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Longue et intéressante ITW de l'ambassadeur Pyatt représentant les Etats-Unis en Grèce.

Peu de sujets éludés bien que le mot "Turquie ne soit pas prononcé :

-une gros focus défense, la Marine grecque, les chantiers navals, le "joyau de la couronne" de Souda Bay, le F35, les MK-5, les M117 et même les F4 dont je comprends qu'ils vont rester encore un bon moment en service puisque les Grecs acquièrent 20 moteurs.

-la géopolitique avec notamment les questions russes et chinoise dans la région.

-l'énergie, et pas seulement le gaz et les pipe, mais aussi l'environnement, le solaire, dans une mise en perspective régionale

https://greekcitytimes.com/2022/02/07/us-ambassador-in-greece-pyatt-in-an-interview-with-ptisi-magazine/

Modifié par Hirondelle
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Les US se mêlent de ce qui ne les regarde pas en principe, et retirent leur soutien au gazoduc Eastmed, lui préférant de vagues interconnexions électriques réseaux africains, asiatiques et européens.

Montrant ainsi que ça les regarde, et que ça ne les gênent pas de vouloir priver les européens d’une perpective gazière alternative au moment ou la Russie fait plus ou moins discrètement sentir son pouvoir dans ce domaine.

La France est concernée en tant qu’européen ainsi qu’en tant qu’actionnaire d’Eastmed.

https://www.ekathimerini.com/opinion/1176904/us-pipeline-withdrawal-marks-new-chapter-in-eastern-mediterranean/

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Pousse toi de là que je m'y mette, épisode 93 :

https://www.aljazeera.com/news/2022/2/8/turkey-opens-new-dispute-over-sovereignty-of-east-aegean-islands

Citation

In letters sent to UN Secretary-General Antonio Guterres last July and September, Turkey for the first time disputed Greece’s sovereignty over its east Aegean islands, “over which sovereignty was ceded to Greece on the specific and strict condition that they be kept demilitarised,” in the words of Turkey’s permanent representative, Feridun Sinirlioglu.

Information un peu ancienne, mais qui semble prouver que l'ONU existe encore et qu'Antonio Gutteres est vivant !

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C'est pas tout à fait la MEDOR. Y'a du monde en MED...

https://www.thedrive.com/the-war-zone/44184/three-nato-carrier-groups-are-exercising-together-in-the-mediterranean

Trois différents groupes de porte-avions de l'OTAN mènent des opérations conjointes en mer Méditerranée, ce qui constitue une puissante démonstration de la puissance maritime de l'alliance, alors que la crise Est-Ouest au sujet de l'Ukraine se poursuit. Les derniers exercices concernent le Harry S. Truman Carrier Strike Group, ou HSTCSG, qui s'est intégré pendant deux jours à la Task Force 473 française, centrée sur le porte-avions Charles de Gaulle, et à un groupe d'attaque italien basé autour du porte-avions Cavour. Parallèlement, la marine russe a également été engagée dans une activité intense dans la région, avec une multitude de mouvements de navires de guerre différents, avec en toile de fond la situation en Ukraine.

...

Dans le cadre des activités considérables de la marine russe à travers le monde ces dernières semaines, les forces maritimes du Kremlin déployées en Méditerranée ont été considérablement renforcées par l'arrivée du croiseur de classe Slava de 11 500 tonnes, le Marshal Ustinov. Après un passage mouvementé au large du flanc ouest de l'OTAN, le croiseur de la flotte du Nord a rejoint un autre navire de guerre de la classe Slava, le Varyag, navire amiral de la flotte du Pacifique. Le troisième Slava, le Moskva, se trouve en mer Noire, où il est stationné à la base navale de Sébastopol et assume également des fonctions de navire amiral.

Il n'y a pas de confirmation sur la destination finale de ces différents croiseurs, bien que des rumeurs indiquent que les trois pourraient finalement se rassembler en Méditerranée, où ils opéreraient à proximité des trois groupes de porte-avions de l'OTAN. Si tel est le cas, ce serait probablement la première fois que la marine russe place les trois Slavas restants dans la même zone d'opération. 

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@Hirondelle Pour les livraisons de matériels militaires, l'article a oublié un 2, il s'agit de M1117 Armored Security Vehicle.

Pour les hélicoptères Kiowa, 70 livrés d'un coup par cargo en 2019 : https://www.helis.com/database/news/greece-army-oh-58/?noamp=1

Modifié par collectionneur
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Le 10/02/2022 à 22:04, Paschi a dit :

Dans le cadre des activités considérables de la marine russe à travers le monde ces dernières semaines, les forces maritimes du Kremlin déployées en Méditerranée ont été considérablement renforcées par l'arrivée du croiseur de classe Slava de 11 500 tonnes, le Marshal Ustinov. Après un passage mouvementé au large du flanc ouest de l'OTAN, le croiseur de la flotte du Nord a rejoint un autre navire de guerre de la classe Slava, le Varyag, navire amiral de la flotte du Pacifique. Le troisième Sl avec des missava, le Moskva, se trouve en mer Noire, où il est stationné à la base navale de Sébastopol et assume également des fonctions de navire amiral.

soit trois navires des années 80 avec des missiles produits avant 1992.... J'aurais moyennement confiance.

Sinon la vraie question est celle de leurs escorteurs ASM car 3 slave ça veut dire un SMA OTAN jute en dessous prêt à faire des trous dans l'eau.

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Le 15/02/2022 à 00:49, Boule75 a dit :

Ce passage là m'avait intrigué d'ailleurs : en quoi le passage par l'Atlantique a-t-il été mouvementé ? Une tempête ?

Je crois que c'est une erreur du traducteur automatique que j'ai zappé lors de la relecture. Le texte original indique "After an eventful passage off NATO’s western flank". Plutôt à traduire par "riche en évènements". En effet, par la suite l'article fait référence à la participation du Maréchal Ustinov à l'exercice naval avec tirs réels dans la ZEE de l'Irlande du Sud début février (même si légal on ne peut dénoter une certaine malice, voir provocation de la part des russes).

"Plus tôt dans la journée, des rapports non confirmés ont suggéré que le maréchal Ustinov était suivi par le destroyer de classe Arleigh Burke USS Roosevelt (DDG-80), arrivé en Méditerranée après avoir participé à des exercices controversés de tir réel au large de la côte sud de l'Irlande. "

https://www.thedrive.com/the-war-zone/44117/another-flotilla-of-russian-warships-is-about-to-enter-the-english-channel

Une autre flottille de navires de guerre russes est sur le point d'entrer dans la Manche. Les derniers navires russes à traverser la Manche se dirigent vers des exercices de tir réel au large des côtes irlandaises.

Un groupe de navires de guerre de la marine russe appartenant à la flotte du Nord s'apprête à entrer dans la Manche, avant leur participation prévue à une série controversée d'exercices à munitions réelles au large de la côte sud-ouest de l'Irlande. Les navires, centrés autour de trois bâtiments de guerre, ne seront pas les premiers de la marine russe à passer par la Manche ces dernières semaines, ayant été précédés par les six navires de guerre amphibies qui ont quitté la mer Baltique le mois dernier avant d'entrer dans la mer Méditerranée, ainsi que par une paire de corvettes de classe Steregushchiy de la flotte baltique qui sont apparemment entrées dans l'Atlantique via la Manche aujourd'hui.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

 

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  • 3 weeks later...

ITW du ministre de la défense grec :https://www.ekathimerini.com/opinion/interviews/1179080/minister-announces-further-reinforcement-of-greek-defensive-capabilities/

Le ministre de la Défense Nikos Panagiotopoulos confirme la décision de la Grèce de renforcer encore ses capacités défensives dans une interview avec Kathimerini, annonçant des décisions pour de nouvelles corvettes, l'acquisition de missiles guidés d'Israël et des mises à niveau des avions de combat F-16 Block 50 et des chars de combat Leopard du pays.

Il déclare également que les relations avec la France et les États-Unis se renforcent, soulignant que les Américains sont intéressés à inclure la Grèce dans le programme d'avions de combat F-35 de prochaine génération, tandis qu'Athènes a demandé que la Grèce soit considérée pour les véhicules aériens sans pilote (UAV ) et les armes à « haute valeur opérationnelle ».

Panagiotopoulos annonce également des liens encore plus étroits avec la France, pointant du doigt l'escale prévue du porte-avions Charles de Gaulle au port du Pirée d'ici la fin mars. 

[...]

Le renforcement des forces armées est essentiel pour protéger notre pays. Bien sûr, ces efforts ont abouti aux frégates Belharra et aux avions de chasse Rafale. Nous continuons à travailler dans ce sens et nous avons des résultats tangibles et quantifiables. Depuis septembre 2020, nous avons activé plusieurs sous-programmes pour les trois branches des Forces armées, y compris, entre autres, la poursuite du soutien aux avions de chasse Mirage 2000-5 qui avaient été mis en pause depuis 2012, ainsi que des appels d'offres pour le soutien continu pour nos avions de transport C-130 et C-27, et nos hélicoptères CH-47D Chinook et NH90, de nouvelles torpilles de haute technologie pour nos sous-marins, tandis que nous accélérons la mise à niveau de 83 avions de chasse F-16 vers la configuration Viper.

Nos efforts sont constants et visent à renforcer nos forces armées, qui, ne l'oublions pas, sont déjà capables, efficaces au combat et constituent un important facteur de dissuasion. Mais au fil du temps, les systèmes existants ont besoin de mises à niveau, de support et de maintenance, et ils doivent être complétés par l'acquisition de technologies de pointe. C'est pourquoi nous allons bientôt commencer à planifier l'acquisition de nouvelles unités, probablement des corvettes, la modernisation des frégates de classe MEKO de la marine hellénique, l'acquisition de missiles guidés de haute technologie en provenance d'Israël et l'achèvement d'un programme de mise à niveau de notre F- 16 avions de chasse Block 50. Parallèlement, nous avons des programmes de modernisation prévus pour augmenter les capacités de nos forces terrestres. 

[...]

Le partenariat stratégique entre la Grèce et les États-Unis, notamment à la suite du récent renouvellement du MDCA, a été renforcé et élargi à un niveau sans précédent, tout en créant de nouvelles perspectives pour le développement futur de la coopération bilatérale. Comme vous le savez peut-être, la partie américaine a exprimé sa volonté d'accepter la Grèce dans le programme d'avions de chasse F-35 de cinquième génération. Dans le même temps, il a manifesté son intérêt pour nos programmes d'armement, notamment la modernisation des frégates de classe MEKO et le renforcement supplémentaire de la marine hellénique avec de nouvelles unités de surface. De notre côté, nous étudions la possibilité d'acquérir des drones et d'autres armes à haute valeur opérationnelle. 

Ce cadre de coopération comprend également l'acquisition d'hélicoptères de lutte anti-sous-marine MH-60R par la marine hellénique et le transfert de 1 200 véhicules blindés de sécurité M-1117 excédentaires de l'armée américaine à l'armée hellénique. Les États-Unis considèrent désormais la Grèce comme un pilier de stabilité et un partenaire fiable dans la région. De ce fait, elle est ouverte à toute conversation sur le renforcement de la capacité totale des Forces Armées de notre pays. 

[...]

Dans le cadre de la mise en œuvre de l'accord, le chef d'état-major général de la défense nationale hellénique et son homologue français ont signé en janvier un accord sur les principes directeurs de la mise à niveau de la coopération gréco-française en matière de défense, qui définit et définit la réalisation de l'accord gréco-français. accord militaire. Cela comprend la coopération au niveau opérationnel, la formation opérationnelle, les programmes d'échange de personnel dans les académies militaires et les organisations éducatives, l'espace, la cybersécurité, le renseignement, la formation conjointe des unités des forces spéciales, ainsi que la coopération entre les branches des forces armées des deux pays. Par ampleur, la coopération entre les armées françaises et grecques s'est dotée d'une feuille de route, dont la mise en œuvre a déjà commencé. D'ici la fin du mois de mars, nous attendons l'arrivée du porte-avions français Charles de Gaulle au port du Pirée, tandis que des avions français participeront à l'exercice militaire multinational interservices Iniochos 22. Actions conjointes entre les forces armées de nos deux pays se poursuivra et sera renforcé.

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Naval Group : des sous-marins et un porte-avions pour l'Egypte ?

Michel Cabirol 08 Mars 2022, 16:32

Selon des sources concordantes, l'Égypte est intéressée par des sous-marins Barracuda à propulsion conventionnelle, qui seraient fabriqués par Naval Group. Des sous-marins dont le concept avait été vendu aux Australiens (12 sous-marins de la classe Attack de 4500 tonnes) avant que Canberra ne se tourne sournoisement puis brutalement vers des sous-marins à propulsion nucléaire américains ou britanniques dans le cadre de l'alliance Aukus (Australie, Grande-Bretagne et Etats-Unis). Ces discussions ont été lancées il y a plus de douze mois entre la France et l'Égypte ainsi que Naval Group. En 2011, puis en 2015, l'Égypte a commandé à ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS) quatre sous-marins U209, dont le quatrième S44 a été livré en juillet dernier. Les trois autres avaient été livrés entre décembre 2016 et avril 2020.

Le pays dirigé par le maréchal Abdel Fattah al-Sissi étudie également l'achat d'un porte-avions d'occasion de préférence, qui serait armé par une vingtaine de Rafale marine. Cette volonté de l'Égypte illustre le réarmement mondial de la plupart des pays de la planète notamment dans le domaine de la marine.

Paris, un fournisseur régulier d'armements au Caire

Très attentive à la nouvelle politique allemande en matière d'exportation et soumise à l'embargo international sur les armes russes, l'Égypte se tourne naturellement vers la France, qui lui fournit régulièrement des systèmes d'armes de haut niveau (Rafale, porte-hélicoptères, frégate FREMM et corvettes Gowind, satellite...). Au printemps, la France s'était portée caution auprès de plusieurs établissements bancaires français - BNP Paribas, Crédit agricole, Société générale et CIC - pour un financement de 5,4 milliards (Rafale, satellite, avions MRTT), selon des sources concordantes.

Le satellite d'observation sera fourni par Airbus Space, comme l'avait révélé La Tribune en décembre 2020, et les deux MRTT par Airbus. Enfin, Le Caire a récemment acheté quatre GM400, les redoutables radars 3D de défense aérienne à longue portée développés et conçus par Thales, selon nos informations.

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/naval-group-des-sous-marins-et-un-porte-avion-pour-l-egypte-905688.html

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Ça me nâvre pour les Égyptiens dont le Maréchal est en train de dépenser les futurs/probables/possibles produits gaziers.

Bon, on pourrait négocier un paiement en nature gazeuse, hein, c’est le moment :biggrin:

Epi, ça ferait tellement plaisir aux Furieux, 20 Rafale de plus.

Mais Barracuda+Rafale+PA déséquilibrerait trop l’équilibre des forces de la région, alors que l’Egypte apporte des garanties très relatives de stabilité.

De toute façon je ne connais pas de PA d’occaz’ à vendre. Une idée ?

Israel ne laisserait d’ailleurs pas faire, d’ailleurs, et Israël sait se montrer convaincante… Pour une fois que ça m’arrangerait :pleurec:

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il y a une heure, Hirondelle a dit :

De toute façon je ne connais pas de PA d’occaz’ à vendre. Une idée ?

Le Kuznetsov ?

Vu ce que les Russes s'en servent et comment ils ont du mal à le réparer, ils ne seraient peut-être pas contre de le revendre.

L'ex-Varyag ?

Il s'agit du prototype de PA chinois. Les Chinois vont avoir assez de PA plus performants, ils pourraient souhaiter revendre un modèle plus ancien mal compatible avec le reste de la flotte ?

Le Vykramaditya ?

Les Indiens se sont bien fait avoir avec ce PA dont ils voudraient se débarrasser. Bon, à priori pas compatible Rafale M...

Le Kennedy ?

Il vient d'être revendu à une casse pour la destruction. C'est peut-être une occasion.

Un Nimitz ?

Il y a le choix entre le vieux Nimitz qui va bientôt être retirés du service (donc cher à détruire) et ceux qui vont bientôt être à mi-vie et nécessiter une recharge de leur réacteur (donc particulièrement cher à moderniser, presque en concurrence avec les nouveaux Ford). Une "refonte/modernisation" avec éventuellement une remotorisation conventionnelle pourrait être possible.

Le Sao Paulo ?

Il doit être détruit. Mais il est peut-être encore possible de le récupérer pour faire une grosse modernisation avec conversion en STOBAR.

Un des 2 CVF anglais? 

À une époque, ils voulaient en vendre un aux indiens. L'Égypte serait peut-être une solution. Il doit être assez facile de les moderniser en STOBAR.

 

Théoriquement, il y a du choix. Mais j'ai du mal à y croire.

Sinon, vu le Retex du Vykramaditya, on peut aussi s'attendre à ce que ce soit un navire d'occasion assez grand (plus de 200m ?) qui sera transformé en PA. Il y aurait par exemple les LHA Tarawa ou Wasp.

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Il y a 21 heures, Hirondelle a dit :

De toute façon je ne connais pas de PA d’occaz’ à vendre. Une idée ?

 

Le CDG si on lance le PA NG à la fin de l'année pour une mise en service en 2028 au lieu de 2038.  Sinon moi aussi je vois pas :wink:

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Il faut comprendre que l'occas c'est une préférence pour des raisons d'argent. 
Si demain NG sort un CdG light conv pour 2 milliards d'euro max, on est bon. 
On pourrait même réduire la facture en STOBAR, 35k tonnes. 

Il y a 21 heures, ARPA a dit :

Le Kuznetsov ?

trop vieux 

Il y a 21 heures, ARPA a dit :

Le Vykramaditya ?

C'est possible avec des modifications mais les indiens devront d'abord produire un 3 eme PA et pas sur qu'ils s'en sépareront à ce moment là (le changement d'avis c'est permanent). 

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Le 08/03/2022 à 21:27, ARPA a dit :

Il doit être assez facile de les moderniser en STOBAR

Toujours pas. Il a été expliqué maintes et maintes fois qu'un porte aéronef STOVL ne peut pas se convertir en STOBAR. Il ne s'agit pas que de coller 3 brins d'arrêt avec des rivets pops sur la piste. Les presses nécessaires (une par brin) au freinage brutal de l'avion sont énormes et les ingénieur ne s'amusent pas à laisser de la place vide de cette taille sur un bateau militaire.

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Il y a 5 heures, Teenytoon a dit :

Toujours pas. Il a été expliqué maintes et maintes fois qu'un porte aéronef STOVL ne peut pas se convertir en STOBAR.

Euh... tu confonds expliqué et affirmé.

L'exemple du Vykramaditya suffit pour te contredire. Tu peux jouer sur le "facile", mais pas sur le possible.

Il y a 5 heures, Teenytoon a dit :

Il ne s'agit pas que de coller 3 brins d'arrêt avec des rivets pops sur la piste. Les presses nécessaires (une par brin) au freinage brutal de l'avion sont énormes et les ingénieur ne s'amusent pas à laisser de la place vide de cette taille sur un bateau militaire.

Les presses nécessaires... c'est l'exemple parfait d'une "explication" qui ne sert à rien. Tu aurais aussi pu me parler de la quantité de charbon nécessaire pour un navire de cette taille.

Mais si on parle d'une modernisation contemporaine et "occidentale", je ne vois pas le rapport entre des presses et des brins d'arrêt électromagnétique.

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Il y a 5 heures, ARPA a dit :

L'exemple du Vykramaditya suffit pour te contredire. Tu peux jouer sur le "facile", mais pas sur le possible.

C'était un croiseur porte-aéronef afin de contourner la convention de Montreux, il y avait beaucoup de volume à récupérer en enlevant les silos à missiles. Les travaux ont quand même coûté 2,35 milliards de dollars de 2009.

Il y a 5 heures, ARPA a dit :

Mais si on parle d'une modernisation contemporaine et "occidentale", je ne vois pas le rapport entre des presses et des brins d'arrêt électromagnétique.

OnLDTGs.jpg

L'AAG du Gerald Ford. Les brins d'arrêts électromagnétiques, surprise surprise, restent très volumineux. On n'absorbe pas autant d'inertie sans avoir de moyens de la dissiper de façon sûre et fiable, ce qui demande de la masse.

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Il y a 6 heures, Kelkin a dit :

OnLDTGs.jpg

 

L'AAG du Gerald Ford. Les brins d'arrêts électromagnétiques, surprise surprise, restent très volumineux. On n'absorbe pas autant d'inertie sans avoir de moyens de la dissiper de façon sûre et fiable, ce qui demande de la masse.

C'est un argument un peu plus pertinent que de rappeler les contraintes passées alors qu'un des arguments de vente de la nouvelle technologie est justement de réduire ces contraintes. Mais j'avoue qu'à partir d'un schéma qui n'est pas à l'échelle, c'est dur d'en tirer une conclusion.

Vous avez peut-être raison sur l'impossibilité d'équiper de brins d'arrêt les CVF, mais mon commentaire qui ne se voulait pas très pertinent (j'ai précisé que je n'y croyais pas) peut s'appuyer sur des articles assez récents, par exemple : http://www.opex360.com/2021/03/09/la-royal-navy-sinteresse-a-nouveau-aux-catapultes-electromagnetiques-pour-ses-deux-porte-avions/

Dans cet article qui associe les catapultes aux brins d'arrêt, on peut lire : D’après The Telegraph, il a été prévu de ménager des espaces à bord des deux porte-avions de la Royal Navy pour leur installer des catapultes électromagnétiques si nécessaire.

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Sinon, Pic- a posté ça sur le fofo indien:

Surpris par le prix de l'ancien porte-avions américain
(le 7 octobre 2021 par Newsnpr)
Le commandement des systèmes navals américains (NAVSEA) a déclaré qu'il avait accepté de vendre les porte-avions USS Kitty Hawk et USS John F. Kennedy à la société International Shipping and Logistics (ISL), basée à Brownsville, au Texas. (…)

https://www.newsnpr.org/surprised-with-the-price-of-the-old-us-aircraft-carrier/

ça pose quand-même des questions:

- l’export de ce genre de matos doit (j’imagine) être soumis à l’assentiment des autorités US.

- si assentiment, j’imagine comme condition l’achat de zincs US

- itar free?

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Il y a 2 heures, ARPA a dit :

Vous avez peut-être raison sur l'impossibilité d'équiper de brins d'arrêt les CVF, mais mon commentaire qui ne se voulait pas très pertinent (j'ai précisé que je n'y croyais pas) peut s'appuyer sur des articles assez récents, par exemple : http://www.opex360.com/2021/03/09/la-royal-navy-sinteresse-a-nouveau-aux-catapultes-electromagnetiques-pour-ses-deux-porte-avions/

Les CVF avaient été conçus pour être transformables en CATOBAR. Seulement le cahier des charges n'avait pas précisé que cette transformation devait être à un prix raisonnable. https://www.theregister.com/2013/02/06/defence_committee_carrier_badness/

Si ça a changé depuis, ma fois, c'est intéressant.

Citation

En outre, un tel système devra être capable de lancer un aéronef de près de 25 tonnes, ce qui, pour donner un ordre idée, correspond à la masse maximale au décollage d’un Rafale Marine [celle d’un F-35C étant de 32 tonnes].

Allons bon ! Prochain client du Rafale : la Royal Navy ? :laugh: L'hypothèse des drones est plus probable, bien sûr, mais si ça devait se faire, ça permettrait de faire quelques petits exercices d'interop où on va rendre visite à leur bateau...

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Séquence détente :

Citation

Turquie et Grèce se promettent de coopérer davantage face à la guerre en Ukraine

Istanbul - Le président turc Recep Tayyip Erdogan et le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis ont dit dimanche vouloir "se concentrer sur ce qui les unit" plutôt que sur les sujets qui les opposent, dans le contexte de la guerre en Ukraine.

Erdogan avait saisi l'occasion d'un déplacement du Premier ministre grec auprès du patriarche Bartholomée Ier de Constantinople, primat des églises orthodoxes dont celle de Grèce, pour l'inviter à déjeuner dans sa résidence présidentielle d'Istanbul. 

"La réunion s'est concentrée sur les avantages d'une coopération accrue entre les deux pays", tous deux membres de l'Otan, au vu de "l'évolution de l'architecture de sécurité européenne", a indiqué la présidence turque à l'issue de la rencontre de deux heures, achevée autour de 16H15 (13H15 GMT). 

"Malgré les désaccords entre la Turquie et la Grèce, il a été convenu (...) de maintenir ouverts les canaux de communication et d'améliorer les relations bilatérales", a ajouté la présidence turque dans un communiqué, précisant que les deux dirigeants ont abordé, outre le conflit en Ukraine, leurs différends en Méditerranée orientale. 

"Nous sommes confrontés à tant de défis actuellement (...) que le plus important est de se concentrer sur ce qui nous unit et moins sur ce qui nous divise", a déclaré de son côté à la presse le Premier ministre grec à l'issue de l'entretien. "Nous avons souligné la nécessité de construire un agenda positif". 

Avant le déjeuner, M. Mitsotakis avait assisté à une célébration dans la cathédrale orthodoxe Saint-Georges, la principale de Turquie, à Istanbul. 

Une étape hautement politique dans le contexte de la guerre en Ukraine: le patriarche de Constantinople a reconnu le statut "autocéphale", c'est-à-dire indépendant, de l'Eglise ukrainienne, déclenchant l'ire de la Russie. 

- "L'angoisse au coeur" - 

Bartholomée, qui a affirmé début mars "être une cible pour Moscou", a appelé au cours de la messe à un "cessez-le-feu immédiat sur tous les fronts" de la guerre entre la Russie et l'Ukraine, qu'il a dit observer avec "l'angoisse au coeur". 

Le patriarche a également salué la "vigoureuse résistance" des Ukrainiens et "la courageuse réaction des citoyens russes". 

La relation traditionnellement conflictuelle entre Athènes et Ankara s'est envenimée ces dernières années, en raison de tentatives turques de forages en Méditerranée orientale. 

A l'été 2020, la Turquie avait voulu explorer des gisements d'hydrocarbures dans ces eaux disputées, mais la reprise en 2021 des pourparlers bilatéraux ont apporté une détente relative. 

Ce "sommet gréco-turc intervient à l'occasion de la guerre en Ukraine, mais il sera évalué dans le cadre du dialogue gréco-turc entamé après la désescalade de la crise" de l'été 2020, a expliqué à l'AFP Antonia Zervaki, professeure adjointe de relations internationales à l'Université d'Athènes. 

- Contribution au dialogue - 

Mercredi, Kyriakos Mitsotakis s'était dit "disposé" à contribuer à ce dialogue d'"une manière productive d'autant plus que les deux pays sont préoccupés par les affaires régionales". 

Comme l'ensemble de ses partenaires européens, Athènes a condamné fermement dès le 24 février l'invasion russe en Ukraine. 

"Avec la perspective d'une guerre prolongée en mer Noire, les deux pays ont intérêt à améliorer leurs relations bilatérales", explique Sinan Ulgen, directeur du Centre des Etudes économiques et politiques à Istanbul. 

Car "leur diplomatie - mais aussi dans une certaine mesure leur effort militaire - seront réorientés en fonction de cette crise entre l'Ukraine et la Russie", ajoute-t-il. 

- Eviter une nouvelle "escalade" - 

Pour Asli Aydintasbas, membre du Conseil européen des relations étrangères (ECFR), la guerre en Ukraine "peut avoir un impact positif sur les relations gréco-turques". 

De part et d'autre de la mer Egée, les responsables ont compris que "le monde change et que la sécurité européenne est remise en cause d'une manière inimaginable il y a trois mois", observe l'experte. 

"Le fait qu'on ait des différends ne veut pas dire, surtout dans cette conjoncture, qu'il ne faut pas discuter", avait indiqué M. Mitsotakis avant sa visite, sans cacher avoir "des aspirations mesurées et réalistes". 

SourceL'Express

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Le 09/02/2022 à 15:32, Hirondelle a dit :

Les US se mêlent de ce qui ne les regarde pas en principe, et retirent leur soutien au gazoduc Eastmed, lui préférant de vagues interconnexions électriques réseaux africains, asiatiques et européens.

Montrant ainsi que ça les regarde, et que ça ne les gênent pas de vouloir priver les européens d’une perpective gazière alternative au moment ou la Russie fait plus ou moins discrètement sentir son pouvoir dans ce domaine.

La France est concernée en tant qu’européen ainsi qu’en tant qu’actionnaire d’Eastmed.

https://www.ekathimerini.com/opinion/1176904/us-pipeline-withdrawal-marks-new-chapter-in-eastern-mediterranean/

La grèce tente de relancer le gazoduc Eastmed, en alternative au gaz russe.
A suivre ...
https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/03/12/le-gazoduc-eastmed-une-option-compliquee-pour-diminuer-la-dependance-europeenne-au-gaz-russe_6117178_3234.html

C'est un projet long (5-10 ans?), important pour les grecs et israéliens, mais hyper vulnérable au moindre caprice turc.
A moins de leur offrir un strapontin ...

 

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