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Les robots de combat


Akhilleus
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Waow mélange de bruit entre une grosse abeille et une motocyclette !

Trop de boucan je trouve, question infiltration ou opération en silence c'est vraiment pas la mule que je prendrais...

Mais franchement, trop trop réel comme truc, tu le déguise en âne et en y croirais à fond !  :lol:

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Nouvelle vidéo de Big Dog la nouvelle mule des GI, après la mobylette de mollah Omar :)

Sacré prouesse technique en méca et programmation, reste à voir les applications opérationnelles tant qu'il fera autant de bruit.

Bigdog a déjà plusieurs année ... les demos ont commencé en 2005. Il porte 170kg et marche a la vitesse d'un homme quand le terrain est pas trop compliqué.

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  • 2 weeks later...
Invité grinch

qui travailles en coopération avec un drone transporteur de civière

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Tout ceci avec un projet de drone vertol pour recupérer les blessés, les stabiliser et les sortir de la bulle de contact.

...et la marmotte plie le papier aluminium sur le chocolat..

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  • 5 months later...

La problématique pour la défense est analogue : il s'agit de penser l'usage et de fixer les limites d'emplois de ces systèmes.

La question de la place de l'homme dans la boucle, déjà fort actuelle avec nos systèmes de drones, sera d'autant plus difficile à régler lorsque l’autonomie de ces systèmes augmentera. On ne peut écarter l'apparition de capacités tactiques nouvelles, induites par cette rupture technologique : permanence sur le terrain, vulnérabilité réduite par miniaturisation, puissance mécanique accrue, précision des feux…

Les projets d'études en amont (PEA) en robotique terrestre lancés par la DGA sont pour l’instant orientés sur la seule observation ; il est dès lors permis d’opérer un rapprochement avec les tâches jadis dévolues aux tout premiers avions, et de supposer que les capacités testées évolueront vers le combat, autonome ou imbriqué au milieu des soldats. Il conviendra néanmoins de garder à  l’esprit que la capacité de compréhension de situation de l’être humain ne saurait être égalée dans un avenir proche par une machine : celle-ci ne sera jamais qu’un automate plus ou moins performant, appliquant des routines programmées pour donner l’illusion de l’intelligence.

Ce postulat de bon sens devra sans doute bientôt faire face à la pression combinée des industries et des opinions, conquises par les prouesses des robots personnels, devenus marché de masse. Pour reprendre comme exemple l’ambition des compétitions Robocup, il conviendra donc de rappeler que, contrairement à une situation de combat, un match de football répond à des règles précises, connues et respectées des deux parties, se joue dans un espace et un temps clairement délimités, et ne fait appel qu’à des capacités d’intelligence vraisemblablement programmables car somme toute limitées.

Pour autant, l’apport d’une automatisation des tâches annexes à la décision, n’est pas à négliger. Il s’agira donc de sortir l’homme du contact plutôt que de la décision locale, ce qui nous ramène à la problématique des drones d’aujourd’hui : s’ils apportent un avantage certain sur l’adversaire, ils ne permettent néanmoins pas de résoudre le conflit. Dans des domaines d’actions précis et sous contrôle humain, certaines tâches pourront utilement être robotisées.

Le déminage terrestre ou sous-marin, en opération ou post-conflictuel est une application évidente, mais on peut envisager aussi l’éclairage d’une progression en secteur dangereux ou la surveillance de zone, y compris urbaine, par patrouilles de robots communicants, éventuellement dotée d’une certaine capacité de riposte en cas d’embuscade. N’engageant pas la vie de soldats, la collecte d’information pourra se faire avec moins de précautions donc plus rapidement qu’avec des troupes classiques. Mais une capacité d’intervention de celles-ci restera vraisemblablement nécessaire, et l’on imagine mal des robots rassurer durablement une population…

Quand bien même l’évolution des intelligences embarquées permettrait techniquement de sortir l’homme de la boucle, par exemple en admettant que l’on puisse programmer des consignes d’ouverture du feu et laisser leur application à la machine, ce « droit de tuer » inhérent à la condition militaire peut-il être ainsi délégué ? Il y a là une interrogation fondamentale, tant dans sa dimension éthique qu’en regard de l’impact d’une telle évolution sur l’utilisation de la force. S’il est vrai que nos opinions publiques ne sont plus guère prêtes à supporter des pertes lourdes dans nos engagements, y compris dans le camp adverse, qu’en sera-t-il si le remplacement systématique du soldat dans les zones les plus dangereuses rend de facto le ratio des pertes disproportionné dès le premier accrochage ? D’autre part, ne prend-on pas le risque de transformer le militaire en technicien presse-bouton, si ce n’est dans les faits, au moins dans la perception qu’en aura l’opinion ? Or le soutien de cette dernière à une opération, essentielle à sa réussite, repose aussi en partie sur la part d’affectif qui la lie à ses concitoyens soldats. Enfin, comme l’a envisagé Jean- Claude Guillebaud dans Le principe d’humanité, l’avènement même d’une machine pseudo-pensante à nos côtés, pourrait plus insidieusement remettre en cause le caractère unique et sacré de la vie humaine, en nous réduisant par comparaison à des machines vivantes complexes, fruits de la providence ou du hasard de l’évolution. Les possibilités techniques émergentes, comme le vieillissement de nos sociétés, rendent inéluctable la banalisation des robots dans notre vie quotidienne, ce qui ne manquera pas d’induire des évolutions importantes de nos modes de vies. Les problèmes engendrés comme les perspectives ouvertes seront sans commune mesure avec ce que nous observons aujourd’hui avec la « révolution numérique », et la « chose militaire » devra intégrer cette évolution. Il nous appartient donc de rester vigilants face à ces outils nouveaux, afin d’en penser l’usage et les limites avant qu’ils ne s’imposent à nous. Leurs capacités spectaculaires pourraient en effet s’avérer trompeuses et il s’agira donc pour les armées de garder en leur sein une culture technique affirmée dans ce domaine, pour ne pas perdre toute capacité de discernement

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  • 2 weeks later...
  • 1 month later...
  • 1 month later...


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http-~~-//www.youtube.com/watch?v=muSBQwfVWtU


Un petit robot "quad tracked crawler" passe partout.
Dimensions
  • Height: 20 cm (tracks flat) 52 cm (tracks raised)
  • Width: 68.5 cm
  • Length: 136 cm (tracks extended) 71 cm (tracks retracted)
  • Turning Radius: Zero turning radius within 100 cm.
  • Vehicle Platform Weight: 55 kg

Performance
  • Mobility: Quad independent drive/track arm hybrid
  • Speed: Up to 8 kph
  • Vertical Step: Up to 45 cm
  • Gap Crossing: Up to 60 cm
  • Slope: Over 45 degrees
  • Side-Slope: Over 45 degrees
  • Runtime: 2 hours

http://www.slashgear.com/dont-trust-this-robot-to-valet-park-203538/

Et le site du constructeur http://www.autonomoussolutions.com/products/chaos.php

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  • 2 months later...
  • 3 weeks later...

Ca rigole plus ... un drone de 550t

Apres le dumper de 550t le dozer de 50t ...

http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3a651977bc-d86e-4402-af1f-47876ff2fa51

The IDF Ground Forces Command plans to double the number of unmanned D9 armored bulldozers in the Engineering Corps arsenal, the Jerusalem Post revealed today. The vehicle performed with exceptional results, in close support to troops fighting in a high-risk urban environment during Operation Cast Lead in the Gaza Strip last January.

Called "Black Thunder", the unmanned version of the armored D9 bulldozer monster was developed several years ago by the Engineering Corps but was only recently officially declassified.

The Black Thunder looks like a regular D9 bulldozer but is equipped with a number of cameras that transmit images to the operator, who controls the vehicle with a wireless remote control. In the event of a communications malfunction, the vehicle can be turned into a manned vehicle and operated like a regular D9.

As a result of it's remarkable support in close combat, OC Ground Forces Command Maj.-Gen. Avi Mizrachi is considering adding another battalion to the Engineering Corps as well as expanding the corps' elite Yahalom Unit, which specializes in tunnel detection and destruction, counterterror operations, pinpoint detonations and explosive ordinance disposal.

Pour le D9R c'est encore du téléguidé ... et pas un modele autonome m'enfin c'est assez nouveau opérationnellement.

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  • 2 months later...

http://lemamouth.blogspot.com/2009/06/le-cos-sous-voilure-souple.html

Le commandement des opérations spéciales (COS) français a pris livraison d'un drone à voilure souple, en avril dernier. C'est son fabricant, la PME alsacienne Flying Robots, qui le révèle, quelques heures avant le salon du Bourget où elle expose.

Le FR-102 peut être opéré en total automatique, ou emporter un pilote, mais dont le poids déprécie l'endurance du vecteur. La capacité d'emport est de 250 kg à 350 km de distance, ou 50 kg à 1.600 km, soit vingt heures de vol. Cette configuration est typique d'une mission de reconnaissance, le FR-102 pouvant être équipé d'une boule optronique Agile de Thales.

Parmi les différents scénarios possible figurent aussi l'extraction d'un blessé à partir d'un terrain sommaire, quelques dizaines de mètres de terrain plat suffisant.

Deux systèmes complets sont déjà commandés en Afrique du Sud, et cinq autres en Asie.

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250kg de charge utile pour un vol de 8h ... et jusqu'a 20h avec charge réduite !!!

Pratique pour aller ravitailler des personnels isolés.

Technical specifications

and performances :

• Cruise speed : 80 km/h

• Max. Payload : 250 Kg/ 1 m3

• Maximum takeoff weight : 600 kg

• Engine : Rotax 912, 100 Cv

• 100% automatic UAV system

• TM-TC transmissions : exceeding 120 km

• Video transmissions : line of sight

• Max. Endurance : 1000 km

• Autonomy : exceeding 20 hours, depending on payload

• Takeoff run : 60 to 150 m, depending on payload

• Landing run : 30 m

• Standard unleaded fuel

• Ceiling : 3500 m

• Frame : aluminium/foam sandwich and stainless steel

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  • 2 weeks later...

bof pourquoi pas on dirait de toute façon de base du jetable (2 AT4 disposable et un chassis de base de type jouet donc pas cher ....)

why not ca doit pas couter cher et ca doit eviter qu'un biffin doive se rapprocher à moins de 100 m d'un MBT (alors que ce petit truc bas sur pattes doit etre plus discret ....)

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Une petite aparthée. On peu constater un effort serbe qui porte ses fruits Véhicule Lazar, drone terrestre.

Ce renouveau peu-t'il être compris, tel un phoenix comme un réarmement après une décennie de guerre.

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l'industrie de l'armement à toujours été bien considérée en ex Yu et Serbie

cela tient surtout au fait du besoin (à l'epoque) d'une independance vis à vis des blocs et de pouvoir adapter le materiel d'un des 2 bords sur celui de l'autre en cas de conflit possible avec le Pacte ou l'OTAN

cela a donné des bricolages même en temps des guerres de bosnie ou croatie (missiles AA type Archer ou Alamo tirés depuis un camion au sol, addition de boosters sur des manpads SA14 etc etc ....)

pour la renaissance ce serait plutot en vue de l'export sur des créneaux assez specifiques et pas encore trop bouchés

de toute façon la Serbie a pas l'argent pour s'offrir les tout derniers jouets en masse

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  • 2 months later...
  • 4 weeks later...

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