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Coronavirus - Covid 19


Messages recommandés

Voilà les vacances, voilà les mouvements de population. Des régions peut touchées jusqu'à maintenant vont se retrouver avec des populations voulant absolument "revivre" comme sur les photos au-dessus. La seconde vague aura bien lieu peut-être pas pendant les vacances mais sûrement peu de temps après la rentrée.

Modifié par herciv
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D'après certain nous serions en train de préparer la seconde vague de l'automne. 
La première a commencer à se générer dès octobre 2019 ( voir août mais à vérifier ) avant d'apparaître réellement en février. 

Un second confinement total ne serait pas économiquement supportable

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il y a 14 minutes, NUBEALTIUS a dit :

D'après certain nous serions en train de préparer la seconde vague de l'automne. 
La première a commencer à se générer dès octobre 2019 ( voir août mais à vérifier ) avant d'apparaître réellement en février. 

Un second confinement total ne serait pas économiquement supportable

La première était géographiquement limitée à une ou deux régions et quelques cluster. Là avec les vacances même pas en rève. On va tous devoir se protéger et pas qu'un peu.

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il y a 18 minutes, NUBEALTIUS a dit :

D'après certain nous serions en train de préparer la seconde vague de l'automne. 
La première a commencer à se générer dès octobre 2019 ( voir août mais à vérifier ) avant d'apparaître réellement en février. 

Un second confinement total ne serait pas économiquement supportable

Vue comment s'est passée la fête de la musique plus les différentes manifs BLM and Co, on en reparle dans 10 jours, avant même les vacances .........

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il y a 1 minute, Akhilleus a dit :

Vue comment s'est passée la fête de la musique plus les différentes manifs BLM and Co, on en reparle dans 10 jours, avant même les vacances .........

Personnes jeunes souvent, nombre pas si élevé que ça, en plein air : la proportion d'asymtomatiques va être élevée. Pas sûr que ça se voit bien dans les chiffres d'ici 10 jours, surtout en l'absence de cours en fac. On n'est pas à l'abri d'une bonne surprise, hein. :endifficultec:

Dans un mois par contre... Il y a de la latence dans cette affaire.

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oui des jeunes ,mais ils vont aller voir pépé et mémé d'ici peu de jours

La "communication" du début comme quoi les "vieux meurent " a occulté que dans les intubés avec un tuyau dans la gorge et un autre dans le bide il y avait de tous les âges et qu une fois sortis du coma articifiel ils sont pas prêts de refaire du footing

En tout cas expérience grandeur nature pour vérifier le dynamisme des souches actuelles

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https://www.publicsenat.fr/article/debat/pr-didier-sicard-le-virus-s-arretera-avant-l-arrivee-du-vaccin-183309

 

La Chine, l'Inde, l'Iran... Des pays où le virus repart. Est-ce la vie normale d'un virus ou est-ce la deuxième vague que l'on redoute ?

 

Non, je ne pense pas que ce soit une deuxième vague. Il faut bien comprendre que lorsque le virus nous a surpris en janvier-février, en fait, il circulait depuis le mois de novembre, mais de façon complètement silencieuse. Le paradoxe de cette infection, c'est qu'il y a 2% de formes très graves, 50% de formes moyennement graves avec un peu de fièvre et environ 50% de formes totalement inapparentes. Autrement dit, quand des gens sont malades, on s'aperçoit que le bassin de personnes qui porte le virus est beaucoup plus important. Dans cette histoire de Pékin, d'abord il y a le traçage, on teste beaucoup plus, et puis, c'est parti d'un énorme marché d'animaux. Vous imaginez ! 140 hectares, c’est-à-dire 14.000 mètres carrés, c’est-à-dire 1 kilomètre 4 d'étendue.

 

Mais il n'y a pas que Pékin, il y a l'Iran, le Bangladesh et d'autres pays. Vous nous dites en fait que le virus était là, est toujours là, et les foyers que l'on voit apparaître sont les restes de la première vague ? 

 

Les formes graves sont de 2% à 3%, mais lorsqu'elles apparaissent, le foyer qui est à la base, qui est souterrain à ces formes graves, il est considérable. On peut donc imaginer que lorsqu’on croit qu'il n'y a plus de cas, il y a toujours ces formes inapparentes qui continuent de circuler librement, et il suffit qu'elles se rassemblent pour qu'il y ait un foyer épidémique qui reparte. Il faut bien comprendre que, à l'opposé des autres épidémies où l'on repérait immédiatement les gens malades, là, on ne peut pas les repérer, sauf si on les teste. Donc, il faut un testage massif. Mais cela ne veut pas dire qu'il y a une deuxième vague. Cela veut simplement dire que, maintenant que l'on teste, on s'aperçoit qu'il y a toujours une circulation du virus.

 

Pense-t-on toujours que la chaleur a un impact sur la circulation du virus ?

 

Probablement oui. Au Brésil, c'est la saison froide. Le virus résiste moins en pays secs et chauds qu'en pays froids. Peut-être qu'il y a des cofacteurs microbiens qui apparaissent et qui peuvent favoriser la gravité du virus. On ignore énormément de choses. La question, c'est : est-ce qu'il va y avoir une deuxième vague ? Je ne le crois pas. Il va y avoir la persistance, ici et là, de foyers qui vont être repérés beaucoup plus facilement qu'ils ne l'étaient en janvier ou février parce qu'immédiatement, il va y avoir un enfermement. En janvier et février, on s'intéressait aux 2% de formes graves, mais les 98% qui restaient, transmettaient le virus, par conséquent, l'épidémie se répandait. Même s'il y a la persistance du virus, on ne peut pas imaginer qu'avec une société actuellement beaucoup mieux préparée, il puisse y avoir une deuxième vague comme la première.

 

On comprend donc que la menace est là, qu'elle est latente, qu'elle plane au-dessus de nous, Européens, mais qu'on est armés pour l'endiguer ?

 

Absolument ! Elle plane, mais le fait que l'on puisse maintenant traquer le virus fait que, dès qu'on repère une personne malade, on va immédiatement chercher son environnement et repérer les personnes qui sont en bonne forme, mais qui ont manifestement la capacité de transmettre le virus. On a les capacités de repérage que nous n'avions pas au mois de janvier. Pourquoi l'épidémie a-t-elle été aussi dramatique ? Parce qu'elle s'est répandue de façon complètement silencieuse. On ne pensait pas que quelqu'un qui était en pleine forme, qui faisait de la gymnastique, était porteur du virus. Maintenant qu'on le sait, on s'aperçoit qu'il faut les traquer. 

 

Un autre point d'incompréhension :  le fait que Pékin ait décidé de refermer les écoles. En France, on a fini par se dire que les écoles n'étaient pas des foyers de contamination importants. Et pourtant, on voit qu'à l'étranger, dès que le virus resurgit, on referme les écoles... Éclairez-nous... 

 

Les enfants ne sont pas malades, mais ils peuvent être transmetteurs. Il est légitime, quand il y a un foyer épidémique dans un village, qu'on ferme l'école parce que l'école va permettre, même si les enfants ne sont pas malades, de transmettre le virus, cela me paraît logique. 

 

Est-ce que l'Europe aurait tout intérêt à ne pas rouvrir ses frontières ? 

 

Je pense que pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois, les frontières doivent rester fermées, et si elles ne le sont pas, il faut au moins une quarantaine pour tous les voyageurs qui viennent d'Asie ou d'Amérique du Sud, voire d'Amérique du Nord.

 

On sait aujourd'hui que l'Allemagne a eu de meilleurs résultats parce qu'elle a profité de la courte avance qu'elle avait sur nous face au virus. Elle semble continuer cette stratégie, elle annonce l'interdiction des grands rassemblements jusqu'au mois de novembre au moins. La France devrait-elle aussi saisir cette avance pour prendre de telles mesures ? 

 

Cela dépend de quel rassemblement on parle. Si on prend un rassemblement dans un stade de football où les gens s'embrassent et sont à 40 cm les uns les autres, oui. Mais si vous avez un rassemblement de plusieurs centaines de personnes qui sont écartées les unes des autres, le risque est quand même extrêmement minime. Je vois mal comment on pourrait interdire des rassemblements en l'état actuel des choses, même en Allemagne, où le virus circule beaucoup moins. Je pense qu'il ne faut pas avoir une vision perpétuellement sécuritaire et maximale. Il y a un moment où il faut savoir raison garder, mais avoir les capacités de réagir. Au fond, ce qui change tout, c'est que notre capacité de réponse et d'isolement des malades et par conséquent de ceux qui ont rencontré le virus. Il faut avoir une réponse a posteriori plutôt qu'avoir une réponse a priori sécuritaire.

 

Il y a la riposte au virus lorsqu'il est là, mais il y a aussi, et vous insistez beaucoup là-dessus, la recherche sur l'origine des virus. Selon vous, cela n'attire pas assez notre attention. Là encore, pour ce qui est de la Chine, c'est un marché de gros qui est soupçonné d'être la source des nouvelles contaminations. Un très grand marché qui approvisionne en fruits de mer, en fruits, en légumes. Pour le moment, on n'entend pas parler d'animaux sauvages et vivants...

 

Mais évidemment puisque c'est interdit ! La Chine ne va vous dire qu'on a trouvé des pangolins et des chauves-souris ! On parle là d'une culture de base, d'une culture fondamentale, un peu comme pour nous, le poulet ou le steak. Tous les citoyens achètent clandestinement des animaux sauvages, cette vente ne s'est pas arrêtée par miracle. Quand les Chinois nous disent que le virus a été repéré sur une planche servant à découper des saumons de Norvège, ils nous prennent vraiment pour une population extrêmement naïve. Ils ne peuvent pas avouer puisqu'ils l'ont interdit. Mais tout cela est très souterrain, ce sont des sommes faramineuses qui sont en jeu. Sur un marché aussi gigantesque, cinq fois la superficie de Rungis, comment voulez-vous qu'on puisse contrôler chaque étal ? Donc l'hypothèse que je fais, c'est que si ce sont les mêmes chauves-souris, on peut imaginer que dans leur condition d'être entravée, de tousser, d'avoir de l'urine, le virus reparte. Si, par hasard, il y a aussi des pangolins, les deux virus s'associent et donnent une chimère qui a été l'expression de notre virus.

 

Donc, pour vous, la Chine nous ment, encore ? 

 

Elle a commencé à dire qu'elle allait interdire les marchés d'animaux sauvages, mais en même temps, le président dit que la médecine traditionnelle doit continuer, que c'est une richesse. À partir du moment où les chauves-souris et les pangolins sont une base de médecine traditionnelle, on ne voit pas tellement comment une interdiction peut être respectée localement. Il y a une hypocrisie. 

 

Restons sur cette question culturelle chinoise et même asiatique. José Frèches, un spécialiste de la Chine, nous explique ceci :  "Il y a une tradition en Asie qui est de manger des animaux vivants ou qui viennent à peine d'être sacrifiés. Pour eux, c'est comme nourrir le souffle vital. Là-bas, on considère que chaque être vivant est possesseur du souffle vital et que celui-ci peut se transmettre entre les espèces, en particulier d'un animal à l'homme." Comment lutter contre cette culture ancestrale ?

 

On ne peut pas lutter. C'est exactement comme la drogue, jamais on n'arrivera à venir à bout de la marijuana ou de l'héroïne.

 

Donc on doit accepter que ces virus émergent et déferlent sur nous ? 

 

Non, mais on ne doit pas être naïfs et on doit considérer que les travaux internationaux doivent se pencher sur le port de ces virus par les chauves-souris. Il y a tout un travail fondamental à faire, même si c'est en dehors de Chine. On peut le faire au Laos, au Vietnam, en Nouvelle-Calédonie, pour apporter du matériau de réflexion. On ne peut pas compter sur les Chinois. L'embarras chinois c'est que, s'ils interdisent réellement, s'ils pénalisent le marché d'animaux sauvages, ce sera la révolution en Chine. Les Chinois ne font pas le rapport entre leurs marchés et l'épidémie, personne ne leur dit que c'est ça. Ils continuent d'acheter ces animaux sauvages dans des étals absolument sordides puisqu'ils sont clandestins. Je suis frappé de voir que les mêmes causes produisent les mêmes effets. La théorie des saumons de Norvège sur une planche est une diversion de la Chine, mais qui, au fond, est légitime dans l'angoisse culturelle. Pékin se demande comment interdire quelque chose qui est fondamental. C'est comme si nous interdisions du jour au lendemain la consommation de steak ou de poisson.  

 

Mais tant que ces pratiques ne seront pas interdites, il faudra s'attendre à voir apparaître ces virus et même à la voir se multiplier ? 

 

Probablement. L'hypothèse que je fais, c'est que les déforestations ont fait que les chauves-souris ont changé leur propre écologie, qu'elles se sont nourries d'arbres fruitiers. Par ailleurs notre proximité avec les grottes par le train, par la voiture, par les autoroutes, entre les grands marchés et les chauves-souris, c'est quelque chose de tout à fait nouveau. Toutes les épidémies ont besoin d'un responsable et ensuite d'un cheminement. La Route de la soie, c'est la route de la chauve-souris. La Route de la soie, c'est aussi l'exportation de tous les pangolins d'Afrique vers la Chine. En fait, c'est tout un écosystème mafieux qui fait que je vois mal comment on va pouvoir, avec de simples récriminations, arriver à bout du problème. Je comprends que la Chine soit très embarrassée. Mais il faut travailler dessus pour en apporter la preuve. Moi, je fais des hypothèses. Je ne suis pas à Wuhan, je ne suis pas à Pékin, mais cela me paraît logique.

 

On parle beaucoup de l'Asie, mais quid des marchés africains avec de la viande de brousse ? 

 

Ce n'est pas la même chose, ce n'est pas de la même ampleur. Quand j'étais au Laos, encore récemment, j'ai vu dans les petits marchés, qu'on mangeait des chauves-souris, quelquefois un pangolin, j'en avais même acheté un moi-même sur un marché. Mais c'est sans gravité, un pangolin ne peut pas vous contaminer comme ça, ni trois chauves-souris. Mais si vous en avez 500 qui sont entravées et qui urinent, il y a une masse de virus associés au pangolin, et c'est ce qui va tout changer. Ce n'est pas simplement une chauve-souris, c'est la masse de ce marché qui est considérable. Il faut bien comprendre qu'on parle de milliards de dollars. On n'est pas simplement dans des marchés exotiques, comme si on allait le dimanche acheter une chauve-souris pour faire plaisir à ses enfants. C'est un marché fondamental, c'est un marché de base, et malheureusement, il est inaccessible aux chercheurs occidentaux et je vois mal comment on va pouvoir imposer des règles. D'où l'importance de travailler, nous, Occidentaux, sur les marchés africains, océaniens, asiatiques pour essayer de trouver la solution.

 

Le manque de chercheurs sur ces sujets a été l'objet de votre cri d'alarme très remarqué il y a quelques semaines sur France Culture. Grâce à cela, la direction de l'Institut Pasteur au Laos, que vous avez créé, a reçu la confirmation du renouvellement du poste de virologue qu'elle attendait depuis des mois.

 

Heureusement ! Le bon sens voulait que ce poste qui avait été retiré en novembre 2019, ne pouvait plus l'être, ce n'était évidemment pas le meilleur moment. Très rapidement, le ministère des Affaires étrangères, qui finançait le poste, l'a remis. 

 

Y voyez-vous aussi une prise de conscience des autorités de l'importance de la recherche ?  

 

Oui, mais encore insuffisante ! Je pense que c'est une chance fabuleuse d'avoir un Institut Pasteur au Laos, à quelques centaines de kilomètres de la Chine, qui est un lieu où l’on peut très rapidement repérer l'émergence d'un virus, on peut être sur le terrain. Beaucoup de pays nous envient d'avoir ces Instituts Pasteur. Il devrait y avoir une puissance de feu et une puissance de moyens qui n'est pas celle que l'on accorde actuellement. Le centre au Laos est un peu misérable, avec seulement quelques personnes, mais ce n'est pas un institut qui a la capacité de faire des recherches fondamentales.

 

Donc, il faut une mobilisation internationale beaucoup plus importante ? 

 

Oui beaucoup plus importante ! Mobilisation internationale, cela ne veut pas dire : donnez-nous la réponse dans six semaines. C'est un travail de fond. Pourquoi les chauves-souris hébergent-elles autant de centaines de coronavirus ? Pourquoi ces coronavirus sont-ils beaucoup plus présents maintenant dans les chauves-souris qu'ils ne l'étaient il y a 20 ou 30 ans? Qu'est ce qui a changé l'écologie de la chauve-souris ? Ce sont les sciences humaines, l'écologie, les vétérinaires. Il faut travailler sur cette chaîne et pas simplement arriver au laboratoire pour dire quel est le génome qui a ces capacités de nuisance.

 

On a évoqué les origines, parlons aussi des traitements envisagés. Sur l'hydroxychloroquine, le débat est clos ?  

 

Oui je le crois. Il n'est pas impossible que la chloroquine ait eu un effet sur certaines personnes. Mais manifestement, ce n'est pas le traitement. Il n'y a pas de débat là-dessus. Il n'y a pas de traitement, il n'y en a pas ! Au fond, il y a très peu de traitements sur les virus. Le sida a mobilisé des ressources absolument fondamentales. Pour la dengue qui tue beaucoup plus de gens dans le monde, par centaines de milliers, il n'y a pas de traitement. Pour la variole, il n'y a pas de traitement non plus ! Il y a beaucoup de maladies virales pour lesquelles il n'y a pas de traitement. Je ne vois pas comment on va trouver un traitement dans les prochains mois.

 

L'OMS salue pourtant "une percée scientifique" dans l'essai clinique sur le dexaméthasone.

 

Mais ce n'est pas une percée scientifique, c'est le traitement d'un choc immunologique. Quand le malade a une réponse qu'on appelle un "orage immunologique", la cortisone, c'est le meilleur traitement. Beaucoup de médecins l'ont utilisée depuis le mois de février pour sauver les malades. Et je pense que cela a une efficacité chez certains malades, peut-être un sur deux ou un sur trois, ce qui est considérable. Mais ce n'est pas le traitement du virus, c'est le traitement qui permet à l'être humain de ne pas être dévasté par une réponse excessive à ce virus. Le virus est tellement puissant chez certaines personnes qu'il va déclencher une réponse immunitaire dévastatrice, à tel point que cette réponse va aller au-delà de la destruction du virus en détruisant les cellules elles-mêmes. La cortisone, elle, calme. Les médecins que j'ai rencontrés depuis le mois de février, utilisaient la cortisone chez certains malades et observaient effectivement des bénéfices. 

 

Assez peu d'espoir donc sur un traitement, un espoir sur le vaccin alors ? 

 

Il est très compliqué à faire ce vaccin, notamment à cause de cette réponse immunitaire excessive dont je vous parlais. Si on vaccine les gens et qu'ils font des réponses immunitaires dévastatrices, qu'est-ce qui va se passer ? Prenons encore l'exemple de la dengue, il y a un an et demi, on a essayé un vaccin, on pensait même qu'on avait trouvé le vaccin contre la dengue, on l'a essayé aux Philippines. Il y a eu des morts ! Cette maladie fait que les anticorps contre le virus sont plus destructeurs que le virus lui-même. Donc, il faut être patient. Je crois qu'il ne faut pas espérer un vaccin avant fin 2021. Et ce n'est pas le vaccin qui va arrêter la maladie virale, le virus s'arrêtera avant l’arrivée du vaccin. D'ailleurs cela va être un problème parce qu'à ce moment-là, l'humanité va se dire qu'on n'a plus besoin de vaccin puisque la maladie s'est arrêtée. C'est justement l'erreur qu'on a faite avec le SRAS-1 qui s'est arrêté tout seul, on s'est dit « bon, passons à autre chose », on a arrêté les recherches qui auraient pu nous être utiles. Il faut continuer à travailler sans penser que la solution, c'est le vaccin. 

 

 

Lire notre entretien avec Christophe Bourseiller : « On est dans un moment où l’identité française est en question »

Modifié par NUBEALTIUS
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il y a une heure, Boule75 a dit :

Ça continue à muter ? J'ai un peu perdu de vue ce suivi, savez-vous ce ça donne ?

ce qui m'a toujours fait peur c'est le coté taquin mutant des coronavirus

Chez les chats vous avez le coronavirus forme intestinale ( Fecv)qui donne une infection bénigne et asymptomatique dans 99.9 % des cas mais si le chat n'élimine pas le virus ,celui ci bien au chaud peut subir diverses mutations et donner au bout de plusieurs semaines/ mois  une forme  mortelle à 100 % ( Fipv)

Bon je suis pas virologue mais ne faites pas de cauchemars non plus

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Je remets une pièce dans la machine : Hydroxychloroquine. Un effet positif sur le retour à domicile, pas sur la mortalité, selon une étude

https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/hydroxychloroquine-un-effet-positif-sur-le-retour-domicile-pas-sur-la-mortalite-selon-une-etude-6878752

 

Des taux de sortie d’hospitalisation (à 28 J ndlr)  significativement plus élevés ont été observés chez les patients traités par hydroxychloroquine

L’étude conclut en revanche à l’absence de différence statistiquement significative pour la mortalité à 28 jours entre les patients ayant reçu de l’hydroxychloroquine et le groupe contrôle, après prise en compte des facteurs de confusion

Concernant les données de notre étude, on peut ainsi constater que les patients sous hydroxychloroquine ou hydroxychloroquine/azithromycine présentaient des taux d’obésité, de diabète et tabagisme (facteurs de mauvais pronostic) plus élevés de l’ordre de 5 % à 15 %, mais qu’ils étaient également beaucoup plus jeunes que les patients non traités par hydroxychloroquine (de l’ordre de 6 à 8 ans plus jeunes

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il y a une heure, Akhilleus a dit :

Je remets une pièce dans la machine : Hydroxychloroquine. Un effet positif sur le retour à domicile, pas sur la mortalité, selon une étude

https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/hydroxychloroquine-un-effet-positif-sur-le-retour-domicile-pas-sur-la-mortalite-selon-une-etude-6878752

 

Des taux de sortie d’hospitalisation (à 28 J ndlr)  significativement plus élevés ont été observés chez les patients traités par hydroxychloroquine

L’étude conclut en revanche à l’absence de différence statistiquement significative pour la mortalité à 28 jours entre les patients ayant reçu de l’hydroxychloroquine et le groupe contrôle, après prise en compte des facteurs de confusion

Concernant les données de notre étude, on peut ainsi constater que les patients sous hydroxychloroquine ou hydroxychloroquine/azithromycine présentaient des taux d’obésité, de diabète et tabagisme (facteurs de mauvais pronostic) plus élevés de l’ordre de 5 % à 15 %, mais qu’ils étaient également beaucoup plus jeunes que les patients non traités par hydroxychloroquine (de l’ordre de 6 à 8 ans plus jeunes

Est ce habituelle qu'une étude de ce type soit mené par une dermatologue ?

sinon en terme de pièce dans le flipper ^^
"Coronavirus: Didier Raoult auditionné ce mercredi par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale" : http://www.lefigaro.fr/sciences/coronavirus-didier-raoult-auditionne-ce-mercredi-par-la-commission-d-enquete-del-assemblee-nationale-20200624

 

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il y a 23 minutes, NUBEALTIUS a dit :

Est ce habituelle qu'une étude de ce type soit mené par une dermatologue ?

sinon en terme de pièce dans le flipper ^^
"Coronavirus: Didier Raoult auditionné ce mercredi par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale" : http://www.lefigaro.fr/sciences/coronavirus-didier-raoult-auditionne-ce-mercredi-par-la-commission-d-enquete-del-assemblee-nationale-20200624

 

C une meta analyse, n'importe qui peut faire et en general y a du monde derriere. Mais c sur que faire causer une dermato ca fait moyen serieux

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Le 22/06/2020 à 00:50, rogue0 a dit :

Conséquence logique, plusieurs mesures ont été annoncées pour la Guyane (renforts sanitaire, report des élections ... et le reconfinement est envisagé)

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/covid-19-l-hypothese-d-un-reconfinement-de-la-guyane-est-sur-la-table-dit-matignon-20200621

pour Mayotte, ça serait une bonne nouvelle, mais je suis circonspect.
Qu'en disent nos correspondants locaux ?

@christophe 38

 

  Révéler le texte masqué

L'exécutif a déjà annoncé le report en Guyane des élections municipales prévues le 28 juin, le passage en stade 3 de l'épidémie et proposé au Parlement la prolongation de l'état d'urgence sanitaire au-delà du 11 juillet. Dimanche, le gouvernement a annoncé de nouvelles mesures face à la «brusque accélération depuis dix jours», notamment dans l'agglomération de Cayenne.

Selon les derniers chiffres communiqués dimanche, l'épidémie a progressé avec 278 cas supplémentaires en 24 heures, pour s'établir à 2441 cas positifs au Covid-19 (dont 930 guéris), 97 patients hospitalisés et 14 en réanimation, pour six décès au total.

«Si le taux de reproduction demeure dans les jours à venir à un niveau élevé et que les signes d'une accélération de la circulation du virus se maintiennent, l'hypothèse d'un reconfinement de la Guyane devra être réexaminée», prévient Matignon dans un communiqué, ajoutant qu'Edouard Philippe a demandé à Annick Girardin, ministre des Outre-mer, de se rendre sur place mardi.

Dès lundi, 17 soignants supplémentaires, issus de la réserve sanitaire nationale, doivent arriver sur place. D'autres équipes soignantes, en particulier de l'AP-HP, (Hôpitaux de Paris) «vont être projetées à partir de cette semaine». Une unité de l'hôpital de campagne de la sécurité civile de 20 lits de médecine générale sera par ailleurs déployée cette semaine pour accueillir des patients non-Covid et permettre ainsi de dégager des capacités hospitalières supplémentaires.

La stratégie d'évacuation sanitaire, en priorité vers les Antilles et pouvant être étendue vers l'Hexagone en cas de nécessité, sera poursuivie. «Deux patients ont été évacués le 18 juin par un avion CASA de l'armée de l'air. Une nouvelle évacuation sanitaire de deux patients est en cours de réalisation», précise Matignon.

 

Citation

La situation sanitaire aux Comores et à Madagascar ne s’arrange pas
COVID-19: DES RÉPERCUSSIONS SUR MAYOTTE SONT D’ORES ET DÉJÀ À PRÉVOIR
 

Mayotte est prise en tenaille dans le canal du Mozambique entre l’archipel des Comores se retrouvant au milieu d’une épidémie de Covid-19 qui le frappe lui aussi et bien évidemment Madagascar. La situation est particulièrement inconfortable tant d’un point de vue sanitaire qu’économique. Les incidences sont nombreuses et elles sont faites visiblement pour s’inscrire dans le temps.
Tour d’horizon…
1640 cas de personnes infectées par le Covid à Madagascar pour 15 décès, le bilan s’alourdit de jours en jours à Madagascar. En cause, la virulence de la maladie bien sûr, mais aussi le non-respect des règles de confinement, de distanciation ou de port du masque, sans parler des gestes barrière que l’immense majorité de la population ne maitrise pas.
Selon le bilan communiqué par le Centre de commandement opérationnel (CCO), 60 nouveaux cas de coronavirus ont été recensés à Madagascar ces derniers jours.
Parmi eux, 44 étaient localisés à Antananarivo. Les chiffres ont révélé 93 nouveaux cas, dont 71 issus de la capitale de Madagascar. Ce qui porte à 115 le nombre de personnes contaminées durant le week-end. Depuis le milieu de la semaine, la ville qui est devenue le principal foyer de la maladie de Covid-19 a enregistré une tendance à la hausse du nombre de contaminations. Une situation qui laisse craindre l’explosion des nouveaux cas de Covid-19 dans la capitale. L’épidémie ne recule pas, au contraire elle progresse, mais d’autres maux sont aujourd’hui visibles sur la grande île : la faim.
En effet, dans la capitale économique à Tana, la vie tourne au ralenti, les travailleurs restent chez eux faute d’emploi et tentent de survivre par tous moyens. Pour ce faire, ils bravent les interdits ou essaient de quitter la capitale pour rejoindre d’autres cités, propageant ainsi toujours un peu plus la maladie. Le virus gagne donc du terrain avec un leitmotiv retrouvé aux quatre coins de l’île : “plutôt mourir du covid que de mourir de faim”…
Le plus grand port du pays à Tamatave aussi est très fortement impacté avec une chute des échanges de l’ordre de 80 %. Mayotte est donc directement touchée car les marchandises qu’elle importe transitent bien souvent par feeders qui sillonnent la zone dont Madagascar.
Les lignes sont donc perturbées et les livraisons aussi, comme en témoignent les étals des magasins sur le département.
Nosy Bé est morte, son tourisme s’est totalement arrêté, les personnels ont été licenciés et n’ont plus rien. Itou pour les taximen, les prestataires de tous poils, le désert de Gobi a pris place. Mais il ne faut pas s’y tromper, les villes de Majunga et Diégo sont aussi très fortement touchées. Hôtels fermés, restaurants fuis, la crise économique s’est profondément installée. Seul espoir de reprise ? La réouverture des frontières et des lignes aériennes.
Mais au regard de la situation, le président Andry Rajoelina qui envisageait le top départ pour le 15 juillet semblait vouloir revoir sa copie pour le 22 juillet et aujourd’hui pour le 15 août. Tsaradia est au bord du gouffre, Air Madagascar aussi, mais que dire de Ewa Air qui tirait le gros de son chiffre de la grande île ? Air Austral aussi tire la langue, indiquant que Madagascar occupait une place économique plus importante qu’on ne pouvait le penser dans la région. Les importations de fruits et légumes mais aussi de poissons sont à l’arrêt, Mayotte est donc privée de nombreuses chaines d’approvisionnement. Il est à noter que 90 % du poisson vendu en boutique à Mayotte vient de l’île rouge…
Aux Comores non plus ce n’est pas brillant, le bilan covid était le suivant en fin de semaine dernière : selon le Ministère de la Santé, de la Solidarité, de la Protection Sociale et de la Promotion du Genre a enregistré : 37 nouveaux Cas de Covid-19, 30 nouveaux guéris, aucun nouveau décès. Au total, l'Union des Comores comptabilise 247 Cas de COVID-19 dont 41 Cas importés, 5 Décès et 159 guéris. Il est toujours difficile de se fier à la fiabilité
des chiffres dans la mesure où la communication au sein du pays se fait difficilement et nombreux seraient ceux à être atteints sans se faire connaître ou à prendre le chemin de Mayotte.
“Le Ministère de la Santé exhorte la population au respect strict des mesures de prévention collectives et individuelles déjà en vigueur et à redoubler de vigilance” indiquent les autorités sanitaires comoriennes.
Mais pour le 21ème pays le plus pauvre de la planète, la situation économique devient dramatique. Il n’y a plus de travail, les sources d’importations se sont taries et comme à Madagascar, c’est la diaspora qui semble soutenir à bout de
bras le pays. Pour s’en rendre compte, il suffit de se rendre chaque jour devant les bureaux de Western Union ou de MoneyGram littéralement assaillis par une foule en attente d’argent frais pour acheter à manger. La crise Covid a fait là aussi mettre un genou à terre aux Comores, c’est le deuxième désormais car la situation économique y était déjà catastrophique bien avant la Covid. Mais là aussi, il y a un impact pour Mayotte. Les échanges
par kwassas se sont renforcés et les envois de marchandises, bien souvent de contrebande, comme les cigarettes ont augmenté. Ce qui ne peut plus être acheté aux Comores doit être vendus ailleurs
Bref, Mayotte est prise en sandwich entre les Comores et Madagascar et les coups portés à son économie devront fatalement être comptés demain.

c est la presse du jour, pour la région

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Le Quatuor UceLi sur la scène du Grand théâtre du Liceu à Barcelone qui accueille son premier concert post-confinement avec un public composé de 2 292 plantes vertes.

Source : https://www.francemusique.fr/actualite-musicale/opera-de-barcelone-des-milliers-de-plantes-pour-remplacer-le-public-85259

Le 23/06/2020 à 11:12, NUBEALTIUS a dit :

Citant le professeur Didier Sicard : Non, je ne pense pas que ce soit une deuxième vague. Il faut bien comprendre que lorsque le virus nous a surpris en janvier-février, en fait, il circulait depuis le mois de novembre, mais de façon complètement silencieuse. Le paradoxe de cette infection, c'est qu'il y a 2% de formes très graves, 50% de formes moyennement graves avec un peu de fièvre et environ 50% de formes totalement inapparentes.

2 + 50 + 50 = 102 % : effectivement, il y a lieu de parler de "paradoxe de cette infection".

CÉSAR (à Marius) - Eh bien, pour la deuxième fois, je vais te l'expliquer, le picon-citron-curaçao. Approche-toi ! Tu mets d'abord un tiers de curaçao. Fais attention : un tout petit tiers. Bon. Maintenant, un tiers de citron. Un peu plus gros. Bon. Ensuite, un BON tiers de Picon. Regarde la couleur. Regarde comme c'est joli. Et à la fin, un GRAND tiers d'eau. Voilà.
MARIUS - Et ça fait quatre tiers.
CÉSAR - Exactement. J'espère que cette fois, tu as compris.
MARIUS - Dans un verre, il n'y a que trois tiers.
CÉSAR - Mais, imbécile, ça dépend de la grosseur des tiers.
MARIUS - Eh non, ça ne dépend pas. Même dans un arrosoir, on ne peut mettre que trois tiers.
CÉSAR - Alors, explique-moi comment j'en ai mis quatre dans ce verre.
MARIUS - Ça, c'est de l'Arithmétique.

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Le 23/06/2020 à 11:12, NUBEALTIUS a dit :

Citant le professeur Didier Sicard : Au Brésil, c'est la saison froide. Le virus résiste moins en pays secs et chauds qu'en pays froids.

Pour l'humidité, j'ai toujours entendu dire le contraire, à savoir que l'humidité tue le virus et que la sécheresse le conserve.

Le 24/04/2020 à 18:34, Wallaby a dit :

https://www.leprogres.fr/sante/2020/04/24/la-chaleur-et-les-rayons-du-soleil-pourraient-affaiblir-le-virus (24 avril 2020)

A l’appui de ses dires, l’expert a présenté quelques données chiffrées de cette étude menée au National Biodefense Analysis and Countermeasures Center. Selon ces données, une demi-vie du virus, à savoir le temps nécessaire pour réduire de moitié sa puissance, est de 18 heures avec une température comprise entre 21 et 24 degrés celsius, avec 20% d’humidité sur une surface non-poreuse. Cela inclut des surfaces telles que des poignées de portes. Mais cette demi-vie est ramenée à six heures quand le taux d’humidité monte à 80%, et seulement à deux minutes lorsque la lumière du soleil est ajoutée à l’équation. Quand le virus est suspendu dans l’air, la demi-vie est d’une heure avec une température de 21 à 24 degrés celsius et 20% d’humidité. Avec un même taux d’humidité, une même température, mais avec l’ajout de la lumière du soleil, cette durée tombe à une minute et demie.

  -

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0048969720325687

Yu Wu, Wenzhan Jing, Jue Liu, Qiuyue Ma, Jie Yuan, Yaping Wang, Min Du, Min Liu, Effects of temperature and humidity on the daily new cases and new deaths of COVID-19 in 166 countries, Science of The Total Environment, Volume 729, 2020

Une augmentation de 1% de l'humidité relative a été associée à une réduction de 0,85% (IC 95% : 0,51%, 1,19%) des nouveaux cas quotidiens et à une réduction de 0,51% (IC 95% : 0,34%, 0,67%) des nouveaux décès quotidiens.

 

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Selon les chiffres de la NHC, la Chine a :

  • testé jusqu'à présent 90,41 millions de personne
  • augmenté de 200% sa capacité de test PCR journalier, passant de 1,26M à 3,78M personne-test par jour
  • augmenté de 131% le nombre d'entités capables d'effectuer les tests PCR, de 2081 en début Mars à 4804 aujourd'hui
  • augmenté de 104% le nombre de personnels pour les tests, de 13900 à 28500.

http://www.xinhuanet.com/2020-06/24/c_1126156239.htm

Henri K.

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Il y a 2 heures, Teenytoon a dit :

Tu as connu Didier Jaffiol dans la maison police ?

non , il a bossé où et sur quel corps de metier ? (officier ? gradé ou gardien ? administratif ?)

Il y a 4 heures, Hirondelle a dit :

Eh bien...

Quid de la situation sanitaire à Mayotte ? 

La pression migratoire est-elle accrue ?

pas facile à dire :

officiellement, non.

dans les faits, c'est l'hiver austral avec des vents, actuellement, à 50 km/h, c'est à dire de la mer forte dans le canal entre les Comores et Mayotte,

dans les faits, des kwassas amènent des contaminés et pas que (des refugiés économiques, aussi)

 

mes collegues interceptent au large et les raccompagnent aux limites des eaux territoriales, voire dans les eaux adjacentes... mais, meme avec 2, voir 3 bateaux sur l'eau au meme moment, il n'est pas possible de garantir que personne ne passe.

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