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Capacité hydro-océanographique future (CHOF)


Scarabé
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il y a une heure, Scarabé a dit :

de 2 Navires plus gros 

Donc 2 pour 3...  :rolleyes:

il y a une heure, Scarabé a dit :

Et pour mon amie @Fusilier ils installent des support FAMAS dans toute les petites embarcations y compris les remorqueurs un truc comme sur la photo il y en a aussi en hauteur . Et les vedettes hydro y ont droit comme les autres :bloblaugh:

Quand aux Tirs FAMAS ils redevient à la mode dans la marine avec au moins un tir par an y compris pour les réservistes.  Les Famas G2 sont presque neuf vu que l'on ne les utilisaient presque jamais et je pense que nous allons les voir encore longtemps les HK sont réservés pour la force FUSCO 

ca parait logique, le G2 est quand même plus évolué que le FAMAS Standard, puis comme tu dis ils sont plus récents.  Tu est missionné pour repérer l'arrivée des "vedettes fusiliers marins" nouveau nom des VPDMP :biggrin:

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il y a 9 minutes, Fusilier a dit :

Donc 2 pour 3...  :rolleyes:

 

Oui mais pour te rassurer Le bâtiment léger de surveillance et de recueil de renseignements prévu dans la LPM pourrait bien avoir un jumeau 

Et en plus vue que le BLSR doit travailler plus prés des côtes que le Dupuy de Lôme ( qui fait dans les 100M) il sera armé et devrait pouvoir projeter des minis drones espions prés d'une côte hostile. 

Et comme le renseignement est une priorité un sister ship serait envisagé . Disons 2 Navires entre 70 et 80 M avec un 20 mm. Mais bon quand j'aurais plus info j'ouvrirais le sujet. 

 

Pour les VFM en septembre pour les essais à Lorient et 2022 à Toulon .    

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Le Shom et la Marine nationale expérimentent un drone de surface hydrographique dans le cadre d'un programme d'armement de la DGA

Les eaux sous juridiction française couvrant un total de près de 11 millions de km² (avec les extensions du plateau continental en vigueur), la France dispose du 2ème domaine maritime mondial. Afin d’affirmer sa souveraineté sur ses eaux, respecter ses engagements au titre de la convention Safety Of Life At Sea (SOLAS) , protéger et gérer l’activité économique dans ses eaux, l’Etat confie la mission de cartographie maritime de ces étendues au Shom. Il assume, en outre, la mission de soutien environnemental marin au profit des forces françaises, dans une potentielle zone d’intérêt couvrant plusieurs dizaines de millions de km².

La capacité à assumer ces responsabilités repose en grande partie sur la flotte de bâtiments hydrographiques et océanographiques de la Marine nationale, composée du bâtiment hydro-océanographique (BHO) Beautemps-Beaupré (admis au service actif en 2003) et des trois bâtiments hydrographiques de seconde classe (BH2) La Pérouse, Borda, et Laplace, mis en service en 1988 et 1989.

Le renouvellement des BH2 est planifié dans le cadre de l’opération d’armement relative à la « Capacité hydrographique et océanographique future (CHOF) » conduite par la Direction générale de l’armement avec l’appui du Shom, en concertation avec l’état-major des armées et l’état-major de la marine. Ce programme ne doit pas seulement renouveler les navires anciens mais doit aussi adapter les capacités hydrographiques aux nouvelles technologies disponibles, dont l’utilisation de drones, afin de disposer de nouveaux moyens de description fine de l’environnement sous-marin pour répondre à des besoins émergents dans l’extension des domaines de lutte.

Cette évolution opèrera une transformation significative des moyens du Shom et de la Marine ainsi que des savoir-faire hydrographiques.

En préparation de ce programme et en exécution d’un marché passé par la DGA avec la société iXblue, le Shom a conduit en mer d’Iroise, durant tout le mois de septembre, à bord du BHO Beautemps-Beaupré, des essais d’évaluation du « DriX», drone hydrographique de surface supervisé (USV), et de son système de mise à l’eau et de récupération. Il s’agit de qualifier les performances hydrographiques de ce type de porteur, d’en appréhender le concept d’emploi potentiel et d’évaluer les gains apportés par ces systèmes innovants.

Ces essais consistent en des levés bathymétriques à différentes profondeurs, atteignant près de 200 m dans la fosse d’Ouessant, avec pour objectif de qualifier les performances globales de l’engin en termes d’endurance et de qualité des données, et d’évaluer sa plus-value par rapport aux systèmes actuellement en service (vedettes et navires hydrographiques).

https://www.shom.fr/fr/liste-actualites/le-shom-et-la-marine-nationale-experimentent-un-drone-de-surface-hydrographique

 

Image-breve-Drix.jpg

 

 

 

 

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2 hours ago, mudrets said:

Les sondeurs multifaisceaux, les appareils de navigation ultra précise etc.

Les sondeurs multi-faisceaux permettent de "balayer" le fond marins un peu comme un radar - via du beamforming - ... mais en plus ils sont souvent multispectraux.

L’intérêt de sonder avec des fréquences différentes c'est quelles réagissent différemment avec la nature du fond. Certaines pénètrent les vases et autres dépôts au fond des océan, d'autres rebondissent sur le moindre obstacle même à l'apparence du yaourt. En gros ça aide à qualifier assez précisément la nature - vase, sable, roche dur etc. - et la stratification supérieur du fond - l'épaisseur de la couche de vase, plus la profondeur du sable sous-jacent, etc. - .

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1 hour ago, hadriel said:

Y'a quoi de si important sur les vedettes hydro?

C'est un acteur indispensable des activités de nous sous marin ... et donc de la dissuasion par exemple. Sans bathymétrie ultra fine et mise a jour relativement souvent ... il est compliqué de naviguer précisément les yeux fermés.

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il y a 16 minutes, hadriel a dit :

Ah mais je suis con en fait je croyais que les vedettes c'était les deux annexes dans la photo du Borda, en fait la vedette c'est le Borda :wacko:

Ben non les vedettes sont trés bien équipés. 

Shom-05.jpg

 

 

D3IxafbWAAAkAN_.jpg

 

Modifié par Scarabé
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Quelque éléments d’histoire de l’hydrographie française

https://www.amhydro.org/assets/files/Chapitre-8.pdf

https://www.amhydro.org/assets/files/Chapitre-9.pdf

auxiliaire vedette hydro et bateau mère

210220062525828260.png

Le placement de transducteurs sous la coque  est une problématique de propreté d’écoulement ; absence de bulles et autres perturbations , le concept nacelle/gondole  de concentration de transducteurs démarquée de la coque est une réponse technique aux risques précités.

GONDOLE

Celle du Pourquoi pas

les sondeur multifaisceaux du Pourquoi pas

Pour la reconnaissance des fonds et la cartographie sous marine, le N/O Pourquoi pas? est équipé de deux sondeurs multifaisceaux fournis par  la société danoise RESON : un système à 100 kHz : Seabat 7111 dédié aux levés hydrographiques côtiers et aux reconnaissances du plateau continental et du haut de pente continentale.   un système bi-fréquence 12/24 kHz  Seabat 7150 . Ce sondeur disposera de deux modes de fonctionnement :
- un mode « large couverture » (12 kHz) pour les levés d’exploration générale par grands fonds (200/12000 mètres) avec une large fauchée (20 km),

- un mode « haute résolution » (24 kHz), pour l’exploration détaillée : sites d’intervention de submersibles, reconnaissance de sites par exemple.

Installation

Les antennes acoustiques seront installées dans une nacelle suspendue sous la coque du navire, appelée « gondole ». Il s’agit d’une structure pesante indépendante de la coque, située à quelques dizaines de centimètres de la quille et reliée à la coque par des jambes profilées.

Le sondeur multifaisceaux petits fonds sera installé dans un carénage situé devant la gondole.

La gondole accueille également les transducteurs d’autres équipements acoustiques du navire :

pénétrateur de sédiments Eramer / Triton Elics (2 à 8 kHz)

sondeur monofaisceau Simrad EA600 (12 / 38 / 200 kHz)

profileurs de courants doppler RDI Ocean Surveyor (38 / 150 kHz)

Gondole fixée sous la quille par des pattes de quelques centimètres ; donc presqu’à coller sous ventre

Gondole  située dans le sillage des lachés de bulles provenant des tunnels PE

Déjauge des tunnels en seakeeping

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Celle du Beau temps Beaupré

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210220063441485668.png

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  • 2 months later...

Le Beautemps-Beaupré opère dans le gouffre des démons de Djibouti

   

Mise à jour  : 04/05/2021 - Direction : SIRPA Marine

Après avoir appareillé de Djibouti le 22 avril 2021, l'équipage A du Bâtiment hydrographique et océanographique (BHO) Beautemps-Beaupré et le détachement du Groupe hydrographique et océanographique de l’Atlantique (GHOA) ont commencé les premiers travaux hydrographiques de son deuxième levé d’études générales de l’année 2021 

https://www.defense.gouv.fr/marine/actu-marine/le-beautemps-beaupre-opere-dans-le-gouffre-des-demons-de-djibouti?fbclid=IwAR1sxZl8LP-sVgfv-0u8PVNmQP3U7KDNjU1_fpelX3StnPeTPiGN6FIn4MA

 

A noter que l' EDM de renfort pour la mission ocean indien a bien amenagé les postes de combats

Avec 2 x12,7 mm sur l'avant  

181877761_4030079387015229_2959645941094

Et deux autres sur l'arriere de chaque coté de la potence et surement d'autres cactus cachés à droite à gauche:sleep:  

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il y a 21 minutes, Fusilier a dit :

Ce n'est pas très grave mais c'est : EDIM (équipe de défense et interdiction maritime) 

depuis 2017 ils ont supprimé le I.

https://www.colsbleus.fr/articles/10251

L’unité élémentaire d’action des fusiliers marins est l’équipe de défense maritime (EDM) dont le format minimum est de six fusiliers marins. Chaque EDM réunit un socle de capacités de feu et de manœuvre nautique et terrestre, ainsi que des compétences complémentaires spécialisées. La récente réforme PRODEF (Protection-Défense) de 2015, qui a redynamisé l’activité des EDM, a rendu leur engagement plus attractif. Moins statiques, avec notamment une projection opérationnelle par an, les fusiliers marins ont renoué avec leur vocation initiale : être des marins combattants.

Autre chose toujours pas vue les vedettes par contre les tracteurs je les ai vu au moins 3 fois. Je me demande si un jour ils vont pas faire une patrouille en tracteur:bloblaugh: J'ai vu qu'ils les utilisaient également pour bouger les barrieres anti intrusions terrestre et naval dont ils ont la charge. 

http://www.haltbrac-defense.fr/

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il y a 13 minutes, Scarabé a dit :

depuis 2017 ils ont supprimé le I.

A mon avis c'est une erreur de frappe.  Tu sais ceux qui rédigent CB ne sont pas forcement spécialistes de la FORFUSCO...

20 janvier 2021 exercice Styx 

"Cet exercice majeur a permis de mettre en œuvre le Plan d’Urgence Sécurité-Défense (PUSP) tout en ayant des objectifs multiples. L’intervention a été conduite en coordination avec le centre de traitement de crise de la Marine Nationale et le centre opérationnel départemental de la Préfecture du Var. Les unités participantes ont ainsi pu s’entrainer ensemble. Ce fut notamment le cas des équipes de défense et d’interdiction maritime (EDIM) de fusiliers marins"  https://www.facebook.com/fuscomarineofficiel/posts/4406004459416015/

Exemple  30/ 09/ 2020  SM Paul Cie Le Goffic (Cherbourg Je suis arrivé à Cherbourg au sein de la compagnie de fusiliers marins « Le Goffic » début septembre. C’était mon premier choix. Ici, je vais pouvoir intégrer une équipe de défense et d’interdiction maritime (EDIM) avec pour souhait à terme d’intégrer une équipe spécialisée et d'intervention maritime (ESIM). 

28 avril 2021 SM Mathieu Cie Brière  chef d'une EDIM 

 https://www.facebook.com/fuscomarineofficiel/videos/124929659615838

13/03 /2020 En mission de courte durée en Nouvelle Calédonie, le détachement FORFUSCO 19.3, composé d’équipes de défense et d’interdiction maritime (EDIM) en provenance des unités de fusiliers marins,

https://www.defense.gouv.fr/fre/marine/actu-marine/fusiliers-marins-combattants-specialises-en-defense-militaire-et-interdiction-maritime

il y a 36 minutes, Scarabé a dit :

Autre chose toujours pas vue les vedettes

Normal, mise à l'eau au printemps pour essais, puis présentation à l'été.  Un prototype à mettre à l'eau et 4 autres barques à divers stades de fabrication.  

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L’arrivée du premier BH NG est prévue en 2026

En préparation de ce programme, plusieurs expérimentations seront réalisées cette année et en 2021, avec notamment pour objectif de tirer des enseignements en matière de conception et de spécification des bâtiments hydrographiques de nouvelle génération (BH NG) destinés à remplacer les BH2. Le retour d’expérience capitalisé lors des essais servira à enrichir les réflexions entamées sur le dimensionnement de la capacité hydrographique et océanographique future de la Marine. L’arrivée du premier BH NG est prévue en 2026. Complémentaire du programme CHOF et développé en interarmées, le système GEODE-4D délivrera aux forces les connaissances sur la nature et les caractéristiques des théâtres pour planifier et conduire les opérations. GEODE-4D répond à un besoin de mutualisation et de partage des données, an de perfectionner les outils de prévision et de visualisation géographie hydrographie océanographie météologie (GHOM) en mettant en application le concept Otan de recognized environemental picture (REP).

Drone hydrographique de surface supervisé

En préparation du programme CHOF, le Shom a conduit, avec la Marine et la direction générale de l’armement, durant tout le mois de septembre des essais d’évaluation d’un drone hydrographique de surface supervisé et de son système de mise à l’eau et de récupération. Des levés bathymétriques ont été réalisés à différentes profondeurs en mer d’Iroise (jusqu’à 200 mètres dans la fosse d’Ouessant), avec pour objectif de qualifier les performances globales de l’engin en matière d’endurance et de qualité des données. Le Shom peut ainsi évaluer l’apport de telles capacités par rapport aux systèmes actuellement en service (vedettes et navires hydrographiques). Ce dispositif permettra de gagner en endurance (72 heures de présence en mer) ainsi qu’un facteur 4 dans les vitesses d’acquisition des données.

https://www.defense.gouv.fr/marine/magazines/passion-marine/hydrographie-300-ans-d-operations/300-ans-d-hydrographie-francaise-du-depot-des-cartes-et-plans-de-la-marine-aux-capacites-du-futur

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Un système de drones de surface tractant un sonar remorqué à balayage latéral, dans l'esprit  du programme de modernisation de la guerre des mines est-il envisagé ?

On pourrait avoir une communalisé entre les drones de surface en utilisant la même plateforme que pour la GDM.

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Je ne suis pas convaincu de l'intérêt de mutualiser, tant les missions et les capteurs sont différents. 

Par exemple:

- pour faire de la bathymétrie, le SAS n'est pas vraiment adapté (même si un SAS interférometrique peut le faire, mais avec des performances moindres). Il faut plutôt un très bon MBES.

- certaines contraintes de la chasse aux mines sont "overkill" pour du survey: tenue aux chocs mines, grosse capacité d'emport (pas de ROV à mettre à l'eau,  un unique capteur est suffisant), mise en œuvre en environnement EW, discrétion magnétique, etc...

Au final un USV de bathymétrie peut être plus petit (donc moins cher, et surtout beaucoup plus facile a mettre en oeuvre) qu'un USV de chasse aux mines. Ainsi (si je ne m'abuse), le SHOM a testé le Drix, qui est pratiquement 2 fois plus petit (et infiniment plus léger) qu'un USV type MMCM.

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  • 2 weeks later...

Forces armées aux Antilles

Le service hydrographique et océanographique de la Marine (Shom) en mission aux Antilles !

En mai, le SHOM a envoyé une équipe de quatre hydrographes en Martinique durant une quinzaine de jours au profit des Forces armées aux Antilles (FAA).

L’objectif était d’approfondir et de mettre à jour la topographie des fonds marins sur des zones stratégiques pour l’exécution des missions opérationnelles confiées aux FAA.

La première phase de la mission s’est déroulée au sein de la base navale de Fort-de-France et au pôle aéronautique étatique (PAE) au Lamentin. Dans la première emprise militaire, des mesures de profondeurs ont été réalisées pour étudier la faisabilité d’un projet qui permettrait d’étendre la capacité logistique et d’accueil de la base navale.

Dans la seconde emprise, l’équipe du SHOM a relevé des données sur une berge grâce à un nouveau matériel, un sondeur multifaisceaux installables sur tout type d’embarcations. L’objectif de ces mesures était de vérifier la possibilité d’installer une nouvelle cale de mise à l’eau afin d’avoir un accès sécurisé au PAE depuis la mer pour des moyens amphibies. Ceci dans le but d’effectuer des évacuations de personnes ou des transferts de fret et de matériel notamment en cas de situation d’urgence.

La deuxième partie de la mission du SHOM a été consacrée à la mise à jour des connaissances sur les différents sites de plageage de l’île. Un site de plageage est un lieu qui permet à des moyens amphibies (barges, chalands, etc.) d’arriver directement à terre depuis la mer. Ces sites sont stratégiques car ils offrent la possibilité aux forces armées de projeter ou de récupérer des civils, des militaires et du matériel dans des zones inaccessibles depuis la terre ou qui ne disposent pas d’installations portuaires. Les informations ainsi fournies par le SHOM sont primordiales pour les FAA qui peuvent intervenir au profit de la population en Martinique où le risque de #catastrophenaturel est élevé (cyclone, tsunami, tremblement de terre, éruption volcanique).

Depuis plus de 300 ans, le SHOM apporte à la Marine nationale soutien et expertise pour la préparation et l’exécution de ses missions opérationnelles. Ses hydrographes contribuent à garantir la liberté de navigation de la Marine mais aussi sa capacité de manœuvre et de projection de force et de puissance. Pour améliorer la disponibilité et la qualité des données hydrographiques sur l’ensemble du globe, ce service réalise des mesures dans le but de décrire le relief (bathymétrie, gravimétrie), la nature (sédimentologie) ou la dangerosité (hauts fonds, épaves, obstructions) des fonds marins. Il fournit également aux forces des produits décrivant les caractéristiques physiques de la colonne d'eau, permettant notamment aux forces sous-marines de modéliser la propagation des ondes acoustiques.

 

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  • 1 month later...

Le report de 1 ans du programme CHOF est du en partie à la mise en lumière d'un manquement capacitaire de la Marine française en surveillance des fond marin. Celà à été mis en lumière lors de la recherche de la minerve ou les drones américains pouvais couvrir 60 mille nautique carré par jours alors que la France seulement 2 mille nautique carré. Cette capacité permettra de lutter contre l'espionnage et le sabotages des réseaux de câble télécommunications sous marin. La France veut se doter de drone sous marin capable de travailler à très grande profondeurs, se drone pourra faire de la surveillance des réseaux de câble mais il devra également être doter d'une capacité à renflouer des objets sensible des fond marin comme des élément de missile M51. 

 

http://www.opex360.com/2021/07/24/la-recherche-de-lepave-de-la-minerve-a-mis-en-avant-les-lacunes-de-la-marine-pour-la-guerre-des-abysses/

Modifié par Vince88370
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