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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires


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il y a 29 minutes, Ciders a dit :

Franchement, si les Russes avaient mieux géré, ils ne se trouveraient pas dans cette impasse.

A ce que je comprends, les russes pensent qu'on les prend pour des idiots depuis des années au sujet de l'Ukraine et considèrent que le temps joue en leur défaveur. Attendre plus veut dire qu'ils auraient été incapable d'attaquer l'Ukraine et que celle-ci aurait peut être été en capacité de reprendre par la force les républiques séparatistes surtout si l'Ukraine adhérait à l'OTAN. Pire, que les sanctions économiques déjà présentes allaient de toute façon se renforcer au gré des évènements. Et ils ont eu chaud récemment en Biélorussie qui risque donc de subir le sort ukrainien. 

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il y a 24 minutes, Banzinou a dit :

C'est surtout qu'à Hostomel il y a l'effet de surprise.

Je pense que la défense ukranienne à Odessa doit être conséquente, ça fait depuis le 24 qu'on parle d'un débarquement

La menace d'un débarquement doit au minimum maintenir des troupes en place qui seraient bien nécessaire ailleurs. Pareil pour les contre-attaques sur Kherson qui dans les faits ne sont pas critiques pour la fin du conflit mais use peut être le potentiel ukrainien.

On avait vu une vidéo d'embuscade pour le pont de Kherson et ce qui m'a surpris le plus était la faiblesse des moyens dans les deux camps. Deux véhicules de reco pour les ukrainiens et un groupe d'infanterie légère pour les russes. C'était pourtant un objectif très conséquent voir critique.

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il y a 5 minutes, Akhilleus a dit :

points de situation

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Ok, ça n'est pas une avancée en mode panzer

on n'est plutôt dans le grignotage

ça va être long

Pour les fronts nord-est et est, la question est que vont décider les Ukrainiens ?

il y a 2 minutes, Deres a dit :

La menace d'un débarquement doit au minimum maintenir des troupes en place qui seraient bien nécessaire ailleurs. Pareil pour les contre-attaques sur Kherson qui dans les faits ne sont pas critiques pour la fin du conflit mais use peut être le potentiel ukrainien.

On avait vu une vidéo d'embuscade pour le pont de Kherson et ce qui m'a surpris le plus était la faiblesse des moyens dans les deux camps. Deux véhicules de reco pour les ukrainiens et un groupe d'infanterie légère pour les russes. C'était pourtant un objectif très conséquent voir critique.

Oui mais ils (les deux camps) essayent d'être partout donc forcément les forces sont (très/trop) diluées.

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Les ukrainiens doivent être bien renseignés sur les concentrations russes et les axes de progression. Par ailleurs ce n'est pas non plus une marabounta rouge qui va déferler sur Odessa - à tout casser  quelques dizaines de milliers de soldats sensiblement éprouvés. Ca risque d'être assez vite stoppé devant une défense bien organisée.

Modifié par Lezard-vert
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il y a 7 minutes, Deres a dit :

La menace d'un débarquement doit au minimum maintenir des troupes en place qui seraient bien nécessaire ailleurs. Pareil pour les contre-attaques sur Kherson qui dans les faits ne sont pas critiques pour la fin du conflit mais use peut être le potentiel ukrainien.

On avait vu une vidéo d'embuscade pour le pont de Kherson et ce qui m'a surpris le plus était la faiblesse des moyens dans les deux camps. Deux véhicules de reco pour les ukrainiens et un groupe d'infanterie légère pour les russes. C'était pourtant un objectif très conséquent voir critique.

Cette épisode a été expliqué en vidéo, il s'agit du 24 février, les pièces d'artillerie ukrainiennes ont été attaquées sur le pont, deux groupes ukrainiens en BRDM-2 ont été dépêchés sur place, peut être pour chercher des survivants et sont tombés dans une embuscade de soldats russes

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Il y a 14 heures, Scarabé a dit :

On voit pas trop de nids de mitrailleuses en défensif. 

Ils ont des 12.7 mm ou des MAG 58 les Ukrainiens ?

Vu l'omniprésence d'unités mécanisés russes dont avec de l'armement lourd en tourelle et des optiques grossissantes, il est peut être plus prudent de se baser un défense mobile que sur des positions renforcés. Un nid de mitrailleuse va se faire défoncer rapidement dès qu'il commencera à ouvrir le feu et sera identifié.

Il y a 14 heures, Banzinou a dit :

Cette épisode a été expliqué en vidéo, il s'agit du 24 février, les pièces d'artillerie ukrainiennes ont été attaquées sur le pont, deux groupes ukrainiens en BRDM-2 ont été dépêchés sur place, peut être pour chercher des survivants et sont tombés dans une embuscade de soldats russes

Justement, tout ceci est bien léger des deux cotés pour une zone aussi stratégique.

Modifié par Deres
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Citation

Justement, tout ceci est bien léger des deux cotés pour une zone aussi stratégique.

On parle du premier jour du conflit.

Tu as donc une équipe SOF russe, et quelques militaires ukrainiens venus sur place, je suppose que le gros des forces n'étaient pas encore sur place, la ville étant située à 100 km de la Crimée...

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4 hours ago, Picdelamirand-oil said:

Il y a près d'une semaine, on a déterminé que la campagne russe avait déjà absorbé 100 % des forces allouées. Il est utile de revenir sur cette question, car nous avons vu les forces russes s'adapter à cette réalité au cours de la semaine dernière. La Russie a engagé environ 55 % du total de ses forces terrestres régulières dans son invasion de l'Ukraine. C'était un risque tactique. S'il reste des forces en Russie pour des renforts, elles sont soit sur d'autres missions, soit en formation, soit de moindre qualité (notamment leurs réserves).

Il s'agit également d'un risque stratégique. La Russie a déployé une grande partie de sa puissance de combat terrestre pour une seule mission qu'elle espérait voir se terminer rapidement. Il ne s'agissait pas d'un risque calculé par les Russes, mais d'un pari. Il y a une grande différence entre les deux dans les opérations militaires. Le plan A était le plan de campagne "rapide, bon marché et facile". Utiliser des forces légères et aéroportées pour s'emparer de Kiev et d'autres points clés, capturer les dirigeants du gouvernement et forcer l'Ukraine à trouver un compromis politique. Dans les 48 heures, les pertes au combat ont indiqué aux commandants russes que ce plan avait échoué.

Il leur fallait donc un plan B sans injection massive de forces supplémentaires. Si les Russes avaient été aussi intelligents que beaucoup le pensaient, ils auraient élaboré les pires scénarios possibles pendant la phase de préparation de l'invasion. Il est clair qu'ils ne l'ont pas fait - ou pas assez rigoureusement s'ils l'ont fait. Mais là encore, ce sont les mêmes personnes qui ont parlé de concepts tels que les "stratégies d'action limitée".

Ainsi, le plan B de la campagne russe après le deuxième jour de la guerre a été "l'attrition rampante et multiaxiale". Il prévoit une puissance de feu accrue, ainsi que la destruction de petites villes pour servir d'exemple à Kiev. Le plan B semble également espérer que l'armée de l'air russe finisse par se manifester. La dernière note d'information du Pentagone indique que les forces russes sont maintenant à environ 90 % des forces initiales qui ont envahi le pays. Ce chiffre est optimiste. Même dans les circonstances les plus bénignes, les pertes dues à des problèmes médicaux mineurs, à des problèmes psychologiques, etc. épuisent les forces.

Le plan B n'a pas fonctionné non plus. Ils ont lentement gagné du terrain, mais à un coût massif en personnel et en équipement. Dans le même temps, la sécurité de la zone arrière a souffert. Il s'agit manifestement d'un compromis de la part des Russes pour qu'ils puissent avancer autant de puissance de combat que possible. Mais la sécurité de la zone arrière est une mission importante, qui absorbe normalement des milliers de troupes (infanterie, défense aérienne, cavalerie, génie, etc.). Parce que les Russes ont exécuté cette mission de manière incompétente, les convois logistiques ont été constamment victimes d'embuscades.
Ces embuscades contre les convois logistiques sont une autre source d'attrition en personnel, en fournitures et en équipement, qui s'ajoute aux pertes au combat et (si l'on en croit) aux refus de combattre et aux désertions des troupes russes.

Comme le notent les sources ouvertes, ainsi que les rapports militaires britanniques et américains, les avancées russes dans le nord, l'est et le sud sont au point mort. Ils ont été battus par les Ukrainiens et n'ont pas été en mesure de soutenir logistiquement des avancées sur plusieurs fronts. En résumé, la Russie n'a pas atteint ses principaux objectifs militaires dans le nord, l'est et le sud. Elle mène des offensives simultanées dans des parties différentes et déconnectées de l'Ukraine. Elle a engagé toutes les forces militaires dont elle disposait pour l'Ukraine dans ces missions.

La campagne russe, si elle ne l'a pas déjà fait, est sur le point de culminer. La doctrine américaine définit ce point comme (pour l'attaque) "le moment où la poursuite de l'attaque n'est plus possible et où la force doit envisager de revenir à une posture défensive ou de tenter une pause opérationnelle". Par conséquent, le haut commandement russe a dû reprendre la planche à dessin (une fois de plus) pour la conception de sa campagne. Comme je l'ai indiqué dans un précédent fil de discussion, c'est par le biais de la conception de la campagne que les commandants et leurs états-majors ordonnent et orchestrent les objectifs et les actions tactiques.

Nous voyons aujourd'hui les prémices de la campagne russe du "Plan C" en Ukraine. Il s'agit d'un plan encore plus ad hoc et brutal que leurs deux tentatives précédentes. Cela démontre la frustration de Poutine, le désespoir des chefs militaires russes et la faiblesse de la position militaire russe. Le plan C pourrait être décrit comme suit : maintenir les gains actuels, puissance de feu à longue portée sur les villes, combattants étrangers comme chair à canon, détruire autant d'infrastructures et de capacités de production que possible, étendre la guerre à l'ouest pour dissuader les volontaires et les fournisseurs d'aide étrangers.

Cela permettra aux Russes d'économiser sur le personnel, d'introduire au compte-gouttes des remplaçants (et des mercenaires étrangers), tout en dépensant de grandes quantités d'artillerie et de roquettes bon marché dans l'espoir de terroriser les civils ukrainiens pour les forcer à un compromis politique.

Deux dernières questions. Premièrement, le nombre de personnes engagées démontre que les Russes ont mal calculé et n'ont pas affecté suffisamment de ressources à la guerre. La planification au cas par cas fonctionne rarement. La Russie souffre probablement de l'erreur du "coût irrécupérable" dans ses opérations en Ukraine. Cependant, comme nous l'avons vu dans d'autres guerres, les pays s'adaptent aux crises en temps de guerre et survivent plus longtemps que la logique ne l'exige. Sous la direction de Poutine, les Russes sont susceptibles de le faire. Et les Ukrainiens continueront à se battre de manière conventionnelle ou dans le cadre d'une insurrection. La guerre sera longue.

Cela nous amène à la deuxième question. Une intervention militaire pourrait s'avérer nécessaire si l'Occident ne veut pas d'une guerre éternelle aux portes de l'Europe. Les États-Unis et l'OTAN devront peut-être commencer à faire des choix militaires difficiles qu'ils ont retardés. La fourniture d'une aide létale est peu coûteuse en argent et en personnel. Mais pour mettre fin à cette guerre, il faudra peut-être aller plus loin. Les estimations (et non la crainte) d'une escalade russe devraient éclairer les décisions, mais pas les différer.

Les opérations russes ont été compromises par la taille de leurs forces engagées et par l'attrition des forces. Cela a maintenant des conséquences stratégiques, car leur campagne culmine et s'adapte pour être centrée sur la puissance de feu, ce qui entraîne une destruction massive et la mort de civils ukrainiens.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

 

déjà posté Picou ;)

3 hours ago, pascal said:

Je pense que c'est aussi pour cela que nous apportons une aide militaire à l'Ukraine

et la raison pour laquelle les americains regardent ça avec interet... en anglais: take a backseat. Ca va les liberer d'un soutien pour la Chine

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En tout cas j'en conclu que les russes ont dimensionnés leurs unités pour un combat mobile (BCT fortement chargés en blindés et artillerie) et qu'ils n'ont pas prévus que le conflit se transformerait en opération de ratissage

Parceque le combat en ville c'est ça, du ratissage quartier par quartier et pour ça il faut du piéton

Encore une fois le conflit ne ressemble jamais à ce qu'on avait pu prévoir

Il va falloir nous aussi en tirer les leçons en terme de dimensionnement de nos pions élémentaires

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Des leurres dans les Iskander M  qui expliquerait pourquoi ils sont difficiles à abattre :" Chacun d'entre eux est équipé d'électronique et produit des signaux radio afin de brouiller ou de mystifier les radars ennemis qui tentent de localiser l'Iskander-M, et contient une source de chaleur pour attirer les missiles entrants. L'officiel, qui n'était pas autorisé à parler publiquement des questions de renseignement, a décrit les dispositifs sous couvert d'anonymat."

Intox ou realité ?

https://www.nytimes.com/2022/03/14/us/russia-ukraine-weapons-decoy.html?smtyp=cur&smid=tw-nytimes

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il y a 8 minutes, Akhilleus a dit :

En tout cas j'en conclu que les russes ont dimensionnés leurs unités pour un combat mobile (BCT fortement chargés en blindés et artillerie) et qu'ils n'ont pas prévus que le conflit se transformerait en opération de ratissage

Parceque le combat en ville c'est ça, du ratissage quartier par quartier et pour ça il faut du piéton

Encore une fois le conflit ne ressemble jamais à ce qu'on avait pu prévoir

Il va falloir nous aussi en tirer les leçons en terme de dimensionnement de nos pions élémentaires

Donc il va nous falloir de la masse (personnel, équipement, formation initiale/MCO -sic-, coût... et je te passe la résilience/durabilité .. bla bla)

Je suis prof donc au contact de nos jeunes donc

on a pas le cul sorti des ronces, si vous me pardonnez l'expression,

Oups pas le bon fil de discussion, j'allais évoquer le problème de la réserve/garde nationale/ milice helvète qui est un vrai problème en France mais c'est pas ici.

Mais SVP, réfléchis-y Akhilleus, lance le sujet sur le bon fil; de mon point de vue c'est une excellente question.

 

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Il y a 1 heure, Gibbs le Cajun a dit :

Sur cette vidéo on voit que les pare-balle français sont arrivé, ce sont les modèles qu'on avaient en ex Yougo quand j'y suis allé. 

 

On a pas assez de Ciras et de gilets félin pour équiper tous nos soldats malheureusement... mais les vieux par éclats peuvent recevoir des plaques modernes niveau IV et les casques spectra sont Niveau III+ comme nos versions félins juste le design plus ancien.

 

Par contre je vous parle pas du poids de ces machins 

Modifié par Connorfra
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il y a 45 minutes, Akhilleus a dit :

En tout cas j'en conclu que les russes ont dimensionnés leurs unités pour un combat mobile (BCT fortement chargés en blindés et artillerie) et qu'ils n'ont pas prévus que le conflit se transformerait en opération de ratissage

Parceque le combat en ville c'est ça, du ratissage quartier par quartier et pour ça il faut du piéton

Encore une fois le conflit ne ressemble jamais à ce qu'on avait pu prévoir

Il va falloir nous aussi en tirer les leçons en terme de dimensionnement de nos pions élémentaires

En même temps en Ukraine vu le nombre de grandes villes, ça pouvait s'anticiper un minimum. :huh:

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il y a 4 minutes, Banzinou a dit :

En même temps en Ukraine vu le nombre de grandes villes, ça pouvait s'anticiper un minimum. :huh:

Ben non

Tu formes pas de l'infanterie d'assaut du jour au lendemain, surtout quand tu a dimensionné tes forces pour des manoeuvres en profondeur

L'approche BCT visait déjà a pallier à un de leur problème à savoir raccourcir la boucle OODA entre l'appui sol et les forces de contact

Par contre il me semble avoir lu que les russes n'ont pas l'équivalent de notre CENZUB

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il y a 4 minutes, Akhilleus a dit :

Ben non

Tu formes pas de l'infanterie d'assaut du jour au lendemain, surtout quand tu a dimensionné tes forces pour des manoeuvres en profondeur

L'approche BCT visait déjà a pallier à un de leur problème à savoir raccourcir la boucle OODA entre l'appui sol et les forces de contact

Par contre il me semble avoir lu que les russes n'ont pas l'équivalent de notre CENZUB

Et le RETEX de la Tchétchénie ? Je rejoins Goya sur ce point

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il y a une heure, Akhilleus a dit :

En tout cas j'en conclu que les russes ont dimensionnés leurs unités pour un combat mobile (BCT fortement chargés en blindés et artillerie) et qu'ils n'ont pas prévus que le conflit se transformerait en opération de ratissage

Parceque le combat en ville c'est ça, du ratissage quartier par quartier et pour ça il faut du piéton

Encore une fois le conflit ne ressemble jamais à ce qu'on avait pu prévoir

Il va falloir nous aussi en tirer les leçons en terme de dimensionnement de nos pions élémentaires

Oui, l'armée russe est une armée chargée de recevoir le choc de l'OTAN, l'absorber pour au mieux contre attaquer, au pire infliger des pertes telles que l'OTAN accepte de négocier sans devoir recourir au nucléaire. Pas besoin d'une infanterie légère nombreuse pour cela, même si les RETEX d'Ukraine peuvent remettre au goût du jour une infanterie anti char légère pour la ZURB.

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Il y a 2 heures, Ciders a dit :

On ne négocie pas avec un pistolet sur la tempe et un T-90 qui vise ses bourses. Mais l'expérience de Poutine en la matière étant très limitée, je ne suis qu'à moitié étonné qu'il ait négligé ce point.

F-35 et Patriot oui... mais à qui la faute ? Franchement, si les Russes avaient mieux géré, ils ne se trouveraient pas dans cette impasse.

Parles-en aux Irakiens, Palestiniens, Serbes... Encore une fois chaque cas est particulier mais globalement toute négociation, y compris commerciale, est avant tout un rapport de force et pas souvent entre gentlemen.

Mais oui les Russes ont vraiment foncer tête baissée dans les ennuis, pour être poli.

Il y a 3 heures, Connorfra a dit :

Risque calculé ils ont bien eu des stingers des les années 80 capturés sur de l'afgan et pourtant le strela reste inférieur.

J'ai lu le contraire récemment, je ne sais plus où.

il y a 3 minutes, Akhilleus a dit :

Tu peux faire tout les RETEX que tu veux, tu ne dimensionnes tes forces qu'avec le pool recrutable disponible

Si l'armée russe a encore 1/3 d'appelés c'est qu'il n'y a pas assez de volontaires

Or ces appelés servent majoritairement dans les unités de contact classique (fusiliers moto) donc avec le défaut d'une classe qui change tous les 6 mois

Les unités plus pro (para, marines, tchétchènes) s'en sortent plus correctement mais elles ne sont pas extensibles à l'infinie

Enfin un RETEX ca s'oublie si tu n'as pas les structures pour faire perdurer le savoir faire

On a été parmi les premiers en Europe a monter un centre de combat en milieu urbain

Les israéliens ont monté le leur après leur expérience au Liban et dans la bande de Gaza. Ce sont parmi les plus entrainés au combat en milieu artificiel clos. Pourtant ils ont pris cher face au Hezbollah

L'adversaire s'adapte même quand tu as un bon RETEX

Et le RETEX russe du combat ZURB consiste surtout en la nécessité de réunir une grande puissance de feu directe et indirecte, des équipes de tireurs d'élite...

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