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Marine américaine dans le futur.


desertfox
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L’US Navy va tester un canon électro-magnétique à bord d’un navire en 2016

railgun-20140410.jpg

Au rythme où va le programme de canon électromagnétique (ou Railgun) mené depuis 2005 par l’Office of Naval Research (ONR) de la marine américaine, l’artillerie navale va bientôt connaître une évolution majeure.

Au moins 3 avantages sont apportés par ce canon électromagnétique. Le premier est qu’il ne sera plus besoin d’embarquer à bord d’un navire des obus traditionnels, ce qui augmentera la sécurité. Le second concerne la portée de cette arme : plus de 200 nautiques, ce qui permet de frapper loin, vite et fort tout en évitant le risque d’une possible riposte. Enfin, le dernier est relatif au coût : quand il faut dépenser entre 0,5 et 1,5 millions de dollars pour envoyer un missile, un tir de « railgun » ne coûtera « que » 25.000 dollars.

 

http://www.opex360.com/2014/04/10/lus-navy-va-tester-canon-electro-magnetique-bord-dun-navire-en-2016/

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Qu’est qu’un hydrocarbure? Une combinaison d’atomes de carbone et d’hydrogène. Or, l’eau de mer (H2O) contient beaucoup de dioxyde de carbone (C02), 140 fois plus que dans l’air.

Aussi, l’idée de l’US Naval Research Laboratory (NRL), une unité de recherche de la marine américaine, est simple : pour produire du carburant, il suffirait de combiner le C02 avec de l’hydrogène après avoir réussi à l’extraire de l’eau de mer. Plus facile à dire qu’à faire…

Et cela fait plus de 9 ans que les chercheurs de ce laboratoire travaillent dessus. Mais, a priori, ils viennent de franchir une étape après avoir mis au moins, en octobre 2012, une cellule électrochimique capable de récupérer jusqu’à 92% du dioxyde de carbone contenu dans l’eau de mer par électrolyse. Les éléments obtenus sont ensuite catalysés selon une manière semblable au procédé Fischer-Tropsch pour être transformés en hydrocarbures.

 

J'ai entendu parler de ça plusieures fois ces derniers jours, et il y a toujours une chose qui m'échappe.

 

Certes, pour produire de l'hydrocarbure, il faut de l'hydrogène (p. ex. depuis l'eau de mer) et du carbone (p. ex depuis le CO2). Ca n'a rien de nouveau, ça marche très bien, les algues (et les végétaux) font ça depuis des milliards d'années. Mais, et c'est ça qui me manque dans l'explications, il faut encore une chose de plus: de l'énergie! Pour les algues et végétaux, elle vient sous forme d'énergie solaire, et le processus s'appelle photosynthèse.

 

Alors, d'où provient l'énergie nécessaire pour cette fabrication d'hydrocarbures pour navires en pleine mer? Aussi du soleil? D'un réacteur nucléaire de bord? Quelque chose d'autre?

 

Une chose est claire: La deuxième loi de la thérmodynamique s'applique aussi à la USN. Du carburant gratos, ça n'existe pas. L'energie doit bien provenir de quelquepart, et ç'est la source d'energie qui sera le grand facteur limitant dans une application pratique éventuelle de ce système, même s'il marche (en théorie, il n'y a pas de raison pourquoi ça ne devrait pas fonctionner)

Modifié par Koustaire
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J'ai entendu parler de ça plusieures fois ces derniers jours, et il y a toujours une chose qui m'échappe.

 

Certes, pour produire de l'hydrocarbure, il faut de l'hydrogène (p. ex. depuis l'eau de mer) et du carbone (p. ex depuis le CO2). Ca n'a rien de nouveau, ça marche très bien, les algues (et les végétaux) font ça depuis des milliards d'années. Mais, et c'est ça qui me manque dans l'explications, il faut encore une chose de plus: de l'énergie! Pour les algues et végétaux, elle vient sous forme d'énergie solaire, et le processus s'appelle photosynthèse.

 

Alors, d'où provient l'énergie nécessaire pour cette fabrication d'hydrocarbures pour navires en pleine mer? Aussi du soleil? D'un réacteur nucléaire de bord? Quelque chose d'autre?

 

Une chose est claire: La deuxième loi de la thérmodynamique s'applique aussi à la USN. Du carburant gratos, ça n'existe pas. L'energie doit bien provenir de quelquepart, et ç'est la source d'energie qui sera le grand facteur limitant dans une application pratique éventuelle de ce système, même s'il marche (en théorie, il n'y a pas de raison pourquoi ça ne devrait pas fonctionner)

 

l'idée de l'USN est d'avoir un navire ravitailleur avec propulsion nucléaire intégré à la flotte et qui fabriquerait ledit carburant en pleine mer, donc plus besoin de retourner à terre à chaque fois.

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l'idée de l'USN est d'avoir un navire ravitailleur avec propulsion nucléaire intégré à la flotte et qui fabriquerait ledit carburant en pleine mer, donc plus besoin de retourner à terre à chaque fois.

 

Voir carrément de produire le carburant aviation directement à bord des CVN.

 

Après, cela ne voudrait cependant pas dire la fin des navettes vers laterre, car on n'a pas encore réussi à trouver un moyen de produire en mer de la nourriture en suffisance (et aussi suffisamment variée) pour presque 10'000 personnes (en comptant l'escorte des CVN), mais cela en diminuerait le nombre*, et surtout ça diminuerait aussi le nombre de ravitaillement à faire entre les navires, qui est une tache relativement dangereuse et surtout un moment où les navires sont très vulnérables.

 

 

*surtout que s'il faut moins ravitailler les autres navires, cela voudrait aussi dire pouvoir remplacer certaines soutes à carburant par des soutes à nourriture/pièces détachées/armement.

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Voir carrément de produire le carburant aviation directement à bord des CVN.

 

Après, cela ne voudrait cependant pas dire la fin des navettes vers laterre, car on n'a pas encore réussi à trouver un moyen de produire en mer de la nourriture en suffisance (et aussi suffisamment variée) pour presque 10'000 personnes (en comptant l'escorte des CVN), mais cela en diminuerait le nombre*, et surtout ça diminuerait aussi le nombre de ravitaillement à faire entre les navires, qui est une tache relativement dangereuse et surtout un moment où les navires sont très vulnérables.

 

 

*surtout que s'il faut moins ravitailler les autres navires, cela voudrait aussi dire pouvoir remplacer certaines soutes à carburant par des soutes à nourriture/pièces détachées/armement.

 

 

la solution est déjà là...

http://www.monunivers3d.com/alimentaire/#more

 

l'impression 3D est réellement la meilleurs invention depuis longtemps !

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la solution est déjà là...

http://www.monunivers3d.com/alimentaire/#more

 

l'impression 3D est réellement la meilleurs invention depuis longtemps !

En quoi cela résoudrait il le problème de ravitaillement?

Il faut de la matière pour les imprimantes.

Que ton roti arrive normalement ou sous forme de cartouches de protéines pour l'imprimante c'est kif kif...

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En quoi cela résoudrait il le problème de ravitaillement?

Il faut de la matière pour les imprimantes.

Que ton roti arrive normalement ou sous forme de cartouches de protéines pour l'imprimante c'est kif kif...

 

Ca prend sans doute moins de place.

Mais c'est surtout pour le stock de piéces de rechange que ca va tout changer :)

Modifié par Drakene
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Ca prend sans doute moins de place.

Mais c'est surtout pour le stock de piéces de rechange que ca va tout changer :)

Je pense que les imprimantes 3D sont très loin de pouvoir utiliser les alliages spéciaux et les polymères complexes utilisés dans l'aviation militaire.

Sans compter que outre le coulage et l'usinage de la pièce elle même, il y a ensuite tous les traitements thermiques et/ou de surface réalisés sur ces pièces.

Il y a par exemple les nombreux traitements anti corrosion.

D'autres pièces nécessitent des traitements thermiques dans des fours très spéciaux avec des gaz neutres pour éviter l'oxydation.

Enfin nombre de pièces doivent être vérifiées et re vérifiées y compris par radiographie pour détecter des défauts internes à la pièce ou des problèmes d'homogénéité de l'alliage.

Beaucoup de pièces "métalliques" sont en fait composées d'alliages différents avec des dosages très précis.

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D'autant plus qu'on a déjà des solution d'usinage numérique qui fonctionne bien pour les pieces de rechange pas trop exigente et dont on aurait besoin dans les avoir sous le coude. Les navire atelier servent a ca.

 

A par produire des pièce avec des réservation creuse dedans, l'imprimante 3D n'apporte pas un plus immense, par rapport au solution automatisé déjà existante qui rendent le service qui va bien depuis longtemps.

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Selon Wikipédia (oui, oui, je sais...), le LaWS est dans les 50kW avec une portée effective de 1 nautique. Donc ça ne remplaçera certainement pas un SM-6, ESSM ou même le RAM pour stopper un P-270 ou Yakhont. C'est plutôt censé être une arme à munitions illimitées et très faible côut par tir contre des drones, petites embarcations et autres menaces asymétriques qui ne méritent pas un missile.

 

A noter que pour des armes laser déstructrices, 50kW c'est peu. Il faudrait une illumination de cible (les mêmes quelques cm2!) pendant 20 secondes pour arriver au 1 MJ qui est consideré comme l'équivalent de 200g de TNT ou le minimum pour causer une destruction de la cible... Mais je pense que ici, on compte plutôt sur l'effet éblouissant/aveuglant (en particulier en lutte anti-asymétrique), mais on n'a pas le droit de le déclarer ouvertement, puisque les armes laser aveuglants sont en principe interdites... A noter aussi que la portée de l'effet aveuglant est sans doute bien plus grande que 1 nautique...

 

Et finalement, ce n'est qu'un démonstrateur. Le but sera de construire une arme laser dans les quelques centaines de kW. Certes, il existent déjà des laser chimiques qui ont plusieurs MW, mais ils ne sont pas utilisables sur les navires (produits chimiques chèrs et hautement toxiques et corrosifs, seulement quelques coups avant d'être à court de "munition" - d'ou la recherche sur les lasers à électrons-libres, qui ne nécessitent que de l'éléctricité bon marché et disponible en quantité sur un navire, surtôut s'il est à propulsion nucléaire... Les lasers à éléctrons libres ne sont pour l'instant que dans le domaine du dizaine de kW, mais ça progresse vite...) 

 

Je pense que tu oublies l'impulsion, un laser qui concentre son énergie dans une frappe d'une femto seconde: http://fr.wikipedia.org/wiki/Laser_femtoseconde, de quoi atomiser n'importe quoi.....

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US Navy Requests Industry Proposals for Carrier-Operable Drones

http://defense-update.com/20140418_uclass.html#.U1oXxqJIW_I

ucas-d_launch.jpg

The X-47B Unmanned Combat Air System (UCAS-D) completes preparations for launching aboard the aircraft carrier USS Theodore Roosevelt (CVN 71). Theodore Roosevelt is the third carrier to test the tailless, unmanned autonomous aircraft’s ability to integrate with the carrier environment. The future UCLASS will be optimized to operate with the new Ford Class carrier (CVN-78) fitted with electrically rather the conventional steam powered catapult, enabling safe handling of lighter aircraft. (U.S. Navy photo by Heath Zeigler)

 

UCLASS-usni.jpg

The four candidate designs considered for UCLASS depicted in this image published by the US Naval Institute (USNI)

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Défense antimissile : l'US Navy déploie l'intercepteur SM-3 Block IB de Raytheon
535908f43e234.jpg
Tir d'essai d'un intercepteur SM-3 Block IB.
uite au rapport plutôt mitigé du GAO (équivalent américain de la Cour des Comptes) sur l’état d’avancement du bouclier antimissile américain, Raytheon s’efforce de positiver. Ainsi, le missilier américain a annoncé hier le premier déploiement par l’US Navy de la nouvelle version Block IB de l’intercepteur SM-3, marquant ainsi le début de la phase 2 de la mise en place du bouclier antimissile européen selon l’approche phasée EPAA (European Phased Adaptive Approach). La phase 1 avait démarré au mois de mars 2011, avec le déploiement du SM-3 Block IA sur le croiseur Aegis USS Monterey.
La version Block IB se distingue de la version actuelle par sa nouvelle partie haute, composée d'un autodirecteur infrarouge bicolore amélioré et d'un système de contrôle d'attitude et de déviation à poussée modulable qui permet d'élargir le domaine d'interception à des missiles de plus longue portée.
Autre point fort de cette deuxième phase, la mise en service du premier site Aegis Ashore (basé à terre) en Roumanie, actuellement prévue pour 2015. Le site a été mis sous tension pour la première fois en novembre dernier et un premier tir d’essai d'un système représentatif de l'Aegis Ashore de production est prévu cette année à Hawaï.
La famille SM-3 sera ensuite complétée par l’arrivée de la version SM-3 Block IIA, encore plus performante contre des missiles balistiques de longue portée. Les essais en vol de ce dernier, qui est développé en coopération avec le Japon, doivent commencer en 2015.

 

http://www.air-cosmos.com/2014/04/24/21966-defense-antimissile-l-us-navy-deploie-l-intercepteur-sm-3-block-ib-de-raytheon

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18 Milliard $

General Dynamics Awarded $18 Billion by U.S. Navy for 10 Virginia-Class Submarines
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The U.S. Navy today underscored its commitment to an advanced and adaptable submarine force by awarding General Dynamics Electric Boat a contract valued at $17.6 billion for the construction of 10 additional Virginia-class submarines. Electric Boat is a wholly owned subsidiary of General Dynamics.

The multi-year Block IV contract enables Electric Boat and its industry teammate, Newport News Shipbuilding, to proceed with the construction of two ships per year over a five-year period. Construction of the first Block IV submarine, SSN-792, will begin May 1. The 10th ship to be procured under this contract is scheduled for delivery in 2023.

http://www.navyrecognition.com/index.php?option=com_content&task=view&id=1773
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La marine américaine a annoncé lundi qu'elle passait commande de dix sous-marins supplémentaires à General Dynamics et à son principal sous-traitant Huntington Ingalls, représentant un montant total de 17,6 milliards de dollars (12,7 milliards d'euros).

Le contrat, le plus important jamais passé par l'US Navy, prévoit la construction de 2 sous-marins de classe Virginia chaque année de 2014 et 2018, a déclaré un officier américain qui précise à que prix, cela représente 10 sous-marins pour le prix de 9.

 

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/04/28/97002-20140428FILWWW00413-l-us-navy-commande-10-sous-marins-de-plus.php

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Ohio replacement ;

https://www.fas.org/sgp/crs/weapons/R41129.pdf.

X stern , un ancien design « Albacore » qui remonte à la surface en remplacement des « H stern » voire des classiques « cruciform stern ». Les U212 sont en X stern , Barracuda aussi ….meilleure perf en giration . « It has been demonstrated on Albacore that ‘X’ arrangement of aft control surfacesgave a much tighter turning circle than with a conventional cruciform arrangement [26].Heggstad [30] discusses the advantages of ‘X’ form rudders. »

http://www.dtic.mil/cgi-bin/GetTRDoc?AD=ADA470163.

qqes trucs hydro de soums

http://www.dsto.defence.gov.au/publications/3442/DSTO-TR-1622.pdf

‎Sinon des améliorations en furtivité et discrétion acoustique , tuiles anéchoides sur la coque et pompe hélice

Modifié par ARMEN56
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A bord des sous-marins américains, l'équipage commence une nouvelle journée toutes les 18 heures. Un rythme « anti-physiologique » qui est amené à évoluer.

«Cette journée de travail extrêmement longue est due au faible nombre de marins à bord», explique au Figaro Dr Nita Lewis Shattuck de l'Université Navale de Monterey (Californie). En effet, dans un sous-marin, l'équipage compte une centaine d'hommes, divisée en trois équipes, qui doivent 24/24 heures et 7/7 jours se relayer à un même poste.

http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/04/30/22284-sous-marins-conditions-vie-extremes

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