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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires


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Il y a 6 heures, dzf a dit :

rebonjour à tous

Je voudrais m'excuser de ne pas avoir pu me présenter, je promet de le faire dès que possible.

Je pense qu'il est important de préciser quelques points s'agissant de cette guerre. Je suis certain que personne (sauf quelques fous) apprécierait de voir des gens mourir,  j'ai de la famille, comme vous tous et nous nous mettons tous à la place d'un peuple en guerre, qui souffre. Il y a aussi la complexité d'un conflit. Et le problème principale est que dès le début, il y a une guerre médiatique, allez, appelons cela, une brouillage médiatique (à défaut de brouillage électronique) où beaucoup de personnes ont été prises dans une sorte d'hystérie collective. Les russes aussi ont du partir en guerre. Quelque soit les raisons, ils ont du le faire. Cette guerre ukrainienne est complexe.

 

Je ne suis pas expert militaire, je veux dire sur le terrain techniquement. Cependant, je peux apporter une vision globale, qui intègre technologie complexe (notamment les semi-conducteurs), historique, économique et financière enfin bref, géopolitique. J'ai suivi pendant quinze ans les avancées de la Chine, ça sert aussi. Je ne m'estime pas spécialiste de la Russie et je n'ai pas de parti pris idéologique (je ne suis pas idéologue en fait et j'ai du mal avec les moralisateurs, je pense que la morale est quelque chose de personnel) . Mais le premier point évident et clair qui m'a frappé (sur les nombreuses pages) est le parti pris essentiellement ukrainien (ce n'est pas un problème en tant que tel s'il est assumé et si l'on assume qu'il biaise tout raisonnement sur le conflit). Il ne s'agit pas d'être pro russe ou ukrainien, mais d'avoir une vision équilibré d'un conflit complexe qui n'implique pas seulement l’Ukraine. Les médias principaux sont en train de faire un 360 ° pour se garder une crédibilité, mais c'est trop tard.

On peut d'ores et déjà affirmer que la Russie ne perdra pas cette guerre pour une raison assez simple : elle considère la zone comme étant existentielle et elle possède 8000 têtes nucléaires. L'erreur est de penser qu'ils bluffent. Cette guerre n'est pas perdable pour eux.

J'essaierai de participer sur des sujets précis. Il y a tant de choses à dire en espérant ne pas me faire engueuler par les modérateurs :)

Il y a une erreur basique dans nos raisonnements, c'est de parler de "La Russie". Et la Russie dont nous parlons, elle n'existe pas. Ce qui existe, c'est "La Fédération de Russie"....en gros, 24 états, 60 Oblast et 158 nationalités à l'origine, répartis sur 11 fuseaux horaires.

Moscou est le siège du gouvernement de la "Fédération" qui en réalité est un empire colonial. Le ciment de l'empire a été longtemps une idéologie "librement consentie :biggrin:"..."l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques".

Ce qu'il en reste est un amalgame très fragile avec un sentiment entretenu d'assiégés comme contenant.

Il ne faut pas confondre ce qu'est Moscou avec le reste du territoire couvert par la fédération. 

Je te cite : "l'erreur est de penser qu'ils bluffent"......"ils", c'est qui ?

 

Modifié par capmat
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Je pense que la guerre était totalement perdable pour les russes. Il ne faut pas oublier que le mouvement vers Kiev ne s'est pas bien passé et qu'ils ont quand même persévéré un mois avec de très lourdes pertes suite à leur dispersion sur de nombreux axes. On admet maintenant comme logique de s'être retiré du nord de l'Ukraine pour renforcer le Donbass mais ce n'est pas si évident que cela comme choix. Ils auraient aussi très bien été possible que les russes choisissent de faire le contraire, en retirant des troupes ailleurs afin de continuer à renforcer leurs attaques vers Kiev en sécurisant le territoire. Il me semble par exemple que seulement quelques jours avant de se retirer, les russes avaient encore progresser aux alentours de Chernihiv et nettoyer certains axes. Peut être qu'avec ce choix, ils auraient consommer tout leur potentiel offensif et se serait retrouver en difficulté ensuite, obligé de lâcher la plupart du terrain gagné au sud. On voit au contraire, que les russes ne sont pas complétement bornés et sont assez souples pour changer leur fusil d'épaule  et ne pas s'obstiner inutilement. On vient encore de le voir avec l'Ile au serpent.

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il y a 15 minutes, Kelkin a dit :

Je suggère d'utiliser l'orthographe Niou-Iork, qui est la translitération officielle en français de Нью-Йорк : https://fr.wikipedia.org/wiki/Niou-Iork

Oui mais sur les cartes tu ne trouveras pas grand choses sous cette orthographe. 

Par exemple sur liveuamap c'est bien New-York qu'il faut chercher.

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Quote

'Hell on earth': Ukrainian soldiers describe eastern front

BAKHMUT, Ukraine (AP) — Torched forests and cities burned to the ground. Colleagues with severed limbs. Bombardments so relentless the only option is to lie in a trench, wait and pray.

Ukrainian soldiers returning from the front lines in eastern Ukraine’s Donbas region — where Russia is waging a fierce offensive — describe life during what has turned into a grueling war of attrition as apocalyptic.

In interviews with The Associated Press, some complained of chaotic organization, desertions and mental health problems caused by relentless shelling. Others spoke of high morale, their colleagues’ heroism, and a commitment to keep fighting, even as the better-equipped Russians control more of the combat zone.

Lt. Volodymyr Nazarenko, 30, second-in-command of the Ukrainian National Guard’s Svoboda Battalion, was with troops who retreated from Sievierodonetsk under orders from military leaders. During a month-long battle, Russian tanks obliterated any potential defensive positions and turned a city with a prewar population of 101,000 into “a burnt-down desert,” he said.

“They shelled us every day. I do not want to lie about it. But these were barrages of ammunition at every building,” Nazarenko said. “The city was methodically leveled out.”

At the time, Sievierodonetsk was one of two major cities under Ukrainian control in Luhansk province, where pro-Russia separatists declared an unrecognized republic eight years ago. By the time the order to withdraw came on June 24, the Ukrainians were surrounded on three sides and mounting a defense from a chemical plant also sheltering civilians.

“If there was a hell on Earth somewhere, it was in Sievierodonetsk,” Artem Ruban, a soldier in Nazarenko’s battalion, said from the comparative safety of Bakhmut, 64 kilometers (40 miles) to the southwest of the since-captured city. “The inner strength of our boys allowed them to hold the city until the last moment.”

“Those were not human conditions they had to fight in. It is difficult to explain this to you here, what they feel like now or what it was like there,” Ruban said, blinking in the sunlight. “They were fighting until the end there. The task was to destroy the enemy, no matter what.”

Nazarenko, who also fought in Kyiv and elsewhere in the east after Russia invaded Ukraine, considers the Ukrainian operation in Sievierodonetsk “a victory” despite the outcome. He said the defenders managed to limit casualties while stalling the Russian advance for much longer than expected, depleting Russia’s resources.

“Their army incurred huge losses, and their attack potential was obliterated,” he said.

Both the lieutenant and the soldier under his command expressed confidence that Ukraine would take back all occupied territories and defeat Russia. They insisted morale remained high. Other soldiers, most with no combat experience before the invasion, shared more pessimistic accounts while insisting on anonymity or using only their first names to discuss their experiences.

Oleksiy, a member of the Ukrainian army who started fighting against the Moscow-backed separatists in 2016, had just returned from the front with a heavy limp. He said he was wounded on the battlefield in Zolote, a town the Russians also have since occupied.

“On the TV, they are showing beautiful pictures of the front lines, the solidarity, the army, but the reality is very different” he said, adding he does not think the delivery of more Western weapons would change the course of the war.

His battalion started running out of ammunition within a few weeks, Oleksiy said. At one point, the relentless shelling kept the soldiers from standing up in the trenches, he said, exhaustion visible on his lined face.

A senior presidential aide reported last month that 100 to 200 Ukrainian troops were dying every day, but the country has not provided the total number killed in action. Oleksiy claimed his unit lost 150 men during its first three days of fighting, many from a loss of blood.

Due to the relentless bombardments, wounded soldiers were only evacuated at night, and sometimes they had to wait up to two days, he said.

“The commanders don’t care if you are psychologically broken. If you have a working heart, if you have arms and legs, you have to go back in,” he added.

Mariia, a 41-year-old platoon commander who joined the Ukrainian army in 2018 after working as a lawyer and giving birth to a daughter, explained that the level of danger and discomfort can vary greatly depending on a unit’s location and access to supply lines.

Front lines that have existed since the conflict with pro-Russia separatists began in 2014 are more static and predictable, whereas places that became battlegrounds since Russia sent its troops in to invade are “a different world,” she said.

Mariia, who refused to share her surname for security reasons, said her husband is currently fighting in such a “hot spot.” Everyone misses and worries about their loved ones, and though this causes distress, her subordinates have kept their spirits high, she said.

“We are the descendants of Cossacks, we are free and brave. It is in our blood,” she said. “We are going to fight to the end.”

Two other soldiers the AP interviewed — former office-workers in Kyiv with no prior battle experience — said they were sent to the front lines in the east as soon as they completed their initial training. They said they observed “terrible organization” and “illogical decision-making,” and many people in their battalion refused to fight.

One of the soldiers said he smokes marijuana daily. “Otherwise, I would lose my mind, I would desert. It’s the only way I can cope” he said.

A 28-year-old former teacher in Sloviansk who “never imagined” he would fight for his country described Ukraine’s battlefields as a completely different life, with a different value system and emotional highs as well as lows.

“There is joy, there is sorrow. Everything is intertwined,” he said.

Friendship with his colleagues provide the bright spots. But he also saw fellow soldiers succumbing to extreme fatigue, both physical and mental, and displaying symptoms of PTSD.

“It’s hard to live under constant stress, sleep-deprived and malnourished. To see all those horrors with your own eyes — the dead, the torn-off limbs. It is unlikely that someone’s psyche can withstand that,” he said.

Yet he, too, insisted that the motivation to defend their country remains.

“We are ready to endure and fight with clenched teeth. No matter how hard and difficult it is,” the teacher said, speaking from a fishing store that was converted into a military distribution hub. “Who will defend my home and my family, if it is not me?”

The center in the city of Sloviansk provides local military units with equipment and provisions, and gives soldiers a place to go during brief respites from the physical grind and horrors of battle.

Tetiana Khimion, a 43-year-old dance choreographer, set up the center when the war started. All kinds of soldiers pass through, she says, from skilled special forces and war-hardened veterans to civilians-turned-fighters who signed up only recently.

“It can be like this: For the first time he comes, smiles widely, he can even be shy. The next time he comes, and there is emptiness in his eyes,” Khimion said. “He has been through something, and he is different.”

Behind her, a group of young Ukrainian soldiers on rotation from the front lines sit sharing jokes and a pizza. The thud of artillery can be heard a few miles away.

“Mostly they hope for the better. Yes, sometimes they come in a little sad, but we hope to raise their spirits here, too,” Khimion said. “We hug, we smile at each other and then they go back into the fields.”

On Sunday, Russian forces occupied the last Ukrainian stronghold in Luhansk province and stepped up rocket strikes on Donetsk, the Donbas province where the center is located.

___

Valerii Rezik contributed to this story.

https://apnews.com/article/russia-ukraine-kyiv-donetsk-government-and-politics-f9f2b30b90a10b31f16aca18dae4eb65

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il y a 36 minutes, Kelkin a dit :

Je suggère d'utiliser l'orthographe Niou-Iork, qui est la translitération officielle en français de Нью-Йорк : https://fr.wikipedia.org/wiki/Niou-Iork

@herciv livemap aurais pu te donner cette localité

images?q=tbn:ANd9GcSbl5Pu2hSSkIZEXDq8D2J

Après faut pas s'étonner que CNN ait autant de mal avec les cartes

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Il y a 4 heures, Métal_Hurlant a dit :

rendbo :

Je ne pense pas que tu sois assez stupide pour imaginer que les pays de l'OTAN avaient l'intention de mener une offensive à travers la Russie pour mettre " Moscou à genoux "

Quant à tes considérations sur la profondeur stratégique des scandinaves, on verra la gueule que fera Poutine le jour où il y aura une base US en Finlande...

 

Ce que je pense importe peu, ce que eux pensent devraient par contre t'importer si tu veux comprendre leurs actions... le jeu de rôle n'est pas approuver les actions de l'autre, mais bien d'anticiper jusqu'où aller ou ne pas aller. 

Nous sommes sur un forum militaire. On comprend parfaitement que si on veut une armée, ce n'est pas pour faire des comparatifs de fanboys sur YT. On sait aussi parfaitement que tous les EM de GMT à GMT ont au moins un plan sur "comment je vais carotter l'ennemi", et au moins un autre sur "comment tu vas pas me la mettre". ET C'EST NORMAL : gouverner c'est (normalement) prévoir des situations et des moyens en face... et la guerre n'est qu'un moyen, une extension (pas forcément l'échec) de la diplomatie. A titre personnel, je pense même qu'il y a toujours des gens aux pouvoirs, des conseillers, des intérêts supérieurs qui murmurent que "l'équilibre des forces est assez favorable pour que ce soit jouable". 

Ce ne sont pas mes considérations mais de la lecture de carte basiques, et  j'ai tendance à croire qu'ils raisonnent comme moi. Je n'ai jamais entendu les Russes dire qu'ils ne voulaient pas que la Finlande soit dans l'OTAN, par contre l'Ukraine... Et le jour ou il y aura une base US en Finlande, ou des intérêts desservant les Russes, ils ont gentiment prévenu qu'il y aurait des pélos de la taille nécessaire pour la traiter qui tomberont dessus... ce que nos faucons et nos médias ont interprété comme "les Russes menacent la Finlande/Suède/...". 

Modifié par rendbo
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Il y a 3 heures, Métal_Hurlant a dit :

rendbo :

Je ne pense pas que tu sois assez stupide pour imaginer que les pays de l'OTAN avaient l'intention de mener une offensive à travers la Russie pour mettre " Moscou à genoux "

Quant à tes considérations sur la profondeur stratégique des scandinaves, on verra la gueule que fera Poutine le jour où il y aura une base US en Finlande...

J'ose espérer que tu n'es pas assez "stupide" pour penser que si l'OTAN s'en sentait assez fort il n'envahirait pas la Russie ? (l'inverse étant vrai aussi) 

 

Étudier "unthinkable" 

 

Plus largement, évitons l'utilisation du mot stupide, aucun de nous n'est à l'abri de subir ce mot un jour ou l'autre. Aucun. 

Modifié par Coriace
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il y a 31 minutes, CortoMaltese a dit :

Je doute très franchement que l'OTAN s'amuserai à envahir la Russie même en cas de disproportion de forces énormes et en l'absence d'arme nucléaire. Envahir la Russie, ne serait-ce que pour des raisons géographiques liées à la taille gigantesque du pays, impliqueraient des centaines de milliers d'hommes, une guerre sans doute longue, des coûts humains et financiers gargantuesques, ect. Et tout ça pour quoi ?  Quelle opinion publique occidentale suivrait son gouvernement dans une aventure pareille ? A la rigueur des frappes localisées pourquoi pas, mais imaginer que l'OTAN irait s'amuser à mener une intervention militaire de grand style en Russie si elle en avait la possibilité, c'est se mettre le doigt dans l'œil. 

C'est bien vu

Ce qui empêche donc l'OTAN d'envahir la Russie c'est donc sa capacité à riposter et l'adversité aux pertes humaines dans notre camp

Parceque sinon Saddam Hussein et Muhamar Khadaffi approuvent ton message

Et le petit Kim, les Ayatholla et une paire d'autres en auront pris bonne note (ce qui fait de chacun des pays concerné, à l'exception du Venezuela, se sont donnés d'une force du faible au fort pour rendre toute aventure risquée au moins politiquement)

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il y a 25 minutes, Valy a dit :

Je continue mes recherches sur les munitions.

Les Bielorusses ont envoyé 2400 tonnes de munitions vers la Russie

C'est unne paille : même pas de quoi tenir 2 jours de combat.

Loukatcheko fait le service minimum.

Il donne ce qu'il peut donner aussi, les stocks sont sans doute plus nombreux, mais la logistique (par rail), n'arrive peut être pas à suivre

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@CortoMaltese @Akhilleus Puisque l'on est dans du hors sujet, je rappelle ce technothriller de 1994 :  Le 10 juin 1999 La première guerre nucléaire vient de commencer  ou suite à un échange nucléaire, les Etats-Unis et leurs alliés européens (sans la France et l'Allemagne) arrivent jusqu’à Moscou en deux mois, une partie de l'armée russe étant occupée à guerroyer avec les chinois :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_10_juin_1999

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Il y a 9 heures, herciv a dit :

A partir du moment où des responsables sont en situation il est normal que différentes options soient débattues.  Je ne vois toujours pas pourquoi quand il y a discussion entre responsable c'est forcément un coup de la propagande russe.

Ce n'est pas cela, la journaliste expliquait avoir entendu de plusieurs officiers ukrainiens des reproches concernant la conduite de la guerre (l'entrisme?) par le politique. C'est toutefois assez classique en temps de guerre et pas forcément un schisme non plus.

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il y a 20 minutes, hadriel a dit :

C'est ça le plus fort dans la décision de Poutine: il a échangé la potentialité d'une Ukraine dans l'OTAN, avec très probablement uniquement des forces alliées symboliques dans le pays comme dans les pays baltes, contre la certitude forte de voir la Suède et Finlande rentrer dans l'OTAN et de mettre toute la péninsule de Kola à portée de PrSM, dont Mourmansk qui sera quasi à portée de GMLRS ER. Et après on vient nous dire que c'est une décision rationnelle.

C'est une décision rationnelle, si on admet que l'OTAN était un narratif. En revanche, ce n'est effectivement pas cohérent de penser à la fois que VVP exècre une OTAN qu'il veut repousser aussi loin que possible, et en même temps tabler sur une faible réaction occidentale dans le cadre d'une invasion de l'Ukraine. 

L'équation se résout si l'on veut bien admettre que l'OTAN est agitée comme un épouvantail, sans qu'il ne s'agisse d'un réel repoussoir. La caste au pouvoir a investi une bonne partie de la corruption en occident (ainsi que ce qu'il restait dans le trésor Russe), à un moment faut être cohérent avec son narratif. 

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il y a une heure, collectionneur a dit :

@CortoMaltese @Akhilleus Puisque l'on est dans du hors sujet, je rappelle ce technothriller de 1994 :  Le 10 juin 1999 La première guerre nucléaire vient de commencer  ou suite à un échange nucléaire, les Etats-Unis et leurs alliés européens (sans la France et l'Allemagne) arrivent jusqu’à Moscou en deux mois, une partie de l'armée russe étant occupée à guerroyer avec les chinois :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_10_juin_1999

J'ai lu et comment dire

Bof ben voilà quoi .....

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