des sites de clivage de la furine dans des virus similaires au SRAS en 2019.

Hu a co-écrit plusieurs articles sur la recherche sur le coronavirus, y compris un article de 2017 sur les coronavirus de chauves-souris chimériques avec Peter Daszak, le chef d'EcoHealth Alliance, qui a été financé en partie par les NIH et le programme USAID Emerging Pandemic Threats PREDICT. Les données partagées en privé avec les NIH ont révélé que ces virus chimériques de type SRAS se développaient beaucoup plus rapidement et causaient une maladie plus grave chez les souris humanisées en laboratoire.

 

Lorsque le WIV a publié son premier article sur le virus pandémique, ils n'ont pas réussi à souligner le nouveau site de clivage de la furine bien qu'ils aient eu des plans et auraient mis de telles caractéristiques de gain de fonction dans des virus de type SRAS dans leur laboratoire. « C'est comme si ces scientifiques proposaient de mettre des cornes sur les chevaux, mais lorsqu'une licorne apparaît dans leur ville un an plus tard, ils écrivent un article décrivant chaque partie de celle-ci, à l'exception de sa corne », a déclaré Chan.

Le public a envoyé des courriels et fait des appels téléphoniques aux NIH, WIV, EcoHealth Alliance, Daszak, Hu et Shi au cours des derniers jours et n'a pas reçu de réponse.

Il n'est pas clair qui, au sein du gouvernement américain, a eu accès aux renseignements sur les travailleurs du WIV malades, combien de temps ils l'ont eu et pourquoi ils n'ont pas été partagés avec le public. « Vous vous attendriez à ce que le pays d'origine soit sur la défensive », a déclaré Chan, « mais vous ne vous attendriez pas à ce qu'un pays recevant le virus retienne des preuves clés. »

Le 15 janvier 2021, cinq jours avant l'entrée en fonction du président Joe Biden, les États-Unis Le département d'État a publié une fiche d'information qui indiquait la probabilité d'une fuite de laboratoire comme cause d'une pandémie.

Déjà, en 2021, le département d'État soupçonnait que le WIV avait menti au public. « Le gouvernement américain a des raisons de croire que plusieurs chercheurs à l'intérieur du WIV sont tombés malades à l'automne 2019, avant le premier cas identifié de l'épidémie, avec des symptômes compatibles à la fois avec le COVID-19 et les maladies saisonnières courantes. Cela soulève des questions sur la crédibilité de l'affirmation publique du chercheur principal du WIV, Shi Zhengli, selon laquelle il n'y avait "aucune infection" parmi le personnel et les étudiants du WIV par le SRAS-CoV-2 ou des virus liés au SRAS."

En février de cette année, le directeur du FBI, Christopher Wray, a déclaré à un journaliste que "le FBI a évalué depuis un certain temps que les origines de la pandémie sont très probablement un incident de laboratoire potentiel à Wuhan".

Le Times of London a rapporté que les enquêteurs du département d'État "ont trouvé des preuves que des chercheurs travaillant sur ces expériences ont été transportés à l'hôpital avec des symptômes similaires à ceux du Covid en novembre 2019". Comme indiqué précédemment dans Vanity Fair, certaines des informations que les enquêteurs du département d'État ont trouvées en 2021 étaient "assis dans les propres dossiers de la communauté du renseignement américain, non analysées".

« Depuis que j'ai publié ma préimpression [mai 2020] [document de recherche] disant qu'une origine de laboratoire accidentelle était possible, j'ai été critiqué en tant que théoricien du complot », a déclaré Chan. « Si cette information avait été rendue publique en mai 2020, je doute que de nombreux membres de la communauté scientifique et des médias auraient passé les trois dernières années à parler d'un chien raton laveur ou d'un pangolin dans un marché humide. »

L'identification du premier cas de COVID-19 en tant que scientifique de l'Institut de Wuhan supervisant la recherche sur le gain de fonction a des ramifications importantes pour les enquêteurs à la recherche d'un motif de dissimulation.

Depuis des années, les politiciens, les scientifiques, les journalistes et les chercheurs amateurs se concentrent sur la possibilité que le Covid-19 ait résulté d'une recherche sur le gain de fonction financée par les États-Unis et menée en Chine.

Des publications allant du Washington Post à l'Intercept en passant par le Wall Street Journal ont révélé des détails suggestifs, y compris le fait que les NIH ont accordé un financement pour au moins 18 projets de recherche sur le gain de fonction entre 2012 et 2020, et que les scientifiques des NIH en 2016 ont exprimé leur inquiétude au sujet de la recherche sur le virus hybride "chimera" soi-

Si l'information avait été communiquée plus tôt, les gouvernements auraient peut-être réagi différemment à la pandémie. Après que Public ait partagé l'information avec Chan, elle a déclaré : "Je me sens justifiée, mais je suis frustrée. Si vous saviez qu'il s'agissait probablement d'un agent pathogène amélioré par le laboratoire, il y a tellement de choses que vous auriez pu faire différemment. Toute cette pandémie aurait pu être remodelé. »

Metzl a déclaré : « Des responsables du gouvernement américain, y compris le Dr. Fauci a déclaré dès le premier jour qu'une origine liée à la recherche COVID-19 était une possibilité très réelle, et a précisé que nous avions peu d'idée des virus qui se tenaient à l'Institut de virologie de Wuhan, du travail qui y était effectué et de qui faisait ce travail, nos conversations nationales et mondiales auraient été radicalement différentes. Le moment est venu pour une comptabilité complète. »

 

La charge est franche... Ca peut toujours être de l'intox, ou tout simplement pas assez prouvé, mais ça pique.

Qu'est-ce qui peut bien sortir de ça, mis à part une forme de contraction nerveuse côté chinois, compréhensible tout comme potentiellement méritée ?
Des procès aux USA ?

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Il y a 2 heures, Titus K a dit :

Les Premières Personnes Malades Par La COVID-19 Étaient Des Scientifiques Chinois À l'Institut De Virologie De Wuhan, Selon Des Sources Du Gouvernement Américain
Les trois scientifiques étaient engagés dans des recherches sur le « gain de fonction » sur les coronavirus de type SRAS lorsqu'ils sont tombés malades.

https://public.substack.com/p/first-people-sickened-by-covid-19?utm_campaign=post&utm_medium=web

MICHAEL SHELLENBERGER, MATT TAIBBI, ALEX GUTENTAG. 13 JUIN 202

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Après des années de déclarations officielles contraires, de nouvelles preuves solides ont émergé suggérant que le virus connu sous le nom de SRAS-CoV-2 s'est échappé de l'Institut de virologie de Wuhan (WIV).

Selon plusieurs responsables du gouvernement américain interrogés dans le cadre d'une longue enquête menée par Public et Racket, les premières personnes infectées par le virus, "patients zéro", comprenaient Ben Hu, un chercheur qui a dirigé la recherche "gain de fonction" du WIV sur les coronavirus de type SRAS, ce qui augmente l'infectiosité des virus.

Plus de trois ans après l'épidémie de la pandémie, beaucoup dans le monde avaient renoncé à apprendre l'origine du SRAS-CoV-2, le virus respiratoire hautement infectieux qui a tué des millions de personnes, et la réponse à laquelle il a fermé des entreprises et des écoles, bouleversé les sociétés et causé d'énormes dommages collatéraux.

Les fonctionnaires des États-Unis et d'autres pays ont suggéré à plusieurs reprises qu'il n'était peut-être pas possible de découvrir l'origine de la pandémie. « Nous ne le saurons peut-être jamais », a déclaré Anthony Fauci, ancien directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, qui a supervisé la réponse à la pandémie pour deux administrations.

Maintenant, les réponses sont de plus en plus à portée de main. Des sources au sein du gouvernement américain affirment que trois des premières personnes à être infectées par le SRAS-CoV-2 étaient Ben Hu, Yu Ping et Yan Zhu. Tous étaient des membres du laboratoire de Wuhan soupçonnés d'avoir divulgué le virus pandémique.

En tant que tel, non seulement nous savons qu'il y avait des scientifiques du WIV qui avaient développé des maladies de type COVID-19 en novembre 2019, mais aussi qu'ils travaillaient avec les plus proches parents du SRAS-CoV-2, et insèrent des caractéristiques de gain de fonction qui lui étaient uniques.

Lorsqu'on a demandé à une source à quel point elle était certaine qu'il s'agissait des identités des trois scientifiques du WIV qui ont développé des symptômes compatibles avec la COVID-19 à l'automne 2019, on nous a dit : « 100 % »

« Ben Hu est essentiellement le prochain Shi Zhengli », a déclaré Alina Chan, biologiste moléculaire au Broad Institute du MIT et à Harvard, et coauteure avec Matt Ridley de Viral : The Search for the Origin of Covid19. Shi est connue comme "la femme chauve-souris de Chine" et a dirigé la recherche sur le gain de fonction au WIV. « Il était son élève vedette. Il fabriquait des virus chimériques de type SRAS et les testait sur des souris humanisées. Si je devais deviner qui ferait cette recherche sur le virus risqué et qui risquerait le plus d'être infecté accidentellement, ce serait lui. »

Hu et Yu ont fait des recherches sur la nouvelle lignée de virus de type SRAS d'où provient le SRAS-CoV-2, et en 2019, ils ont coécrit un article avec Shi Zhengli qui décrivait les lignées de type SRAS qu'ils avaient étudiées au fil des ans.

Jamie Metzl, ancien membre du comité consultatif d'experts de l'Organisation mondiale de la santé sur l'édition du génome humain qui a soulevé des questions à partir du début de 2020 sur une possible origine pandémique liée à la recherche, a déclaré : "Cela change la donne s'il peut être prouvé que Hu est tombé malade de COVID-19 avant quiconque. Ce serait le « pistolet fumant ». Hu était le principal chercheur pratique du laboratoire de Shi. »

Des sources disent à Public et à Racket que d'autres organismes de presse poursuivent des aspects de cette histoire. Samedi, le Times de Londres a cité un U.S. anonyme. Un enquêteur du département d'État a déclaré : "Il est devenu de plus en plus clair que l'Institut de virologie de Wuhan a été impliqué dans la création, la promulgation et la dissimulation de la pandémie de Covid-19."

Public and Racket sont les premières publications à révéler les noms des trois travailleurs du WIV malades et à les placer directement dans le laboratoire qui a collecté et expérimenté des virus similaires au SRAS prêts pour l'émergence humaine.

La semaine prochaine, la Direction du renseignement national devrait publier des documents précédemment classifiés, qui peuvent inclure les noms des trois scientifiques du WIV qui étaient probablement parmi les premiers à être malades par le CoV-2 du SRAS.

Un projet de loi signé par le président Biden plus tôt cette année prévoyait spécifiquement la publication des noms et des rôles des chercheurs malades au WIV, de leurs symptômes et de la date d'apparition des symptômes, et de la question de savoir si ces chercheurs avaient été impliqués ou exposés à la recherche sur le coronavirus.

Le 29 décembre 2017, deux ans avant le début de la pandémie, la télévision d'État chinoise a diffusé une vidéo qui comprend une scène de Ben Hu regardant un travailleur de laboratoire manipuler des spécimens. Ni l'un ni l'autre ne portent d'équipement de protection. La même vidéo montre des scientifiques du WIV à la recherche de virus de chauves-souris avec peu d'équipement de protection. « S'ils s'inquiétaient d'être infectés sur le terrain, ils auraient besoin de combinaisons complètes sans lacunes » pour être en sécurité, a déclaré Chan. « C'est le seul moyen. »

La recherche WIV avec des virus vivants de type SRAS a été réalisée à un niveau de sécurité trop faible, "BSL-2", explique Chan, "Quand nous savons maintenant que le virus pandémique est même capable de s'échapper d'un laboratoire BSL-3 et d'infecter de jeunes travailleurs de laboratoire entièrement vaccinés".

Alors que les scientifiques justifient une telle recherche comme nécessaire au développement de vaccins, le président Barack Obama a interdit le financement fédéral de la recherche préoccupante sur le gain de fonction en 2014, parce que les experts étaient parvenus à un consensus sur le fait qu'elle était trop dangereuse. Cependant, le National Institute of Health et le NIAID dirigés par Francis Collins et Fauci, et un important bénéficiaire du gouvernement américain, EcoHealth Alliance, ont estimé que leur travail sur les virus de type SRAS ne tombait pas dans les définitions de préoccupation de la recherche sur le gain de fonction et ont financé ce projet en Chine et en Asie du Sud-Est.

En mars 2018, la WIV, l'EcoHealth Alliance et l'Université de Caroline du Nord ont demandé une subvention de 14 millions de dollars des États-Unis. Defense Advanced Research Project Agency DARPA va concevoir des "sites de clivage de furine" dans les coronavirus de type SRAS afin d'étudier comment cela a affecté leur capacité à se développer et à causer des maladies.

Les scientifiques disent que l'élément clé du virus COVID-19, qui l'a rendu si transmissible par rapport à ses proches parents, était son site de clivage de furin unique.

La DARPA a rejeté la subvention, mais il semble maintenant que le WIV ait de toute façon avancé la recherche. Le Times of London a rapporté que des collaborateurs américains du WIV s'étaient manifestés et avaient déclaré que les scientifiques de Wuhan avaient mis des sites de clivage de la furine dans des virus similaires au SRAS en 2019.

Hu a co-écrit plusieurs articles sur la recherche sur le coronavirus, y compris un article de 2017 sur les coronavirus de chauves-souris chimériques avec Peter Daszak, le chef d'EcoHealth Alliance, qui a été financé en partie par les NIH et le programme USAID Emerging Pandemic Threats PREDICT. Les données partagées en privé avec les NIH ont révélé que ces virus chimériques de type SRAS se développaient beaucoup plus rapidement et causaient une maladie plus grave chez les souris humanisées en laboratoire.

 

Lorsque le WIV a publié son premier article sur le virus pandémique, ils n'ont pas réussi à souligner le nouveau site de clivage de la furine bien qu'ils aient eu des plans et auraient mis de telles caractéristiques de gain de fonction dans des virus de type SRAS dans leur laboratoire. « C'est comme si ces scientifiques proposaient de mettre des cornes sur les chevaux, mais lorsqu'une licorne apparaît dans leur ville un an plus tard, ils écrivent un article décrivant chaque partie de celle-ci, à l'exception de sa corne », a déclaré Chan.

Le public a envoyé des courriels et fait des appels téléphoniques aux NIH, WIV, EcoHealth Alliance, Daszak, Hu et Shi au cours des derniers jours et n'a pas reçu de réponse.

Il n'est pas clair qui, au sein du gouvernement américain, a eu accès aux renseignements sur les travailleurs du WIV malades, combien de temps ils l'ont eu et pourquoi ils n'ont pas été partagés avec le public. « Vous vous attendriez à ce que le pays d'origine soit sur la défensive », a déclaré Chan, « mais vous ne vous attendriez pas à ce qu'un pays recevant le virus retienne des preuves clés. »

Le 15 janvier 2021, cinq jours avant l'entrée en fonction du président Joe Biden, les États-Unis Le département d'État a publié une fiche d'information qui indiquait la probabilité d'une fuite de laboratoire comme cause d'une pandémie.

Déjà, en 2021, le département d'État soupçonnait que le WIV avait menti au public. « Le gouvernement américain a des raisons de croire que plusieurs chercheurs à l'intérieur du WIV sont tombés malades à l'automne 2019, avant le premier cas identifié de l'épidémie, avec des symptômes compatibles à la fois avec le COVID-19 et les maladies saisonnières courantes. Cela soulève des questions sur la crédibilité de l'affirmation publique du chercheur principal du WIV, Shi Zhengli, selon laquelle il n'y avait "aucune infection" parmi le personnel et les étudiants du WIV par le SRAS-CoV-2 ou des virus liés au SRAS."

En février de cette année, le directeur du FBI, Christopher Wray, a déclaré à un journaliste que "le FBI a évalué depuis un certain temps que les origines de la pandémie sont très probablement un incident de laboratoire potentiel à Wuhan".

Le Times of London a rapporté que les enquêteurs du département d'État "ont trouvé des preuves que des chercheurs travaillant sur ces expériences ont été transportés à l'hôpital avec des symptômes similaires à ceux du Covid en novembre 2019". Comme indiqué précédemment dans Vanity Fair, certaines des informations que les enquêteurs du département d'État ont trouvées en 2021 étaient "assis dans les propres dossiers de la communauté du renseignement américain, non analysées".

« Depuis que j'ai publié ma préimpression [mai 2020] [document de recherche] disant qu'une origine de laboratoire accidentelle était possible, j'ai été critiqué en tant que théoricien du complot », a déclaré Chan. « Si cette information avait été rendue publique en mai 2020, je doute que de nombreux membres de la communauté scientifique et des médias auraient passé les trois dernières années à parler d'un chien raton laveur ou d'un pangolin dans un marché humide. »

L'identification du premier cas de COVID-19 en tant que scientifique de l'Institut de Wuhan supervisant la recherche sur le gain de fonction a des ramifications importantes pour les enquêteurs à la recherche d'un motif de dissimulation.

Depuis des années, les politiciens, les scientifiques, les journalistes et les chercheurs amateurs se concentrent sur la possibilité que le Covid-19 ait résulté d'une recherche sur le gain de fonction financée par les États-Unis et menée en Chine.

Des publications allant du Washington Post à l'Intercept en passant par le Wall Street Journal ont révélé des détails suggestifs, y compris le fait que les NIH ont accordé un financement pour au moins 18 projets de recherche sur le gain de fonction entre 2012 et 2020, et que les scientifiques des NIH en 2016 ont exprimé leur inquiétude au sujet de la recherche sur le virus hybride "chimera" soi-

Si l'information avait été communiquée plus tôt, les gouvernements auraient peut-être réagi différemment à la pandémie. Après que Public ait partagé l'information avec Chan, elle a déclaré : "Je me sens justifiée, mais je suis frustrée. Si vous saviez qu'il s'agissait probablement d'un agent pathogène amélioré par le laboratoire, il y a tellement de choses que vous auriez pu faire différemment. Toute cette pandémie aurait pu être remodelé. »

Metzl a déclaré : « Des responsables du gouvernement américain, y compris le Dr. Fauci a déclaré dès le premier jour qu'une origine liée à la recherche COVID-19 était une possibilité très réelle, et a précisé que nous avions peu d'idée des virus qui se tenaient à l'Institut de virologie de Wuhan, du travail qui y était effectué et de qui faisait ce travail, nos conversations nationales et mondiales auraient été radicalement différentes. Le moment est venu pour une comptabilité complète. »

 

Ce que les sources taïwanaises disent depuis le premier jour mais là d'un coup c'est plus une théorie du complot ... 
D'ailleurs les sources usa en parlent depuis un long moment et le ressorte des qu'ils veulent faire pression sur la chine.
Il y a aussi des source us qui démontreraient que la Chine a laisse l'aéroport de la ville ouverte au niveau internationale alors que fermé intérieurement et la ville était en quarantaine durant 6 jours.
Tout ca alors que trump était encore président ...

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il y a 28 minutes, wagdoox a dit :

Ce que les sources taïwanaises disent depuis le premier jour mais là d'un coup c'est plus une théorie du complot ... 
D'ailleurs les sources usa en parlent depuis un long moment et le ressorte des qu'ils veulent faire pression sur la chine.
Il y a aussi des source us qui démontreraient que la Chine a laisse l'aéroport de la ville ouverte au niveau internationale alors que fermé intérieurement et la ville était en quarantaine durant 6 jours.
Tout ca alors que trump était encore président ...

Completement d'accord avec tout ca,  en revanche rien empêchait aux pays receveurs de refuser l'arrivée des avions en provenance de wuhan ou au moins de mettre en place des mesures de sécurité comme ils ont fait plus tard.
J'étais a Shanghai de décembre jusqu'a fin janvier 2020 et je me rappelle être sidéré de l'absence totale de mesures de sécurité a mon retour alors que des cas positifs étaient deja découverts a Shanghai. 

Mais bon la gestion de cette crise dans les premier mois...

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Il y a 1 heure, wagdoox a dit :

D'ailleurs les sources usa en parlent depuis un long moment et le ressorte des qu'ils veulent faire pression sur la chine.
Il y a aussi des source us qui démontreraient que la Chine a laisse l'aéroport de la ville ouverte au niveau internationale alors que fermé intérieurement et la ville était en quarantaine durant 6 jours.

L'article ne dit rien de plus ou de moins que ce qui pouvait se raconter il y a en gros 24 mois. Aucun élément factuel nouveaux, et encore le factuel reste...."fragile". 

 

Pour l'aéroport ouvert c'est rigolo. Entre début février et mi mars 2020, le monde a changé sur les voyages en asie SE et en Chine en particulier. Du côté d'un pays administré par un certain Donald, il a fallu....attendre bcp plus longtemps, encore plus qu'en France. 

 

Doc l'article entre en plein dans une "guerre" de comm'. Peut être que Joe se fatigue de l'Ukraine, il faut que son viseur se tourne vers un autre objectif. C'est une constante dans bcp de pays, démocratiques ou pas. Quand on sait pas quoi foutre chez soi ( pour ne pas avouer qu'on peut  pas faire grand chose ) alors  hop, une petite diversion vers la politique extérieure.

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il y a 59 minutes, ksimodo a dit :

L'article ne dit rien de plus ou de moins que ce qui pouvait se raconter il y a en gros 24 mois. Aucun élément factuel nouveaux, et encore le factuel reste...."fragile". 

Pour l'aéroport ouvert c'est rigolo. Entre début février et mi mars 2020, le monde a changé sur les voyages en asie SE et en Chine en particulier. Du côté d'un pays administré par un certain Donald, il a fallu....attendre bcp plus longtemps, encore plus qu'en France. 

Doc l'article entre en plein dans une "guerre" de comm'. Peut être que Joe se fatigue de l'Ukraine, il faut que son viseur se tourne vers un autre objectif. C'est une constante dans bcp de pays, démocratiques ou pas. Quand on sait pas quoi foutre chez soi ( pour ne pas avouer qu'on peut  pas faire grand chose ) alors  hop, une petite diversion vers la politique extérieure.

Ca manque en effet de réelles et nouvelles preuves factuelles.

Apres l'idée d'un article comme ca, publié indépendamment sans couverture d'un journal, c'est que le journaliste met sa crédibilité en jeu quand meme. 

Bon après si tu pense que Taibbi et Shellenberger distribuent sciemment de la comm' aux ordres de Biden ou de Washington alors la...

Modifié par Titus K
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Il y a 7 heures, ksimodo a dit :

L'article ne dit rien de plus ou de moins que ce qui pouvait se raconter il y a en gros 24 mois. Aucun élément factuel nouveaux, et encore le factuel reste...."fragile". 

 

Pour l'aéroport ouvert c'est rigolo. Entre début février et mi mars 2020, le monde a changé sur les voyages en asie SE et en Chine en particulier. Du côté d'un pays administré par un certain Donald, il a fallu....attendre bcp plus longtemps, encore plus qu'en France. 

 

Doc l'article entre en plein dans une "guerre" de comm'. Peut être que Joe se fatigue de l'Ukraine, il faut que son viseur se tourne vers un autre objectif. C'est une constante dans bcp de pays, démocratiques ou pas. Quand on sait pas quoi foutre chez soi ( pour ne pas avouer qu'on peut  pas faire grand chose ) alors  hop, une petite diversion vers la politique extérieure.

Euh... si, il y deux éléments "nouveaux" vus de moi : l'affirmatinon de noms, de dates et la mise en perspective cohérente, l'ensemble formant un équisitoire.

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Il y a 10 heures, wagdoox a dit :

Ce que les sources taïwanaises disent depuis le premier jour mais là d'un coup c'est plus une théorie du complot ... 
D'ailleurs les sources usa en parlent depuis un long moment et le ressorte des qu'ils veulent faire pression sur la chine.
Il y a aussi des source us qui démontreraient que la Chine a laisse l'aéroport de la ville ouverte au niveau internationale alors que fermé intérieurement et la ville était en quarantaine durant 6 jours.
Tout ca alors que trump était encore président ...

La ou ce n'est plus une théorie du complot fumeuse, c'est le simplement le fait d'admettre la forte probabilité que ça soit une erreur avec le virus qui s'échappe, mais qu'il n'y ai pas forcément un plan pour mettre le monde à genoux.
Juste un régime autoritaire qui ne sait pas gérer cette crise (et qui en a rien à battre que ça parte ailleurs si ça lui permet de garder la tête haute).

De mon point de vu, il ne faut pas immédiatement miser sur le complot quand la bêtise, l'incompétence et l'insouciance font totalement le travail. De plus depuis le début il y a des forts soupçons sur l'origine, juste qu'au vu, du lieu, du régime et de la culture, le coté ne pas "perdre la face" peut assez facilement mener à ces évènements.

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Le 23/04/2023 à 23:53, ksimodo a dit :

Début mars 2020 ( oui oui début mars 2020 ) en Birmanie, je marchais pieds nus sur des tapis de merde de bat dans des grottes. Ben oui, les temples on est pieds nus. Comme des dizaines de milliers de personnes tous les jours, et aussi en nord Thaïlande. Tu ressors, tu remet les chaussettes si tu en as, et tu remets les chaussures. Et si y'a de merdes de bat au sol, c'est qu'elles sont au dessus de toi dans les grottes, parfois tu reçois une déjection sur la tronche ou l'épaule.

Hmmm, si j'ai bien compris la méthode scientifique il faut comparer la population religieuse et non religieuse de Thailande pour savoir si la crotte de chauve souris protège du covid, et dans l'affirmative vérifier si l'application sur la voute plantaire est plus efficace que sur la boite crânienne?

Plus sérieusement, mon beau-frère  (dis comme cela, c'est pas très scientifique...) m'indiquait que les chauve-souris sont des réserves à coronavirus. Durant la période covid, il avait craint des chasses à la chauve-souris qu'il étudie....

 

 

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L'article n'est pas scientifique, les auteurs ne le sont pas.

C'est une ré écriture journalistique sans aucun élément nouveau. Tout était sorti il y a 2 ans, tout pareil. Bon, à la limite, on pourrait voir un réquisitoire mieux "rédigé".

Je ne crois pas que l'auteur se soucie de sa crédibilité, il lui suffit d'avoir des followers, pour de bonnes ou mauvaises raisons. C'est d'ailleurs un mécanismes commun à bcp de gens "publics". Ce n'est pas une tare, mais ce n'est pas non plus un truc qui crédibilise quoi que ce soit.

Je ne dis pas non plus qu'il est aux ordres, ça c'était une forme d'humour ( Joe et Donald ), mais il est vrai que ça tombe bien, et que quand ça tombe bien il serait dommage de pas s'en servir....

 

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