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Les candidats pour 2007 et la défense nationale


Sidelfi
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Stratege aux présidentielles, ça ferait très mal. Ne serait-ce pour le plaisir d'un Stratege/Arlette (Laguillier) la veille du premier tour avec une autre Arlette (Chabot), antipathique au possible avec ses "on comprend rien!" (qu'elle multiplie en général quand ça devient intéressant ou dès qu'il y a le bordel, ce qui n'arrange rien) en chaîne.

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Un debat télévisé avec stratége là! il y aura du spectacle.Mdr "non, lui je lui parle pas c un abrutis avec des idées a la con et ATTENTION je peux le prouver..... ...... ..... ..... donc c'un un gros simplet,limite blairo le gars." Ah putain quesque je le vois bien pas vous?^^. lol

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Les deux tribunes de Lelouche dont il est question dans l'article de FrenchFrogger :

Une révolution stratégique au Moyen-Orient

Quatre semaines après le début de la guerre du Liban, et après le drame de Cana, qui a marqué un tournant à la fois politique et psychologique dans ce conflit, trois facteurs stratégiques essentiels apparaissent qui conditionneront non seulement l'issue diplomatique qui va devoir survenir dans les prochains jours ou les prochaines semaines, mais plus fondamentalement la stabilité à long terme dans cette région vitale pour le monde qu'est le Moyen-Orient.

Le premier de ces facteurs est sans conteste l'émergence de l'Iran comme superpuissance à vocation régionale. Pour la première fois depuis 1948, c'est un pays non arabe, l'Iran, qui s'est installé comme porte-drapeau de la résistance anti-sioniste, anti-américaine et anti-occidentale. C'est l'Iran qui galvanise aujourd'hui la rue arabe par Hezbollah interposé ; ce que Nasser avait fait dans les années 60 au nom du nationalisme arabe, l'Iran le fait aujourd'hui, en brandissant non pas la bannière nationaliste ou socialiste arabe, mais celle de l'Islam chiite radical. La nouvelle a de quoi inquiéter non seulement Israël, que le président iranien veut voir «rayé de la carte», mais également les États arabes encore pro-occidentaux, tous assis sur les poudrières de leurs opinions publiques, sans parler bien sûr des Occidentaux. En finançant, en formant nombre de cadres du Hezbollah, et surtout en armant cette milice islamique au moyen de milliers de missiles dont certains peuvent porter 100 à 200 kilomètres, l'Iran s'est invité en première ligne de la guerre contre Israël. Grâce au Hezbollah installé au sud du Liban après le départ des Israéliens en 2000, l'Iran est donc désormais un «pays du front» face à Israël.

Cette situation n'est rien de moins qu'une véritable révolution stratégique, qui fait de l'actuelle guerre du Liban une sorte de répétition générale d'un conflit autrement plus fondamental à l'échelle du monde, qui pourrait opposer demain deux puissances nucléaires, l'actuel Israël, et celle en devenir, l'Iran. C'est d'ailleurs au bras de fer qui oppose la communauté internationale à l'Iran autour de son programme nucléaire, que l'on doit le déclenchement brutal de ce conflit par le Hezbollah à la veille même du sommet du G 8 à Saint-Pétersbourg, où devait être évoquée la question nucléaire iranienne.

Stratégie payante puisque, d'ores et déjà, l'Iran apparaît comme le grand vainqueur de ce conflit. Le déferlement de haine anti-américaine et anti-israélienne qui a secoué l'ensemble du monde arabo-musulman a fait du Hezbollah le vainqueur politique et de son parrain l'Iran le vrai triomphateur de cette guerre. Désormais, aucun accord futur touchant à l'hypothétique démilitarisation du Hezbollah, à la toute aussi hypothétique reconstruction de la souveraineté libanaise ne pourra se faire sans l'aval de Téhéran et de ses représentants locaux à Damas, comme à Beyrouth. Désormais, toutes les capitales occidentales, mais également Moscou et Pékin, savent ce qui pourrait en coûter d'aller trop loin s'agissant de contraindre l'Iran à renoncer à ses ambitions nucléaires.

Le deuxième fait majeur concerne Israël et l'accumulation d'erreurs stratégiques qui ont caractérisé les réactions du gouvernement Olmert depuis le début de cette crise. On a beaucoup dit, à l'instar de la diplomatie française, que la riposte israélienne était «disproportionnée». Elle est surtout fondamentalement erronée. Le soldat Shalit a été enlevé à Gaza, alors même qu'un accord était sur le point d'être conclu entre le président Mahmoud Abbas et le premier ministre Hamas, Ismael Haniyeh, visant à reprendre le processus de négociations avec Israël sur la base du document dit des détenus. Les deux autres soldats israéliens ont été enlevés à la frontière libanaise, et les premiers missiles se sont abattus au nord d'Israël à quelques jours du sommet du G 8.

Dans les deux cas, la provocation était évidente. Mais le gouvernement israélien a cru devoir répondre à ces agressions par des bombardements massifs qui ont eu pour résultat de casser le Liban et Gaza, d'affaiblir les leaders en place (Seniora et Abbas) en renforçant les extrêmes : Hezbollah et Hamas. Deuxième erreur due sans doute à la culture américaine qui règne désormais sur Tsahal, les bombardements massifs à distance de sécurité au moyen de missiles supposés intelligents, sont parfaitement inopérants face à la guérilla, mais inévitablement très meurtriers s'agissant des populations civiles.

Résultat : Israël, bien qu'agressé, apparaît aujourd'hui comme le bourreau et a perdu la guerre principale – celle des images. Dans le même temps, troisième erreur, le Hezbollah lui, pour qui il suffit de résister pour gagner, sort d'ores et déjà renforcé sur la scène libanaise, mais aussi sur la scène mondiale.

Enfin, le troisième facteur dominant est que paradoxalement, malgré leur immense puissance économique et militaire, malgré leur apparent activisme diplomatique, les États-Unis sont désormais marginalisés au Proche-Orient, voire hors jeu. Le fait que Madame Rice ne peut même plus se rendre à Beyrouth en dit long sur le niveau atteint par la haine anti-américaine dans le monde arabe. Quant à l'initiative caressée par Washington d'envoyer ses supplétifs européens sous la bannière de l'OTAN désarmer le Hezbollah à la suite de l'armée israélienne et alors même que l'Amérique elle-même annonçait d'entrée de jeu qu'elle n'enverrait aucune troupe, elle en dit long là aussi sur la confusion des esprits qui règne à Washington. Le fait que cette idée ait fait long feu en quelques heures montre à quel point le leadership américain sur l'Otan est en miettes. Décidément l'Amérique paye cher son échec en Irak. Elle le paye d'autant plus cher que l'Iran a pu ainsi émerger face à elle comme le grand challenger du «remodelage du nouveau Moyen-Orient»... version islamiste cette fois.

Dans ces conditions, les données de l'après-guerre apparaissent extraordinairement difficiles. Un cessez-le-feu rapide est bien entendu indispensable pour des raisons humanitaires, pour faire cesser le massacre dans les populations civiles, des deux côtés d'ailleurs. Mais une force d'interposition qui viendrait quelque temps montrer le drapeau de l'ONU ou même de l'Union européenne au Liban-Sud, sans désarmer un Hezbollah aujourd'hui plus fort que jamais, équivaudrait à un cautère sur une jambe de bois.

Après l'immense gâchis de cette guerre, il sera impératif de faire en sorte que le Liban soit cette fois pleinement souverain, que le sud de son territoire ne serve plus de rampe de lancement pour des attaques contre Israël décidées par des puissances tierces. Obtenir ce résultat par la force paraît douteux. Ce que Tsahal n'a pas réussi à faire en quatre semaines de combat, il est douteux qu'une force internationale d'imposition de la paix puisse l'obtenir. Reste donc l'espoir ténu d'une solution politique qui passe par un accord global sur le statut du Liban, avec donc la participation de la Syrie et de l'Iran. Accord qui rendra possible la mise en oeuvre d'une force d'interposition agréée par tous, à laquelle le président de la République a fait allusion. L'ennui, c'est qu'on voit mal à ce jour que les conditions d'un tel accord soient réunies ou sur le point de l'être, d'autant que dès le 22 août se profile l'étape suivante de l'affrontement de la communauté internationale avec l'Iran sur son programme nucléaire. La tâche qui attend la communauté internationale – et en particulier l'Europe et la France – est donc immense. Se contenter de faux-semblants, c'est se condamner à l'avance à des conséquences encore plus graves.

Les ingrédients d'une crise mondiale, par Pierre Lellouche

Tribune parue dans Le Monde, le 10 août 2006

Pierre Lellouche est député de Paris, délégué général de l'UMP chargé de la Défense et président de l'Assemblée parlementaire de l'OTAN.

Alors que s'achevait la Coupe du monde de football et que, du président de la République au plus petit journal de province, chacun dissertait sur le coup de tête de Zidane, je me demandais si cette deuxième fête berlinoise, après celle de 1936, n'augurait pas à son tour une nouvelle catastrophe. Certes, l'Europe, vieillissante et instruite par l'histoire, ne fait plus la guerre désormais, mais d'autres la font tout autour de nous. Faut-il donc que nous soyons aveugles pour ne pas voir l'accumulation de nuages au-dessus de nos têtes, dix-sept ans après la fin de la guerre froide ?

A quelques jours d'intervalle, nous avons eu, en effet, coup sur coup :

- Une crise extrêmement grave autour de la Corée du Nord, dernière dictature stalinienne de la planète, avec les tests de missiles balistiques intercontinentaux effectués par le régime de Pyongyang le 4 juillet. Le nouveau missile nord-coréen, le Taepodong-2, d'une portée de 6 000 km, pourrait permettre au dictateur nord-coréen Kim Jong-il de frapper, le cas échéant avec des armes atomiques, des cibles en Corée du Sud, au Japon ou en Alaska.

Compte tenu des risques de chantage à l'arme atomique, il s'agit ici d'un développement stratégique majeur, d'une remise en cause fondamentale des équilibres stratégiques en Asie-Pacifique, qui pourraient conduire à une nucléarisation rapide du Japon, suivi de la Corée du Sud, voire de Taïwan, sans parler de la diffusion des technologies nord-coréennes vers des pays du Moyen-Orient avec lesquels Pyongyang entretient des rapports étroits, comme la République islamique d'Iran ou le Pakistan.

- Deuxième élément majeur, là aussi largement occulté par la Coupe du monde de football, l'intensification de la guerre que se livrent depuis des décennies l'Inde et le Pakistan pour le contrôle du Cachemire. Une guerre beaucoup plus préoccupante aujourd'hui, car elle oppose deux puissances nucléaires. Elle s'est manifestée dans les récents attentats extrêmement meurtriers de Bombay (148 morts), attribués à des islamistes soutenus selon New Delhi par les services secrets pakistanais.

Quelques jours auparavant, l'Inde avait procédé au test d'un nouveau missile balistique à longue portée, que personne n'a relevé ici. Autant de signes d'une remontée de la tension en Asie du Sud, où la situation est susceptible à tout moment de dégénérer.

- Troisième élément, la reprise du conflit israélo-arabe, mais dans des conditions inconnues jusqu'ici. Les représailles excessives d'Israël n'ont fait que radicaliser l'opinion palestinienne et renforcer le Hamas en isolant le président palestinien, Mahmoud Abbas, qui est pourtant le seul interlocuteur d'Israël pour la paix. Mais le front de Gaza n'est rien, comparé à l'escalade déclenchée, à la veille du sommet du G8 de Saint-Pétersbourg, par le Hezbollah, tête de pont de la Syrie et de l'Iran au Liban. Pour la première fois depuis 1948, l'Iran, puissance non arabe, mais porte-drapeau d'une révolution chiite anti-occidentale, s'invite dans le conflit israélo-arabe. Pour la première fois, les guerres jusque-là distinctes du Proche-Orient (Israël/Palestine) et les enjeux du Golfe se trouvent réunis par les provocations délibérées d'un Iran islamique, candidat à la bombe atomique et au rôle de superpuissance régionale.

Très habilement, l'Iran a su rallier la rue arabe à sa cause, tout en détournant l'attention du dossier nucléaire, qui devait être examiné à Saint-Pétersbourg. Mais, plus fondamentalement, tous les ingrédients sont réunis pour que ce conflit dégénère à partir de la mise en cause éventuelle de la Syrie, en une guerre israélo-iranienne, plusieurs membres du gouvernement iranien ayant explicitement évoqué la possibilité de frappes contre Israël. Compte tenu du programme nucléaire militaire clandestin actuellement en cours en Iran, ce que nous vivons aujourd'hui doit s'analyser comme la répétition générale de ce qui pourrait nous attendre dans les mois et les années qui viennent, avant - ou après ? - que l'Iran accède au statut nucléaire.

Jamais dans l'histoire, depuis la seconde guerre mondiale, le monde n'avait connu pareille accumulation de crises aussi graves : Corée du Nord, Inde/Pakistan, Israël/Iran, sans oublier l'Irak, l'Afghanistan, le Darfour et bien d'autres conflits non résolus, des Balkans au Caucase, en passant par la Côte d'Ivoire. Si l'on ajoute à cela la véritable guerre économique qui se déroule pour l'accès aux matières premières, avec l'émergence de la Chine et de l'Inde, et un baril de pétrole qui atteint les 80 dollars, on prend la mesure de la véritable poudrière sur laquelle nous sommes tous assis.

Le pire, dans ces circonstances, est qu'aucune des grandes structures internationales qui avaient garanti la sécurité depuis 1945 ne paraît aujourd'hui capable de contrôler le chaos : l'ONU, dont chacun mesure bien les limites (incapable de se réformer, l'organisation est aussi incapable d'intervenir au Darfour, où 3 millions de personnes sont pourtant menacées de mort) ; l'OTAN, en quête d'une raison d'être, d'un consensus, d'une mission ; l'UE, en panne depuis l'échec du référendum constitutionnel et par ailleurs sans projet, sans armée ni volonté.

Absence de structures, mais aussi absence de leadership et retour au chacun pour soi : l'Amérique est entrée en guerre contre le terrorisme. Mais cette guerre unilatérale, sans alliés, sans stratégie politique, et qui ne s'appuie que sur une illusoire supériorité technologique est déjà en échec en Irak, compromise en Afghanistan, de plus en plus critiquée à l'intérieur même des Etats-Unis. Elle attise aussi la haine antiaméricaine et éloigne les alliés. Au sortir de l'Irak, elle risque de fabriquer une Amérique du repli, que son "internationalisme botté" isolera encore plus des autres nations démocratiques.

En face, la Chine et la Russie, désormais coalisées pour s'opposer à l'Amérique, ne travaillent qu'à défendre leurs intérêts nationaux, comme si la sécurité internationale n'était qu'un jeu à somme nulle : tout ce qui gêne ou menace l'Amérique ou les Occidentaux devant leur bénéficier. Quant à l'Europe, elle fait semblant de ne rien voir, rêve avec Habermas d'Etats post-nationaux dénucléarisés et désarme unilatéralement par la voie budgétaire, le tout sur un arrière-plan de fractures diverses qu'illustre la montée des partis d'extrême droite un peu partout en Europe.

C'est dire l'urgente nécessité de prendre véritablement conscience de ce qui est en train de nous arriver et surtout, de régler le plus vite possible les crises qui sont devant nous, à commencer par celle du Proche-Orient. Les cinq membres permanents du Conseil de sécurité, comme le G8, ne peuvent pas se permettre le luxe d'être les voyeurs impuissants des conflits en marche. Au Liban sud, le temps des discours de sympathie est révolu. L'heure est à l'action.

Ou bien le gouvernement libanais montre qu'il est capable de reprendre le contrôle de son propre territoire et de désarmer lui-même le Hezbollah - ce qui est exclu ; ou bien le monde laisse Israël effectuer cette mission à la place du gouvernement libanais, en détruisant le Liban, ce qui est la pire des options possibles ; ou bien la communauté internationale intervient elle-même au Liban sud, établit un cessez-le-feu et réunit les conditions pour que le Liban recouvre sa souveraineté.

Cette "communauté internationale", c'est la France qui, en raison de ses liens avec le Liban, doit en prendre, avec l'Europe, la direction à la fois politique et militaire. Et elle doit le faire vite, sauf à rejouer les déjà-vus de l'entre-deux guerre.

Sinon, Redgh¤st, j'ai bien peur d'être trop politisé et situé sur l'échiquier politique pour être bon pédagogue [08] Mais Le Point (qui est vraiment une bonne revue) fera des dossiers sur la présidentielle avec des points de vue divers, avec de la pédagogie tout en allant au fond des choses etc Tu rajoutes à cela l'étude rigoureuse de tous les programmes et c'est à mon avis la meilleure méthode pour faire un choix serrein et fondé.
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Stratège au JT : "Il nous faut à tout prix des tonnes et des tonnes de bombes à sous-munitions ! ! ! L'Armée Française de l'Etat Français n'est plus digne ! ! !"

Bon en public, je suis plus pondéré en apparence ! [08]

Maintenant oui il nous de toute urgence des tonnes de bombes à sous munitions et AASM, des ravitailleurs, des mica et des M2000 refondus tir mica et link16, un PA2, des SNA modernisés, des fregates AA dignes de ce nom, des VBCI et des leclercs, des Tigres, le SNLE4 M51...

Première étape, n'embaucher l'année prochaine que 6000 hommes dans l'armée au lieu de 30 000: deja 24 000 de moins.Et que 10 000 civils dans la fonction publique au lieu de 100 000.

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Si je vous propose mon programme : "Le retour de la grandeur de la France" [08] :

- souveraineté et fierté nationale (quitte à se retirer de l'Europe),

- augmentation du budget d'armement, de l'effectif militaire, ... pour de plus amples interventions militaires à l'étranger, réoccupation de certains états africains au nom de la paix (plus de la civilisation) [08]

- non-ingérence E.U. et USA dans la politique étrangère française,

- projet de rattachement de la Wallonie à la France, du Jura suisse, ...

- proclamation officielle de l'indépendance du Québec + rattachement à la France

- levée et chant du drapeau avant entrée dans les classes dans toutes les écoles et universités

- protectionisme (valorisation "Made in France") [11]

- catholicisme : religion d'Etat

- Concordat avec le Vatican

- ...

Vous voteriez pour moi ?! [10] [08][08][08]

Ah, j'oubliais, mon slogan : "Français et Française, je vous ai compris !" [08]

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On dit pas "Made in France" mais "Fabrique en France" [29]

Merci [08]

Sur cela, tu me donnes une idée pour l'Education Nationale :

- interdiction d'angliciser des mots, expressions ou citations sous peine d'amendes, remarque faite pour les sociétés qui ne valorisent pas assez la langue de Molière dans la publicité

- interdiction de l'utilisation du "Franglish"

- port obligatoire de l'uniforme

- fin de la mixité dans les écoles

- retour du clergé dans la scolarité

- ...

[08][08][08]

Grâce à toi, je constitue petit à petit le futur et devenir de la "Grandeur de la France", je te félicite citoyen français [11] pour ta contribution [08]

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Moi aussi j'aime bien ce programme Mani, je lui trouve un arrière gout d'ancien qui me plait bien [08]

Tu peux ajouter steuplais selection aux hauts postes dirigeants par affiliation à la noblesse, remise au gout du jour du bagne et des galères et de nouveaux jeux du cirque ouais avec plein de gladiateurs et des executions en masse ca ca serais cool !!!! [08]

Tiens je vote pour toi Mani, ca ne sera pas pire que ce que l'on a!

On moins il y aura de la discipline a l'ecole et les profs pourront peut etre etre efficace.Ca nous evitera la masse d'incultes qui sortent en pur perte des universitées poubelles francaises.

Ne t'en déplaise mon cher Stratège, le niveau des universités et universitaires français n'a rien a envier au reste du monde y compris et surtout anglosaxon

Pourquoi tu crois que nos chercheurs et étudiants Master/Doctorants/Post Doc sont accueillis a BRAS OUVERTS aux USA et GB !!!!

Et en plus c'est tout benef pour ces derniers.....9 ans de formation payé par l'etat qui vont profiter à d'autres

C'est pas le niveau qui est problématique c'est la volonté d'avoir des débouchés viables et une recherche adéquate !!!

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Ne t'en déplaise mon cher Stratège, le niveau des universités et universitaires français n'a rien a envier au reste du monde y compris et surtout anglosaxon

Pourquoi tu crois que nos chercheurs et étudiants Master/Doctorants/Post Doc sont accueillis a BRAS OUVERTS aux USA et GB !!!!

Hum..ceux qui sortent de grandes ecoles avant...
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bah eternelle discussion entre ceux qui sortent des grandes ecoles (excellents, pointus dans leurs domaines mais pas vraiment adaptables....) et ceux qui sortent des universités (peut etre moins excellents dans un domaine de pointe précis et encore mais capables de s'adapter à la demande.....chose indispensable quand tu navigue dans les labos universitaires [28]) Mais oui Y COMPRIS DES GRANDES ECOLES FRANCAISES Simplement, le système anglosaxon fait la part belle aux motivations/capacité de travail/adaptabilité et non au titre ronflant de l'etablissement dont tu peux sortir (ce qui n'es pas le cas malheureusement en France [17])

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Ne t'en déplaise mon cher Stratège, le niveau des universités et universitaires français n'a rien a envier au reste du monde y compris et surtout anglosaxon

T'as de la chance que je retrouve plus le smiley qui se gondole de rire.

Pourquoi tu crois que nos chercheurs et étudiants Master/Doctorants/Post Doc sont accueillis a BRAS OUVERTS aux USA et GB !!!!

Et quand ils rentrent en France, l'ANPE leur rigole au nez en disant que si un poste bidon dans l'EN ne leur suffit pas, ils faudrait qu'ils reppartent ?
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bah allez t'as raison on est les plus nuls, les plus crétins, les plus stupides, les moins bien scolarisés etc etc................................................................................ Mais c'est sur que le taux d'illetrisme aus States est nul ca ..... C'est sur que les programmes de recherche en Angleterre ne fonctionne qu'avec des Anglais pur souches et pas de Frenchies/Indiens/Chinois.... Ils ont les moyens de payer ca c'est clair c'est pour ca que tout le monde va la bas Nous on a le niveau et ca aussi c'est clair (mais c'est vrai que les témoignages de tout mes ami(e)s qui sont en post doc ou en poste de chercheurs en Angleterre ou aux USA doivent etre de la désinformation gratuite anti-WASP.......) Simplement un fait mathématique : Avant d'entrer en doctorat on a une année de DEA selective en plus que n'ont pas les anglosaxons...ca fait une année d'expérience en rab par rapport a eux qu'ils ne rattrapent jamais.... De plus leurs doctorats n'ont pas nos critères d'autorisation de soutenance etc etc......

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Je vote pour toi si tu supprimes ca de ton programme ! [28]
Pas de problèmes car je suis trop attaché à la laïcité de Jules Ferry ! [50]

Lors de ma prise de pouvoir, puisqu'en politique, il faut se référer à d'anciens locataires de l'Elysée comme l'a fait Madame Ségolène Royale à l'égard de François Mitterand ce dimanche 20 août 2006. Je déclarerais la reprise des essais nucléaires [08] sous la prétendue menace de l'Iran et de la Corée du Nord à l'égard de la France ! [28]

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Mani je vote pour toi ! au cé qu'on signe M'sieur [11]

Nul part, je propose un coup d'état-militaire [08] pour mettre un terme à la démocratie "énarque" [10] ou "oligarque" [10] ou "franc-maçon" [10], au nespotisme, ... [07] [28] [57] [17]
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