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2021... des films et peut être des cinémas


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STILLWATER

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Le film Slalom est enfin en piste !

Prévue le 4 novembre, puis repoussée en décembre, la sortie de Slalom avait ensuite été mise entre parenthèses comme l’ensemble des films. Le long métrage de Charlène Favier, qui évoque l’emprise et les violences sexuelles dans le monde du sport, est bien sorti ce mercredi 19 mai avec la réouverture des salles de cinéma. Retrouvez le témoignage d'Emilie Socha, conseillère technique du film.

A lire ici

 

Modifié par Kiriyama
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bon vu le dernier army of the dead de Snyder. . .

C'est nul

J'avais adoré le premier opus là le film dure près de 2h30 mais il ne se passe rien. le scénario est convenu au possible alors que certains éléments introduits auraient pu être bien mieux exploités. Les scènes d'actions sont molles et sans idées, aucune tension (pour un film de Zombies c'est con tout de même). . .

Evidemment il ajoute un filtre progressif con as fuck. . .

dommage car il y avait quelques idées qui auraient pu être sympas

Révélation

notamment sur le fait de placer l'action après la "guerre" contre les zombies et à priori, gagner par l' Homme. On peut ainsi imaginer les changements majeures apparus dans les sociétés occidentales modernes, les nouvelles élites, les nouveaux principes et codes moraux dictant ces sociétés après un évènement aussi traumatique qu'une invasion zombie. Là rien de tout ça on reste dans le même monde où les droits des LGBT et autres sont primordiales ( alors rassurez vous le film ne tourne pas autour de ça mais un bref journal TV dans le film (qui permets donc de situer l'action et créer un univers réaliste) en parle. . .)

Révélation

Et bien évidemment les zombies "alpha" qui sans être d'une originalité folle restaient une bonne idée. Malheureusement ils en font juste des zombies sous amphet alors qu'il y avait bien mieux à exploiter notamment sur la mise en place d'une pseudo société. .  idem avec l'offrande demandé pour tout les humains souhaitant se rendre sur le territoire. C'était de bonnes idées mais absolument pas exploités. Cette offrande n'étant finalement qu'un prétexte pour punir un homme blanc violeur, enfin vous connaissez la chanson.

bref c'était une des rares idées originales et ils n'en font rien si ce n'est pour créer un boss "final"  

Enfin l'équipe qu'on suit tour le film réussit l'exploit de rassembler tout les poncifs stéréotypiques mais de n'en utilisez aucun pour faire avancer le scénario. . Ce ne sont même plus des personnages objets mais des stéréotypes qui doivent mourir l'un après l'autre à des timings particuliers

Révélation

un truc absolument pas exploité. Le héros (totalement insipide au demeurant) rassemble son équipe et réparti le butin de façon très inéquitable. Sur les 50 millions (sur les 200) qu'il leur revienne il prend 45 millions pour lui et ses deux plus fidèles acolytes et les autres se partageant le reste avec là aussi une récompense dégressive suivant le degré de connaissance. Ceux qu'il connaît récupèreront 1 ou deux millions les autres "seulement" plusieurs centaines de milliers de dollars; Et bien évidemment personne (si ce n'est les trois premiers) ne connaissent cette répartition ou normalement c'est plutôt partage équitable. Cela aurait pu créer une tension voir un affrontement quand une partie du groupe, en ouvrant le coffre aurait compris l'arnaque. . .

là rien de tout ça

Bref c'est mou la fille du héros est horripilante à souhait

Révélation

littéralement la plus conne et insupportable du groupe mais seule survivante à la fin (non le black enfermé dans un coffre fort ne doit jamais survivre à une bombe atomique) protégé par le women power contre la patriarcat.  

bref très déçu

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il y a une heure, Kiriyama a dit :

Qu'est-ce que c'est que cette merde ?! :blink:

Ce qui est surprenant, c'est que tout ça semble interprété au premier degré.

Je ne trouve pas ça plus merdique qu'un John Wick ou autres films de ce genre. 

Tu as vu slalom alors ?

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John Wick j'avais trouvé ça ridicule également. Je n'ai jamais compris l'engouement autour de ce film joué n'importe comment, avec des cascades et scènes de combat réalisées sous acide et le tout joué avec le plus grand sérieux par tous les acteurs. J'ai d'abord pensé à un film sérieux, puis à une parodie devant le ridicule du truc, avant de devoir admettre que tout ça était joué au premier degré.

Slalom n'est pas encore sorti en Belgique, ce serait normalement le 9 juin. Ce que j'aime bien, c'est qu'apparemment le film serait assez nuancé dans son propos. Il y a les certes les agissements de l'entraîneur qui sont "dénoncés", mais la réalisatrice a aussi la subtilité de montrer que son athlète (Noée Abita) se laisse aussi volontairement entraîner dans cette relation malsaine qui finit par la dépasser. La fameuse notion d'emprise, mise à toutes les sauces, recevrait ici un nouvel éclairage, car pour que ça se produise, il faut aussi une victime consentante, au moins au départ. 

Modifié par Kiriyama
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2 hours ago, clem200 said:

Je ne trouve pas ça plus merdique qu'un John Wick ou autres films de ce genre. 

Y'a quand même des degrés de merdique: contrairement à beaucoup de monde apparemment, je suis pas vraiment un fan des films d'action type série B des années 80 avec Schwartzy, Stalone, Norris & co. Ils étaient déjà ridicuies, beaucoup trop exagérés, avec un genre de machisme cheap qui m'a jamais (même jeune) beaucoup emballé (convaincu n'étant pas le but: c'était souvent fait pour donner dans le too much). Mais c'est une chose si tu fais ça avec un Stalone/Schwartzy/VanDamme/Willis. C'en est une autre si tu fais la même chose avec une nana de 50kgs toute mouillée qui a l'air d'être du genre à s'essouffler pour couvrir la distance entre la sortie d'un magasin et sa bagnole, et qui visiblement a besoin de beaucoup de jump cuts et de shaky cam, et d'encore plus d'altération des lois (visibles) de la physique et de la biologie pour masquer le fait qu'elle est infoutue d'avoir même l'air vaguement crédible dans une scène d'action, n'étant là que pour des séries de poses jugées "oh so #badass" et sexy. 

Et, à titre personnel, comme pour John Wick, les archétypes de "l'assassin" de cinéma (et celui de "l'espion") me sortent par les trous de nez depuis très longtemps: c'est vraiment une figure qui a passé le cap de l'absurde depuis beaucoup trop longtemps, et ne se rattache même pas à quoi que ce soit d'un peu réel. Genre des être quasi surnaturels qui attendent un coup de fil et touchent des millions pour faire la partie la plus con et mécanique d'une exécution (en fait juste l'exécution proprement dite), puis se retirent en plus miraculeusement sans qu'on essaie (le plus souvent) de les faire taire/disparaître (à moins qu'ils ne soient des employés de confiance du commanditaire... Ce qu'ils sont rarement dans cet archétype).... Juste pour attendre le prochain contrat, qui ne manque jamais d'arriver aussitôt, puisque c'est bien connu, l'assassinat professionnel, surtout par des sortes d'agences indépendentes de prestataires de service, c'est une grande industrie, qui, comme John Wick nous l'a appris, peut nourrir un important marché de fournisseurs de grand luxe (nettoyage, équipement spécialisé, hôtellerie "améliorée"....). 

Putain y'a vraiment besoin de renouveler les clichés en grand... On vit sur une fuite en avant dans l'exagération toujours plus absurdes des mêmes stéréotypes et codes depuis 40-50 piges. La révolution de style et référence que la génération Lucas/Spielberg a imparti semble avoir été la dernière fois qu'un tel changement a opéré. J'ai l'impression que si changement il y a, il ne viendra pas d'Hollywood. Coréens, Nigérians, Indiens, Russes.... bougeront quelque chose, peut-être? 

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il y a 20 minutes, Tancrède a dit :

Y'a quand même des degrés de merdique: contrairement à beaucoup de monde apparemment, je suis pas vraiment un fan des films d'action type série B des années 80 avec Schwartzy, Stalone, Norris & co. Ils étaient déjà ridicuies, beaucoup trop exagérés, avec un genre de machisme cheap qui m'a jamais (même jeune) beaucoup emballé (convaincu n'étant pas le but: c'était souvent fait pour donner dans le too much). Mais c'est une chose si tu fais ça avec un Stalone/Schwartzy/VanDamme/Willis. C'en est une autre si tu fais la même chose avec une nana de 50kgs toute mouillée qui a l'air d'être du genre à s'essouffler pour couvrir la distance entre la sortie d'un magasin et sa bagnole, et qui visiblement a besoin de beaucoup de jump cuts et de shaky cam, et d'encore plus d'altération des lois (visibles) de la physique et de la biologie pour masquer le fait qu'elle est infoutue d'avoir même l'air vaguement crédible dans une scène d'action, n'étant là que pour des séries de poses jugées "oh so #badass" et sexy. [...]

Est-ce moi ou Matrix a eu une influence néfaste sur les films d'actions des deux dernières décennies ? Je dis cela en ayant pourtant largement apprécié Matrix, plus pour le fond du film que les scènes d'actions. Mais dès lors, les réalisateurs de films d'actions se sont apparemment sentis obligés de faire des cinétiques toutes plus improbables les unes que les autres. Dans Matrix, il y avait à la limite une explication semi-rationnelle, même si on peinait à voir la pertinence des mitraillades avec salto carpé tendu... mais pour les films d'actions moins sciencefictionnesques, on se demande bien ce que viennent faire de telles scènes.

Sinon, jamais été non plus un fan de ces films d'actions. D'ailleurs, il y a une définition permettant de savoir ce que l'on intègre dans les films d'actions et une typologie des films d'actions ? Par exemple, Drive - que je trouve très bon pour le côté analytique du cinéma hollywoodien et de la figure du héros masculin - film d'actions ? et si oui, de quel type ?

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23 minutes ago, Skw said:

Est-ce moi ou Matrix a eu une influence néfaste sur les films d'actions des deux dernières décennies ? Je dis cela en ayant pourtant largement apprécié Matrix, plus pour le fond du film que les scènes d'actions. Mais dès lors, les réalisateurs de films d'actions se sont apparemment sentis obligés de faire des cinétiques toutes plus improbables les unes que les autres. Dans Matrix, il y avait à la limite une explication semi-rationnelle, même si on peinait à voir la pertinence des mitraillades avec salto carpé tendu... mais pour les films d'actions moins sciencefictionnesques, on se demande bien ce que viennent faire de telles scènes.

Analyse/opinion personnelle sur l'histoire longue du cinéma et du "language visuel" dans ce genre particulier de l'action: pour moi, il y a une rupture embryonnaire dans les années 70 (particulièrement avec l'irruption des arts martiaux via Bruce Lee: traduction: le tout petit gabarit va poutrer la horde de géants et c'est visuellement acceptable) qui explose dans les années 80 avec la génération Stalone & co: le too much dans l'action devient la norme, avec peu/pas de limite sur le niveau d'improbable, la culture des suites (N°2, 3.... "le retour de", "la vengeance de"...) et de leur logique du "encore plus d'explosion et de trucs tarés" favorisée par la nature du business. Dès lors, il ne peut qu'y avoir une culture permanente du "toujours plus" qui se déconnecte de tout rattachement au réel à une vitesse exponentielle. Pour ne pas faire le macho de base, je rappelle que c'est aussi l'époque où on voit se multiplier les séries, et parfois films (séries B, Z...) où des gamins prodiges en arts martiaux foutent aussi des branlées à des adultes baraqués/surentraînés. L'évolution vers ce qui se fait actuellement me semble, à ce titre, le pressurage d'un citron déjà créativement sec: on en est à mettre en exergue les prouesses physiques et martiales des protagonistes les plus improbables pour l'action. Ce qui a commencé avec Schwartzy, qui au moins pouvait avoir l'air du gars qui peut assommer d'un seul gnon, finit avec Enola Holmes, la crevette victorienne qui étend des hordes de gros bagarreurs londoniens avec des arabesques matrixiennes. La quantité/proportion de "suspension of disbelief" requise a grandement augmenté en 40 piges. 

Matrix, là-dedans, représentait au moins une certaine variante sur le concept dans son évolution: on enlevait pas mal des lois de la physique via un outil narratif offrant cette liberté, alors même que la culture du jeu vidéo atteignait son premier stade de maturité. Je parle du 1er Matrix, évidemment, parce que les deux autres (et sans doute le 4ème, qui arrive bientôt) sont oubliables (pour éviter les arrières goûts et les yeux qui roulent). En ce sens, Matrix n'est pas vraiment l'origine du phénomène, ni même nécessairement un accélérateur: il s'inscrit dans cette évolution, et a le mérite d'en constituer une variante un peu plus maligne (dans l'articulation world building/action visuelle). L'influence ultérieure du film en lui-même? Je sais pas si elle est plus grande que celle d'un John Woo (énorme à la même période) et de tant d'autres sévissant au même moment (y compris l'action made in Seigneur des Anneaux: bonne dans le premier, elle devient délirante après, et absurde dans la trilogie plus récente du Hobbit). J'avais eu un certain espoir pour de l'action plus "grounded" quand Casino Royale et le premier Jason Bourne sont sortis, mais c'est pas cette tendance qui l'a emporté. 

 

 

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Le 27/05/2021 à 13:15, Skw a dit :

Est-ce moi ou Matrix a eu une influence néfaste sur les films d'actions des deux dernières décennies ? Je dis cela en ayant pourtant largement apprécié Matrix, plus pour le fond du film que les scènes d'actions. Mais dès lors, les réalisateurs de films d'actions se sont apparemment sentis obligés de faire des cinétiques toutes plus improbables les unes que les autres. Dans Matrix, il y avait à la limite une explication semi-rationnelle, même si on peinait à voir la pertinence des mitraillades avec salto carpé tendu... mais pour les films d'actions moins sciencefictionnesques, on se demande bien ce que viennent faire de telles scènes.

Sinon, jamais été non plus un fan de ces films d'actions. D'ailleurs, il y a une définition permettant de savoir ce que l'on intègre dans les films d'actions et une typologie des films d'actions ? Par exemple, Drive - que je trouve très bon pour le côté analytique du cinéma hollywoodien et de la figure du héros masculin - film d'actions ? et si oui, de quel type ?

 

Drive est à mon estime une réminiscence du Western. Le Driver est une forme de cavalier solitaire qui, dans le monde dans lequel il vit, est mentalement resté dans cette figure hollywoodiennne du héros taciturne mais bienveillant malgré tout.

 

John Wick n'a sur le plan de l'action aucune contribution particulière. C'est impressionnant sur le plan chorégraphique mais sans plus.


Par contre je trouve que le travail de la direction artistique est très très sympathique et j'espère que les équipes qui ont fait ça pourront se déployer sur d'autres sets aussi ambitieux au service d'histoires plus intéressantes. La franchise offre une forme d'évolution incrémentale d'une esthétique néo-Noire avec, parfois, des accents cyberpunk.

 

 

 

 

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Il y a 2 heures, Chronos a dit :

Drive est à mon estime une réminiscence du Western. Le Driver est une forme de cavalier solitaire qui, dans le monde dans lequel il vit, est mentalement resté dans cette figure hollywoodiennne du héros taciturne mais bienveillant malgré tout.

Je réponds en mode révélation car il y a du spoil :

Révélation

Le driver fait effectivement très largement penser au Clint Eastwood des westerns... pas de prénom permettant de l'identifier, peu loquace, opérant comme justicier sans réelle rétribution face à une bandes de brutes faisant sa loi. La différence, c'est que la femme censée être sauvée par ce driver prend conscience de la brutalité de ce héros, de sa part sombre. Il y a donc effectivement une certaine bienveillance, mais dont on ne sait pas vraiment quoi faire et qui est même censé mettre mal à l'aise le spectateur. Dans la fameuse scène de l'ascenseur, le réalisateur prend à témoin le spectateur pour le mettre face à ces contradictions : voyez ce que vous aduler à travers cette figure du héros hollywoodien : celui qui protège la veuve et l'orphelin, qui délivre un baiser intense, n'est autre qu'une brute qui ne sait plus arrêter quelques secondes plus tard.

Je me demande d'ailleurs si le huis-clos que constitue l'ascenseur n'est pas pensé comme une allégorie du monde du cinéma, avec notamment un jeu ombre-lumière très travaillé, un jeu de portes amenant le spectateur à se considérer comme extérieur à la scène, une musique lors du baiser traduisant la magie cinématographique qui s'opère et perturbant nos repères ainsi que notre perception du temps, un parking constituant une salle obscure ou autrement dit de cinéma... On est clairement amené à regarder la scène à travers les yeux d'Irène qui à la fin se situe bel et bien dans la salle obscure, ou autrement dit de l'autre côté de la toile, et porte un regard tout à fait différent de celui qu'elle portait quelques secondes auparavant lorsqu'elle était au cœur de la scène à travers notamment le baiser, puis ensuite à proximité du driver brutalisant les brutes.

Bref, pour moi, on est sur un film d'actions introspectif/critique où notamment les scènes de violence ainsi que les scènes mettant en relation le héros avec la gente féminine (entre le Driver et Irène, puis entre le Driver et Blanche) reprennent volontairement les codes que l'on peut voir par ailleurs dans le cinéma et notamment dans les westerns hollywoodiens.

D'ailleurs, la bande originale du film, avec Nightcall par Kavinsky et notamment l'échange entre une voix masculine et une voix féminine est assez révélatrice. En tant que réalisateur, je vais vous montrer ce que vous ne voulez pas voir/entendre, la part de sombre, qui devrait vous révulser mais pourtant vous attire.

_____________

Kavinsky - Nightcall

I'm giving you a night call to tell you how I feel (We'll go all, all, all night long)
I want to drive you through the night, down the hills (We'll go all, all, all night long)
I'm gonna tell you something you don't want to hear (We'll go all, all, all night long)
I'm gonna show you where it's dark, but have no fear (We'll go all, all, all night long)

There's something inside you
It's hard to explain
They're talking about you, boy
But you're still the same

 

Modifié par Skw
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Je ne sais pas si vous le savez, mais il y  a un film The Saint sorti en 2016. Je l'ai vu en accéléré hier, et c'était assez pathétique. On aurait vraiment dit un téléfilm fauché d'après-midi sur une chaîne du câble. Il y a quand même Eliza Dushku, mais elle est quasiment méconnaissable.

Par contre, une bonne surprise avec Gridlocked, avec Dominic Purcell et John Glover dans les rôles principaux. Les scènes de combat sont franchement assez bien fichues.

 

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J'ai zieuté hier soir Storaway de Joe Penna, c'est pas mal, le film ne renouvellera pas le genre mais présente quelques idées amusantes/intéressantes (le technicien qui se retrouve coincé dans le vaisseau spatial pour Mars)  sans tomber dans les gros clichés et approximations scientifiques, toutefois le film résiste mal à plus d'une 1h et s'essouffle. 

 

 

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Quelque chose que j'ai découvert hier, 24 Hours to Live.

Travis Conrad, un tueur professionnel, est abattu par une agente d'Interpol. Son corps est récupéré et soumis à une procédure expérimentale qui le ramène à la vie pour 24 heures. Il va alors profiter de ses dernières heures pour se venger de ceux qui ont assassiné sa famille quelques années plus tôt. Je n'en attendais pas grand chose, mais c'est une belle réussite dans le genre film d'action bourrin. De très beaux gunfights, et une idée de départ originale. 

 

  • Confus 1
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