Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires


Messages recommandés

Il y a 3 heures, PhilACP7 a dit :

Secondo: Je ne crois  pas que tu connaisses très bien les caractéristiques des bombes à neutrons et les effets des explosions en altitude des mini bombes H .

C'est très connu.... mais clairement pas aussi simple qu'on le dit souvent. Une bombe où on renforce les neutrons est tout sauf "propre" et laisse encore pas mal de cochonneries (moins, c'est vrai). Et donc ils font le trou. Cela laisse un matériel dément avec des gens irradiés dedans et le matériel lui même se prend une bonne radiation induite qui ne va clairement pas aider si on veut les réutiliser. 

Poue les EMP, là on est dans le "personne sait contrôler" précisément. Cela dépend de très nombreux paramètres liés, entre autre, au climat (et plus exactement la situation des rayonnements / litosphères locales) et c'est précis à "bof ou équivalent" (en clair la zone couverte peut varier sans aucun contrôle réel). C'est une arme qu'on envoie sur le pays du voisin LOIN. Et de préférence sur un voisin sans trucs dangereux à surveiller. 

Sur les HADES c'était aussi un moyen de dire aux allemands qu'on était gentil et qu'on l'allait pas leur vitrifier totalement la Bavière. Juste un peu. 

Il y a 3 heures, PhilACP7 a dit :

 

 

Modifié par collectionneur
Message en doublon
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bof, vu les conditions d'emploi où il semble que les ukrainiens changent fréquemment de positions et tirent assez peu ça ne doit pas poser de problème. L'intervalle de temps entre 2 phases de tirs doit être suffisamment long. De plus je pense que le risque  "se prendre un tir de contre batterie" est plus important que "atteindre le potentiel des tubes" 

Lors de Daguet les 120RT avaient également dépassé la cadence max.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a une heure, Clairon a dit :

Le M777 est destiné avant tout aux forces "légères" : paras, aéroportées, montagne.

Yes, ils ont réussi à remplacer le mortier de 120 et l'obusier de 105 (et les anciens 155 off course) par un 155 qui reste léger... Il n'est pas si mal ce canon. 

il y a 9 minutes, Paschi a dit :

Ouais, il y plus de 30 (p***** je commence à parler comme vieux :laugh:) lors de mon école de sous off, pas comme grenadier de char mais dans l'infanterie. C'était marrant, sans plus.

Avec la "grande guerre", HI qu'ils dissent, que les armées semblent vouloir mettre au jour du jour , ils vont redécouvrir certaines pratiques, la pelle de tranchée, etc... 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a une heure, Deres a dit :

Leur but stratégique était de refaire basculer l'Ukraine dans leur camp, ce qui a complètement échoué, voir même à aboutit au contraire. Ce n'était pas de gagner quelques territoires même si c'était surement prévu comme gain secondaires du plan initial (en particulier le canal vers la Crimée).

En 1870 les prussiens ont atteint tous leurs objectifs stratégiques avec la chute complète de la France. Le fait de ne prendre que l'Alsace-Lorraine était leur choix de vainqueur (plus des "réparations" immenses je le rappelle). Leur armée était aux portes de Paris.

tu as l'air très au fait des objectifs stratégiques russes. Mais tu dois avoir des informations que je n'ai pas. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 2 heures, Aldo a dit :

Se prémunir semble compliqué. Par contre il est possible qu'en pareil cas les Ukr répondent par des bombes sales.. 

Est ce la raison pour laquelle les russes s'intéressent tant aux centrales nucléaires ukrainiennes?  En peut être tout particulièrement à celle de Tchernobyl qui pourrait ne pas manquer de matériaux pour ce faire ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 2 minutes, Deres a dit :

Leur but stratégique était de refaire basculer l'Ukraine dans leur camp, ce qui a complètement échoué, voir même à aboutit au contraire. Ce n'était pas de gagner quelques territoires même si c'était surement prévu comme gain secondaires du plan initial (en particulier le canal vers la Crimée).

Je reste, toujours, pantois d'admiration devant le discours de certains intervenants nous expliquant, doctement, le "supposé" but stratégique des opérations militaires menées par la Russie depuis la seconde décade de février dernier.  Bien malin, en fait, celui qui les connaissait ou les connait, désormais.

Déjà, un ou deux détails "techniques" tout bêtes, un, ce n'est pas avec "180 000 pinpins" que l'armée russe risquait de prendre le contrôle d'un pays de plus de 600 000 km², deux,  en face, l'armée ukrainienne, même, avant la mobilisation générale des mâles de 20 à 60 ans, alignait largement  autant d'hommes, voire plus. On est très loin d'une supposée "invasion" planifiée et en règle, qui, elle, aurait largement exigé une force militaire de  1,5 millions d'hommes.

Dès lors, mais, là-aussi, il ne s'agit que d'une pure hypothèse, admettons que  "l'encerclement" partiel de Kiev, en début de campagne, n'avait, peut-être,  que pour principal but de soulager la pression de l'armée ukrainienne sur la frontière orientale... et, si, dans la foulée, elle avait pu entrainer la chute de la gouvernance ukrainienne, çà aurait, carrément, été "le pied", mais, comme on a pu le constater, çà n'avait pas fonctionné. Pour l'éventuelle "soulagement" souhaité sur la frontière orientale, par contre, il est possible (sans aucune certitude!) qu'il ait été partiellement  réussi, même, si, au final, la manoeuvre avait été très loin de "marcher comme sur des roulettes".

En attendant, depuis la mi-mars dernier, l'essentiel des opérations militaires russes s'est recentré, sur la seule frontière orientale. Certains veulent n'y voir qu'une sorte d'aveu de "défaite" de la part des Russes, mais ne serait-ce pas, plutôt, tout bêtement, le "but premier et final" de la manoeuvre ?  Certes, ce n'est, là-aussi, qu'une pure hypothèse de ma part.

Sinon, je vous fiche mon billet, que, quelques soient ses pertes et la durée du conflit, l'armée russe va finir par mener à bien "l'isolement" des territoires orientaux "russophones" depuis, au sud, la Crimée et, au nord, la frontière avec la Biélorussie. C'est, plus ou moins, ce que j'ai cru comprendre dans le discours de Poutine, ce matin, sur la Place Rouge.

Il convient d'arrêter de rêver, l'armée russe actuelle sait très bien qu'elle n'a plus rien à voir avec l'Armée Rouge, du temps de la "splendeur" de l'Ex-Union Soviétique. Certes, elle dispose de l'arme nucléaire, mais elle restera, fort heureusement, dans ses dépôts et ses silos; quand la CIA annonce, dans les dernières 48 heures, qu'il n'y a aucun risque de voir une éventuelle frappe nucléaire de la part des russes, j'aurais tendance à la croire et, même, à penser que ce genre d'annonce risque d'engendrer une grimace du côté de la "White House", qui entretient à plaisir le spectre  d'un supposé conflit généralisé.

Quelques soient ses nombreux défauts, la Russie n'a, strictement, rien à voir avec la Corée du Nord, où, là, fort heureusement, Pékin veille au grain, même, si le petit-fils héritier a la fâcheuse tendance à avoir le doigt un peu trop sensible sur la "gâchette" (cf. son tout récent de tir, pour "essai", d'un missile balistique vers l'Est).

Ce matin, par simple curiosité légitime, j'ai regardé, sur BFM, la retransmission, via l'agence Reuter, du défilé militaire sur la Place Rouge,  à l'occasion du 9 mai.  De la part des "experts" présents, il en est sorti deux "conclusions".

D'abord, une supposée "platitude" du discours poutinien, qui s'est limité à un hommage, de règle, le 9 mai,  adressé aux "Anciens" - et aux ex-Alliés européens! - , à réaffirmer son intention de "protéger" le Dombas et venir en aide, dans un premier temps, financièrement, aux familles et à la progéniture des militaires tués et blessés, dans l'actuel affrontement, le tout sans faire la moindre allusion à un éventuelle menace de recours à l'arme nucléaire, ni une quelconque intention d'étendre géographiquement. Il est certain que  le discours a été d'une platitude "désespérante", comparé aux supposés propos vengeurs que certains experts nous "promettaient"! 

La seconde "conclusion" portait sur l'absence d'un défilé aérien et, là,  sans tenir compte des répétitions qui, elles, s'étaient déroulées, sans aucun problème, par beau temps, jusqu'à samedi dernier,  on ne s'était pas privé de mettre en doute l'annonce officielle, faite par le Kremlin, d'un "plafond trop bas", certes, plus ou moins "espacé", mais, néanmoins bien réel, qui existait, ce matin, au-dessus de Moscou. Ah, ah... La flotte aérienne russe serait-elle en sérieuse difficulté ou ses équipages ne sauraient-ils pas évoluer par "plafond bas"? Bizarrement, quand des conditions météo médiocres règnent  sur Lann-Bihoué ou Lanveoc-Poulmic, aucun journaleux ou "expert" ne se pose de telles questions "métaphysiques", quand la "Bresonnek Air Force" ne peut pas participer au défilé du 14 Juillet, à basse altitude, au-dessus de Paris! :sleep:

  • Upvote (+1) 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 35 minutes, Schnokleu a dit :

Est ce la raison pour laquelle les russes s'intéressent tant aux centrales nucléaires ukrainiennes?  En peut être tout particulièrement à celle de Tchernobyl qui pourrait ne pas manquer de matériaux pour ce faire ?

Les centrales nucléaires actives sont en elles-mêmes des objets de grandes valeurs surtout pour alimenter les futurs républiques autonomes et la Crimée qui en sont dépourvus. Ce sont donc des prises de guerre importantes. Il y en a de toute façon d'autres plus à l'ouest que celle des territoires pris à l'est de l'Ukraine. Donc cela ne prive l'Ukraine de rien du tout du point de vue du matériel nucléaire. Et pour faire une bombe sale, il y a du matériel médical tout à fait accessible à un gouvernement comme l'Ukraine.

Pour Tchernobyl, c'était surtout sur la route directe entre la frontière et Kiev du côté ouest du Dniepr donc sur le chemin le plus court en venant de Biélorussie ... Je pense qu'il ne faut pas chercher plus loin que cela. Les russes l'ont d'ailleurs lâcher sans hésiter comme le reste de la zone quand ils ont renoncé à prendre Kiev. Ils auraient très bien put s'accrocher un minimum comme autour de Karhov. Après, il y a la propagande et les fantasmes qui partent dans tous les sens.

Modifié par Deres
  • Upvote (+1) 4
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 1 heure, Loïc C. a dit :

[...]

La seconde "conclusion" portait sur l'absence d'un défilé aérien et, là,  sans tenir compte des répétitions qui, elles, s'étaient déroulées, sans aucun problème, par beau temps, jusqu'à samedi dernier,  on ne s'était pas privé de mettre en doute l'annonce officielle, faite par le Kremlin, d'un "plafond trop bas", certes, plus ou moins "espacé", mais, néanmoins bien réel, qui existait, ce matin, au-dessus de Moscou. Ah, ah... La flotte aérienne russe serait-elle en sérieuse difficulté ou ses équipages ne sauraient-ils pas évoluer par "plafond bas"? Bizarrement, quand des conditions météo médiocres règnent  sur Lann-Bihoué ou Lanveoc-Poulmic, aucun journaleux ou "expert" ne se pose de telles questions "métaphysiques", quand la "Bresonnek Air Force" ne peut pas participer au défilé du 14 Juillet, à basse altitude, au-dessus de Paris! :sleep:

Je reviens rien que sur ce point. Le temps était correct aujourd'hui à Moscou, je t'invite à regarder des extraits vidéos de la parade. On voit même du ciel bleu par moment. La dernière fois qu'un défilé aérien le 14 juillet a été annulé à ma connaissance, c'était en 68:

https://www.lemonde.fr/archives/article/1968/07/16/le-defile-aerien-a-du-etre-annule-en-raison-de-la-pluie-et-du-temps-couvert_2498681_1819218.html#

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un article intéressant, même s'il semble y avoir quelques problèmes de traduction :

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/pourquoi-le-navire-moskva-a-coulé/ar-AAX3Lbh?

Pourquoi le navire «Moskva» a coulé
Andreï Gorbatchevskij


Cet article est paru dans Novaya Gazeta Europe, journal fondé début avril hors de Russie par quelques membres de la rédaction de Novaya Gazeta à Moscou, après la cessation de ses activités en raison de la répression du Kremlin contre les médias indépendants critiques de la guerre en Ukraine. Libération s’associe à ce journal en ce 9 mai très symbolique.


Le ministère russe de la Défense a chargé une commission spéciale de se pencher sur la perte du Moskva. Celle-ci réglera ses comptes avec les officiers du croiseur, qui feront sans doute office de boucs émissaires. Il est pourtant difficile de les tenir pour responsables de ce qui s’est produit, étant donné que le vaisseau amiral de la flotte russe ne disposait pas de système de défense antiaérienne efficace.
Le Moskva a été touché par deux missiles Neptune, dont la très basse altitude de vol les aide à pénétrer les défenses d’un navire. La défense aérienne du navire militaire était vraiment obsolète. Un radar de surveillance à longue portée (une antenne tournant sur son axe) trônait au sommet de la structure principale, derrière laquelle une autre tour était équipée d’un radar à visée latérale, pour le guidage du système antimissile à longue portée C-300 Fort. La hauteur de cette tour était cependant inférieure à celle de la superstructure, empêchant donc toute riposte par l’avant du navire. L’autre inconvénient majeur du С-300 est qu’il ne dispose que d’une antenne, qui doit être orientée en direction de l’attaque. Or le réseau d’antennes à commande de phase de ce radar est de 100 degrés environ, ce qui signifie que le système antimissile embarqué ne peut repousser une attaque multidirectionnelle.
Le navire était également équipé de missiles sol-air de courte portée Оsа, des antiquités développées il y a un demi-siècle, dont on ne pouvait pas attendre qu’ils interceptent des missiles antinavires MV.

Dans les années 1980, le С-300 parvenait (péniblement) à intercepter les missiles antinavires MV qui volaient à dix mètres d’altitude. A titre de comparaison, celle des MV Х-35 actuels, prototypes du Neptune, est de trois à cinq mètres. Nous ne connaissons pas les caractéristiques du Neptune, mais il a été développé encore plus récemment. Nous pouvions donc nous attendre à ce que son système de guidage soit plus précis, et que son altitude soit encore plus basse.

Technologie furtive
L’Institut de radio-électronique de Kharkiv, chargé d’étudier les missiles antinavires à faible portée du temps de l’URSS, est bien placé pour saisir le rôle crucial d’un vol à très basse altitude. La difficulté réside dans le fait que la surface de la mer réfléchit, tel un miroir, la partie inférieure du faisceau radar. Par conséquent, les missiles antinavires de courte portée ne sont détectés que lorsqu’ils se trouvent à moins de dix kilomètres de leur cible, ce qui rend leur interception très compliquée.
Pour les repérer plus efficacement, le faisceau du radar doit être très étroit (0,5 degré maximum), afin d’élargir sa portée à une distance comprise entre dix et vingt kilomètres. En 2015, déjà, l’auteur de ces lignes avait proposé d’apporter des modifications aux radars, de manière à assurer une défense tous azimuts à moindre coût mais le ministère de la Défense n’était pas intéressé. Or, les systèmes de défense aérienne Оsа, dont le faisceau est plus large, ne peuvent pas contrer des missiles antinavires.

Ce qui a joué en défaveur du Moskva, c’est que la technologie furtive Stels, capable de réduire sensiblement sa visibilité sur les radars, n’a pas été mise en œuvre lors de la conception du navire. Les antennes, embarcations de sauvetage et autres équipements présents sur le pont accroissaient la visibilité du navire. Les têtes chercheuses des missiles étaient donc en mesure de le détecter jusqu’à 40 kilomètres et il était impossible de le dissimuler, même en ayant recours à un brouilleur.

Défense antiaérienne obsolète
On peut supposer que les Ukrainiens l’ont trouvé grâce à un drone Bayraktar et que les missiles antinavires sont arrivés par la proue, où le С-300 ne les voyait pas et où les Оsа n’étaient pas efficaces. Arrivés à environ trois kilomètres de leur cible, les missiles ont effectué une manœuvre latérale pour venir frapper les flancs du navire. Si le Moskva n’avait été touché que par un missile, il n’aurait vraisemblablement pas sombré – une ogive de 150 kilos ne peut pas faire couler un navire de 10 000 tonnes – mais les deux frappes simultanées ont scellé son sort.

Attribuer la cause de cette catastrophe aux systèmes anti-incendie n’a aucun sens. A partir du moment où la défense antiaérienne était obsolète, ceux-ci n’auraient rien changé à l’issue de l’attaque. Certains ont tenté, sans crainte du ridicule, de justifier la catastrophe en prétendant que les missiles étaient cachés par des brouilleurs depuis la Roumanie. Rappelons simplement qu’aucun brouilleur situé à quelque 200 kilomètres ne peut dissimuler un missile arrivé à moins de 10 kilomètres de sa cible.

A l’heure actuelle, la flotte russe ne dispose que de deux frégates de nouvelle génération (de type Amiral Gorchkov), à même d’assurer une défense anti-aérienne efficace. Aucune de ces frégates ne navigue en mer Noire. Par conséquent, il est impératif que la flotte russe ne s’aventure pas au-delà de Sébastopol.

Traduit par Miriam Di Bello pour www.fastforword.fr

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

Des élément de pontonnement "coulé" le long du front au niveau de Bilohorivka. On ne sait pas trop combien de tentative de franchissement ont eu lieu en meme temps. Pendant un temps il y avait plusieurs source qui semblaient parler d'endroits différents.

lMfia2i.jpg

 

 

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Technicals made in UKR : Le don récent par la Norvège de systèmes portatifs de défense aérienne Mistral, ou MANPADS, comprenant au moins 100 missiles et un nombre indéterminé de lanceurs, est arrivé en Ukraine. Maintenant, grâce à un don supplémentaire d'une quantité non divulguée de camionnettes 4x4 Fiat Fullback de la fondation ukrainienne Come Back Alive, certains de ces systèmes Mistral sont maintenant mobiles sur la route.  

https://www.thedrive.com/the-war-zone/ukraine-turned-fiat-trucks-into-mobile-surface-to-air-missile-systems

spacer.png

  • J'aime (+1) 1
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 10 minutes, g4lly a dit :

 

Des élément de pontonnement "coulé" le long du front au niveau de Bilohorivka. On ne sait pas trop combien de tentative de franchissement ont eu lieu en meme temps. Pendant un temps il y avait plusieurs source qui semblaient parler d'endroits différents.

lMfia2i.jpg

 

 

C'est original ces 3 pylônes (électriques ?) collés l'un à l'autre, pile poil là où passe le seul itinéraire praticable du coin.

  • Haha (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

1 minute ago, Castor said:

C'est dans l'autre sens qu'il faut voir la chose, c'est pare qu'il y a les pilonnes électriques qu'il y a un itinéraire praticable. C'est très commun sous les lignes haute tension.
 

Effectivement. Pour faciliter la maintenance des lignes électrique on déboise au pied au moment de la construction et on entretien à mesure des maintenance. Sinon ça devient une putain de purge le jour ou tu dois intervenir dessus, avec des bois absolument inaccessible qu'il faut travailler à fraiseuse.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 1 minute, g4lly a dit :

Effectivement. Pour faciliter la maintenance des lignes électrique on déboise au pied au moment de la construction et on entretien à mesure des maintenance. Sinon ça devient une putain de purge le jour ou tu dois intervenir dessus, avec des bois absolument inaccessible qu'il faut travailler à fraiseuse.

C'est surtout que si la végétation se développe, elle se rapproche des lignes, arc et prend feu. Donc tu nettoies tout pour  garder une distance minimale entre ligne et végétation. Chez les canadiens, ils le font par hélicoptère, avec très peu de nettoyage au sol. 

  • J'aime (+1) 1
  • Upvote (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 8 minutes, ogo a dit :

C'est original ces 3 pylônes (électriques ?) collés l'un à l'autre, pile poil là où passe le seul itinéraire praticable du coin.

Je ne reviens pas sur les raisons des lignes et de l'itinéraire. 

Pour préciser d'un point de vue terrain, il assez fréquent que ces lignes fournissent des itinéraires viables (notamment à pied) permettant de s'affranchir des routes classiques sans trop sacrifier la vitesse de progression.

  • Upvote (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

L'Ukraine a perdu le commandant adjoint de son aviation navale, il est mort à bord d'un Mi-14

26.png

 

Il avait participé à l’évacuation de sa base en Crimée en 2014 (toujours à bord de son Mi-14)

 

 

Modifié par Banzinou
  • Triste 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Rob1 locked this sujet
  • Rob1 unlocked this sujet

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 967
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Stevendes
    Membre le plus récent
    Stevendes
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...