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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires


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Il n'y a pas que dans les troupes ukrainiennes que l'on se plaint, ça grogne aussi chez les russes.

Un article du Guardian (traduction automatique):

https://www.theguardian.com/world/2022/jun/07/exhausted-russian-fighters-complain-of-conditions-in-eastern-ukraine


Des combattants russes épuisés se plaignent des conditions de vie dans l’est de l’Ukraine

De longs déploiements et un manque de formation, de soutien, de nourriture et d’équipement affectent le moral alors que la guerre s’éternise
L’assaut de la Russie sur l’est de l’Ukraine lui a apporté un certain succès sur le champ de bataille, car son armée a progressé lentement dans des combats féroces dans le Donbass.

Mais ces gains ont eu un prix élevé pour la force d’invasion russe, avec des preuves que les pertes de haut niveau augmentent et que certaines unités pourraient approcher de l’épuisement alors que la guerre dépasse sa barre des 100 jours.

Alors que le conflit s’éternise, certains combattants ont lancé publiquement des appels à Vladimir Poutine pour une enquête sur les conditions du champ de bataille et pour savoir si leurs déploiements sur le front sont même légaux.

Dans deux vidéos, des combattants de l’est de l’Ukraine, sous contrôle russe, se sont plaints des mauvaises conditions et des longs mandats au front, conduisant à l’épuisement. « Notre personnel a fait face à la faim et au froid », ont déclaré des combattants du 113e régiment de Donetsk, contrôlé par la Russie, dans une vidéo mise en ligne. « Pendant une période importante, nous avons été privés de tout soutien matériel, médical ou alimentaire. »

Les combattants ont ajouté: « Compte tenu de notre présence continue et du fait que parmi notre personnel, il y a des personnes ayant des problèmes médicaux chroniques, des personnes ayant des problèmes mentaux, de nombreuses questions se posent qui sont ignorées par les hauts gradés au quartier général. »
Et dans une interview, un soldat russe qui avait combattu près de Kiev, Kharkiv, et qui se trouvait maintenant dans l’est de l’Ukraine, s’est plaint d’épuisement, disant qu’il avait même contacté un avocat et s’était plaint de ne pas avoir vu sa femme depuis des mois.

« Je me bats en Ukraine depuis le début de la guerre, cela fait plus de trois mois maintenant », a déclaré Andrei, qui sert dans la 37e brigade de fusiliers motorisés de la Garde séparée basée en Bouriatie en Sibérie, au Guardian. « C’est épuisant, toute mon unité veut une pause, mais nos dirigeants ont dit qu’ils ne pouvaient pas nous remplacer pour le moment. »
Ses remarques sont cohérentes avec les rapports faisant état de difficultés russes à faire tourner ses troupes épuisées. Les efforts d’enrôlement ont été entravés car la Russie n’a pas ouvertement déclaré la guerre à l’Ukraine. Le Kremlin a continué d’insister pour l’appeler une « opération militaire spéciale ».
« L’armée russe est bien adaptée aux campagnes courtes et de haute intensité définies par une utilisation intensive de l’artillerie », ont écrit Michael Kofman et Rob Lee dans une nouvelle analyse des capacités armées de la Russie. En revanche, il est mal conçu pour une occupation soutenue, ou une guerre d’usure acharnée, qui nécessiterait une grande partie des forces terrestres de la Russie, ce qui est exactement le conflit dans lequel elle s’est trouvée. L’armée russe n’a pas les chiffres disponibles pour ajuster facilement ou faire tourner les forces si une quantité substantielle de puissance de combat est bloquée dans une guerre.

Pour les hommes sur le terrain, cela a signifié un tour de service épuisant marqué par des combats acharnés contre un ennemi endurci qui est motivé à défendre sa patrie.

« Les trois mois de combats me semblent déjà plus longs que les quatre années que j’ai passées à servir dans l’armée en temps de paix », a déclaré Andrei. « J’ai déjà contacté un avocat en ligne qui m’a dit que selon la loi, le général peut nous garder ici jusqu’à la fin de notre contrat, donc il n’y a pas grand-chose que nous puissions faire. »

Ces unités professionnelles sont peut-être parmi les plus chanceuses de la Russie, car d’autres recrutées dans les républiques contrôlées par la Russie à Donetsk et Lougansk disent qu’elles ont été jetées au combat avec peu d’entraînement. Des vidéos ont montré que certains combattants n’avaient pas de kit de base tel que des gilets de protection et étaient armés de vieux fusils.
« Notre mobilisation s’est faite illégalement, sans certificat médical », a déclaré un autre soldat qui prétendait servir dans le 107e régiment de Donetsk, fidèle au gouvernement russe. « Plus de 70 % de ceux qui sont ici ont déjà été déclassés parce qu’ils ne peuvent pas se battre physiquement. Plus de 90% n’ont jamais combattu auparavant et ont vu une kalachnikov pour la première fois. Nous avons été jetés en première ligne. »

La télévision d’État russe a affirmé que ces soldats devraient être prêts à se battre pour leur patrie, mais les habitants ont décrit des rues vides et des hommes cachés pour éviter une campagne de recrutement zélée dans les zones contrôlées par la Russie dans l’est de l’Ukraine.
Pendant ce temps, les pertes parmi les officiers russes augmentent. Un journaliste de Rossiya-1 a déclaré que le major-général Roman Kutuzov avait été tué alors qu’il menait des forces de l’est contrôlé par la Russie dans la bataille. S’il est confirmé, il serait au moins le quatrième général russe à avoir été tué au combat depuis février, et l’Ukraine affirme que le nombre est plus élevé.

« Le général avait mené les soldats à l’attaque, comme s’il n’y avait pas assez de colonels », a écrit le journaliste russe Alexander Sladkov dans un post sur Telegram.

Les responsables occidentaux ont déclaré que les officiers de rang intermédiaire et subalterne de la Russie ont également subi de lourdes pertes « parce qu’ils sont tenus à un niveau de responsabilité sans compromis pour la performance de leurs unités ».

« De même, les officiers subalternes ont dû mener les actions tactiques de niveau le plus bas, car l’armée n’a pas le cadre de sous-officiers hautement entraînés et habilités qui remplissent ce rôle dans les forces occidentales », ont affirmé les services de renseignement britanniques la semaine dernière.

La Russie a également utilisé des combattants rémunérés pour renforcer ses forces depuis le début de la guerre. On estime qu’il a déployé entre 10 000 et 20 000 mercenaires, y compris des combattants du groupe Wagner, lors de son offensive dans le Donbass, a déclaré un responsable européen en avril.

Ces unités ont également signalé des victimes très médiatisées.
Vladimir Andanov, un vétéran de Wagner originaire de Bouriatie, aurait été tué dans des combats dans l’est de l’Ukraine à la fin de la semaine dernière. Sa mort a été confirmée par les médias régionaux et les organisations militaires russes. Il avait auparavant combattu en Syrie et dans le Donbass, où il avait été accusé de participation à des exécutions extrajudiciaires.

Le mois dernier, deux combattants présumés du groupe Wagner de Biélorussie ont été accusés d’avoir assassiné des civils près de Kiev, ce qui en fait les premiers mercenaires internationaux à faire face à des accusations de crimes de guerre en Ukraine.

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il y a une heure, Banzinou a dit :

D’ailleurs j'y connais pas grand chose en obus, donc si il y a des spécialistes ici

Bon je n'y connais pas grand chose non plus (et je me ferais potentiellement taper sur les doigts par les artilleurs^^) mais en fouillant sur internet j'ai trouvé quelque chose (pour ce que ça vaut).

Les détonateurs FRAPPE j'imagine que ce sont des détonateurs mécaniques à contact, les RALEC (radioélectriques) je suppose que ce sont des détonateurs programmables (Airburst, proximité, délais?).

Pour l'OEF4 ce serait à priori le LU 211 de Nexter, base bleed à 40 km de portée. L'OEF1 j'imagine que c'est le LU 107 (une amélioration du M107 US) avec une portée 22 km (tiré avec charge réduite depuis un L52).

Dans la deuxième vidéo on voit que le sur l'écran "Status" la correction de trajectoire (Trajectory correction) est en rouge. Étant donné que le radar de bouche peut être vu sur les Caésar Ukrainiens je suppose que ça veut dire qu'ils n'ont pas le kit SPACIDO pour les obus ou pas de BONUS (ou c'est une raison complètement différente).

En tous cas les distances aux cibles annoncées de 20+ et 22 km dans de précédentes vidéo ont plus de sens désormais si ils tirent principalement des LU 107. Ces distances me surprenaient car d'autres pièces d'artilleries peuvent tirer à cette distance et je me disais que c'était potentiellement un peu du gachis d'utiliser leurs (rares) Caésar pour ça.

Modifié par Alzoc
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il y a 18 minutes, Heorl a dit :

Entraînement ?

Oui je pense 

il y a 15 minutes, Fusilier a dit :

Il doit y avoir des besoins plus cruciaux que les artilleurs... Non?  

Non si c'est une vidéo de combat. Entre les éléments possiblement infiltrés, le tir d'un drone, hélico, contre batterie, un artilleur met un casque. Les manches relevées et la casquette, sans armes me font penser à une démo.

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il y a 22 minutes, Mangouste a dit :

Non si c'est une vidéo de combat. Entre les éléments possiblement infiltrés, le tir d'un drone, hélico, contre batterie, un artilleur met un casque. Les manches relevées et la casquette, sans armes me font penser à une démo.

Tu sais, à un moment donné ils n'avaient pas de fusils pour tout le monde, ne parlons pas de casques ou gilets.  Mais, on ne sait pas non plus comment sont protégés les canons. 

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il y a 29 minutes, Alzoc a dit :

Bon je n'y connais pas grand chose non plus (et je me ferais potentiellement taper sur les doigts par les artilleurs^^) mais en fouillant sur internet j'ai trouvé quelque chose (pour ce que ça vaut).

Les détonateurs FRAPPE j'imagine que ce sont des détonateurs mécaniques à contact, les RALEC (radioélectriques) je suppose que ce sont des détonateurs programmables (Airburst, proximité, délais?).

Pour l'OEF4 ce serait à priori le LU 211 de Nexter, base bleed à 40 km de portée. L'OEF1 j'imagine que c'est le LU 107 (une amélioration du M107 US) avec une portée 22 km (tiré avec charge réduite depuis un L52).

Dans la deuxième vidéo on voit que le sur l'écran "Status" la correction de trajectoire (Trajectory correction) est en rouge. Étant donné que le radar de bouche peut être vu sur les Caésar Ukrainiens je suppose que ça veut dire qu'ils n'ont pas le kit SPACIDO pour les obus ou pas de BONUS (ou c'est une raison complètement différente).

En tous cas les distances aux cibles annoncées de 20+ et 22 km dans de précédentes vidéo ont plus de sens désormais si ils tirent principalement des LU 107. Ces distances me surprenaient car d'autres pièces d'artilleries peuvent tirer à cette distance et je me disais que c'était potentiellement un peu du gachis d'utiliser leurs (rares) Caésar pour ça.

Ils veulent sans doute conserver les OEF4 pour les HVT ou pour les endroits où les tirs à plus de 35 km sont nécéssaires.

Si la menace d'artillerie est faible dans la zone, peut être que les OEF1 suffisent

Modifié par Banzinou
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https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/ayant-épuisé-tout-son-armement-l-ukraine-dépend-totalement-des-alliés/ar-AAYh6kS?bk=1&bk=1&ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=0938e6505be345cd92999373e091e7ed

Ayant épuisé tout son armement, l'Ukraine dépend totalement des alliés
AFP - 


L'Ukraine a épuisé tout son armement de fabrication russe et soviétique et dépend désormais exclusivement des armes que lui fournissent ses alliés étrangers, notamment de l'artillerie occidentale, selon plusieurs sources militaires américaines.

Dès l'invasion de l'Ukraine par la Russie le 24 février, les Occidentaux se sont mobilisés pour soutenir Kiev qui réclamait des armes et des munitions, tout en évitant à tout prix de mener toute action pouvant être vue comme une provocation par la Russie - de crainte que le conflit ne s'étende au-delà des frontières de l'Ukraine.
Sans le dire, ils craignaient aussi que leurs armes de pointe ne tombent aux mains de l'armée russe.

Ils se sont donc tournés vers les anciens pays du bloc soviétique, qui disposaient encore de munitions aux standards soviétiques, pour remplacer celles que les forces ukrainiennes tiraient sur l'armée russe.

Mais même ces stocks se sont épuisés, et l'arsenal européen de fabrication russe "a disparu de la surface de la planète", a indiqué un responsable militaire à l'AFP.

C'est pourquoi les Etats-Unis et les autres alliés de l'Otan ont décidé de faire fi des risques d'extension du conflit ou de fuites technologiques. Washington a commencé à remettre à l'Ukraine de l'équipement lourd comme des obusiers Howitzers dans un premier temps, puis des équipements de pointe comme les lance-roquettes Himars, des pièces d'artillerie de haute précision et d'une portée supérieure à celles de l'armée russe.
- "Flux continu" -

Les alliés s'efforcent de coordonner leur assistance militaire à Kiev, et de la synchroniser de façon à ce que les forces ukrainiennes reçoivent un "flux continu de munitions", mais aussi de pièces détachées et d'armement léger, a expliqué un autre responsable militaire américain.

C'est l'objectif affiché du Groupe de contact pour l'Ukraine créé par le ministre de la Défense américain Lloyd Austin, dont la première réunion s'est tenue en avril en présence d'une quarantaine de pays à Ramstein, en Allemagne.

Après une deuxième réunion virtuelle en mai, les alliés de l'Ukraine doivent se réunir le 15 juin à Bruxelles.

Et si l'armement occidental semble arriver au compte-goutte en Ukraine, c'est parce que les alliés veulent s'assurer que Kiev est capable de l'absorber en toute sécurité et de limiter les risques de bombardement de ses stocks de munitions.

Les Etats-Unis envoient donc leur assistance militaire par tranche, dont la dernière en date, de 700 millions, annoncée le 1er juin, comprenait quatre systèmes d'artillerie Himars, mais aussi 1.000 missiles anti-chars Javelin supplémentaires et quatre hélicoptères Mi-17, 15.000 obus destinés aux Howitzers, 15 blindés légers, et d'autres munitions de calibres divers.

"Nous essayons de maintenir un flux constant", indique le deuxième responsable militaire.
- Ballon d'essai -

Questionné sur le faible nombre de Himars alors que les Ukrainiens apparaissent en difficulté dans le Donbass, le chef d'état-major américain, le général Mark Milley, a expliqué mercredi que Washington voulait s'assurer que les soldats ukrainiens les maitrisaient bien avant d'en envoyer davantage.

Le Himars est un système "sophistiqué", et "il faut certifier ces garçons, s'assurer qu'ils savent comment utiliser ces systèmes correctement", a déclaré le plus haut gradé américain.

Il faut former les opérateurs, mais aussi les soldats chargés de la maintenance, ainsi que les officiers et sous-officiers pour qu'ils soient déployés là où il faut, quand il le faut, a-t-il expliqué.

Pour Washington, ce premier envoi est surtout un ballon d'essai pour s'assurer que la technologie des Himars ne tombe pas entre des mains ennemies et que les Ukrainiens emploient à bon escient ce matériel coûteux et sensible. Mais cela n'empêche pas le Pentagone de préparer la prochaine tranche d'aide militaire.

Des Himars supplémentaires et leurs munitions sont déjà prépositionnés en Allemagne, et ils seront envoyés en Ukraine si l'expérience avec les quatre premiers exemplaires s'avère positive, selon une autre source militaire américaine.

En revanche, Washington a exclu d'accorder à Kiev des drones de combat de longue portée comme le "Grey Eagle", dont le rayon d'action atteint 300 km, suffisamment pour frapper une grande ville russe, selon cette source.

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C'est d'ailleurs pour ça que le stock théorique de MLRS à la disposition de l'Ukraine est probablement sans importance. Ils ne manquent pas de lanceurs mais de munitions. Et puisque personne ne peut leur en fournir, le seul moyen possible est de passer sur du MLRS OTAN qu'on pourra plus ou moins approvisionner avec un stock "correct" (même si sans doute pas si conséquent que ça). 

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il y a 23 minutes, Fusilier a dit :

Tu sais, à un moment donné ils n'avaient pas de fusils pour tout le monde, ne parlons pas de casques ou gilets.  Mais, on ne sait pas non plus comment sont protégés les canons. 

Toujours possible. J'espère tout de même qu'un servant de caesar a au moins un casque et une Kalash. Même si le journaliste porte un casque, je trouvais un peu bizarre que ce soit réellement une action de combat.  

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il y a 31 minutes, Mangouste a dit :

Toujours possible. J'espère tout de même qu'un servant de caesar a au moins un casque et une Kalash. Même si le journaliste porte un casque, je trouvais un peu bizarre que ce soit réellement une action de combat.  

Après les kalash sont peut être dans le camion...

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Concernant les obus de 152 et / ou de 122 mm ils ne sont pas produits sous licence hors d'Europe? (je pense à l'inde en particulier) si c'est le cas ça doit bien se trouver plus ou moins discrètement et acheminer vers l'Ukraine.

C'est à cela que servent les marchands d'armes ( et les fonds secrets des gouvernements) Conf "Lord of war" :unsure: 

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il y a 12 minutes, PhilACP7 a dit :

Concernant les obus de 152 et / ou de 122 mm ils ne sont pas produits sous licence hors d'Europe? (je pense à l'inde en particulier) si c'est le cas ça doit bien se trouver plus ou moins discrètement et acheminer vers l'Ukraine.

C'est à cela que servent les marchands d'armes ( et les fonds secrets des gouvernements) Conf "Lord of war" :unsure: 

Vu la position de l'Inde dans cette histoire je parierai pas trop dessus. Et les marchands d'arme ça peut aller pour soutenir de la guérilla par ci par là mais pour une guerre de haute intensité je pense que même Nicolas Cage montrerai vite ses limites malheureusement :unsure:

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il y a 2 minutes, Mangouste a dit :

Yes . Je leur souhaite du courage et de la chance, s'ils vont ainsi en zone de combat.

Après ils sont à distance raisonnable de l'ennemi en théorie.

Comme je dis, peut être qu'ils ont des Kalash dans le camion mais qu'ils ne veulent pas s'encombrer de ça, surtout si ils font trois tirs et qu'ils repartent au bout de 2 minutes.

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