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Coronavirus - Covid 19


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40 minutes ago, P4 said:

ps:J'étais "malade" le 15/16 janvier, sans savoir si c'était la covid*, ça ressemblait à un truc que j'avais eu un hiver  il y a 6 ans en moins prononcé.

*j'ai peu être loupé l'occasion d'avoir un pass:biggrin:

Pourquoi tu ne t'es pas testé ou fait testé? Tu ne voulais pas savoir?

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Il y a 16 heures, MIC_A a dit :

Oui, je l'ai lu, ce qui m'interpelle c'est cette phrase ;
"Un hôpital de Boston refuse à l'un de ses patients de 31 ans une greffe du cœur au motif qu'il n'est pas vacciné contre le Covid-19 et que la transplantation serait ainsi vouée à l'échec !
Merde alors, et comment ils faisaient avant le vaccin ?

Dans un communiqué transmis à l'AFP, l'hôpital de Boston explique que son "système de soins requiert plusieurs vaccins recommandés par les autorités de santé, y compris le vaccin contre le Covid-19". La vaccination couplée à une "discipline de vie créent pour le candidat à une greffe les meilleures conditions d'une opération réussie et optimisent la survie du patient après la transplantation, notamment car le système immunitaire est affaibli de manière drastique".

Je ne saurais dire si l'on entre exactement dans le même cadre, mais il y a des éléments annexes à prendre en compte.

  • Le CoViD, même léger, semble se traduire par une baisse durable de la capacité cardio-respiratoire. Si beaucoup de patients ont suffisamment de marge pour ne le ressentir ensuite qu'à l'effort, durant les 6+ mois de leur récupération, quelqu'un déjà en insuffisance risque de ne pas pouvoir passer cet obstacle, qu'il soit en attente de greffe ou récemment greffé.
  • Le CoViD, dans un nombre de cas non négligeables, provoque des péricardites, voire des myocardites. Ce sera probablement fatal à un patient en attente de greffe, mais ce le sera à coup sûr pour un greffé récent en provoquant un rejet qu'il sera difficile de contrôler vu l'inflammation.
  • Certains vaccins anti -CoViD peuvent aussi provoquer différentes cardites. C'est dans la catégorie des effets secondaires extrêmement rares et cela semble associé à la production d'efforts intenses dans les 48/72 h suivant la vaccination et à la pré-existence de certaines inflammations. Il y a donc un risque pour le patient en attente de greffe, ce qui peut expliquer qu'il n'ait pas pris le risque de se faire vacciner. Mais en fait, la greffe vient ensuite augmenter significativement ce risque. Le patient ne peut/ne doit donc plus être vacciné à l'issue de la greffe tant que le greffon n'est pas stabilisé. Le patient greffé se trouve alors exposé davantage aux risques de formes graves (donc in fine de perte de la vie et du greffon). La vaccination pré-greffe, si elle fait prendre un risque avant l'opération, diminue fortement le risque pris après.

Globalement, il faut reconnaître que, aussi injuste que cela puisse paraître pour ce patient, la balance bénéfice-risque milite pour ne greffer que des patients aux chances maximisées, notamment par une vaccination préalable.

Pour se montrer parfaitement cynique, même si ce n'est pas le calcul mené par les médecins, on peut résumer en disant : autant vacciner avant la greffe, soit ça tue le patient tout de suite, soit ça maximise ses chances de survie après la greffe. Si l'on le vaccine après, on a toujours le risque que la vaccination le tue, mais on a aussi toutes les chances que le CoViD le fasse - et d'autant plus que la vaccination sera tardive.

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Il est certain qu'avec Omicron si la charge virale n'est pas importante et qu'en plus on a ses 3 doses faire la différence entre le rhume d'entrée dans l'hiver (rhume qui m'arrive dessus tous les ans depuis la mise sur cale de la frégate Tourville) et le virus peut se révéler assez compliqué ...

Après on en revient toujours au même point quel est l'enjeu ? limiter les risques pour les gens atteints et limiter la casse collatérale au niveau de l'engorgement des hospitalisations

pour le reste ...

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Il y a 14 heures, Delbareth a dit :

Pour le coup j'ai comparé quelque pays et je les toruve pas déconnant ces chiffres. Y a le chiffre du Chilli qui est clairement trop haut, mais sinon ça parait pas si mauvais.

Mais de toute façon, il est passé à côté de ton argument puisque tu avais dit : "Quels pays ont des taux de vaccinés si supérieur à la France?"

Donc dans les grand pays à 10% de plus que nous, on retrouve en gros le Portugal, le Chili, et... c'est tout.

https://eurovaccination.fr/ ils prennent leurs sources chez Covid tracker et vaccin Tracker, le tableau date du 26/01/2022.
Alors, si on s'amuse à rechercher tous les tableaux, on est pas rendu !
Je ne suis passé à coté de rien du tout, simplement pour préciser que les GB, le Danemark viennent de lever les restrictions, d'autres envisagent de passer le Covid en maladie endémique, bon, pas bon est un autre débat.
En définitive, malgré le "je m"en doutais", le premier lien fournis n'était pas déconnant bien que de source plus "généraliste" et semblait "plus à jour" sur le titre.
 

Modifié par MIC_A
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On 1/28/2022 at 1:36 AM, g4lly said:

Pourquoi tu ne t'es pas testé ou fait testé? Tu ne voulais pas savoir?

Je ne voulais pas mettre à mal la légende, tu sais, quand tu n'es pas vacciné c'est direct la réanimation........... si on t'accepte:biggrin:

Modifié par P4
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Covid-19 : la cinquième vague contraint des médecins réanimateurs à un tri plus sévère

Entre pression politique, charge affective des décisions, et crainte de voir le discours médical mal compris, sur le terrain, les praticiens sont réticents à évoquer ce sujet devenu tabou.

Sous la pression de l’épidémie, les hôpitaux ont-ils dû restreindre l’accès à la réanimation ? La question du « tri » des patients à l’entrée de ces services en première ligne de la crise sanitaire, qui accueillent les malades souffrant d’une forme grave du Covid-19, est extrêmement sensible. Exposée brutalement lors du déferlement de la première vague sur les hôpitaux du Grand-Est, elle est devenue synonyme d’effondrement de l’hôpital et constitue l’un des critères qui conditionnent les décisions de restrictions enclenchées à l’échelle du pays.

Alors que la phase aiguë de la cinquième vague s’éloigne, avec un nombre de malades du Covid-19 en réanimation en diminution depuis plusieurs jours, le Syndicat des médecins réanimateurs a voulu examiner la situation, en menant une enquête flash sur « le tri des patients éligibles à la réanimation ».

Selon un questionnaire partagé dans ses rangs depuis le 19 janvier, auquel 97 réanimateurs de services différents ont répondu au 31 janvier, près de 40 % des répondants déclarent avoir été « amenés à refuser des patients qui auraient dû être pris en charge en réanimation et ne l’ont pas été du tout », « au cours des huit derniers jours ». Pour ces trente-sept médecins, le phénomène touche autant des malades atteints par le Covid-19, que ceux qui ne le sont pas, avec, en moyenne, près de huit patients concernés.

Cette remontée, qui n’a pas la prétention d’être représentative alors que 400 à 500 services de réanimation quadrillent le territoire, vise néanmoins à étayer une réalité que refuse d’admettre le gouvernement. Ainsi, dans une interview au Parisien, publiée le 4 janvier, le président de la République, Emmanuel Macron, assurait qu’il n’y avait « pas de tri » à l’hôpital et en faisait « une ligne rouge ».

« Des médecins sont obligés de faire des choix en raison du manque de places, soutient le docteur Djillali Annane, à la tête du Syndicat des médecins réanimateurs. Cela fait partie du prix à payer de l’épidémie et d’une telle mise sous tension de l’hôpital, en laissant circuler le virus ; il est important d’en avoir conscience et de le reconnaître. »

Des « dilemmes difficiles »

Entre la pression politique, la charge affective de telles décisions et la crainte de voir le discours médical mal compris, sur le terrain, la parole des réanimateurs est rare pour évoquer ce sujet devenu tabou. « En temps normal, nous effectuons une priorisation ou un “tri” tous les jours », rappelle Guillaume Thiery, professeur de médecine intensive-réanimation au CHU de Saint-Etienne. Effectuer un séjour en réanimation, avec des méthodes invasives comme l’intubation, n’a rien d’anodin. Chaque service examine, avant d’admettre ou de refuser un patient, le bénéfice qui peut en être espéré, en fonction de son état, de ses comorbidités, de son âge, de son niveau d’autonomie…

https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/02/01/covid-19-la-cinquieme-vague-contraint-les-medecins-reanimateurs-a-un-tri-plus-severe_6111791_3244.html

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il y a une heure, P4 a dit :

Sale temps pour les TS.

il y a une épidémie, en police, depuis le début de l'année...

 

edit : https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/suicides-dans-la-police-un-debut-d-annee-2022-catastrophique-1643299578

Modifié par christophe 38
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Un point qui me surprend quand je vois les taux de vaccination est qu'en ce moment, les classe d'âge plus jeune (18-29 ans) finissent par avoir des taux plus importants que les classes d'âge plus élevés y compris les plus de 75 ans. C'est assez contradictoire car ce sont les classes d'âge les moins touchés par la maladie. Je me demande donc si le gouvernement dans les contraintes de ses pass sanitaires puis vaccinal ne ferait pas fausse route. En effet, les contraintes fortes de ces pass sont effectivement plus contraignantes pour les plus jeunes qui se déplacent et sortent plus (transports publiques, sport collectifs, concerts, bars, restos, discothèques, ...). Ils ont donc une incitation très forte à se faire vacciner pour continuer leurs activités habituelles. D'un autre côté, les personnes âgés, pourtant plus vulnérable, sont moins incités car elles sont plus motorisés, sortent moins ou plus avec la famille et les centres commerciaux ne sont pas concernés par les pass . Donc si initialement le but était de faire vacciner tout le monde, cela avait peut être du sens, mais actuellement, ces mesures me semblent très mal ciblés.

J'ai aussi vu ce document très intéressant de la DRESS avec des courbes d'efficacité des vaccins et rappels dans le temps par clase d'âge au delà de 50 ans: https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/publications/les-dossiers-de-la-drees/estimation-de-lefficacite-vaccinale-contre-les-formes-graves

Il laisse un peu dubitatif sur la généralisation des doses de rappel à toute la population. Le gain semble être assez faible pour les cas graves sauf pour les plus de 80 ans.

Mon avis personnel en ce moment est que maintenant que le taux de vaccination générale de la population est élevé, il faut arrêter avec la médecine d'urgence avec des règles simplistes valables pour tout le monde et revenir à la médecine "personnalisée" suivant l'état de santé des individus. En particulier, je pense que la dose de rappel devrait être décidé en fonction de l'état du système immunitaire des personnes. Et j'ai aussi l'impression que pour ceux ayant un système immunitaire très diminué, la dose de rappel ne sera pas si utile que cela car elle se base de toute façon sur leur réaction immunitaire propre. Il faudrait donc plutôt bien identifié ces cas pour leur fournir une médecine adapté au lieu de la dose de rappel.

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il y a 10 minutes, Deres a dit :

Un point qui me surprend quand je vois les taux de vaccination est qu'en ce moment, les classe d'âge plus jeune (18-29 ans) finissent par avoir des taux plus importants que les classes d'âge plus élevés y compris les plus de 75 ans. C'est assez contradictoire car ce sont les classes d'âge les moins touchés par la maladie. Je me demande donc si le gouvernement dans les contraintes de ses pass sanitaires puis vaccinal ne ferait pas fausse route. En effet, les contraintes fortes de ces pass sont effectivement plus contraignantes pour les plus jeunes qui se déplacent et sortent plus (transports publiques, sport collectifs, concerts, bars, restos, discothèques, ...). Ils ont donc une incitation très forte à se faire vacciner pour continuer leurs activités habituelles. D'un autre côté, les personnes âgés, pourtant plus vulnérable, sont moins incités car elles sont plus motorisés, sortent moins ou plus avec la famille et les centres commerciaux ne sont pas concernés par les pass . Donc si initialement le but était de faire vacciner tout le monde, cela avait peut être du sens, mais actuellement, ces mesures me semblent très mal ciblés.

J'ai envie de dire que c'est assez pertinent dans le mesure où il fort probable que ce soit dans cette classe d'âge qu'il y a les plus gros vecteurs du virus. 

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il y a 47 minutes, Nec temere a dit :

J'ai envie de dire que c'est assez pertinent dans le mesure où il fort probable que ce soit dans cette classe d'âge qu'il y a les plus gros vecteurs du virus. 

L'idée que la vaccination empêcherait la propagation de la maladie tout comme elle empêchait les cas graves et les décès était basée sur des hypothèses raisonnables, mais pas sur des preuves scientifiques. La situation actuelle semble malheureusement montrer que cela n'était pas vrai puisque l'épidémie persiste malgré un très forte majorité de la population vaccinée alors que l'effet de protection est lui tout à fait équivalent à ce que les essais avaient démontré.

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il y a 6 minutes, Deres a dit :

L'idée que la vaccination empêcherait la propagation de la maladie tout comme elle empêchait les cas graves et les décès était basée sur des hypothèses raisonnables, mais pas sur des preuves scientifiques. La situation actuelle semble malheureusement montrer que cela n'était pas vrai puisque l'épidémie persiste malgré un très forte majorité de la population vaccinée alors que l'effet de protection est lui tout à fait équivalent à ce que les essais avaient démontré.

cela dépend du variant en cause ... une fois de plus.

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il y a 7 minutes, Deres a dit :

L'idée que la vaccination empêcherait la propagation de la maladie tout comme elle empêchait les cas graves et les décès était basée sur des hypothèses raisonnables, mais pas sur des preuves scientifiques. La situation actuelle semble malheureusement montrer que cela n'était pas vrai puisque l'épidémie persiste malgré un très forte majorité de la population vaccinée alors que l'effet de protection est lui tout à fait équivalent à ce que les essais avaient démontré.

J'avoue ne plus trop m'intéresser à ça. Mais même si l'effet du vaccin ne se vois pas comme ça sur la propagation je ne suis pas sûr qu'elle soit nul. Elle n'est pas total certes mais probablement suffisante pour lisser les pics épidémiques. Et c'est justement ça que l'on recherche.

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42 minutes ago, Deres said:

L'idée que la vaccination empêcherait la propagation de la maladie tout comme elle empêchait les cas graves et les décès était basée sur des hypothèses raisonnables, mais pas sur des preuves scientifiques. La situation actuelle semble malheureusement montrer que cela n'était pas vrai puisque l'épidémie persiste malgré un très forte majorité de la population vaccinée alors que l'effet de protection est lui tout à fait équivalent à ce que les essais avaient démontré.

  • Le vaccin est un vaccin Delta ... pas Omicron.
  • Qui est la population vecteur? Est elle vacciné?
  • Ou en est on des mesures barrière ... la baisse de celle ci n'est elle pas un facteur aggravant de la hausse des contaminations?
  • L'augmentation du nombre de test n'est pas une facteur aggravant de l'augmentation du dépistage de contamination?
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il y a 20 minutes, prof.566 a dit :

Le vaccin diminue la charge virale, en conséqence il doit diminuer la transmissibilité.

C'est cela l'hypothèse raisonnable qui ne s'est pas constaté de manière très marquée dans les faits. La relation n'est probablement pas proportionnelle. 

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12 minutes ago, Deres said:

C'est cela l'hypothèse raisonnable qui ne s'est pas constaté de manière très marquée dans les faits. La relation n'est probablement pas proportionnelle. 

Entre la charge virale ... la quantité de vaccin excrété ... et le nombre de personne que tu contamines?

Pour le vérifier il faudrait que les mesures barrières soient identiques ... or elles ne le sont pas.

Ajoute le fait que les gens sont vacciné contre Delta et pas contre Omicron ...

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