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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires


Messages recommandés

Il y a 1 heure, Stinger a dit :
Offre de médiation française avec rencontre des officiels des deux camps à Paris ce mercredi. 

Quelques précisions

«Le président s'entretiendra bientôt avec Vladimir Poutine pour au fond lui proposer un chemin de désescalade», a déclaré la présidence française, en précisant que l'échange aurait lieu «dans les prochains jours». «Il pense qu'il y a de l'espace pour la diplomatie, pour la désescalade», a-t-elle ajouté, alors que les bruits de bottes se multiplient autour de l'Ukraine. Dans ce contexte, l'ambassadeur Pierre Vimont, représentant spécial d'Emmanuel Macron pour la Russie, se rendra mardi à Moscou, a précisé l'Elysée.

La France, l'Allemagne, la Russie et l'Ukraine tiendront ensuite une réunion mercredi à Paris sur l'Ukraine au niveau des conseillers diplomatiques. Elle associera les conseillers d'Emmanuel Macron et du chancelier allemand Olaf Scholz, le vice-premier ministre russe et émissaire du Kremlin pour les négociations de paix en Ukraine Dmitri Kozak, ainsi que le directeur de l'administration présidentielle du président Volodymyr Zelensky. Ce format quadripartite dit «Normandie» vise à mettre en oeuvre les accords de paix de Minsk de 2015, aujourd'hui au point mort, pour régler le conflit entre Kiev et les séparatistes ukrainiens prorusses dans le Donbass.

(...) «Ce soir ou demain la Rada ukrainienne reviendra sur la loi de transition», a précisé l'Elysée. Ce texte, préparé à l'été 2021, reconnaît la Russie comme «Etat agresseur et Etat occupant», ce que Moscou rejette totalement, et est jugé contraire aux accords de Minsk. «Nous pourrons ensuite négocier des mesures humanitaires» telles qu'échanges de prisonniers et ouverture de checkpoints, a ajouté l'Elysée. «Et nous essaierons d'obtenir une date» pour des négociations entre Kiev et les séparatistes sur «le statut du Donbass», a-t-il poursuivi.

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Xavier Moreau ne s'étant pas trompé sur l'affaire du Kazakhstan, je partage son décryptage sur la situation à l'est.

Donc en gros pas de panique brave gens, tout ceci n'est que du théâtre :

Poutine et biden ont tout arrangé lors de leur de la rencontre de genève en juin, les russes font  monter la pression à la frontière de l'ukraine pour que biden puisse leur faire les concessions déjà négocié l'année dernière pendant que les russes se retirent et tout le monde rentre chez soit avec une victoire en poche.

Si c'est vrai c'est quand même des sacrés roublards ces deux oiseaux...

 

Révélation

 

Biden copiant la diplomatie nord-coréenne de trump (rocket man toussa..), on aura tout vue...

Modifié par kmltt
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il y a une heure, kmltt a dit :

Xavier Moreau ne s'étant pas trompé sur l'affaire du Kazakhstan, je partage son décryptage sur la situation à l'est.

Donc en gros pas de panique brave gens, tout ceci n'est que du théâtre :

Poutine et biden ont tout arrangé lors de leur de la rencontre de genève en juin, les russes font  monter la pression à la frontière de l'ukraine pour que biden puisse leur faire les concessions déjà négocié l'année dernière pendant que les russes se retirent et tout le monde rentre chez soit avec une victoire en poche.

Si c'est vrai c'est quand même des sacrés roublards ces deux oiseaux...

 

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Biden copiant la diplomatie nord-coréenne de trump (rocket man toussa..), on aura tout vue...

Je n'y crois pas....

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Il y a 7 heures, kmltt a dit :

Poutine et biden ont tout arrangé lors de leur de la rencontre de genève en juin, les russes font  monter la pression à la frontière de l'ukraine pour que biden puisse leur faire les concessions déjà négocié l'année dernière pendant que les russes se retirent et tout le monde rentre chez soit avec une victoire en poche.

C'est pas crédible une seconde, à commencer par le fait que Biden n'a rien à négocier. Il n'a rien à dire sur les choix des autres pays.

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Il y a 1 heure, cracou a dit :

C'est pas crédible une seconde, à commencer par le fait que Biden n'a rien à négocier. Il n'a rien à dire sur les choix des autres pays.

Ca tombe bien, Poutine ne lui demande que des engagements relatifs aux choix des Etats-Unis :happy:

Cela dit, d'accord pour dire que ce n'est pas crédible.

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il y a 27 minutes, Snapcoke a dit :

Ah ok, excuse moi, je pensais  bêtement à une faute de correcteur. 

Pas besoin de t'excuser. Tu as employé la version romanisée et moi la version russo-ukrainienne:biggrin::biggrin::biggrin:

https://en.wikipedia.org/wiki/Holodomor

 

Modifié par mudrets
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Un élément à peut-être prendre en compte dans l'équation : la même spécialiste de la Russie avait également avancé sur Public Sénat que Poutine serait malade selon les rumeurs (impossible pour nous de savoir si elles sont fondées ou pas). Ce qui l'aurait poussé à prendre plus de risques que d'habitude dans ce bras de fer diplomatique et militaire, pour sa postérité historique de rassembleur des terres "russes".

Il y a 11 heures, Alexis a dit :

Quelques précisions

«Le président s'entretiendra bientôt avec Vladimir Poutine pour au fond lui proposer un chemin de désescalade», a déclaré la présidence française, en précisant que l'échange aurait lieu «dans les prochains jours». «Il pense qu'il y a de l'espace pour la diplomatie, pour la désescalade», a-t-elle ajouté, alors que les bruits de bottes se multiplient autour de l'Ukraine. Dans ce contexte, l'ambassadeur Pierre Vimont, représentant spécial d'Emmanuel Macron pour la Russie, se rendra mardi à Moscou, a précisé l'Elysée.

La France, l'Allemagne, la Russie et l'Ukraine tiendront ensuite une réunion mercredi à Paris sur l'Ukraine au niveau des conseillers diplomatiques. Elle associera les conseillers d'Emmanuel Macron et du chancelier allemand Olaf Scholz, le vice-premier ministre russe et émissaire du Kremlin pour les négociations de paix en Ukraine Dmitri Kozak, ainsi que le directeur de l'administration présidentielle du président Volodymyr Zelensky. Ce format quadripartite dit «Normandie» vise à mettre en oeuvre les accords de paix de Minsk de 2015, aujourd'hui au point mort, pour régler le conflit entre Kiev et les séparatistes ukrainiens prorusses dans le Donbass.

(...) «Ce soir ou demain la Rada ukrainienne reviendra sur la loi de transition», a précisé l'Elysée. Ce texte, préparé à l'été 2021, reconnaît la Russie comme «Etat agresseur et Etat occupant», ce que Moscou rejette totalement, et est jugé contraire aux accords de Minsk. «Nous pourrons ensuite négocier des mesures humanitaires» telles qu'échanges de prisonniers et ouverture de checkpoints, a ajouté l'Elysée. «Et nous essaierons d'obtenir une date» pour des négociations entre Kiev et les séparatistes sur «le statut du Donbass», a-t-il poursuivi.

On peut douter que cela réussisse mais c'est extrêmement important que la France tente quelque chose car si les choses dégénèrent c'est l'Europe de l'Atlantique à l'Oural qui en souffrira, pas les Américains qui cyniquement pourraient y trouver leur intérêt : d'abord les Ukrainiens, puis la masse de la population russe du fait des sanctions, puis l'UE, en premier lieu l'Allemagne (la France moins mais ses banques déjà y laisseront aussi des plumes).

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il y a 9 minutes, DAR a dit :

On peut douter que cela réussisse mais c'est extrêmement important que la France tente quelque chose car si les choses dégénèrent c'est l'Europe de l'Atlantique à l'Oural qui en souffrira, pas les Américains qui cyniquement pourraient y trouver leur intérêt : d'abord les Ukrainiens, puis la masse de la population russe du fait des sanctions, puis l'UE, en premier lieu l'Allemagne (la France moins mais ses banques déjà y laisseront aussi des plumes).

Absolument.

Il y a même une suggestion - trouvée à partir d'un site américain qui s'appelle AntiWar, et dont l'orientation est facile à deviner :smile: - comme quoi la France pourrait à elle seule bloquer le glissement vers la guerre. Etant en cela fidèle à ses intérêts ainsi qu'à l'héritage du gaullisme.

Comment Emmanuel Macron peut mettre fin à la menace de guerre en Europe

Le président français peut emprunter une phrase de Charles de Gaulle et dire "non" à l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN

Le président français Emmanuel Macron peut mettre fin à la menace actuelle de guerre en Europe en quatre mots seulement : J'ai dit : Non ("J'ai dit : Non"). Ce sont les mots de son grand prédécesseur, le président Charles de Gaulle, lorsqu'il a annoncé en 1963 qu'il avait opposé son veto (à juste titre, comme il apparaît aujourd'hui) à la demande d'adhésion de la Grande-Bretagne au Marché commun européen. Dans le contexte actuel, Macron peut les utiliser pour déclarer qu'il opposera son veto, et qu'il attend de ses successeurs qu'ils le fassent, à toute demande ukrainienne d'adhésion à l'OTAN.

Il s'agirait d'un symbole - puisque personne ne pense réellement que l'Ukraine puisse se voir offrir une adhésion à l'OTAN dans un avenir prévisible et que Macron ne peut pas dicter les actions de ses successeurs - mais ce serait un symbole extrêmement puissant. Elle marquerait la détermination de la France, seule puissance militaire significative de l'Union européenne, à ne pas se laisser entraîner dans un conflit inutile avec la Russie ; et elle commencerait à rallier les opinions publiques européennes pour qu'elles assument enfin la responsabilité de la sécurité de leur propre continent.

J'ai du mal à imaginer Macron faire cela. Cela dit, je serais heureux d'être démenti par les événements.

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il y a 6 minutes, Ardachès a dit :

… Pas de problème : on signe où et quand ?

Mauvaise question.

La bonne question est : "les Allemands signent où et quand (et quels sont les préambules interprétatifs qu'ils rajouteront ensuite) ?

De notre côté on ne signe rien tant qu'on n'a pas les réponses.

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il y a 41 minutes, Alexis a dit :

Absolument.

Il y a même une suggestion - trouvée à partir d'un site américain qui s'appelle AntiWar, et dont l'orientation est facile à deviner :smile: - comme quoi la France pourrait à elle seule bloquer le glissement vers la guerre. Etant en cela fidèle à ses intérêts ainsi qu'à l'héritage du gaullisme.

Comment Emmanuel Macron peut mettre fin à la menace de guerre en Europe

Le président français peut emprunter une phrase de Charles de Gaulle et dire "non" à l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN

Le président français Emmanuel Macron peut mettre fin à la menace actuelle de guerre en Europe en quatre mots seulement : J'ai dit : Non ("J'ai dit : Non"). Ce sont les mots de son grand prédécesseur, le président Charles de Gaulle, lorsqu'il a annoncé en 1963 qu'il avait opposé son veto (à juste titre, comme il apparaît aujourd'hui) à la demande d'adhésion de la Grande-Bretagne au Marché commun européen. Dans le contexte actuel, Macron peut les utiliser pour déclarer qu'il opposera son veto, et qu'il attend de ses successeurs qu'ils le fassent, à toute demande ukrainienne d'adhésion à l'OTAN.

Il s'agirait d'un symbole - puisque personne ne pense réellement que l'Ukraine puisse se voir offrir une adhésion à l'OTAN dans un avenir prévisible et que Macron ne peut pas dicter les actions de ses successeurs - mais ce serait un symbole extrêmement puissant. Elle marquerait la détermination de la France, seule puissance militaire significative de l'Union européenne, à ne pas se laisser entraîner dans un conflit inutile avec la Russie ; et elle commencerait à rallier les opinions publiques européennes pour qu'elles assument enfin la responsabilité de la sécurité de leur propre continent.

J'ai du mal à imaginer Macron faire cela. Cela dit, je serais heureux d'être démenti par les événements.

Et s’il ne disait «non » pas seul mais avec Recep Tayyip Erdogan ?)

Un intéressant article de BusinessInsider relatif à la position turque vis à vis de l’Ukraine, de la Russie et de l’OTAN :

https://www.businessinsider.com/turkey-growing-ties-with-russia-have-caused-problem-for-nato-2022-1?amp

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Pour continuer de commenter l'affaire du vice-amiral Schönbach, ce que je trouve remarquable c'est la façon dont les journalistes de l'Agence France Presse [1] et de Belga [2] se sont évertués à rendre incompréhensible la position du chef de la marine allemande, en omettant la colonne vertébrale de son discours, l'argument massue qui est « Même l'Inde et l'Allemagne ont besoin de la Russie. Nous avons besoin de la Russie contre la Chine » [3].

Sans cet argument, ce qu'il dit et qui est repris apparaît décousu et irrationnel, dans le petit monde provincial européen où la Chine n'est pas dans le radar et où l'on réfléchit au mieux à 4 ou 5 ans à l'avance et non à 40 ou 50 ans à l'avance.

L'Europe et l'Inde sont deux sous-continents de la masse continentale eurasiatique. Et dans le contexte indo-pacifique, l'idée se comprend parfaitement. La preuve c'est que l'australien Hugh White le dit. Au moment où j'ai traduit ce passage, j'ignorais ce qu'avait dit Schönbach le jour même, et ce n'était pas du tout prémédité de ma part, c'est une pure coïncidence :

Le 21/01/2022 à 22:09, Wallaby a dit :

https://www.youtube.com/watch?v=EXksdbaTe3o

Hugh White, 2 octobre 2021

26:55 En dernière analyse le pays qui garantit que la Chine n'exercera jamais d'hégémonie sur le continent eurasiatique, est la Russie. Plus la Chine se renforce, plus il sera important pour l'Europe que la Russie soit suffisamment forte pour empêcher la Chine de passer de puissance dominante en Asie de l'Est, ce qu'elle deviendra je pense, à puissance dominante d'un bout à l'autre de la masse continentale eurasiatique.

-

Du coup, cela peut aussi expliquer la déclaration d'Olaf Scholz sur sa réticence à sanctionner la Russie [4], ce qui punirait l'Allemagne, mais aussi... punirait la Russie.

Or si l'on punit la Russie, on affaiblit la Russie, et si on affaiblit la Russie, la Russie n'investit plus au Kazakhstan, et la Chine devient la puissance dominante au Kazakhstan :

  

Le 23/01/2022 à 18:28, Wallaby a dit :

https://www.franceculture.fr/emissions/les-enjeux-internationaux/au-kazakhstan-la-chine-peut-elle-remplacer-la-puissance-tutelaire-russe (20 janvier 2022)

Julie Gacon

13:06 Et d'après le patron de la compagnie pétrolière publique Kazmunaygas, le Kazakhstan a donné à la Chine le contrôle de 30% de l'extraction pétrolière.

13:27 Le sort qui est réservé aux Kazakh côté chinois dans le Xinjiang équivaut à celui des Ouïghours. Mais qu'en pense la Russie ? Qu'en font les Russes de cette influence chinoise ? Est-ce qu'ils laisseront faire et jusqu'où ?

Philippe le Corre

14:19 Économiquement, ce sont les Chinois qui investissent, ce sont les Chinois qui ont permis à Khorgos de sortir de terre et aux autres points d'entrée comme Alashankou. Et donc l'économie, elle est alimentée principalement par cette présence chinoise.

 

[1] https://www.lefigaro.fr/flash-actu/demission-du-chef-de-la-marine-allemande-apres-des-propos-controverses-sur-l-ukraine-20220122

[2] https://www.rtbf.be/article/conflit-en-ukraine-un-amiral-allemand-somme-de-s-expliquer-apres-des-propos-controverses-sur-la-russie-10920081?id=10920081

[3] https://theprint.in/world/china-slams-germanys-ex-navy-chief-for-his-call-to-de-link-close-beijing-moscow-ties/812470/

[4] https://www.swissinfo.ch/eng/germany-urges--prudence--in-potential-sanctions-against-russia-over-ukraine/47285604

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il y a 24 minutes, Wallaby a dit :

Du coup, cela peut aussi expliquer la déclaration d'Olaf Scholz sur sa réticence à sanctionner la Russie [4], ce qui punirait l'Allemagne, mais aussi... punirait la Russie.

Or si l'on punit la Russie, on affaiblit la Russie, et si on affaiblit la Russie, la Russie n'investit plus au Kazakhstan, et la Chine devient la puissance dominante au Kazakhstan :

En gros punir la Russie, c'est répéter les sanctions sur la Biélorussie qui ont arimé celle-ci au grand protecteur russe en en faisant l'unique débouché de son économie.

Donc la Russie et son petit PiB de niveau italien serait encore plus dépendant du gros PiB chinois pour ses exports.

Pas sur que les russes apprécieront, eux dont la Sibérie est déjà colonisée par les paysans chinois...

Il faudrait proposer un plan Marshall où :

On oublierait la Crimée (il y a bien eu le Kosovo et la réunification allemande comme modifications de frontières).

On graverait dans le marbre que l'OTAN n'as de raison de s'étendre plus à l'est.

On mettrait fin aux sanctions histoire de pouvoir recommercer

On trouverait un accomodement type federalistes pour l'est de l'Ukraine à la mode Belge.

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il y a 3 minutes, BPCs a dit :

Il faudrait proposer un plan Marshall où :

On oublierait la Crimée (il y a bien eu le Kosovo et la réunification allemande comme modifications de frontières).

On graverait dans le marbre que l'OTAN n'as de raison de s'étendre plus à l'est.

On mettrait fin aux sanctions histoire de pouvoir recommercer

On trouverait un accomodement type federalistes pour l'est de l'Ukraine à la mode Belge.

De mémoire, il me semble que cela a déjà été fait. Après 1944 et 1945. Pas avec succès.

Quant à l'Ukraine à la sauce Bicky... je ne suis pas sûr. Tu ne penses pas que ce soit déjà assez le bazar là-bas ?

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il y a 1 minute, Kelkin a dit :

La Russie n'est plus communiste, il n'y a plus de conflit idéologique fondamental.

Le conflit existe pourtant bel et bien. Il y a un gouffre que les Occidentaux refusent de percevoir entre leur système démocratique et le reste du monde, notamment la Russie où cette démocratie n'a jamais existé.

E je reviens sur un point de post précédent, assimiler Kosovo et réunification allemande. Les deux choses n'ont rien à voir. Dans un cas, on a forcé la main aux Serbes, dans l'autre les Allemands avaient une vraie volonté de se rassembler.

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