Pakal Posted January 4 Share Posted January 4 Consolidation en vue dans l'industrie européenne de Défense non sans arrières pensées.... Leonardo, partenaire italien du Tempest, s'invite chez Hensoldt, partenaire du FCAS, en acquérant 25% de l’électronicien Allemand auprès d'un fonds d'investissement pour "renforcer le partenariat à long terme entre les deux sociétés en définissant des initiatives de coopération pour développer des opportunités communes" https://www.flugrevue.de/flugzeugbau/verteidigungselektronik-leonardo-uebernimmt-25-1-prozent-von-hensoldt/ https://www.leonardocompany.com/en/press-release-detail/-/detail/03-01-2022-leonardo-completes-the-acquisition-of-hensoldt 2 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Pierre_F Posted January 4 Share Posted January 4 Cela ne sera pas la première fois, qu’avec une réussite technologique, nous soyons vaincus par des partenariats et montages financiers plus puissants... Nous aimons la techno et moins les 2 autres. Nous avons souvent pensé qu’avoir un bon produit suffisait pour vendre. 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Patrick Posted January 4 Share Posted January 4 Et oui ça commence à sentir l'entrisme. Mais pour le coup la bonne nouvelle c'est que si on s'en tient à une logique France Allemagne Espagne, alors ça affaiblit la position de Hensoldt plus qu'autre chose... Et c'est bon pour Thalès. Il y a 1 heure, Pierre_F a dit : Cela ne sera pas la première fois, qu’avec une réussite technologique, nous soyons vaincus par des partenariats et montages financiers plus puissants... Nous aimons la techno et moins les 2 autres. Nous avons souvent pensé qu’avoir un bon produit suffisait pour vendre. Le truc étant que quand on voit la situation aujourd'hui avec le Rafale face à l'Eurofighter, il semblerait qu'on ait eu raison. Et surtout à l'époque il n'y avait pas d'avion US pour faire de l'ombre à l'Eurofighter. Ce ne sont pas les quelques F-18 et F-16 qui allaient changer la donne Aujourd'hui il y a le F-35. Et le Brexit. Alors nos chers voisins européens, je VEUX les voir tenter un Eurofighter 2. 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Alberas Posted January 4 Share Posted January 4 Citation Mais pour le coup la bonne nouvelle c'est que si on s'en tient à une logique France Allemagne Espagne, alors ça affaiblit la position de Hensoldt plus qu'autre chose... Et c'est bon pour Thalès. A voir! Parce que d'une part, ça renforce l'alliance Leonardo/BAE sur le Tempest et, d'autre part, ça permet peut être aussi à Leonardo de s'immiscer dans SCAF. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
wagdoox Posted January 4 Share Posted January 4 il y a une heure, Alberas a dit : A voir! Parce que d'une part, ça renforce l'alliance Leonardo/BAE sur le Tempest et, d'autre part, ça permet peut être aussi à Leonardo de s'immiscer dans SCAF. Justement cette « infiltration » affaiblie le scaf ou la position de hensoldt dans le scaf. Perso, je vois pas ou est probleme. Thales est present dans un nb incroyable de pays, quand thales uk produit quelque chose pour le ru, on se retrouve pas forcement avec les plans dans les bureaux parisiens… Je vois pas pourquoi un actionnaire a 25% aurait les plans des radars du ngf. En revanche, on comprend mieux le desir italien de voir le scaf et tempest fusionner. L’italie se verait bien en passerelle entre les deux programmes et pourrait donc devenir le coeur du programme ainsi fusionné. 1 2 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Pierre_F Posted January 5 Share Posted January 5 (edited) Le 04/01/2022 à 22:59, Patrick a dit : Et oui ça commence à sentir l'entrisme. Mais pour le coup la bonne nouvelle c'est que si on s'en tient à une logique France Allemagne Espagne, alors ça affaiblit la position de Hensoldt plus qu'autre chose... Et c'est bon pour Thalès. Le truc étant que quand on voit la situation aujourd'hui avec le Rafale face à l'Eurofighter, il semblerait qu'on ait eu raison. Et surtout à l'époque il n'y avait pas d'avion US pour faire de l'ombre à l'Eurofighter. Ce ne sont pas les quelques F-18 et F-16 qui allaient changer la donne Aujourd'hui il y a le F-35. Et le Brexit. Alors nos chers voisins européens, je VEUX les voir tenter un Eurofighter 2. C’est surtout que certains font un pari ... Nombreux sont les pays européens qui pensent que le nombre et le volume des échanges économiques protègent mieux qu’une défense militaire surtout quand ces pays n’ont pas d’enjeux territoriaux sur les 5 continents. Ainsi, ils ne croient pas trop aux risques d’être attaqué et que l’armée leur permet d’avoir une petite ambition diplomatique aux frontières de l’Europe. Ils pensent que USA viendront forcément défendre l’Europe au vu des enjeux économiques et idéologiques. Bref, F35 ou avion Européen , Rafale ou Eurofighter 2, n’est qu’un enjeu industriel et une opportunité d’exportation à mettre en rapport avec des investissements nécessaires à construire leur défense. .... Suivant les pays et leur proximité aux frontières de l’Europe, les réponses sont différentes. Si nous n’avions pas d’intérêts globaux et une présence au CS de l’ONU, je pense que nous aurions une approche plus économique et industrielle. Edited January 6 by Pierre_F 2 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
P4 Posted January 5 Share Posted January 5 (edited) 3 hours ago, Pierre_F said: Suivant les pays et leur proximité aux frontières de l’Europe, les réponses sont différentes. Il y a aussi d'autres ambitions avec en première position l'exploration spatiale et c'est le cas pour l'Allemagne. Edited January 5 by P4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Popular Post lukycold Posted January 11 Popular Post Share Posted January 11 La DGA réalise un essai majeur SCAF https://www.defense.gouv.fr/dga/actualite/la-dga-realise-un-essai-majeur-pour-prefigurer-le-prochain-moteur-du-scaf 7 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Claudio Lopez Posted January 11 Share Posted January 11 (edited) C'est bon ça. Le moteur est déjà bien avancé sur le choix des matériaux et des différents alliages qui vont composer le moteur du futur NGF. SAFRAN et la DGA auront donc juste besoin des sous pour le développement et au diable les compétences de MTU Edited January 11 by Claudio Lopez 1 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Skw Posted January 11 Share Posted January 11 il y a 7 minutes, Claudio Lopez a dit : Le moteur est déjà bien avancé sur le choix des matériaux et des différents alliages qui vont composer le moteur du futur NGF... SAFRAN et la DGA auront donc juste besoin des sous pour le développement [...] Euh... Cela a donc l'air simple, le développement d'un moteur. Il suffit d'injecter un peu de sous... Le F135 a dû également impressionner lors de ses premières phases de test. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Claudio Lopez Posted January 11 Share Posted January 11 @SKW Le souci est qu'il ne faut pas un peu de sous...., il faut BEAUCOUP DE SOUS ! Et les meilleures ingénieures et un savoir faire accumulé depuis des décennies. En effet, il est nécéssaire de faire un nombre innombrables de tests avec un grand nombre de prototype et donc un grand nombre de banc d'essaie avec une multitude équipes qui travaillent en parallèle pour trouver la meilleure solution pour telle ou telle partie du moteur... Donc beaucoup de sous , et beaucoup de temps... Le F136 est un vraiment un cas traitre... Ils ont du dépenser des milliards pour le concevoir et pour rapporter pinuts... Roll Royce et GE doivent être vert ... Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Bechar06 Posted January 11 Share Posted January 11 (edited) @pascal occasion de réveiller un tout petit peu le fil "NEFE ( New European Fighter Engine) Moteur du NGF / SCAF" laissé clos depuis le 1 er mai 2021 ? Il y a 15 heures, lukycold a dit : La DGA réalise un essai majeur SCAF https://www.defense.gouv.fr/dga/actualite/la-dga-realise-un-essai-majeur-pour-prefigurer-le-prochain-moteur-du-scaf A suivre dans le fil voisin : "NEFE ( New European Fighter Engine) Moteur du NGF / SCAF" Edited January 12 by Bechar06 1 1 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
pascal Posted January 12 Share Posted January 12 @Bechar06 c'est fait ... Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posted January 12 Share Posted January 12 2040, l'odyssée du SCAF - Le système de combat aérien du futur 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
MIC_A Posted January 12 Share Posted January 12 (edited) Ah ! ce titre me rappelle vaguement un film ou on risque de voir ce programme mort et enterré avec comme stèle un monolithe noir ! Je me souviens de l'ordinateur de bord (Hal 9000) qui n'en faisait qu'à sa tête en version Française il fut rebaptisé "Carl", prémonitoire ? Edited January 12 by MIC_A 1 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Popular Post Skw Posted January 12 Popular Post Share Posted January 12 (edited) Un article du Financial Times. Ce n'est pas qu'on y apprenne grand chose, mais cela donne une idée de comment sont suivis le programme et son développement chaotique dans d'autres contrées européennes. Cela dit, l'expert interrogé est Francis Tusa... et la tonalité aurait peut-être été un peu différente avec un autre suiveur du dossier. Citation La victoire de la défense française pourrait signifier une défaite pour la coopération européenne L'accord Rafale des Emirats Arabes Unis fait pencher la balance des pouvoirs dans le projet de systèmes aériens de combat vers Paris Peggy Hollinger L'industrie française de la défense avait deux raisons de se réjouir lorsque les Émirats arabes unis ont accepté d'acheter 80 chasseurs Rafale à Dassault Aviation le mois dernier. Premièrement, c'était une douce revanche suite à l'humiliation de l'automne dernier lorsque l'Australie s'est éloignée d'un accord sur les sous-marins en faveur d'une alliance avec les États-Unis. Il a dû y avoir un frisson de satisfaction à Paris lorsqu'Abu Dhabi, quelques jours après avoir accepté d'acheter le chasseur français, a suspendu les pourparlers avec les États-Unis sur l'achat du F-35 de Lockheed Martin. Deuxièmement, la commande des Émirats arabes unis - d'une valeur estimée à 14 milliards d'euros - garantira la production du Rafale jusqu'en 2031, ainsi que le travail de plus de 400 entreprises françaises de la chaîne d'approvisionnement. Il contribuera également à financer les investissements de la France dans les futures mises à niveau du Rafale, qui devrait désormais être en service jusqu'aux années 2050. Pourtant, si l'accord a de nombreux avantages du point de vue français, il risque de déstabiliser les efforts de l'Europe en matière de collaboration en matière de défense. Car cela renforce la main de Dassault dans les négociations toujours difficiles avec la division de défense d'Airbus basée en Allemagne sur le futur système aérien de combat (FCAS) proposé par l'Europe. La dernière fois que Dassault - et par extension le ministère français de la Défense - a estimé qu'il n'obtenait pas ce dont il avait besoin d'un programme de combat européen, il s'est éloigné. Le résultat fut le Rafale de Dassault. Lancé en 2017 par l'ancienne chancelière allemande Angela Merkel et le président français Emmanuel Macron, le FCAS était un projet ouvertement politique. Il a montré la détermination des deux pays à renforcer la capacité militaire souveraine de l'Europe après la sortie de la Grande-Bretagne de l'UE. En 2019, l'Espagne a rejoint le programme. Les problèmes ont commencé lorsque les politiciens l'ont remis à l'industrie. Dès le début, il a été marqué par des querelles sur le partage de la technologie et le leadership des parties les plus critiques du programme. Les combats ont été exacerbés par des idées fondamentalement différentes de ce que signifiait la collaboration. « La collaboration française garantit que vous obtenez le résultat le plus efficace », généralement sous la direction française, explique un responsable européen de la défense. "En Allemagne, il s'agit en partie du meilleur athlète, mais aussi du partage du travail industriel." Le projet a également réuni deux rivaux acharnés – Dassault et Airbus Defence and Space. Mais l'année dernière, il semblait que les ambitions politiques de l'Europe avaient pris le dessus. Un accord sur les principes de base a été conclu et des accords industriels ont été conclus sur six des sept piliers du projet, couvrant les avions avec et sans pilote, les communications spatiales et terrestres, les technologies furtives de pointe, l'intelligence artificielle et plus encore. Mais les divisions restent sur le septième pilier - l'avion de combat de prochaine génération lui-même - et il n'y a aucun signe de compromis imminent. Les deux parties ont des raisons logiques de se creuser les talons. Dassault, porte-drapeau de la souveraineté de la France dans les avions de combat, soutient qu'il doit développer et gérer lui-même le système de contrôle de vol crucial, par exemple. Mais l'Allemagne s'attend naturellement à ce que son industrie ait accès à la technologie, ayant promis des milliards pour le projet. C'est dans ce contexte que l'accord Rafale des Émirats arabes unis pourrait faire pencher la balance, soutient Francis Tusa, consultant et rédacteur en chef de la newsletter Defence Analysis. "Cela a changé l'équation", dit-il. « La France n'a plus besoin de l'Allemagne. Les bénéfices qu'ils tireront de l'accord avec les Émirats arabes unis financeront les mises à niveau du Rafale. » « Les jours du projet sont comptés à moins que les Allemands ne comprennent où ils se situent dans l'ordre hiérarchique », ajoute Tusa. « Ils ne sont pas égaux en termes de capacité industrielle. » Pendant ce temps, les plans du nouveau gouvernement allemand de codifier dans la loi les restrictions plus strictes du pays sur les exportations d'armes - les limitant potentiellement à l'OTAN et à l'UE - ajoutent aux tensions. De telles contraintes sur les exportations "seraient une tuerie", a déclaré un responsable français de la défense. Ce serait un coup dur pour les ambitions de défense de l'Europe si la France choisissait de se retirer à nouveau d'un combattant européen. Ce serait aussi un échec pour Macron, qui a privilégié la collaboration pendant la présidence française de l'UE. Mais les élections présidentielles se profilent en avril et la famille Dassault ne contrôle pas seulement une entreprise clé de la défense française. Il possède le journal politiquement influent Le Figaro. En fin de compte, alors que seuls les politiciens des deux côtés peuvent résoudre l'impasse, cela devra peut-être attendre que la France se rende aux urnes. Mais plus l'impasse perdure, plus le risque pour l'Europe que son dernier test de coopération commence à s'effondrer est grand. peggy.hollinger@ft.com Traduit automatiquement avec Google Translate https://www.ft.com/content/095d4c62-f215-499e-9ea0-cd26e0f5b42b En revanche, et je ne me souviens plus si j'avais rapporté cela par ailleurs, mais il semble qu'il y aurait eu un certain consensus d'obtenu entre la présidence française et l'ancienne coalition gouvernementale allemande en ce qui concerne la politique d'exportation d'armes. Avec la nouvelle coalition, il n'est pas du tout dit que ce consensus tiendra. Autrement dit, c'est à se demander si la possibilité d'une coopération ne recule pas plutôt qu'elle n'avance, du moins par certains aspects. Par ailleurs, si jamais les députés allemands votent une nouvelle loi plus contraignante en matière d'exportation d'armes... je ne sais pas quel pays voudra les voir dans de futurs projets communs. Cela ne m'étonnerait pas que les Britanniques leur ferment la porte si jamais ceux-là envisageaient finalement de rejoindre le Tempest. Edited January 12 by Skw 4 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Bechar06 Posted January 12 Share Posted January 12 Il y a 3 heures, MIC_A a dit : Ah ! ce titre me rappelle vaguement un film ou on risque de voir ce programme mort et enterré avec comme stèle un monolithe noir ! Je me souviens de l'ordinateur de bord (Hal 9000) qui n'en faisait qu'à sa tête en version Française il fut rebaptisé "Carl", prémonitoire ? Pourquoi l'ordinateur CARL est-il de marque HAL ??? Le savez vous ? dans ce fameux film Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
tipi Posted January 12 Share Posted January 12 HAL c’est IBM décalé d’une lettre. 3 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
MIC_A Posted January 12 Share Posted January 12 (edited) Désolé pour l'imprécision, dans la version du film en Anglais l'ordinateur ou plutôt l'IA est appelé HAL9000 ! Dans la version Française du film c'est "Carl" ça reste un film" culte". Révélation Edited January 12 by MIC_A Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
P4 Posted January 12 Share Posted January 12 1 hour ago, Skw said: « Les jours du projet sont comptés à moins que les Allemands ne comprennent où ils se situent dans l'ordre hiérarchique », ajoute Tusa. « Ils ne sont pas égaux en termes de capacité industrielle. » Si, il est bon cet article car celle- là, elle est saignante. 3 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
jean-françois Posted January 12 Share Posted January 12 oui, mais celle-là ils ne n'accepterons jamais de le reconnaitre et préfèrerons laisser mourir le projet que de travailler sur ce mode. Ce n'est pas dans leur mentalité 2 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
emixam Posted January 12 Share Posted January 12 il y a 29 minutes, jean-françois a dit : oui, mais celle-là ils ne n'accepterons jamais de le reconnaitre et préfèrerons laisser mourir le projet que de travailler sur ce mode. Ce n'est pas dans leur mentalité Après c'est mieux pour nous de faire seul que d'avoir ce genre de partenaires. 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Titoo78 Posted January 12 Share Posted January 12 Il y a 4 heures, Skw a dit : Un article du Financial Times. Ce n'est pas qu'on y apprenne grand chose, mais cela donne une idée de comment sont suivis le programme et son développement chaotique dans d'autres contrées européennes. Cela dit, l'expert interrogé est Francis Tusa... et la tonalité aurait peut-être été un peu différente avec un autre suiveur du dossier. En revanche, et je ne me souviens plus si j'avais rapporté cela par ailleurs, mais il semble qu'il y aurait eu un certain consensus d'obtenu entre la présidence française et l'ancienne coalition gouvernementale allemande en ce qui concerne la politique d'exportation d'armes. Avec la nouvelle coalition, il n'est pas du tout dit que ce consensus tiendra. Autrement dit, c'est à se demander si la possibilité d'une coopération ne recule pas plutôt qu'elle n'avance, du moins par certains aspects. Par ailleurs, si jamais les députés allemands votent une nouvelle loi plus contraignante en matière d'exportation d'armes... je ne sais pas quel pays voudra les voir dans de futurs projets communs. Cela ne m'étonnerait pas que les Britanniques leur ferment la porte si jamais ceux-là envisageaient finalement de rejoindre le Tempest. Si DA et Airbus ne convergent pas sur le pilier NGD, est-ce que cela remet nécessairement l'ensemble du SCAF en cause ? S'agissant d'un système de systèmes, ça doit quand même être relativement ouvert, a minima pouvoir supporter différents types de chasseurs non ? In fine ça pourrait être chacun fait son chasseur et on converge sur le reste. Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
P4 Posted January 12 Share Posted January 12 Oui mais il y a le précédent BELGE, le F35 exclut du SCAF. 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Teenytoon Posted January 12 Share Posted January 12 Il y a 5 heures, tipi a dit : HAL c’est IBM décalé d’une lettre. Un peu comme dans la réalité, HAL c'est tout décalé... 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
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