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L'après NH-90 : H médian NG / «Next-Generation Rotorcraft Capability» (NGRC) de l’OTAN [ 2021 ... ] / ENGRT: la réponse européenne


Bechar06
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il y a 57 minutes, Bechar06 a dit :

En fait ils disent bien que  Si la Vitesse et la Portée des Tilts sont supérieurs ( 5 et 4 )  à un hélico classique ... Cela se paye sous forme de COUTS et COMPLEXITE très négatifs  ( 0 et 1 ) ..

Su le plan vitesse : le Winged Hybrid n'est pas évalué .. Dommage ! 

Ou alors semblable au hybrid w/o Wing ?

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  • 3 weeks later...
  • Bechar06 changed the title to L'après NH-90 : H médian NG / «Next-Generation Rotorcraft Capability» (NGRC) de l’OTAN [ 2021 ... ] / ENGRT: la réponse européenne

H-35  à éviter absolument !  ou comment tirer des leçons ?          OU               Les US et leurs trop proches alliés ( UK, IT, NL ) en complainte contre le clan des "français" 

https://www.defense-aerospace.com/us-armys-future-vertical-lift-could-overwhelm-europe-at-lightning-speed/

"Will the Future Vertical Lift be Europe’s ‘H-35’?   Warnings about the long-term risks of such transatlantic collaboration unsurprisingly came from France, and once again from Airbus’ Bruno Even, who clearly stated that “what [Europe] needs to avoid is an H-35, similar to what we have seeing with the F-35.” The comparison is quite striking, as London, Rome and Amsterdam all participate in the Lightning program."

 

 

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  • 3 weeks later...

IMHelicon 2023   et    ENGRT   EU Next Generation Rotorcraft Technologies Project 

https://www.defenceiq.com/events-militaryhelicopter  International Military Helicopters

6 priorités pour la prochaine génération d'hélicoptères militaires

 

Modifié par Bechar06
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  • 1 month later...
il y a 4 minutes, HK a dit :

C’est sûr qu’un helico ultra sophistiqué de 10-15t avec seulement 6 pax ça va être hyper attractif pour remplacer les NH-90…

NH-90 déjà hors de prix par rapport à sa valeur ajoutée opérationnelle...

Et helicoptetes contenders tresdifferent en terme de solution, de prestation et de design, présentés dans le tweet.

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Pour ceux qui se demande pourquoi la cabine du Siko est si petit et ce qu'il y a l'arriere.

Au delà de la derniere fenetre, celle qui est dans la porte coulissante. Il y a :

  • en haut mais dans le fuselage principal la motorisation, la boite de transfert principal, et le gros étage de transmission vers l'arriere. Transmission vers l'arriere qui sembe tres encombrante parce que l'arbre passe sous les turbines.
  • en bas le fuel ...

Et c'est tout mais c'est déjà plein.

Le plancher cabine n’accueille pas de fuel du tout, tout est dans la partie basse du fuselage à l'aplombe de l'axe du rotor.

En gros

128634-12624d1b08eec2a7866a1d136ca04598.

La cabine est un peu plus grande que l'illusatrion sur twitter. 12 troops et 2 gunners.

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4 hours ago, HK said:

@g4lly Ca n’a pas tout à fait l’air comme le DefiantX… peut être qu’ils partent sur un modèle intermédiaire entre le Raider et le Défiant?

Normalement il n'y a que de "taille" light et medium ... ce serait le light qui serait proposé?!

1553204860065-family.jpg?auto=webp&optim

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  • 1 month later...

De quoi occuper les pour-s et les contre-s de la coopération .. Sauf que là c'est la France qui a leadership : dans quelles conditions ??  Avec quelle organisation ?    L' ITALIE est visée et très concernée

https://www.opex360.com/2023/05/23/la-france-va-coordonner-un-projet-europeen-dhelicoptere-moyen-de-nouvelle-generation/

UE    CSP   AED  FEDEF               "La France va coordonner un projet européen d’hélicoptère « moyen » de nouvelle génération"

parmi  "une liste de onze nouveaux projets devant bénéficier d’un financement au titre de la Coopération structurée permanente [CSP]...  l’un d’eux rejoint le NGRC de l’Otan puisque, appelé NGMH [ Next Generation Medium Helicopter ], il vise à développer un « hélicoptère moyen de nouvelle génération »

« Le NGMH assurera la disponibilité et l’adéquation des flottes d’hélicoptères de l’UE jusqu’en 2040 » ainsi que « la préparation de l’hélicoptère européen de nouvelle génération », avec la nécessité de « faire face à des conflits de haute intensité », poursuit-elle, sans préciser le montant de l’enveloppe allouée à ce projet… qui sera coordonné par la France, avec la participation de l’Italie, de la Suède et de la Finlande

"A priori, et comme pour le NGRC de l’Otan, deux constructeurs devraient jouer un rôle majeur dans ce projet « PESCO » : Airbus Helicopters et Leonardo, lesquels ont déjà collaboré au sein de NHIndustries, le consortium qui produit le NH-90 Caïman. En outre, l’un et l’autre participent au programme [civil] Clean Sky 2, avec respectivement le Racer ( fil de ce forum ) et le NextGenCTR."  ( évoqué en 2021 sur ce Forum ... cf. BA-609 )

Jérôme Combe, responsable de la stratégie d’Airbus Helicopters, avait défendu l’idée d’un rapprochement avec Leonardo... « pas souhaitable d’avoir deux grands constructeurs européens d »hélicoptères en concurrence sur un marché militaire en déclin »  "pas la masse critique" sinon ... alors ....  "Et d’ajouter qu’il serait possible « d’unir » les forces dans le cadre d’une programme financé par le Fonds européen de Défense [FEDEF]"

Prochain épisode concret : le premier vol du RACER, prévu fin 2023 

NextGenCTR par ici =>  TR pour TiltRotor et tout le monde aura compris....   https://www.clean-aviation.eu/the-only-way-is-up-nextgenctr-takes-shape

 

 

Modifié par Bechar06
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  • 3 weeks later...

Sur le prochain Hélicoptère de l'Otan et entre autre restes de l'Ukraine 

https://www.defensenews.com/air/2023/06/12/industry-eyes-ukraine-war-to-sharpen-proposals-for-nato-helo-fleet/?s=03

Révélation

Alors que certains pays de l'OTAN s'apprêtent à dessiner un nouvel hélicoptère militaire, les fabricants étudient la guerre russe en Ukraine à la recherche d'indices sur les caractéristiques et les tactiques qui donneraient un avantage à leurs modèles.
Depuis février 2022, les dirigeants occidentaux ont mis l'accent sur la guerre terrestre conventionnelle et les capacités connexes. Pour le monde des giravions, les batailles qui font rage dans le pays ont démontré que ce ne sont pas seulement les aéronefs eux-mêmes qui sont un facteur décisif dans la guerre, mais aussi les choix tactiques des commandants lorsqu'ils les emploient.

La Russie et l'Ukraine font toutes deux voler des hélicoptères Mil Mi-8 datant des années 1960 sur le champ de bataille ukrainien, mais de manière très différente, a déclaré Stefan Thomé, vice-président exécutif de l'ingénierie et directeur technique d'Airbus Helicopters, ainsi que PDG de la branche allemande de l'entreprise.
Les troupes russes ont utilisé leurs appareils de jour et à haute altitude, offrant ainsi aux défenseurs ukrainiens une cible facile, a-t-il déclaré à Defense News. De leur côté, les pilotes ukrainiens ont utilisé le même type d'appareil, mais principalement la nuit ou à l'aube, à basse altitude et toujours avec une couverture naturelle à proximité.
"L'une des leçons de l'Ukraine pour tout le monde est que la manière dont vous utilisez vos systèmes, vos armes, votre véhicule, peut être plus décisive que le véhicule lui-même", a déclaré M. Thomé. "Face à deux véhicules identiques, c'est le concept opérationnel qui fait la différence.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, Airbus a vu des nations clientes réévaluer leurs concepts opérationnels, envisageant de nouvelles façons d'utiliser les équipements existants et prévus pour un effet maximal, a ajouté M. Thomé. Et comme l'Europe cherche à rafraîchir ses capacités en matière d'hélicoptères militaires au cours de la prochaine décennie, les leçons tirées de la guerre ne manqueront pas de faire leur chemin dans les propositions de l'industrie, a-t-il fait remarquer.

Plusieurs membres de l'OTAN en sont aux premières phases du développement d'un nouvel hélicoptère multirôle d'ici à 2035. Le NGRC (Next Generation Rotorcraft Capability) est destiné à aider les alliés dans des missions telles que l'insertion et l'extraction de forces d'opérations spéciales et le transport de marchandises et de troupes de petite et moyenne taille sur le champ de bataille. Elle pourrait également être utilisée pour l'évacuation médicale, les opérations de recherche et de sauvetage et la lutte anti-sous-marine.

Six pays ont signé un protocole d'accord en juin 2022 lors de la conférence bisannuelle Eurosatory à Paris. La France, l'Allemagne, la Grèce, l'Italie, les Pays-Bas et le Royaume-Uni ont alors accepté de contribuer collectivement à hauteur d'environ 28 millions de dollars pour développer des concepts communs pour le nouveau giravion.
Le Canada devrait rejoindre le projet en juin, a déclaré un porte-parole de l'OTAN à Defense News.
Jusqu'à présent, le groupe du NGRC a planifié une poignée d'études conceptuelles. Une ou deux de ces études seront attribuées cette année, en se concentrant sur les nouvelles solutions de centrales électriques et sur l'architecture à système ouvert.
Les responsables de l'Alliance ont déjà discuté avec des fabricants d'hélicoptères européens, dont Airbus, au cours de ces premiers jours d'affinage des exigences. Selon M. Thomé, il s'agit d'une initiative "importante" qui pourrait déboucher sur de multiples capacités.

Les parties prenantes au programme se sont largement mises d'accord sur la taille du prochain hélicoptère allié, a-t-il noté.
Les documents de l'OTAN indiquent que le nouvel appareil devrait avoir un rayon d'action sans carburant de plus de 1 650 kilomètres, une autonomie de huit heures et une capacité de charge comprise entre 10 000 et 17 000 kilogrammes (22 000 et 37 500 livres). Les exigences en matière de connectivité et de maintenabilité sur le terrain sont deux autres éléments qui semblent avoir été réglés, a déclaré M. Thomé. D'autres caractéristiques sont en cours de discussion, notamment la capacité d'opérer ou de se connecter avec d'autres véhicules avec ou sans équipage, ainsi que des outils de prise de décision en temps réel pour les pilotes dans le cadre d'une suite avionique ou de systèmes de communication, a-t-il ajouté.
Les États-Unis ne participent pas à l'effort du NGRC en tant que tel, a déclaré le porte-parole de l'alliance à Defense News, "mais en tant que membre de l'OTAN ayant une expérience très solide en matière de giravions innovants, nous maintenons des canaux de communication pour partager nos commentaires".  Un fossé technologique transatlantique ? Si les partenaires européens de l'OTAN traînent trop longtemps les pieds, cela pourrait exacerber ce que certains analystes considèrent comme une disparité transatlantique croissante en matière de technologie de vol vertical. Le fait qu'il existe plusieurs projets visant à peu près la même capacité complique les choses. Les responsables de l'Union européenne ont récemment annoncé leurs propres efforts en matière d'hélicoptères dans le cadre du programme de coopération permanente structurée en matière de défense. La France dirigera le programme d'hélicoptères moyens de nouvelle génération, auquel participent également l'Italie, la Finlande et l'Espagne, qui travailleront sur de nouvelles plates-formes et moderniseront les types d'hélicoptères existants, tels que le NH90.
Le programme "assurera la disponibilité et l'adéquation des flottes d'hélicoptères de l'UE jusqu'en 2040", a déclaré l'UE, tout en alimentant le programme "Next Generation Rotorcraft Technologies" de l'Union européenne. "Les Etats-Unis ont investi dans la technologie des hélicoptères de nouvelle génération et ont identifié le bond en avant qu'ils souhaitent faire, ce que l'Europe n'a pas encore fait", a déclaré Alessandro Marrone, responsable du programme de défense au sein du groupe de réflexion IAI, basé à Rome. "L'Europe doit prendre des décisions importantes, et attendre trop longtemps serait préjudiciable.  

La configuration des hélices et, par conséquent, l'importance accordée à l'agilité dans les scénarios d'utilisation des hélicoptères constituent une bifurcation clé dans le développement futur.
Un démonstrateur technologique de tiltrotor Bell V-280 Valor a volé pour la première fois en 2021. (Avec l'aimable autorisation de Bell) L'année dernière, l'armée américaine a choisi l'avion à rotors basculants Bell V-280 pour remplacer les Black Hawks dans le cadre du programme Future Long Range Assault Aircraft (FLRAA), rejetant la proposition de rotor coaxial Defiant X de Sikorsky. L'armée n'a pas encore choisi de plate-forme pour son programme Future Attack Reconnaissance Aircraft, mais toute décision prise dans le cadre d'un programme américain de cette envergure influencerait probablement les choix technologiques occidentaux dans leur ensemble.
"Les programmes américains sont l'éléphant dans la pièce en Europe lorsqu'il s'agit du débat sur les hélicoptères du futur", a déclaré M. Marrone. Entre-temps, la décision américaine de rejeter la proposition de Sikorsky a fait sourciller l'Italie, où les généraux et les responsables du budget de la défense s'étaient fermement prononcés en faveur de cette technologie. L'énigme du coaxial en Italie L'année dernière, avant la décision de la FLRAA de l'armée américaine, le chef de l'armée de l'air italienne, le général Luca Goretti, a exhorté l'Italie à s'associer avec Sikorsky et sa société mère Lockheed Martin sur les hélicoptères à rotors coaxiaux. Ce type de système comprend deux rotors tournant dans des directions opposées et des hélices poussantes qui augmentent la vitesse. Il a déclaré que l'armée de l'air italienne avait besoin de ce type d'appareil, craignant que la solution à rotors basculants de Bell ne s'accompagne d'une facture de maintenance élevée. Le budget italien de la défense pour 2022 comprend un financement initial pour un programme d'hélicoptère rapide de nouvelle génération "basé sur une technologie avancée et potentiellement perturbatrice, par exemple des rotors coaxiaux et des hélices de poussée". Le programme devrait recevoir un financement de 129 millions d'euros (138 millions de dollars américains) d'ici 2032, selon le plan budgétaire. Pour dissiper tout doute quant à la préférence du ministère de la défense pour l'un des candidats américains FLRAA, le document comporte une illustration de l'hélicoptère de Sikorsky. 

Mais suite à la défaite de la FLRAA, l'enthousiasme pour cette technologie spécifique de Sikorsky est en train de vaciller, selon une source au courant des discussions du ministère. "En outre, l'explication de l'armée américaine sur les raisons du rejet de Sikorsky était très critique, suggérant presque que la société n'était pas fiable", a déclaré la source à Defense News sous le couvert de l'anonymat pour discuter des délibérations internes.
Des initiés en Italie ont entre-temps déclaré que l'entreprise locale Leonardo était moins enthousiaste à l'égard de la solution coaxiale que les généraux italiens, bien que le gouvernement ait demandé à l'entreprise de faire équipe avec Lockheed Martin sur la technologie. Cette réticence était liée à la crainte que le fait de se concentrer sur la technologie coaxiale ne draine des fonds du développement actuel par Leonardo de l'hélicoptère conventionnel AW249, qui remplacera l'hélicoptère de combat AW129, et de l'hélicoptère à rotors basculants AW609.
Un porte-parole de Leonardo a récemment déclaré que l'entreprise avait d'abord mené une étude sur la technologie coaxiale avec Lockheed Martin en 2021 à la demande du ministère italien de la Défense, ajoutant que "ces dernières semaines", le ministère avait demandé à Leonardo d'entreprendre "une deuxième phase d'étude basée sur les besoins opérationnels des différents services". Interrogée sur les prévisions de Leonardo concernant les hélicoptères du futur, la société a déclaré qu'elle voyait un rôle pour les technologies conventionnelles d'aujourd'hui. "Dans un avenir proche, nous voyons des capacités plus importantes introduites progressivement sur les modèles conventionnels existants, ou un mélange de plates-formes de dernière génération, à double usage et spécialisées entrant sur le marché", a déclaré la société dans un communiqué à Defense News.
Ces capacités incluraient des caractéristiques réseau-centrées plus importantes, une avionique avancée, des équipes avec ou sans pilote et une plus grande autonomie. "À plus long terme, même si des solutions et des architectures perturbatrices devraient progressivement entrer dans les inventaires, les hélicoptères conventionnels, mais plus intelligents, continueront à jouer un rôle important pendant des décennies", a déclaré Leonardo. Selon l'entreprise, il existe encore de nombreuses opportunités pour de nouveaux modèles "révolutionnaires", principalement pour offrir des vitesses plus élevées et des portées plus importantes.

 

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  • 6 months later...

A partir de Janvier 2024  Nouveau contrat d'étude  OTAN  à un MOTORISTE US  avec acolyte italien ( Avio ! Gagné ! )

https://www.forcesoperations.com/ngrc-une-premiere-etude-decolle-sans-acteur-francais-a-bord/

"NGRC : une première étude décolle sans acteur français à bord                 Un premier contrat d’étude vient d’être attribué au groupe américain GE Aerospace dans le cadre du programme « Next Generation Rotorcraft Capability » (NGRC) de l’OTAN, effort lancé par six pays* pour concevoir une nouvelle génération d’hélicoptères à l’horizon 2035-2040. 

Centrée sur la motorisation, l’analyse transformative notifiée le 5 décembre verra GE Aerospace « identifier, évaluer et comparer des solutions de propulsion innovantes susceptibles de répondre aux exigences capacitaires de NGRC »

Lancée en janvier pour une durée de six mois, cette analyse fournira notamment les données nécessaires à une future étude consacrée au concept de plateforme intégrée, l’une des cinq inscrites dans la feuille de route de NGRC. 

la sélection d’un acteur provenant d’un pays n’étant pas officiellement partie prenante dans NGRC interroge néanmoins Et si une partie des travaux reposera sur l’entreprise italienne Avio Aero, celle-ci reste une filiale à 100% du groupe américain. 

Un camouflet pour l’Europe et l’un de ses champions, Safran Helicopter Engines ? Pas nécessairement. Non seulement NGRC reste à un stade très amont, mais cette étude n’a pas pour objet de retenir une solution mais d’établir un panorama du marché actuel et futur. Aucune porte n’est donc close à ce stade. Surtout, le choix de la NSPA pourrait servir de coup de fouet aux démarches déjà engagées entre Européens dans ce segment. 

En juin dernier le motoriste français SAFRAN s’était lié à l’allemand MTU Aero Engines pour proposer une solution 100% européenne. Le duo a d’ailleurs d’emblée inscrit ce rapprochement non pas sous la bannière de l’OTAN mais sous celle du projet européen « EU Next Generation Rotorcraft Technologies » (ENGRT)  => fournir une réponse souveraine à l’un des concurrents potentiels, le moteur T901 conçu par GE Aerospace et sélectionné par l’US Army pour équiper le successeur des hélicoptères AH-64 et UH-60"

 

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