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je ne critique pas le refus de la résolution par le liban et la ligue arabe; je dis juste que la décision de la ligue arabe n'entrainera pas une nouvelle escalade dans les violences : la ligue arabe n'a qu'une autorité morale ( et toute relative encore ) et les américains et israél n'en ont rien à foutre ( par contre si ils méttaient en place un embargo pétrolier , ça serait pas la même chose ......)
si ta raison voila un lien tres util sur le sujet :

http://www.webzinemaker.com/admi/m6/page.php3?num_web=23293&rubr=4&id=167505

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Il y a quand même une différence, le hezbollah balance au hasard, les israéliens visent ce qu'ils pensent être des objectifs militaires.
je pense qu'une partie des attaques israéliennes visent des cibles civiles , d'autre part beaucoup d'autres se font sans la moindre prudence vis à vis des populations civiles où sur des informations beaucoup trop vagues : ça crée ce qu'on appelle des dommages collatéraux mais à mon sens ça reste condamnable car le résultat final de ces tirs ( hécatombe de civils ) est connu d'avance ( le coup des frappes chirurgicales, on ne me le fera plus depuis 1991 ).

pour le hezbollah, effectivement il tire sur des villes sans plus de distinction ( mais sans moyens de reconnaissances et compte tenu de l'imprécision bien connu des systémes de roquettes , un tir ciblé lui est impossible : c'est pour ça que j'émet des doutes sur le caractére volontaire de son tir sur les 12 réservistes tués hier )

un dernier point toutefois, c'est bien israél qui a commencé cette guerre des villes; à la base ( et contrairement au djihad islamique où à al quaida ) le hezbollah s'attaque de façon quasi exclusive aux troupes israéliennes.

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si ta raison voila un lien tres util sur le sujet :

http://www.webzinemaker.com/admi/m6/page.php3?num_web=23293&rubr=4&id=167505

pour être franc, je ne pense pas que les pays arabes mettront en place un embargo pétrolier pour faire pression sur l'occident et aider le liban ; d'ailleurs ils ne l'ont jamais fait pour aider les palestiniens ............
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( le coup des frappes chirurgicales, on ne me le fera plus depuis 1991 )

.

alors excusez moi de rigoler bien fort mais les frappes chirurgicales c'est et ca toujours ete un pipo pour journaliste

ya pas de guerre chirurgicale comme ya jamais eu de guerre propre a moins d'un affrontement armée vs armée en terrain plat c'est toujours les civils qui trinquent le plus

pour le hezbollah, effectivement il tire sur des villes sans plus de distinction ( mais sans moyens de reconnaissances et compte tenu de l'imprécision bien connu des systémes de roquettes , un tir ciblé lui est impossible : c'est pour ça que j'émet des doutes sur le caractére volontaire de son tir sur les 12 réservistes tués hier )

memes imprecises pourquoi ne pas viser les infrastuctures militaires israeliennes fixes ???

un dernier point toutefois, c'est bien israél qui a commencé cette guerre des villes; à la base ( et contrairement au djihad islamique où à al quaida ) le hezbollah s'attaque de façon quasi exclusive aux troupes israéliennes.

d'accord avec toi c'est pour ca que le qualificatif terrosriste est quand meme un peu rapide
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alors excusez moi de rigoler bien fort mais les frappes chirurgicales c'est et ca toujours ete un pipo pour journaliste

ya pas de guerre chirurgicale comme ya jamais eu de guerre propre a moins d'un affrontement armée vs armée en terrain plat c'est toujours les civils qui trinquent le plus

pour être franc , à l'époque j'y avais cru à ce pipo : j'étais jeune et naif ;-)
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Pétrole : la razzia de 1973 Le 9 septembre 1960, l’Arabie Saoudite, l’Iran, l’Irak, le Venezuela et le Koweït donnent naissance à l’OPEP dont l’objectif est de soustraire le marché aux aléas des fluctuations afin d’assurer une certaine stabilité. Bien entendu cet objectif est un alibi puisque depuis les accords de Achnarry (1928), le marché pétrolier avait trouvé une réelle stabilité. Le véritable objectif de l’OPEP est en fait de prendre le contrôle de la production d’hydrocarbures afin de soumettre les prix du marché non pas à ses lois mais aux desiderata politiques de ses membres. Une lutte sans merci Dès 1950, les pays producteurs obtinrent le principe d’un partage 50-50 des ressources en se fondant non pas sur le prix d’extraction mais sur un prix fictif : le posted price. Ainsi, de 1950 à 1955 les revenus pétroliers des pays producteurs quadruplèrent. La naissance de l’OPEP est due à Abdullah ibn Hammoud al-Tariqi, directeur général des affaires pétrolières d’Arabie Saoudite, qui souhaitait non seulement contrôler les prix du marché mais aussi les quantités vendues. Farouchement anti-impérialiste, Tariqi réussit à insuffler un esprit de combat contre les compagnies pétrolières étrangères soupçonnées d’agir sur l’ordre des gouvernements occidentaux. De 1963 à 1968, ces compagnies avaient très mal assuré leur mission impérialiste puisque les revenus des pays producteurs doublèrent une nouvelle fois. La radicalisation de l’OPEP se poursuivit sous la conduite de Zaki Yamani qui avait remplacé Tariqi. En 1967, à l’occasion de la guerre des six jours, l’OPEP décréta un embargo à l’encontre des Etats soutenant Israël. Embargo violé tout aussitôt par les Etats membres de l’OPEP. En janvier 1968, l’Arabie Saoudite, la Libye et l’ Koweït créèrent l’Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole : OPAEP. Vers le choc de 1973 En juin 1968, la conférence de l’OPEP adopta la théorie des circonstances changeantes. Quand les circonstances l’exigeaient, les Etats membres de l’OPEP se réservaient le droit, au mépris des contrats passés, de changer les termes et condition de la vente de brut, d’acquérir des participations dans les compagnies étrangères, de changer le montant des impôts et celui des royalties. Bref, le pétrole était désormais soumis au bon vouloir du prince. Les pays de l’OPEP et de l’OPAEP mettaient de plus en plus l’accent sur les moyens de faire plier les compagnies : embargo, expropriation, nationalisation ou boycott. Les Etats occidentaux ne soutenaient pas leurs compagnies qui durent composer avec cette politique d’une extrême brutalité conduite par des Etats réputés amis comme l’Arabie Saoudite ou l’Iran. Le raid de 1973 Les tribus de la péninsule arabique considèrent, depuis toujours, que la razzia ou le raid sont des activités nobles qui marquent leur supériorité de guerrier sur les agriculteurs, artisans ou commerçants classes sédentaires. Par ailleurs, la tradition bédouine voulait aussi que les tribus les plus puissantes lèvent un tribut sur les tribus les plus faibles. En 1973, depuis près de 30 ans, l’économie mondiale est en expansion. La croissance est soutenue et la consommation de pétrole, dont le cours reste modéré, augmente en soutenant le mouvement expansionniste. Le marché est donc tendu, avec un léger déficit, mais rien d’inquiétant. Début 1973, le système monétaire international est de plus en plus instable et l’Arabie Saoudite et le Koweït spéculent contre le dollar qui plonge. En février le dollar est dévalué de 11,11% ce qui provoque la colère de l’OPEP qui dénonce la diminution de ses revenus alors que deux de ses principaux membres ont contribué à cette dévaluation ! Toute réaction de la part des pays consommateurs serait interprété comme un acte de guerre de la part des pays producteurs et «L’OPEP détruira leurs industries et leur civilisation» selon Yamani, ministre du pétrole d’Arabie Saoudite. L’OPEP menace, en juillet, d’une augmentation drastique des prix. Le roi Faycal d’Arabie Saoudite essaye de convaincre les américains de la nécessité de lever leur protection sur Israël car il craint que l’Egypte ne parte en guerre contre Tel Aviv. Pour cause, c’est Riyad qui finance l’armée égyptienne qui ne pourrait, faute de quoi, soutenir un tel effort tant les finances nationales sont exsangues. Aussi, en cas de guerre, l’Arabie Saoudite serait «contrainte» de prendre des mesures de rétorsion. Le 6 octobre 1973, l’Egypte attaque Israël, le jour même l’Irak nationalise les compagnies pétrolières et les pays du golfe doublent le prix du brut. Le 17 octobre, l’Arabie Saoudite menace les Etats-Unis d’un embargo s’ils continuent de soutenir Israël. Le jour même l’OPEP annonce une restriction de sa production de 5% par mois tant que les forces israéliennes n’auront pas évacué les territoires annexés en 1967 et que l’on restaure les droits des Palestiniens. Le 18 octobre, Nixon demande au Congrès une aide extraordinaire pour aider Israël, le 20 octobre le roi Fayçal proclame le Jihad contre l’ennemi sioniste. Le 21 novembre les Etats-Unis menacèrent l’OPEP de rétorsions. Le 22 décembre l’OPEP décida de porter le prix du brut à 11,65$ le baril. Une mesure qui non seulement frappait les pays développés mais aussi les pays en voie de développement. L’OPEP qui se battait contre l’impérialisme occidental se révélait être une vaste entreprise de razzia destinée à prélever l’essentiel des richesses mondiales. Issue de la crise L’embargo frappant les Etats-Unis fut levé en mars 1974, mais l’OPEP avait remporté la bataille. L’Arabie Saoudite s’était imposée comme le pays fort de l’organisation tout en préservant un certain crédit auprès des occidentaux du fait de sa «modération». En quelques semaines 10% à 15% des liquidités mondiales avaient été ponctionnées en dirigées vers les pays membres de l’OPEP tout en créant les conditions d’une crise économique profonde faite d’inflation et de stagnation économique donc de chômage. Début 1979, le brut coûtait 18$ le baril et coûtait à produire, en Arabie Saoudite, 0,15$ le barils soit un bénéfice de 12.000%. Une manne financière que le royaume saura utiliser adroitement pour assurer le financement des principaux réseaux islamistes mondiaux et en assurant le rayonnement du wahhabisme, forme puritaine et arriérée de l’Islam. Le choc de 1973 correspond donc au mode opératoire stratégique des bédouins, la razzia, tout en servant l’objectif stratégique de long terme du jihad.

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memes imprecises pourquoi ne pas viser les infrastuctures militaires israeliennes fixes ???
au départ j'ai pensé que c'est ce qu'il allait faire ( tirer sur les raffineries, les centrales électriques, les zones d'industrie chimique ) mais même ça semble au delà de ses moyens techniques ( bon je peux me tromper aussi :D )
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malheureusement je dois avouer que moi aussi j'y avais cru aux frappes chirurgicales a l'époque comme quoi il suffit d'enrober de jolies images avec de beaux commnetaires et tu peux faire gober ce que tu veux a qui tu veux dans le feu de l'action heureusement qu'on a pris de la bouteille et qu'on a decidé d'essayer de lire entre les lignes ;-)

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Une guerre propre ça n'existe pas.

tout à fait d'accord mais on peut quand même la rendre moins sale et surtout la convention de genéve éxiste pour interdire les pires excés ( quoique seuls les vaincus la subissent la plupart du temps )

bon c'est vrai que quand on voit le spectacle affligeant de ces dernières semaines, il y a de quoi en perdre tout espoir :-

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alors excusez moi de rigoler bien fort mais les frappes chirurgicales c'est et ca toujours ete un pipo pour journaliste

ya pas de guerre chirurgicale comme ya jamais eu de guerre propre a moins d'un affrontement armée vs armée en terrain plat c'est toujours les civils qui trinquent le plus

Si, les frappes chirurgicales existent bel et bien. Mais comme il y a souvent des "erreurs" de renseignements, du genre civils pris pour des "terroristes" ou présence de "terroristes" dans la zone frappée 10 minutes avant les frappes (les "terros" ont le temps de se barrer...), ça nous donne des ratages chirurgicaux...
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chirurgicales my bollocks (c'est pour faire plus poli que la version francaise et c'est pas une attaque personnelle te visant, FrenchFrogger) Augmentation de la precision ok par rapport a de betes bombes a gravité Mais les eclats de metals, de betons et le souffle ils sont chirurgicaux eux peut etre.... tu peux pas etre chirurgical dans un environnement urbain or plus de 50 ou 60 % de la population mondiale (donc des gens a proximités desquels risque de de produire ces pretendues frappes chirugicales) vit en zone urbaine et puis les munitions guidées ca coute cher, c'est temps dependants (un guidage laser a travers de la fumée ou des nuages c'est pas terrible) ou electronique dependant (personne a jamais eu des pbs avec son GPS???) Nan moi rien que le terme de frappe chirurgicale me fait rigoler grave Et puis l'usage de bombes FAE, a sous munitions ou au phosphore c'est chirurgical aussi ??? Les pilotes sous amphets en stress de combat en zone d'activité SAM ils vont toujours viser au millimètre pret ???? fumisterie (enfin c'est mon humble avis)

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j'intervient seulement pour dire à CVS que Je préfère son ancien avatar ;-)

Tu préfères les blondes ?:D

Moi aussi, je préfère mon ancien avatar, mais j'avais envie de changer un peu.

J'essayerai d'alterner.

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retour au terrain avec une analyse militaire du monde : ace à la puanteur dégagée par les cadavres, Cheikh Ahmed est le seul à ne pas se protéger le nez d'un masque chirurgical. Lunettes légèrement teintées et turban blanc, ce dirigeant du Hezbollah au Liban sud observe, imperturbable, le désordre désormais habituel régnant devant l'hôpital gouvernemental de Tyr. Face au spectacle de désolation, l'homme affiche sa sérénité. "La résistance se porte bien, déclare-t-il. L'action meurtrière d'Israël a contribué à rapprocher plus encore le peuple du Hezbollah. Non seulement au Liban, mais aussi dans tous les pays arabes et musulmans, chaque jour plus nombreux à manifester leur soutien." L'évocation d'un parrainage actif de Téhéran et Damas à l'organisation chiite libanaise lui fait hausser le sourcil. "Que signifie cette obsession occidentale d'un soutien du Hezbollah par l'Iran et la Syrie ? Leurs médias se donnent-ils par ailleurs la peine de préciser qu'Israël est soutenu par les Etats-Unis et l'Europe ?" "Ma réponse sur le rôle de l'Iran et de la Syrie, ajoute Cheikh Ahmed, se résume par le discours de Condoleezza Rice. Celle-ci ne cesse d'appeler de ses voeux un "Grand Moyen-Orient". Et bien, le voilà ! Face au plan américano-sioniste de destruction systématique du Liban, le "Grand Moyen-Orient" réagit en choeur pour défendre ses droits. L'objectif du Hezbollah n'a jamais changé. Depuis sa création, il s'agit de se battre contre l'occupation et l'agression israéliennes au Liban. Nous représentons la résistance de tous les Libanais. La Syrie et l'Iran prennent à coeur le sort de notre pays. C'est normal." "Si, selon les Américains, ce sont des terroristes, si tous les Arabes et les musulmans sont des terroristes, ajoute-t-il avec ironie, alors nous nous revendiquons fièrement comme une organisation terroriste." Le bilan de l'offensive israélienne - plus de 1 000 morts selon les chiffres officiels - a répandu la haine des Israéliens, même chez les Libanais les moins enclins à soutenir le Parti de Dieu chiite. De ce point de vue, nul doute que le Hezbollah pourra bénéficier de bataillons de relève, si besoin était. Aadel, un jeune déplacé du Sud rencontré à Saïda, explique qu'il est "communiste et athée au dernier degré". "J'ai déjà proposé mon aide au Hezbollah, assure-t-il. Ils m'ont remercié et m'ont répondu que ce n'était pas nécessaire pour l'instant. Dès qu'ils le souhaiteront, je me battrai." "Hezbollah est le seul groupe armé à n'avoir jamais retourné ses armes contre les autres communautés libanaises. Il représente aujourd'hui notre plus fort atout militaire contre l'ennemi. Il est logique de les soutenir.", conclut-il. Sur une route, non loin de Tyr, Hussein, un combattant du Hezbollah, transporte de longs cylindres métalliques à l'arrière de sa fourgonnette. Elles contiendront des charges explosives qui seront enterrées et qu'une simple pression sur télécommande fera ensuite sauter au passage d'un char de Tsahal. Ces précisions fournies, il sera impossible de photographier le petit arsenal. "Nous n'en avons pas après les journalistes, explique Hussein, mais nous nous méfions des images. Le sud du Liban est infiltré d'espions et nous avons eu plusieurs mauvaises expériences par le passé. Notre force consiste à préserver le secret militaire." "Hezbollah ne prévient pas et ne rend compte à personne, confirme Hajj Rifaat, responsable du Fatah dans le camp palestinien de Rachidiyé, près de Tyr. Seul le Hamas, présent dans certains camps palestiniens au Liban sud, participe activement aux opérations. Si les fedayins palestiniens avaient adopté la même tactique il y a trente ans, peut-être n'aurions-nous pas perdu si vite. Mais ce que nous avons compris aujourd'hui semble échapper aux stratèges israéliens. Voyez le résultat !" Sur les défaites et victoires militaires, difficile de se fier aux déclarations contradictoires de chacun des deux camps. De sa base de Naqoura, à l'extrême sud du Liban, l'officier de liaison à la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul), le colonel français Jacques Colleville, est l'un des meilleurs connaisseurs de la situation sur le terrain. "Tout le monde a été surpris par le degré de préparation du Hezbollah, reconnaît-il, ainsi que le degré de méconnaissance d'Israël." "La Finul estime à 16 000 le nombre de roquettes dont disposait le Hezbollah au début de la guerre. Leur capacité en armes et en munitions est restée intacte aux trois quarts, estime le colonel Colleville. Leurs réseaux souterrains fortifiés sont très efficaces. Des poches de résistance ont refait surface dans des zones qu'Israël croyait contrôler... Après plusieurs semaines de frappes aussi puissantes qu'intensives autour de la place forte de Bint Jbeil, on a vu des combattants du Hezbollah sortir de leur trou, aussi frais qu'aux premiers jours des combats. Il n'y a pas ici de batailles terrestres de type européen." Selon le colonel Colleville, "il s'agit d'une guérilla urbaine, ce qui n'est pas forcément en faveur de l'attaquant et contre laquelle les bombardements sont peu efficaces. La mobilisation des soldats de réserve israéliens ne change rien à la donne. Sur le terrain, il est très difficile d'imaginer la fin descombats". bonne nuit à tous

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