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Chine - Taiwan : Rivalité Militaire


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Un article paru dans la dernière édition du Monde qui illustre toute la difficulté d'une invasion de Taïwan. Par exemple dans la phase 1 de leur plan ils prévoient de "s'attaquer aux satellites américains au-dessus du Pacifique"... En imaginant que les USA vont laisser faire ?

La dernière partie de l'article devrait leur remettre les pieds sur terre. Il n'y a que très peu de (petites) plages où l'on peut débarquer des forces importantes, l'effet de surprise sera totalement impossible et la défense de l'île est très bien préparée et organisée...

Note perso : l'Angleterre n'a pas été envahie depuis 1066, il y a une raison...

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il y a 1 minute, Métal_Hurlant a dit :

Note perso : l'Angleterre n'a pas été envahie depuis 1066, il y a une raison...

Je veux pas faire mon chieur mais est-ce qu'on ne peut techniquement parler du débarquement de Guillaume d'Orange en 1688 comme d'une invasion ?

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il y a 54 minutes, Ciders a dit :

Je veux pas faire mon chieur mais est-ce qu'on ne peut techniquement parler du débarquement de Guillaume d'Orange en 1688 comme d'une invasion ?

Et c'est même pas le seul coup. 

L'Angleterre a été envahie par Louis VIII alors encore prince héritier en 1216, et il parvient même à être sacré roi, Warwick en 1470, Édouard IV Lancastre en 1471 et Henri VII Tudor en 1485.

Des quatre, seul celui de Warwick ne peut pas être considéré comme une invasion, ses troupes sont anglaises. Mais Édouard IV et Henri VII ont été financés, équipés et armés par la France. 

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Il y a 1 heure, Banzinou a dit :

La taille n'est pas la même non plus :ph34r:

Et l'ennemi qui est en face n'a pas une population d'1,4 milliard de personnes :ph34r:

Les tentatives de débarquements dans les années 50 ce sont révélé être des échecs cuisant pour la Chine alors certes le niveau technologique des deux camps n'ont plus rien à voir mais faudrait pas jeter Taïwan avec l'eau du bain comme on a voulu faire avec l'Ukraine en février ou les talibans en 2001

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il y a 24 minutes, Connorfra a dit :

Les tentatives de débarquements dans les années 50 ce sont révélé être des échecs cuisant pour la Chine alors certes le niveau technologique des deux camps n'ont plus rien à voir mais faudrait pas jeter Taïwan avec l'eau du bain comme on a voulu faire avec l'Ukraine en février ou les talibans en 2001

Pas de méprise, je suis loin de condamner Taïwan, qui a une armée sur le papier bien plus performante que l'Ukraine, qui se prépare à l’invasion depuis plusieurs décennie et qui bâti les défenses de l'île en ce sens, et qui pour le coup est vraiment soutenue par les US.

Non c'était juste pour rebondir sur la phrase au dessus

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Il y a 3 heures, Banzinou a dit :

La taille n'est pas la même non plus :ph34r:

Et l'ennemi qui est en face n'a pas une population d'1,4 milliard de personnes

La Chine peut disposer d'une armée de 5, 10 ou même 100 millions de soldats le problème reste le même : établir une tête de pont de l'autre côté de la mer sur un territoire bien préparé et organisé.

Et inutile d'imaginer une opération "Fortitude" où Hitler s'est laissé berné, cette fois avec la technologie le moindre avion ou navire est suivi à la trace en temps réel

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il y a 24 minutes, Métal_Hurlant a dit :

Et inutile d'imaginer une opération "Fortitude" où Hitler s'est laissé berné, cette fois avec la technologie le moindre avion ou navire est suivi à la trace en temps réel

C'est valable dans les deux sens, en clair chaque élément défensif peut être suivit et détruit.

Après les chinois doivent bien se douter que si ils s'engagent dans une telle aventure, leurs pertes  seront massives au moins dans le domaine militaire, l'aventure ukrainienne de poutine est une belle piqûre de rappel et un énorme RETEX pour de futurs opérations offensives.

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il y a 6 minutes, Arland a dit :

C'est valable dans les deux sens, en clair chaque élément défensif peut être suivit et détruit.

Après les chinois doivent bien se douter que si ils s'engagent dans une telle aventure, leurs pertes  seront massives au moins dans le domaine militaire, l'aventure ukrainienne de poutine est une belle piqûre de rappel et un énorme RETEX pour de futurs opérations offensives.

Il y a également un autre élément à prendre en compte. Taïwan c'est petit et très peuplé (plus petit que la Suisse pour une population presque 3 fois supérieure). En cas de guerre de haute intensité sur une aussi petite surface, ce qui fait la richesse de cette île risquerait d'être totalement détruit. Les infrastructures telles que les routes, les usines produisant du matériel de haute technologie (électronique, les semi conducteurs...) feraient probablement les frais d'un conflit et même si la Chine remportait la mise elle se retrouverait effectivement avec un morceau de territoire supplémentaire mais ce dernier serait probablement durablement dévasté. Dans ces conditions, si ce n'est pour le prestige à usage interne, la Chine ferait-elle une bonne affaire ?

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Il y a 5 heures, FAFA a dit :

Dans ces conditions, si ce n'est pour le prestige à usage interne, la Chine ferait-elle une bonne affaire ?

Oui, mais à la lumière des évènements ukrainiens, on voit justement que les considérations de prestige ou de longueur d'attributs mâles ont encore un bel avenir chez Homo sapiens.

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il y a 14 minutes, Hibernatus a dit :

Oui, mais à la lumière des évènements ukrainiens, on voit justement que les considérations de prestige ou de longueur d'attributs mâles ont encore un bel avenir chez Homo sapiens.

Malheureusement je ne peux pas te donner tort.

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Il y a 8 heures, Métal_Hurlant a dit :

La Chine peut disposer d'une armée de 5, 10 ou même 100 millions de soldats le problème reste le même : établir une tête de pont de l'autre côté de la mer sur un territoire bien préparé et organisé.

Et inutile d'imaginer une opération "Fortitude" où Hitler s'est laissé berné, cette fois avec la technologie le moindre avion ou navire est suivi à la trace en temps réel

Et il ne faut pas oublier que pendant une grande partie de l'année, la mer de Chine reçoit moussons et tempêtes. Pas vraiment le temps idéal pour une invasion maritime (le débarquement de Normandie a manqué échouer, dans les premières semaines, à cause du mauvais temps).
Un autre point à prendre en compte, c'est que Taiwan connait une flambée de cas de COVID. Même quand la vague se sera apaisée, le virus restera sans doute endémique comme dans l'UE ou aux USA. Envoyer des soldats chinois là-bas, c'est prendre le risque qu'ils ramènent l'épidémie sur le continent.
Je me demande d'ailleurs si les autorités taiwanais n'ont pas intégré ce point dans leur stratégie de défense? Par exemple en envisageant la possibilité d'envoyer des malades asymptomatiques s'infiltrer dans les zones occupées par l'ennemi, pour le contaminer.

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Le 21/11/2022 à 12:48, Henri K. a dit :

Bizarre... Personne ne parle de "copie" tout un coup...

Comme quoi...

Henri K.

J'avais pas vu ton poste mais oui c'est une copie presque parfaite du système Iranien, même le système de rangement.

Les US ont des retard de livraison à Taïwan à cause de l"Ukraine :

https://www.wsj.com/articles/u-s-effort-to-arm-taiwan-faces-new-challenge-with-ukraine-conflict-11669559116

 

Les efforts des États-Unis pour armer Taïwan font face à un nouveau défi avec le conflit ukrainien

Le flux d’armes à Kiev taxe une base industrielle de défense américaine déjà mise à rude épreuve

Les ventes à Taïwan comprennent des missiles Javelin, utilisés ici dans un exercice d’entraînement de l’armée au Colorado.

PHOTO: MICHAEL CIAGLO / GETTY IMAGESPar 

Les responsables du gouvernement américain et du Congrès craignent que le conflit en Ukraine n’exacerbe un arriéré de près de 19 milliards de dollars d’armes à destination de Taïwan, retardant encore les efforts pour armer l’île alors que les tensions avec la Chine s’intensifient.

Les États-Unis ont injecté des milliards de dollars d’armes en Ukraine depuis l’invasion russe en février, taxant la capacité du gouvernement et de l’industrie de la défense à répondre à une demande soudaine d’armer Kiev dans un conflit qui ne devrait pas se terminer bientôt. Le flux d’armes vers l’Ukraine se heurte maintenant aux exigences à plus long terme d’une stratégie américaine visant à armer Taïwan pour l’aider à se défendre contre une éventuelle invasion de la Chine, selon des responsables du Congrès et du gouvernement familiers avec le sujet.

L’arriéré de livraisons, qui s’élevait à plus de 14 milliards de dollars en décembre dernier, est passé à 18,7 milliards de dollars, selon des responsables du Congrès et d’autres personnes proches du dossier. L’arriéré comprend une commande passée en décembre 2015 pour 208 armes antichars Javelin et une commande distincte en même temps pour 215 missiles sol-air Stinger. Aucun d’entre eux n’est arrivé sur l’île, selon des sources du Congrès et des personnes proches du dossier.

La guerre en Ukraine donne à Taïwan des idées sur la façon de se défendre contre la Chine

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Taïwan a pris des indices de l’Ukraine sur la façon dont les petites armées peuvent infliger de lourdes pertes à des rivaux plus grands. Le WSJ déballe la stratégie dite du porc-épic de Taipei pour se préparer à une guerre potentielle avec la Chine. Photos: Getty Images; Sipa États-Unis

L’armement fait partie de la stratégie de Washington visant à armer Taïwan d’une manière qui augmente le coût pour la Chine si elle décidait d’envahir. Des responsables militaires américains ont déclaré il y a deux ans que Pékin pourrait être sur le point de se réunifier de force avec Taïwan dès 2026.

Une porte-parole du gouvernement taïwanais à Washington, D.C., a refusé de commenter les ventes d’armes, mais des responsables de l’île ont déjà exprimé leur inquiétude au sujet des retards.

La secrétaire d’État adjointe Wendy Sherman a déclaré que le département d’État travaillait avec le Pentagone « pour voir où des gains d’efficacité peuvent être réalisés » dans les exportations de défense.

PHOTO: JOHANNA GERON/PRESS POOL

« Taïwan voudrait demander que les armes que les États-Unis vendent à Taïwan soient livrées comme prévu », a déclaré le général Wang Shin-lung, vice-ministre de l’Armement au ministère taïwanais de la Défense nationale, le mois dernier.

Ni le département d’État ni le Pentagone n’ont reconnu l’arriéré ni fourni de détails sur les armes à destination de Taïwan qui auraient pu être retardées, mais la Commission d’examen économique et de sécurité américano-chinoise a mis en garde contre des retards dans des armes telles que les Stingers et l’artillerie automotrice d’obusiers Paladin.

La présidente taïwanaise Tsai Ing-wen et ses assistants lors d’un briefing lors d’une visite dans une station navale en août.

PHOTO: MINISTÈRE DE LA DÉFENSE NATIONALE DE TAÏWAN/ASSOCIATED PRESS

« Le détournement des stocks existants d’armes et de munitions vers l’Ukraine et les problèmes de chaîne d’approvisionnement liés à la pandémie ont exacerbé un arriéré important dans la livraison d’armes déjà approuvées pour la vente à Taïwan, compromettant la préparation de l’île », a déclaré la commission, un organe gouvernemental d’audit et de surveillance mandaté par le Congrès il y a plus de 20 ans, dans un rapport publié ce mois-ci.

Les responsables américains ont reconnu les retards dans les livraisons d’armes à Taïwan, mais affirment que ces achats sont tous nouveaux hors de la chaîne de production, tandis que les Stingers et les Javelins destinés à l’Ukraine proviennent des stocks existants de l’arsenal américain. « Nous continuons à travailler avec diligence pour fournir des capacités à Taïwan le plus rapidement possible tout en veillant à ce que l’Ukraine puisse se défendre contre l’agression russe », a déclaré Sabrina Singh, porte-parole du Pentagone, dans un communiqué.

En mai, interrogé sur les plans annoncés par Taïwan d’examiner des alternatives aux obusiers retardés, John Kirby, alors porte-parole du Pentagone, a déclaré que l’Ukraine n’était pas la cause de l’arriéré. M. Kirby a déclaré que les livraisons à l’Ukraine provenaient des stocks existants, ce qui « est une méthode différente de fournir des articles militaires que ce qui est fourni à Taiwan ».

Les dirigeants de Lockheed Martin Corp., Boeing Co. et d’autres sociétés de défense affirment que les problèmes de chaîne d’approvisionnement liés à la pandémie ont retardé la production de nombreux systèmes et qu’ils ont eu du mal à suivre les commandes avant même que l’invasion de l’Ukraine par la Russie ne stimule la demande.

La guerre en Ukraine, même si ce n’est pas la principale raison de l’arriéré, reste un facteur aggravant. Doug Bush, responsable des acquisitions de l’armée, a déclaré que bien qu’aucun retard ne puisse être lié à l’Ukraine, la guerre affecte la « hiérarchisation » à court terme.

L’arriéré a fait craindre que Washington manque de temps pour aider à défendre Taïwan contre la Chine de manière adéquate, car Taïwan, contrairement à l’Ukraine, ne peut pas être efficacement armé après une invasion. L’arriéré met en évidence les défis auxquels la base industrielle américaine est confrontée pour produire suffisamment d’armements pour protéger les États-Unis et leurs alliés.

Le représentant Michael McCaul (R., Texas) a déclaré dans un communiqué qu’il travaillerait avec le Comité des services armés de la Chambre pour résoudre les problèmes de base industrielle contribuant aux retards. « Dans certains cas, nous avons plus de trois ans d’arriéré de ventes militaires à l’étranger que j’ai approuvées dans mon poste et qui n’ont pas encore été livrées à Taïwan », a déclaré M. McCaul, actuellement membre le plus haut placé du Comité des affaires étrangères de la Chambre. « Comme nous l’avons vu en Ukraine, il est de loin préférable d’obtenir les armes avant une invasion qu’après. »

Les responsables des départements d’État et de la Défense et de l’Agence de coopération en matière de sécurité de la défense ont refusé de donner des détails sur les armes destinées à Taïwan qui sont en retard. La frustration suscitée par le manque de clarté sur la question a incité les républicains de la Chambre à présenter un projet de loi qui obligerait l’administration Biden à fournir des détails sur les principales ventes d’armes à Taïwan.

Les États-Unis ont accepté de vendre à Taïwan près de 30 milliards de dollars d’armes depuis 2009, dont environ 18 milliards de dollars depuis 2017, selon la secrétaire d’État adjointe Wendy Sherman lors d’un témoignage en avril. Mme Sherman a déclaré que le département travaillait avec le Pentagone pour examiner l’ensemble de l’entreprise de commerce de défense « pour voir où des gains d’efficacité peuvent être réalisés et leur faire parvenir ces articles plus rapidement ».

Plus tôt cette année, le secrétaire à la Défense Lloyd Austin a créé une équipe ad hoc pour examiner les questions qui retardent les ventes militaires à l’étranger, mais les responsables n’ont pas encore fourni de détails sur les progrès réalisés. Un autre groupe ad hoc du Pentagone qui a été spécialement réuni pour examiner les ventes d’armes à Taïwan examine les moyens de les accélérer, ont déclaré des responsables.

« Le département continuera à chercher des moyens d’accélérer la livraison de capacités pour tous nos partenaires, en fonction de l’urgence de la menace », a déclaré Mme Singh, porte-parole du Pentagone, dans un communiqué.

Dans un effort parallèle, le département d’État a créé son propre groupe, dirigé par la secrétaire d’État adjointe Jessica Lewis, ont déclaré des responsables du Congrès.

L’une des plus grosses commandes américaines de Taïwan – un contrat de 8 milliards de dollars pour 66 avions de combat F-16 fabriqués par Lockheed Martin – devrait maintenant être livrée à partir du milieu des années 2020 comme prévu, selon des personnes familières avec le sujet.

L’armée américaine cherche à intensifier la production d’armes pour reconstituer ses stocks, ce qui pourrait accélérer les livraisons, a déclaré M. Bush, le responsable de l’acquisition de l’armée. « Si l’armée dans certaines zones se retrouve avec plus de capacité, cela nous permettra d’aller plus vite pour tout le monde », a-t-il déclaré.

Les ventes d’armes à Taïwan depuis 2019 comprennent également des armes envoyées en Ukraine, notamment des missiles Stinger, des Javelins, des systèmes de roquettes d’artillerie à haute mobilité, ou Himars, et des obusiers. Taipei a signé un contrat en mars pour les missiles antinavires Harpoon, mais ne les obtiendra pas avant au moins 2026, ont déclaré des responsables.

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Lockheed Martin et Raytheon Technologies Corp. augmentent la production de Stingers, Javelins et Himars. Le fabricant d’armes britannique BAE Systems PLC est en pourparlers pour relancer la production d’obusiers.

Les systèmes d’artillerie d’obusier reposent sur des obus de 155 mm, dont les stocks diminuent rapidement aux États-Unis depuis le début de la guerre en Ukraine il y a neuf mois. Les États-Unis ont expédié près d’un million de ces cartouches à Kiev, selon les dossiers du gouvernement.

Les entreprises ont renvoyé des questions sur les ventes d’armes à Taïwan au Pentagone.

Les États-Unis sont de loin le plus grand fournisseur étranger d’armes à Taïwan, bien que les importations globales d’armes aient considérablement diminué au cours de la dernière décennie, selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm, une organisation à but non lucratif qui suit les transferts d’armes. L’institut a déclaré qu’il s’attendait à ce que les importations de Taïwan augmentent considérablement à mesure que les armes dont la vente a été approuvée par le gouvernement américain sont mises sous contrat avec des sociétés américaines.

—Charles Hutzler a contribué à cet article.

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