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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires


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il y a 27 minutes, gustave a dit :

Il est surtout probable que l'utilité du TB2 ait été assez marginale dans ce conflit et limitée à des zones périphériques dépourvues de défenses sol-air passés les quinze premiers jours du conflit. En effet l'espérance de survie d'un drone MALE est devenue très limitée... D'où l'absence de communication victorieuse des TB2 et autres Orion (et donc probablement de commandes urgentes), et non en vertu d'une soudaine modestie ou je ne sais quelle négociation. Constat répété depuis longtemps mais les mythes ont la vie dure.

Si les Russes avaient détruit l'artillerie Ukrainienne au nord de Kiev le conflit serait peut être terminé. La question est pourquoi ne l'ont t'ils pas fait ? Défaut de renseignement ? Mesestimation?

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Ça bouge, comme prévu :

Guerre en Ukraine : Berlin ne devrait pas bloquer l'envoi des chars Leopard 2 polonais à Kiev, selon le vice-chancelier allemand

https://www.lindependant.fr/2023/01/12/guerre-en-ukraine-berlin-ne-bloquera-pas-lenvoi-des-chars-leopard-2-polonais-a-kiev-selon-le-vice-chancelier-allemand-10921585.php

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ça a l'air d'un gag, mais comme je ne comprends rien au russe je peux pas confirmer :

"...Le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konashenkov, a déclaré que la Russie avait déjà détruit 4 véhicules de combat Bradley en Ukraine. Ce qui est en effet remarquable dans la mesure où aucun n'a encore été livré..."

 

 

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il y a 38 minutes, DMZ a dit :

Ça bouge, comme prévu :

Guerre en Ukraine : Berlin ne devrait pas bloquer l'envoi des chars Leopard 2 polonais à Kiev, selon le vice-chancelier allemand

https://www.lindependant.fr/2023/01/12/guerre-en-ukraine-berlin-ne-bloquera-pas-lenvoi-des-chars-leopard-2-polonais-a-kiev-selon-le-vice-chancelier-allemand-10921585.php

Erreur de traduction, il me semble.

Habeck ne veut pas empêcher la livraison de chars polonais Leopard à l'Ukraine

Le ministre allemand de l'Économie Robert Habeck s'est prononcé pour que la livraison de chars de combat polonais Leopard à l'Ukraine ne soit pas bloquée par une objection allemande

Habeck n'exprimait que sa position : "devrait" dans le sens de conseil. Pas "devrait" dans le sens de "il faut s'attendre à ce que"

Il fait pression lui aussi, mais le décisionnaire s'appelle Olaf :smile:

 

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il y a 8 minutes, Alexis a dit :

Habeck n'exprimait que sa position : "devrait" dans le sens de conseil. Pas "devrait" dans le sens de "il faut s'attendre à ce que"

Il fait pression lui aussi, mais le décisionnaire s'appelle Olaf :smile:

Totalement d'accord mais ça bouge quand même, Olaf Scholtz est de plus en plus isolé dans sa position et même lui n'est plus absolument opposé à une livraison sous condition (que des Abrams soient d'abord livrés).

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Il y a 6 heures, Alexis a dit :

Erreur de traduction, il me semble.

Habeck ne veut pas empêcher la livraison de chars polonais Leopard à l'Ukraine

Le ministre allemand de l'Économie Robert Habeck s'est prononcé pour que la livraison de chars de combat polonais Leopard à l'Ukraine ne soit pas bloquée par une objection allemande

Habeck n'exprimait que sa position : "devrait" dans le sens de conseil. Pas "devrait" dans le sens de "il faut s'attendre à ce que"

Il fait pression lui aussi, mais le décisionnaire s'appelle Olaf :smile:

 

Pardon, ça n'a rien à voir, mais je ne résiste pas au plaisir de placer cette anedocte:

Lors des négociations pour l'armistice du 18 Juin 40 [ EDIT: 22 Juin... vous aurez corrigé par vous mêmes... pardon de la confusion...], la seule vraie concession allemande au texte proposé fût de remplacer dans un passage le verbe "Müssen" par le verbe "Sollen".

C'est loin dans mes souvenirs de lecture, je ne saurais plus dire à quel sujet, la question de la flotte française peut-être.

Modifié par Niafron
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Il y a 11 heures, Métal_Hurlant a dit :

"...Les forces russes ont atteint le complexe sportif "Artemsol", situé dans la partie ouest de la ville de Soledar..."

A priori les russes essaient de produire une ligne sur la rivière Bakmutivka ... rivière qui travers Bakmut.

Selon les milblogger russes, les unités russes seraient à l'ouest de Soledar presque au niveau de la rivière, mais des défenseurs seraient encore dans Soledar à priori. Ou du moins ils pensent qu'il y en a encore dans les fortifications enterrées

Même si Soledar était effectivement tenue par les russes ça ne changerait pas radicalement les choses ... la nouvelle ligne de front se déplacent de quelques kilomètres sur la rivière.

Et pour Bakmut comme la rivière traverse la ville, le problème se posera à nouveau. Prendre l'est de la ville ne garantirait pas non plus de pouvoir franchir facilement la rivière pour prendre l'ouest. Sauf si l'offensive au sud à travers Opytne aboutissait à quelques choses.

A mon sens au mieux ça peut stabiliser le front.

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Il y a 8 heures, g4lly a dit :

les unité russes serait à l'ouest de Soledar presque au niveau de la rivière, mais des défenseurs serait encore dans Soledar à priori.

Alors, pardon, en général, j'évite de casser les bonbons avec l'orthographe, de une parce que je suis pas irréprochable moi même là dessus, de deux parce que personne n'aime les donneurs de leçons.

Mais là, c'est juste que ça m'a fait penser très, très fort à la blague dans je ne sais plus quel album d'Astérix: "Heu... bah en fait chef... ils étaient un."

P.S: Et hop! Un filet garni pour celui qui retrouve le nom du dit album!

@Niafron Correction faite. Collectionneur

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Il y a 12 heures, Ciders a dit :

Je crois me rappeler d'un dialogue dans Astérix où un légionnaire en campagne se plaignait qu'il avait eu le choix entre l'armée et les jeux du cirque, et qu'il avait choisi le cirque. :dry:

HS: Astérix en Corse et c'était ni le cirque ni l'armée mais la Corse ou la croix.

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Je ne voulais pas participer au HS mais je me dois de te corriger : c'est la découverte des effets de la potion magique par les Romains dans "Astérix le Gaulois".

« Et pas bien gros, en plus. »

EDIT : Oups, pardon, tu répondais à Ciders... Pas bien réveillé encore.

Modifié par DMZ
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Très bonne synthèse de la situation militaire à aujourd'hui dans ce papier du Monde: une défense réussie mais de vraie crainte sur une 2e vague de mobilisation. Ratio de perte en faveur des Ukrainiens, mais stratégie de massification de l'infanterie coté Russe, aidé en cela par l'apathie générale d'une société qui semble cautionner cette guerre. Et cela suscite quelques inquiétudes en Ukraine et à l'Ouest plus généralement. 


https://www.lemonde.fr/international/article/2023/01/12/guerre-en-ukraine-kiev-et-ses-allies-redoutent-une-nouvelle-mobilisation-russe_6157519_3210.html

 

Citation

Guerre en Ukraine : Kiev et ses alliés redoutent une nouvelle mobilisation russe

Selon les experts militaires, cette nouvelle vague de soldats, pour inexpérimentés qu’ils soient, serait difficile à contenir. Malgré des pertes énormes, Moscou adopte de plus en plus une stratégie de rouleau compresseur humain pour briser les lignes ukrainiennes.

Par Cédric Pietralunga

Publié hier à 05h20, mis à jour hier à 10h37

Des uniformes et des équipements sont distribués aux militaires russes mobilisés, à Rostov (Russie), le 31 octobre 2022. ARKADY BUDNITSKY / ANADOLU AGENCY VIA AFP

Depuis quelques semaines, l’interrogation revient de façon insistante dans les milieux militaires occidentaux : que se passerait-il si la Russie parvenait à envoyer plusieurs centaines de milliers d’hommes supplémentaires en Ukraine ? Même mal équipés et mal formés, ces nouveaux soldats pourraient-ils submerger les lignes de défense ukrainiennes, éprouvées par près d’un an de guerre ? « Il est clair que nous allons rentrer dans un moment de massification, lors duquel les Russes vont jeter toutes leurs forces dans la bataille », s’est inquiété, le 2 janvier, sur LCI, le ministre des armées français, Sébastien Lecornu, de retour d’une visite à Kiev.

Arrêtés dans leur offensive par des Ukrainiens plus résistants que ce qu’ils avaient prévu, les Russes ne progressent plus depuis la prise des villes de Lyssytchansk et de Severodonetsk, dans le Donbass, dans l’est du pays, au début de l’été 2022. En septembre, les troupes de Moscou ont eu toutes les peines du monde à arrêter la contre-offensive lancée par Kiev dans la région de Kharkiv. En novembre, elles ont dû abandonner la rive droite du Dniepr et la ville de Kherson, dans le Sud, après que leurs lignes de ravitaillement ont été coupées par les Ukrainiens. Depuis, c’est le statu quo, même si les mercenaires russes du Groupe Wagner disent avoir pris Soledar, un bourg du Donbass proche de Bakhmout, ville de 70 000 habitants où les combats font rage depuis quatre mois.

Ces affrontements ont été meurtriers pour l’armée de Moscou. L’état-major ukrainien affirme avoir tué plus de 113 000 soldats russes depuis le 24 février 2022, l’équivalent de la moitié du contingent envoyé par le Kremlin. Un chiffre impossible à vérifier, mais en partie validé par les militaires occidentaux. « Selon nos estimations les plus crédibles, au moins 60 000 combattants russes auraient été tués, pour trois fois plus de blessés, ce qui signifie qu’environ 250 000 combattants russes seraient aujourd’hui “hors service” », a affirmé le 16 novembre le vice-amiral Hervé Bléjean, directeur de l’état-major de l’Union européenne, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, tenue à huis clos mais dont le compte rendu a été publié début janvier.

Enrayer l’hémorragie

Pour enrayer cette hémorragie et regarnir ses troupes, Vladimir Poutine a signé, le 21 septembre 2022, un décret ordonnant la « mobilisation partielle » de quelque 300 000 hommes. Ce recrutement a été chaotique, l’armée russe n’ayant plus les officiers ni les infrastructures pour former et équiper autant de personnes en même temps. Il semble néanmoins avoir des effets. « On estime que 80 000 hommes ont été engagés très rapidement en Ukraine, dont 50 000 directement sur le champ de bataille. Cela a permis de stabiliser les effectifs de l’armée russe », assure Vincent Tourret, chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) et spécialiste de l’armée russe. « Le Kremlin a mobilisé énormément de réservistes et de conscrits. Cela commence à produire des effets, par la masse », reconnaît Sébastien Lecornu.

Des citoyens russes recrutés lors de la mobilisation militaire partielle sont envoyés dans des zones de coordination de combat à Moscou, en Russie, le 10 octobre 2022. STRINGER/ANADOLU AGENCY VIA AFP

Au-delà des mobilisés, le pouvoir russe utilise aussi les conscrits pour augmenter sa présence. Chaque année, quelque 250 000 hommes de 18 à 27 ans sont appelés à faire leur service militaire. Officiellement, ils ne sont pas envoyés en Ukraine. « Mais rien n’empêche juridiquement Vladimir Poutine de le faire. On en voit déjà sur le terrain, dans les régions frontalières de l’Ukraine, et les Russes pourraient de plus en plus les utiliser car ils suivent une formation militaire de quatre mois minimum avant d’être employés au combat et pourraient être, pour certains, mieux préparés que les mobilisés », assure Anna Colin Lebedev, chercheuse à l’université de Paris-Nanterre et spécialiste des espaces post-soviétiques. Sans oublier le Groupe Wagner, qui aligne environ 50 000 mercenaires sur le terrain, alimentés notamment par les détenus recrutés dans les prisons russes en échange d’une remise de peine.

Mais ce qui inquiète surtout les Ukrainiens et les Occidentaux, c’est l’éventualité d’une deuxième vague de mobilisation russe, après celle engagée en septembre 2022 – d’autant que Vladimir Poutine n’y a pas formellement mis fin par décret. Selon Vadym Skibitsky, chef adjoint du renseignement militaire ukrainien, cité le 6 janvier par le quotidien britannique The Guardian, la Russie s’apprêterait à appeler 500 000 hommes supplémentaires sous les drapeaux, ce qui pourrait potentiellement porter ses effectifs en Ukraine à près de 1 million de soldats. Une affirmation démentie par le Kremlin mais confirmée par le renseignement militaire estonien, généralement bien informé sur les intentions de Moscou. « La Russie est en train d’unifier les listes de ses citoyens mobilisables, qui n’étaient pas centralisées et rarement mises à jour, ce qui peut lui permettre de mobiliser demain plus rapidement et plus efficacement », confirme Anna Colin Lebedev.

Selon les experts militaires, cette nouvelle vague de soldats, pour inexpérimentés qu’ils soient, serait difficile à contenir. Depuis le début du conflit, et singulièrement ces derniers mois, l’état-major russe montre peu d’égards pour ses troupes et a adopté une stratégie de rouleau compresseur humain, envoyant vague après vague ces combattants se briser sur les lignes de défense ukrainiennes. « L’ennemi ne prête aucune attention aux énormes pertes de son personnel et continue de monter à l’assaut. Les abords de nos positions sont littéralement jonchés des corps des soldats adverses », a déclaré la vice-ministre ukrainienne de la défense, Hanna Malyar, le 9 janvier. « Même si les mobilisés s’apparentent à de la chair à canon, ils permettent aux Russes de tenir le front et de préparer éventuellement une nouvelle offensive au printemps », estime Vincent Tourret.

 

Partie 2

Citation

Une résistance qui ne saurait tenir éternellement

Les Ukrainiens ont jusqu’ici tenu face à ces vagues, au prix de lourdes pertes eux aussi – les militaires occidentaux les estiment à environ 100 000 morts et blessés. Mais cette résistance, aussi héroïque soit-elle, ne saurait tenir éternellement. « A un moment, les lois de la physique risquent de s’imposer », s’inquiète une source française. « Nos troupes sont toutes engagées dans des batailles aujourd’hui. Elles saignent et ne tiennent ensemble que par le courage, l’héroïsme et la capacité de leurs commandants », a reconnu le chef des forces armées ukrainiennes, Valeri Zaloujny, dans un entretien publié le 15 décembre 2022 par l’hebdomadaire britannique The Economist, expliquant s’attendre à une nouvelle offensive russe « en février, au mieux en mars, au pire fin janvier ».

Lire aussi : Article réservé à nos abonnés La mobilisation « partielle » décrétée par Vladimir Poutine, un pari militaire loin d’être gagné

Cette crainte d’une nouvelle mobilisation est d’autant plus importante que la société russe ne s’y oppose pas, contrairement à ce qu’espéraient les Occidentaux. Certes, plusieurs centaines de milliers d’hommes ont fui la Russie à l’annonce de la « mobilisation partielle » de septembre 2022, mais la répression et la propagande présentant le conflit ukrainien comme une réponse à l’agressivité de l’Occident maintiennent la population dans un état de résignation. « C’est impressionnant de voir comment le discours sur la “guerre juste” imprègne les consciences dans certaines catégories de population. On sent monter ce sentiment dans la société russe », observe Anna Colin Lebedev, qui s’appuie sur l’étude de nombreuses boucles d’échanges de citoyens sur les réseaux sociaux.

Effrayés par ces sombres perspectives, les alliés de l’Ukraine ont donné un nouveau coup d’accélérateur à leur aide militaire et décidé de lui livrer des blindés légers, chose qu’ils s’étaient jusqu’ici refusés à faire. Le 5 janvier, les Etats-Unis ont ainsi annoncé l’envoi de 50 véhicules Bradley et se sont engagés à former chaque mois 500 militaires ukrainiens à leur usage, soit l’équivalent d’un bataillon. De leur côté, l’Allemagne a promis 40 blindés de combat d’infanterie Marder et la France « plusieurs dizaines » de chars légers AMX-10 RC. Washington étudierait aussi l’envoi de Stryker, un autre blindé de transport de troupes, successeur du Bradley.

Surtout, la pression monte parmi les pays européens pour fournir des chars lourds à l’armée de Kiev. La Pologne et la Finlande se disent prêtes à livrer des Leopard 2, l’un des engins terrestres les plus puissants, mais doivent pour cela obtenir l’autorisation de l’Allemagne, qui les fabrique. Jusqu’ici, Berlin renâcle, par peur d’une escalade avec Moscou. Mais sa position devient chaque jour plus intenable. Le 20 janvier, les pays alliés de l’Ukraine ont prévu de se retrouver de nouveau sur la base américaine de Ramstein (Allemagne), afin de coordonner leurs livraisons d’armes. De nouvelles annonces seraient en préparation.

 

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il y a 10 minutes, Teenytoon a dit :

T'es sûr ? Je ne vois qu'un amas de ferraille. Dans ce cas ma remarque est nulle est non avenue :laugh:

Les VAB n'étant pas dispersés mais utilisé uniquement dans certaines unités équipées à l'occidentale, il y a de grandes chances pour que ça en soit un. Ou alors un autre APC ou IFV occidental.

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Il y a 19 heures, Zalmox a dit :

"Ankara est devenu un médiateur dans le conflit et a donc arrêté l'exportation de produits létaux vers l'Ukraine. À l'heure actuelle, seule la vente des produits de défense non destinés au combat, tels que les véhicules blindés et les équipements de protection individuelle, se poursuit", a rapporté la publication turque SavunmaSanayiST, pour tenter d'expliquer l'arrêt des livraisons de drones Bayraktar TB2."

Ben voyons.

A rapprocher des collectes organisées dans les pays baltes pour payer les super-drones turcs : "Alors voilà, on vous a pris votre argent, mais maintenant on médie, donc les munitions et le support : non". Qu'en pensent les baltes ?

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il y a 9 minutes, Heorl a dit :

Les VAB n'étant pas dispersés mais utilisé uniquement dans certaines unités équipées à l'occidentale, il y a de grandes chances pour que ça en soit un. Ou alors un autre APC ou IFV occidental.

Ou une voiture, un pick-up quelconque : la carcasse est beaucoup plus petite et peu anguleuse.

Par contre le VAB, derrière, a beaucoup plus morflé qu'aucun autre vu jusqu'à présent : plus une vitre, il a probablement brûlé. Sur le coup ou a posteriori, on ne sait pas.

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Ce qui est intéressant, c'est que l'armée russe actuelle n'est plus du tout la même qu'il y a 6 mois. Lors des batailles dans le Donbass du Printemps et de l'été, c'était, en gros "beaucoup d'artillerie, peu d'hommes". Aujourd'hui, de plus en plus c'est "beaucoup d'hommes, moins d'artillerie", d'après les témoignages des soldats ukrainiens qui confirment tous que même à Bakhmout et à Soledar, la densité de frappe d'artillerie russe reste très inférieur à ce qu'ils ont pu voir à Popasna ou à Severodonetsk il y a 6/7 mois. L'enjeu pour la Russie, j'imagine, c'est d'être à terme capable d'attaquer avec "beaucoup d'hommes ET beaucoup d'artillerie". 

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16 minutes ago, Boule75 said:

Ou une voiture, un pick-up quelconque : la carcasse est beaucoup plus petite et peu anguleuse.

Par contre le VAB, derrière, a beaucoup plus morflé qu'aucun autre vu jusqu'à présent : plus une vitre, il a probablement brûlé. Sur le coup ou a posteriori, on ne sait pas.

Dans les commentaires il est dit que les véhicules auraient été coincé par la dispersion de "mine" via l'artillerie. Mais difficile de savoir s'il s'agit de vraies mines dispersables, ou plutôt de sous munitions polyvalentes.

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"Selon un communiqué de presse du Ministère de la Défense Nationale roumain, plusieurs avions AWACS atterriront mardi 17 janvier sur la  Base Aérienne 90 d'Otopeni, dans le cadre de la mise en œuvre de mesures visant à renforcer le dispositif défensif de l'Alliance dans la région de la Mer Noire. Les AWACS resteront en Roumanie pendant plusieurs semaines.

Les appareils AWACS (système aéroporté de détection et de contrôle) qui seront présents en Roumanie font partie de la force aéroportée de détection lointaine et de contrôle de l'OTAN (NATO Airborne Early Warning & Control Force – NAEW&C), basée en permanence à Geilenkirchen, en Allemagne."

https://www.defenseromania.ro/aeronave-awacs-aterizeaza-in-romania_620529.html

 

Edit

DPA dit qu'il y aura trois AWACS.

Modifié par Zalmox
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