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Prochain client du Rafale ... réponse EAU


pascal
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La prise de F-35 c'est aussi un moyen de conserver un pied dans le camp US, mais maintenant s'il en va du couple Rafale/Lightning comme du couple M2000/Viper ...

Regardez quel est l'avion qui a fait l'essentiel du Taf en Libye et au Yémen côté émirien ...

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Le 04/12/2021 à 17:06, mgtstrategy a dit :

On en sait plus sur les raisons vraies de l'achat du rafale par les UAE?

D'après Cabirol lors d'un nouvel article écrit ce matin 

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/pourquoi-le-rafale-a-fini-par-atterrir-aux-emirats-arabes-unis-897751.html

Il y a toute les raisons liés aux performances du Rafale et à son standard F4 qui séduit énormément mais la raison est aussi lié aux négociations concernant la vente du F35 aux émirats. 

Les américains auraient proposé un F35 "hyper dégradé" aux emiratis et Ben Zayed n'aurait pas trop aimé que l'on se foute ouvertement de sa gueule pour un contrat de 23 milliards de $ et sans oublier toute la maintenance intégralement géré par les américains et que les techniciens emiratis/pakis,bengladais etc... auraient eu à peine le droit d'y toucher...

Bref l'émir n'allait pas acheter des BMW M3 avec des moteurs de twingo ou plutôt des moteurs de série des modèles standard .

 

Mais comme le mentionne Cabirol, le F35 attérira probablement aux emirats mais BEN ZAYED ne pourra jamais recevoir des F35 aux performances similaires à ceux de l'Otan ou Israel.

Et si ils en achètent, ils seront forcément inférieure, mais les émiratis ne voudront pas non plus de "sous" F35 .

Donc les américains risquent de partir sur des années de négociations, surtout si aucun des deux parties ne souhaitent rien lâcher.

Modifié par Claudio Lopez
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il y a 5 minutes, Claudio Lopez a dit :

D'après Cabirol lors d'un nouvel article écrit ce matin 

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/pourquoi-le-rafale-a-fini-par-atterrir-aux-emirats-arabes-unis-897751.html

Il y a toute les raisons liés aux performances du Rafale et à son standard F4 qui séduit énormément mais la raison est aussi lié aux négociations concernant la vente du F35 aux émirats. 

Les américains auraient proposé un F35 "hyper dégradé" aux emiratis et Ben Zayed n'aurait pas trop aimé que l'on se foute ouvertement de sa gueule pour un contrat de 23 milliards de $ et sans oublier toute la maintenance intégralement géré par les américains et que les techniciens emiratis/bengladais auraient eu à peine le droit d'y toucher...

Bref l'émir n'allait pas acheter des BMW M3 avec des moteurs de twingo ou plutôt des moteurs de série des modèles standard .

 

Mais comme le mentionne Cabirol, le F35 attérira probablement aux emirats mais ce sera F35 aux performances Otan ou légèrement inférieure, donc les américains risquent d'avoir des années de négociation, surtout si aucun des deux parties ne souhaitent rien lâcher 

Pourvu que la négo dure des années comme cela les EAU pourront prendre du Rafale F5 pour remplacer les F-16!...

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il y a 10 minutes, Claudio Lopez a dit :

De ce que je vois:

"fin 2011. Lors du salon aéronautique de Dubaï, le prince héritier Cheikh Mohammed Bin Zayed Al-Nahyan, qui était déjà l'homme fort des EAU, avait alors estimé que la proposition commerciale de Dassault Aviation pour 60 Rafale était "non compétitive". Une déclaration qui avait alors fait l'effet d'une douche glacée à Paris.

Dix ans plus tard, les relations de confiance ont été patiemment renouées avec l'homme fort des Émirats depuis l'arrivée de François Hollande et de son ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. Un travail de fourmi poursuivi par Emmanuel Macron et sa ministre des Armées Florence Parly. Ces relations étroites entretenues dans la durée ont permis d'accrocher ce succès tant attendu dans ce pays, qui stratégiquement est très important pour la France sur le plan géopolitique. Comme d'ailleurs l'Égypte."

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il y a 1 minute, Bechar06 a dit :

De ce que je vois:

"fin 2011. Lors du salon aéronautique de Dubaï, le prince héritier Cheikh Mohammed Bin Zayed Al-Nahyan, qui était déjà l'homme fort des EAU, avait alors estimé que la proposition commerciale de Dassault Aviation pour 60 Rafale était "non compétitive". Une déclaration qui avait alors fait l'effet d'une douche glacée à Paris.

Dix ans plus tard, les relations de confiance ont été patiemment renouées avec l'homme fort des Émirats depuis l'arrivée de François Hollande et de son ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. Un travail de fourmi poursuivi par Emmanuel Macron et sa ministre des Armées Florence Parly. Ces relations étroites entretenues dans la durée ont permis d'accrocher ce succès tant attendu dans ce pays, qui stratégiquement est très important pour la France sur le plan géopolitique. Comme d'ailleurs l'Égypte."

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Allé l'Égypte, berceau de la civilisation antique, faite péter une petite commande de 24 Rafale F4 en 2022 pour ne pas avoir de regrets...  78 Rafale survolant l'une des 7 merveille du monde en 2030... Ça aurait de la gueule non!

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il y a 20 minutes, Bechar06 a dit :

De ce que je vois:

"fin 2011. Lors du salon aéronautique de Dubaï, le prince héritier Cheikh Mohammed Bin Zayed Al-Nahyan, qui était déjà l'homme fort des EAU, avait alors estimé que la proposition commerciale de Dassault Aviation pour 60 Rafale était "non compétitive". Une déclaration qui avait alors fait l'effet d'une douche glacée à Paris.

Dix ans plus tard, les relations de confiance ont été patiemment renouées avec l'homme fort des Émirats depuis l'arrivée de François Hollande et de son ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. Un travail de fourmi poursuivi par Emmanuel Macron et sa ministre des Armées Florence Parly. Ces relations étroites entretenues dans la durée ont permis d'accrocher ce succès tant attendu dans ce pays, qui stratégiquement est très important pour la France sur le plan géopolitique. Comme d'ailleurs l'Égypte."

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Révélation

Le succès du Rafale aux Émirats Arabes Unis (EAU), le sixième pays export de l'avion de combat tricolore, arrive à l'issue d'une très longue histoire souvent contrariée entre la France, en particulier Dassault Aviation, et Abu Dhabi. Mais l'État français a su renouer les fils d'une relation stratégiques importantes en dépit des trois échecs du Rafale aux EAU, y compris de celui de fin 2011. Lors du salon aéronautique de Dubaï, le prince héritier Cheikh Mohammed Bin Zayed Al-Nahyan, qui était déjà l'homme fort des EAU, avait alors estimé que la proposition commerciale de Dassault Aviation pour 60 Rafale était "non compétitive". Une déclaration qui avait alors fait l'effet d'une douche glacée à Paris.

Dix ans plus tard, les relations de confiance ont été patiemment renouées avec l'homme fort des Émirats depuis l'arrivée de François Hollande et de son ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. Un travail de fourmi poursuivi par Emmanuel Macron et sa ministre des Armées Florence Parly. Ces relations étroites entretenues dans la durée ont permis d'accrocher ce succès tant attendu dans ce pays, qui stratégiquement est très important pour la France sur le plan géopolitique. Comme d'ailleurs l'Égypte.

Le Rafale, un avion plus mature

Longtemps les Émiratis ont demandé à Dassault Aviation un Rafale, qui n'existait pas encore. Un appareil qu'il aurait fallu développer à coup de milliards. D'où la facture très élevée présentée en 2011 par le constructeur. Ce qui avait particulièrement hérissé le prince héritier, qui se plaignait à cette époque d'un important écart de prix entre ses estimations et celles de Dassault Aviation. Dix ans après, les performances du Rafale sont proches des souhaits opérationnels des Émirats, qui s'offrent le standard F4, le même que celui de l'armée de l'air française. En outre, les performances du Rafale au cours de ses très nombreuses sorties lors des opérations extérieures françaises ont été largement disséquées par les Émiratis.

En cours de développement en France, le standard F4 du Rafale sera mis en service en deux étapes successives en France, en 2023 puis en 2025, afin de bénéficier des technologies et des innovations les plus avancées du moment dès qu'elles seront disponibles. La validation du standard F4 est prévue pour 2024, avec certaines fonctions disponibles dès 2022. Le choix des Émiratis est donc un vrai signe de confiance vis-à-vis de la France de la part d'Abu Dhabi et de Cheikh Mohammed Bin Zayed (MBZ) alors que l'appareil est en cours de développement.

Le F-35, un avion de dépendances

En achetant du Rafale, les Émiratis sont sûrs de pouvoir s'en servir à leur guise avec les performances exigées. Ce qui n'est pas vraiment le cas avec le F-35, l'avion américain de Lockheed Martin. Ce qui a particulièrement agacé MBZ lors de ses discussions avec les Américains alors qu'il voulait initialement cet appareil. Pour deux raisons. Sans confirmation du maintien de la supériorité technologique militaire QME (Qualitative Military Edge) par Washington, Israël n'aurait jamais accepté la vente des F-35, un système d'arme aussi sophistiqué, aux EAU. Résultat, les F-35 émiratis auraient été dégradés ("détarés)" dans leurs capacités, notamment au niveau des senseurs et des armements, afin de garantir aux forces armées israéliennes la suprématie aérienne en cas de retournement d'alliances.

En outre, le F-35 reste un avion de combat doté d'une laisse très courte pour les pays qui l'achètent aux Américains. Un système électronique portant sur la maintenance, les diagnostics, la gestion de la chaîne d'approvisionnement et la gestion de la flotte des appareils vendus à l'exportation est exploité directement par l'agence HPSI (Hybrid Product Support Integration), un organisme commun entre Lockheed Martin et le département américain de la Défense. Le F-35 reste un avion de dépendances et non d'indépendance et d'autonomies opérationnelles. Comme la France, les États-Unis ont découvert en MBZ, un client très exigeant et peu disposé à accepter n'importe quoi. Ce qui ne veut pas dire que le F-35 n'atterrira jamais à Abu Dhabi.

La France et les EAU, partenaires stratégiques

N'en déplaise aux Verts notamment, la France entretient un partenariat stratégique très important avec les Émirats Arabes Unis, un acteur incontournable pour le règlement des tensions et des conflits dans la région. Ils n'hésitent pas à mener d'ailleurs une politique étrangère qui se différencie au cas par cas avec celle de son grand voisin, l'Arabie Saoudite. Ils seront le 1er janvier membres non permanents du Conseil de sécurité de l'ONU et accueilleront le sommet sur le climat « COP 28 », qui se tiendra en novembre 2023. La France, qui entretient une base militaire interarmées aux EAU, mise souvent sur l'entregent de MBZ pour faire avancer certains dossiers cruciaux dans la région.
 

Ce partenariat a été renforcé lors de la visite d'Emmanuel Macron. Comme le président l'a déclaré vendredi à Dubaï, il suit un agenda comportant plusieurs directions : "paix et stabilité dans la région, lutte contre tous les extrêmes, lutte contre le terrorisme, et coopération très concrète sur les situations sensibles". Les Émiratis ont d'ailleurs été aux côtés des Français dans l'opération Apagan, une opération d'évacuation organisée par les forces armées françaises à la suite de la prise de Kaboul par les Talibans en août 2021. Les Émirats ont été "admirables", estime-t-on à Paris.

En outre, les EAU ont constaté comme beaucoup d'autres pays un désengagement des Américains au Moyen Orient. Ce qui les pousse à diversifier leurs partenariats politiques et stratégiques ainsi que leurs approvisionnements en armements, en incluant la France. "J'inscris toujours nos accords commerciaux et militaires dans le cadre" d'un partenariat stratégique, a de son côté rappelé le président français. C'est le cas pour la vente des 80 Rafale vendus aux EAU.

 

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Citation

En outre, le F-35 reste un avion de combat doté d'une laisse très courte pour les pays qui l'achètent aux Américains. Un système électronique portant sur la maintenance, les diagnostics, la gestion de la chaîne d'approvisionnement et la gestion de la flotte des appareils vendus à l'exportation est exploité directement par l'agence HPSI (Hybrid Product Support Integration), un organisme commun entre Lockheed Martin et le département américain de la Défense.

Comme la France, les États-Unis ont découvert en MBZ, un client très exigeant et peu disposé à accepter n'importe quoi.

Pas des Suisses, en somme.

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6 hours ago, Claudio Lopez said:

 

Donc les américains risquent de partir sur des années de négociations, surtout si aucun des deux parties ne souhaitent rien lâcher 

D'autant que les EAU ont lâché quelques liasses pour prolonger la supériorité de leur F16.

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7 hours ago, Claudio Lopez said:

Tu ne vas pas me dire que tu ne connais pas le truc pour lire les articles de La Tribune sans être abonné ?

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Le succès du Rafale aux Émirats Arabes Unis (EAU), le sixième pays export de l'avion de combat tricolore, arrive à l'issue d'une très longue histoire souvent contrariée entre la France, en particulier Dassault Aviation, et Abu Dhabi. Mais l'État français a su renouer les fils d'une relation stratégiques importantes en dépit des trois échecs du Rafale aux EAU, y compris de celui de fin 2011. Lors du salon aéronautique de Dubaï, le prince héritier Cheikh Mohammed Bin Zayed Al-Nahyan, qui était déjà l'homme fort des EAU, avait alors estimé que la proposition commerciale de Dassault Aviation pour 60 Rafale était "non compétitive". Une déclaration qui avait alors fait l'effet d'une douche glacée à Paris.

Dix ans plus tard, les relations de confiance ont été patiemment renouées avec l'homme fort des Émirats depuis l'arrivée de François Hollande et de son ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. Un travail de fourmi poursuivi par Emmanuel Macron et sa ministre des Armées Florence Parly. Ces relations étroites entretenues dans la durée ont permis d'accrocher ce succès tant attendu dans ce pays, qui stratégiquement est très important pour la France sur le plan géopolitique. Comme d'ailleurs l'Égypte.

Le Rafale, un avion plus mature

Longtemps les Émiratis ont demandé à Dassault Aviation un Rafale, qui n'existait pas encore. Un appareil qu'il aurait fallu développer à coup de milliards. D'où la facture très élevée présentée en 2011 par le constructeur. Ce qui avait particulièrement hérissé le prince héritier, qui se plaignait à cette époque d'un important écart de prix entre ses estimations et celles de Dassault Aviation. Dix ans après, les performances du Rafale sont proches des souhaits opérationnels des Émirats, qui s'offrent le standard F4, le même que celui de l'armée de l'air française. En outre, les performances du Rafale au cours de ses très nombreuses sorties lors des opérations extérieures françaises ont été largement disséquées par les Émiratis.

En cours de développement en France, le standard F4 du Rafale sera mis en service en deux étapes successives en France, en 2023 puis en 2025, afin de bénéficier des technologies et des innovations les plus avancées du moment dès qu'elles seront disponibles. La validation du standard F4 est prévue pour 2024, avec certaines fonctions disponibles dès 2022. Le choix des Émiratis est donc un vrai signe de confiance vis-à-vis de la France de la part d'Abu Dhabi et de Cheikh Mohammed Bin Zayed (MBZ) alors que l'appareil est en cours de développement.

Le F-35, un avion de dépendances

En achetant du Rafale, les Émiratis sont sûrs de pouvoir s'en servir à leur guise avec les performances exigées. Ce qui n'est pas vraiment le cas avec le F-35, l'avion américain de Lockheed Martin. Ce qui a particulièrement agacé MBZ lors de ses discussions avec les Américains alors qu'il voulait initialement cet appareil. Pour deux raisons. Sans confirmation du maintien de la supériorité technologique militaire QME (Qualitative Military Edge) par Washington, Israël n'aurait jamais accepté la vente des F-35, un système d'arme aussi sophistiqué, aux EAU. Résultat, les F-35 émiratis auraient été dégradés ("détarés)" dans leurs capacités, notamment au niveau des senseurs et des armements, afin de garantir aux forces armées israéliennes la suprématie aérienne en cas de retournement d'alliances.

En outre, le F-35 reste un avion de combat doté d'une laisse très courte pour les pays qui l'achètent aux Américains. Un système électronique portant sur la maintenance, les diagnostics, la gestion de la chaîne d'approvisionnement et la gestion de la flotte des appareils vendus à l'exportation est exploité directement par l'agence HPSI (Hybrid Product Support Integration), un organisme commun entre Lockheed Martin et le département américain de la Défense. Le F-35 reste un avion de dépendances et non d'indépendance et d'autonomies opérationnelles. Comme la France, les États-Unis ont découvert en MBZ, un client très exigeant et peu disposé à accepter n'importe quoi. Ce qui ne veut pas dire que le F-35 n'atterrira jamais à Abu Dhabi.

La France et les EAU, partenaires stratégiques

N'en déplaise aux Verts notamment, la France entretient un partenariat stratégique très important avec les Émirats Arabes Unis, un acteur incontournable pour le règlement des tensions et des conflits dans la région. Ils n'hésitent pas à mener d'ailleurs une politique étrangère qui se différencie au cas par cas avec celle de son grand voisin, l'Arabie Saoudite. Ils seront le 1er janvier membres non permanents du Conseil de sécurité de l'ONU et accueilleront le sommet sur le climat « COP 28 », qui se tiendra en novembre 2023. La France, qui entretient une base militaire interarmées aux EAU, mise souvent sur l'entregent de MBZ pour faire avancer certains dossiers cruciaux dans la région.
 

Ce partenariat a été renforcé lors de la visite d'Emmanuel Macron. Comme le président l'a déclaré vendredi à Dubaï, il suit un agenda comportant plusieurs directions : "paix et stabilité dans la région, lutte contre tous les extrêmes, lutte contre le terrorisme, et coopération très concrète sur les situations sensibles". Les Émiratis ont d'ailleurs été aux côtés des Français dans l'opération Apagan, une opération d'évacuation organisée par les forces armées françaises à la suite de la prise de Kaboul par les Talibans en août 2021. Les Émirats ont été "admirables", estime-t-on à Paris.

En outre, les EAU ont constaté comme beaucoup d'autres pays un désengagement des Américains au Moyen Orient. Ce qui les pousse à diversifier leurs partenariats politiques et stratégiques ainsi que leurs approvisionnements en armements, en incluant la France. "J'inscris toujours nos accords commerciaux et militaires dans le cadre" d'un partenariat stratégique, a de son côté rappelé le président français. C'est le cas pour la vente des 80 Rafale vendus aux EAU.

 

pourriez-vous lire ceci?

https://www.lalettrea.fr/entreprises_defense-et-aeronautique/2020/07/29/l-empressement-de-dassault-sur-les-rafale-embarrasse-thales,109597935-eve

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il y a 14 minutes, house-13 a dit :

Ce ne marche que pour les articles de La Tribune ! :laugh:

Pour cet article , il faudra vraiment que tu t' abonnes !

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Il y a 1 heure, house-13 a dit :

 

L'empressement de Dassault sur les Rafale embarrasse Thales

http://www.air-defense.net/forum/topic/20630-rafale/?do=findComment&comment=1378644

Citation

et là on a commencé à entendre des bruits faibles de Thales protestant qu'il ne serait peut être pas tout à fait prêt. 

 

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