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Le 22/08/2020 à 00:34, g4lly a dit :

La question c'est est ce que les USA sont toujours participant au traité ... statut de participant qui donne droit d'activer le snapback.

La présidence indonésienne du conseil de sécurité a dit non, les Européens et les Chinois aussi.

En fait ce qui est en train de se passer c'est que les Européens font monter les enchères pour obtenir x et y trucs des Américains. A terme c'est eux qui activeront le mécanisme à la place des Américains. Personne ne veut que les Iraniens puissent acheter et vendre tout le matériel militaire qu'ils ont envi en occident.

Il y a une réunion des 5+1 moins les Américains à Viennes le 1er septembre. Si les Iraniens refusent de faire des compromis sérieux, il y aura un retournement de situation après...

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il y a 12 minutes, Benoit a dit :

C'est un crime contre le patrimoine mondiale de l'humanité qui se prépare. La page wikipédia propose énormément de photo des mosaïques, elles sont magnifiques.

Je confirme de visu les mosaïques sont très belles et elles ont bien résisté à 500 ans de mosquée. Prise de Constantinople en 1453, transformation en musée après 1948.  

 

  

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Le 21/08/2020 à 14:19, jojo (lo savoyârd) a dit :

Ce n'est plus que symbolique, c'est délibéré ... Pauvres fresques, vont tout ruiner les saloupios ...:dry:

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Ils n'ont pas touché aux fresques ils ont juste mis des grandes voiles blanches qui les cache légerment. 

Pour info le jour de l'inauguration Sainte Sophie était remplie la mosqué bleu juste en face était vide. Un amie turc me confirme que les mosquées en Turquie ne sont pas plus remplie que les églises chez nous. 

    

 

 

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Il y a 4 heures, Benoit a dit :

Pour avoir un point de comparaison concret: 320 milliard de m3 de gaz c'est à peine 1,3% du gisement north dome / south pars et ça représente 6 ans et demi de consommation de gaz en Turquie.

Les super-puissances gazières comptent en téra m3 pas en giga m3. En médor il y a potentiellement 100 ou 150 fois ça !

Oui bien entendu, mais je fais allusion à la stratégie globale de la Turquie en terme d'indépendance énergétique et pas seulement ce gisement. Les turc sont actifs en méditerranée pour la même chose, ils regardent avec intérêt le pétrole syrien (voir irakien) au delà de la question kurde, ils sont actifs pour les mêmes raisons en Libye. Ankara a une ambition d'indépendance énergétique et est prêt à user de ses armes pour y arriver.

Ce que je constate, c'est que même si on estime et qu'on valide de plus en plus le potentiel gazier en méditerranée, que ce soit la Turquie, Chypres, Israël, l'Egypte ou autres, ce sont des ressources qui font de l'ombre et de la concurrence au gaz russe.

Moscou a depuis des années une stratégie géostratégique qui tourne autour des énergies. Le Kremlin met le paquet pour obtenir le maximum de parts de marché, jouant sur les prix pour le monopoliser et par la même occasion, créer une dépendance qui donne aux russes un pouvoir d'influence et une certaine protection. Ils voulaient et veulent être encore ce pays qui fournit toute l'Europe, qui fournit la Chine et autres, le pays par lequel on relie les gazoducs et oléoducs d'autres pays voisins. Pour la Russie, on mise énormément sur ces ressources pour amener de la richesse, du cash, c'est cela qui a développé le pays, qui l'a sortit de la crise au début des années 2000.

La Russie est donc un pays qui cherche une hégémonie énergétique et elle continue cette politique. L'émergence d'une Turquie cherchant l'indépendance énergétique, c'est un obstacle à cette hégémonie car j'en suis convaincu, que du côté du Kremlin on pensait faire dépendre la Turquie du gaz russe pour l'influencer et "s'assurer" de la non perturbation de l'acheminement vers l'Europe. 

En plus de cela, l'Europe est également engagée depuis un moment vers des alternatives au gaz russe, pour ne plus en dépendre comme aujourd'hui, la méditerranée est une belle perspective, on ne défend pas juste Chypres pour une position "agressive" de la Turquie, mais pour pouvoir exploiter ces gisements. On veut éviter de devoir dépendre des turcs après les russes. Après les volumes sont ce qu'ils sont, on est dans une diversification des approvisionnements en Europe et non dans l'abandon du gaz russe (qui pourrait être un objectif américain). Chez nous l'indépendance énergétique prend la direction de la réduction des besoins et par les énergies renouvelables. Plutôt que vouloir du pétrole, on fera de l'hybride, de l'électrique, on cherche à réduire la facture.

Mais pour la Russie, il faudra aussi s'attendre d'un moment à un autre un "réveil" chinois, ces derniers iront eux aussi chercher leur indépendance énergétique, que ce soit dans la mer de Chine ou ailleurs, c'est un pays qui regarde sur le temps long et se prépare a cette hégémonie totale, eux cherchant la dépendance économique pour contraindre le monde à ne rien faire quand elle commencera à user du bâton

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il y a 13 minutes, Scarabé a dit :

Ils n'ont pas touché aux fresques ils ont juste mis des grandes voiles blanches qui les cache légerment. 

Exactement. Les croix et autres éléments en relief en pierre de Sainte Sophie (sur le balcon par exemple) ont été  modifiés y a quelques centaines d'années.

il y a 17 minutes, Scarabé a dit :

Pour info le jour de l'inauguration Sainte Sophie était remplie la mosqué bleu juste en face était vide. Un amie turc me confirme que les mosquées en Turquie ne sont pas plus remplie que les églises chez nous. 

A Istanbul ça dépend des quartiers...  Sultanahmet  (là où il y a Tokapi  Sainte Sophie et la Bleue) c'est très touristique , du côte la Mosquée Soleiman et le Bazar, voir le quartier qui monte du môle des ferrys , c'est un peu différent, un vendredi  j'ai vu les gens prier dans la rue... Mais Istanbul c'est immense, entre le quartier moderne de Pera et la rive asiatique il y a plus qu'un détroit,  le côté asiatique est plus traditionnel.  

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il y a 53 minutes, Jésus a dit :

Chez nous l'indépendance énergétique prend la direction de la réduction des besoins et par les énergies renouvelables. Plutôt que vouloir du pétrole, on fera de l'hybride, de l'électrique, on cherche à réduire la facture.

Même si le gaz est en haut du podium de la consommation énergétique turque depuis quelques années, il ne faut pas oublier plus globalement l'amortisseur (de la décroissance, dixit Jancovici) qu'est le nucléaire. Le TAEK, aidé des Russes, tourne à plein régime sur le lancement effectif de programmes civils jusqu'alors avortés.

Je ne suis pas certain que les Russes aient été totalement candides : la Turquie a toujours été au carrefour d'innombrables routes commerciales et énergétiques, au beau milieu de nombreux producteurs et consommateurs, en plus d'être/d'avoir été la protégée des USA pendant plusieurs décennies. La Russie gazière n'aurait jamais pu s'imposer comme l'unique fournisseur à cause de ces facteurs mais comme indiqué, elle (doit) demeure(r) le partenaire indispensable (vital).
L'enjeu pour Poutine était donc effectivement d'abord de passer par la Turquie (et mettre l'Ukraine hors-jeu) afin d'atteindre l'Europe du Sud. La Turquie dépendra dans tous les cas grandement du mastodonte gazier qu'est la Russie, même après la mise en route des "petits" chantiers de forage en Mer Noire et Méditerranée. D'ici-là, le Kremlin aura trouvé d'autres moyens de pression. 

200823124113685835.jpg

Source : Tagliapietra, S., (2014), Turkey as a Regional Natural Gas Hub : Myth or Reality? An Analysis of the Regional Gas Market Outlook, beyond the Mainstream Rhetoric. TurkishStream, ouvert début 2020, n'y est donc pas représenté.

Par contre, effectivement, tout n'est pas rose pour la Fédération russe : l'interminable spirale de la Livre turque vient em*erder les projets Gazprom du Kremlin en rendant le GNL (Gaz Naturel Liquéfié) économiquement très intéressant pour Ankara, dont l'un de ses genoux est à terre. Un nouveau gage de flexibilité qui est d'ailleurs l'un des enjeux des explorations turques et européennes en MedOr. Et ça, ce n'était pas prévu du tout. Même Total y apporte son grain.

Pour les téméraires, voir à ce sujet ce billet synthétique plutôt bien construit qui complèteront les lectures de l'IFRI/IRIS.

il y a 40 minutes, Fusilier a dit :

A Istanbul ça dépend des quartiers...  Sultanahmet  (là où il y a Tokapi  Sainte Sophie et la Bleue) c'est très touristique , du côte la Mosquée Soleiman et le Bazar, voir le quartier qui monte du môle des ferrys , c'est un peu différent, un vendredi  j'ai vu les gens prier dans la rue... Mais Istanbul c'est immense, entre le quartier moderne de Pera et la rive asiatique il y a plus qu'un détroit,  le côté asiatique est plus traditionnel.  

Comme Outre-Rhin avec Berlin ... Istanbul n'est pas LA Turquie. Je pense en effet que la ville est un peu à part en termes de représentation des habitudes cultuelles de la nation turque.  J'ose espérer que le riche patrimoine byzantin stambouliote ne sera pas amoché, tout comme les églises d'Anatolie et de Cappadoce.

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Il y a 2 heures, Kerloas a dit :

Je ne suis pas certain que les Russes aient été totalement candides : la Turquie a toujours été au carrefour d'innombrables routes commerciales et énergétiques, au beau milieu de nombreux producteurs et consommateurs, en plus d'être/d'avoir été la protégée des USA pendant plusieurs décennies. La Russie gazière n'aurait jamais pu s'imposer comme l'unique fournisseur à cause de ces facteurs mais comme indiqué, elle (doit) demeure(r) le partenaire indispensable (vital).
L'enjeu pour Poutine était donc effectivement d'abord de passer par la Turquie (et mettre l'Ukraine hors-jeu) afin d'atteindre l'Europe du Sud. La Turquie dépendra dans tous les cas grandement du mastodonte gazier qu'est la Russie, même après la mise en route des "petits" chantiers de forage en Mer Noire et Méditerranée. D'ici-là, le Kremlin aura trouvé d'autres moyens de pression. 

200823124113685835.jpg

Source : Tagliapietra, S., (2014), Turkey as a Regional Natural Gas Hub : Myth or Reality? An Analysis of the Regional Gas Market Outlook, beyond the Mainstream Rhetoric. TurkishStream, ouvert début 2020, n'y est donc pas représenté.

Par contre, effectivement, tout n'est pas rose pour la Fédération russe : l'interminable spirale de la Livre turque vient em*erder les projets Gazprom du Kremlin en rendant le GNL (Gaz Naturel Liquéfié) économiquement très intéressant pour Ankara, dont l'un de ses genoux est à terre. Un nouveau gage de flexibilité qui est d'ailleurs l'un des enjeux des explorations turques et européennes en MedOr. Et ça, ce n'était pas prévu du tout. Même Total y apporte son grain.

Pour les téméraires, voir à ce sujet ce billet synthétique plutôt bien construit qui complèteront les lectures de l'IFRI/IRIS.

Mouais. Il suffit donc que Nord Stream 2 soit terminé pour avoir un débit équivalent à ce qui passe au maximum (60 milliard de par la turquiem3 de gaz par an) par la Turquie. Ce qui ferait une affaire beaucoup plus simple : plus de pression turque, juste un tuyau entre le producteur et les consommateurs. Bref, tout serait plus simple, y compris pour atteindre les balkans, qui se ferait par le nord.

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il y a 10 minutes, Zalmox a dit :

Reste le projet EastMed à défendre bec et ongle contre les ambitions turcs. D'ailleurs le fameux "accord" turco Lybien a été mis en place pour contrer EastMed

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Il y a 2 heures, Zalmox a dit :

Cette fois-ci, je doute que le principal consommateur de ce gaz, l'Allemagne, laisse faire les USA dans leurs sanctions extra-territoriales.

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il y a 12 minutes, Hypsen a dit :

Question bête, pourquoi préférer un pipeline dans la mer Baltique plutôt que par les pays baltes + Pologne ?
C'est moins cher à construire en mer ?

Pour ne rien payer aux Baltes et aux Polonais, conserver la mainmise totale sur les flux qui y transitent et emmerder les Baltes et les Polonais.

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il y a 17 minutes, Hypsen a dit :

Question bête, pourquoi préférer un pipeline dans la mer Baltique plutôt que par les pays baltes + Pologne ?
C'est moins cher à construire en mer ?

C'est loin d'être moins cher à mon sens, mais ça permet surtout d'éviter les redevances et de mettre la Pologne hors-jeu.

Edit/ Un tuyau sous-marin est aussi un merveilleux outil de renseignement (plateformes capteur...).

Modifié par Kerloas
Grillé
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Pour des raisons géopolitiques.

Si pour la Russie il est évident que faire enjamber à son gaz les pays Baltes et la Pologne est une bonne chose, on s'étonnera de la méfiance des allemands vis -à-vis de ces pays membre de l'UE...

Comme ont dit la confiance règne...

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il y a 2 minutes, Shorr kan a dit :

Pour des raisons géopolitiques.

Si pour la Russie il est évident que faire enjamber à son gaz les pays Baltes et la Pologne est une bonne chose, on s'étonnera de la méfiance des allemands vis -à-vis de ces pays membre de l'UE...

Comme ont dit la confiance règne...

Priorité à l'économie. On ne veut sans doute pas dépendre de vulgaires contingences extérieures qui pourraient déranger la croissance allemande.

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1 hour ago, Ciders said:

Pour ne rien payer aux Baltes et aux Polonais, conserver la mainmise totale sur les flux qui y transitent et emmerder les Baltes et les Polonais.

Ils devront pas payer une redevance à la Finlande et à la Suède vu qu'il passe dans leurs zones ?

1 hour ago, Kerloas said:

Un tuyau sous-marin est aussi un merveilleux outil de renseignement (plateformes capteur...).

C'est-à-dire ? Tu peux espionner quoi concrètement ?

Modifié par Hypsen
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Il y a 2 heures, Kerloas a dit :

C'est loin d'être moins cher à mon sens, mais ça permet surtout d'éviter les redevances et de mettre la Pologne hors-jeu.

Oh il n'y a pas que la redevance, il y a aussi le chantage possible des Polonais. Il faut se souvenir du précédent ukrainien qui menaçait de couper le gaz passant dans les pipelines si ceci ou cela (généralement un étalement de leur dette énergétique).

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il y a 29 minutes, Hypsen a dit :

C'est-à-dire ? Tu peux espionner quoi concrètement ?

A voir si ça relève de la paranoïa, mais je cite un extrait de cet article datant de 2007 Nord Stream, le gazoduc germano-russe sous la Baltique du point de vue suédois

Citation

En Suède, le gazoduc est perçu avant tout comme une menace sécuritaire. Plusieurs hommes politiques, au pouvoir comme dans l’opposition, ont publiquement exprimé leur crainte de voir les services secrets russes user du projet comme d’un cheval de Troie afin de renouveler leurs activités d’espionnage le long des côtes suédoises, ce qui constituerait une menace de premier plan. Nouvelle source d’inquiétude : la plate-forme de service de 30 mètres sur 30 sur laquelle des équipes seront affectées en permanence, « nouvelle île russe juste à proximité de la Suède  », que la compagnie projette de construire au large des côtes de Gotland. N’y aura-t-il pas là un moyen, comme d’ailleurs à partir des 1 200km de gazoduc, de surveiller clandestinement l’ensemble du trafic civil et militaire de toute la mer Baltique ? L’ex-ministre de la Défense Mikael Odenberg et Ulrica Messing, présidente socio-démocrate de la commission de défense du Parlement, ont récemment évoqué cette question, ajoutant que le gazoduc allait encourager la marine russe à renforcer sa présence dans la zone économique suédoise, et soulignant qu’au demeurant, la Russie avait déjà utilisé des installations de ce genre à fins de renseignement dans le monde entier. Comme le rappelle Robert Larsson, expert en sécurité à l’Agence suédoise de recherche sur la défense, il est d’ailleurs possible d’équiper pipeline et plateforme de radars et de sonars qui seront de fait plus proches de la Suède que les actuels équipements stationnés sur le territoire russe ; les risques de friction en seront tout simplement accrus. Le spécialiste est peu confiant ; son institution a récemment publié une étude selon laquelle la Russie serait sur la « mauvaise voie », celle d’un retour à l’autoritarisme de la guerre froide. Le commandant Emil Svenson, chef des systèmes sous-marins au ministère de la Défense partage les mêmes analyses, de même que Bo Huldt, de l’Académie suédoise de défense : « Plus personne ne fera un seul mouvement en mer Baltique sans que les Russes n’en soient informés. La mer Baltique s’en trouvera encore une fois divisée, alors que cela n’était plus le cas depuis la fin de la guerre froide. »

 

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Il y a 14 heures, Hypsen a dit :

Question bête, pourquoi préférer un pipeline dans la mer Baltique plutôt que par les pays baltes + Pologne ?
C'est moins cher à construire en mer ?

C'est beaucoup plus facile en mer, étonnamment. Je ne sais pas si c'est moins cher pour autant.

Il n'y a pas de risque d'avoir un propriétaire qui traîne la patte, pas de difficultés à traverser les réseaux existants. La surveillance est (aujourd'hui) aisée car le tuyau est visible de l'extérieur par un robot, idem pour les réparation : la technologie pour remonter une section de tuyau est parfaitement au point.

Il y a 11 heures, Kerloas a dit :

A voir si ça relève de la paranoïa, mais je cite un extrait de cet article datant de 2007 Nord Stream, le gazoduc germano-russe sous la Baltique du point de vue suédois

il est d’ailleurs possible d’équiper pipeline et plateforme de radars et de sonars qui seront de fait plus proches de la Suède que les actuels équipements stationnés sur le territoire russe

En sonar, éventuellement. En radar, clairement pas, le pipeline est posé au fond de la Baltique. Et puis c'est oublier pas mal de choses : Gazprom a certes 50% de Nordstream, mais la boîte est installée en Suisse, et les 50 autres pourcents sont répartis entre différentes entreprises de gaz européennes. La supervision est faite depuis la Suisse par des employés prêtés par chacun des actionnaires. La construction et l'entretien sont faits par des sous-traitants classiques de l'industrie pétrolière.

Bref, garder ceci secret serait très compliqué vu le nombre de personnes qui ont accès aux données et à al surveillance du tuyau.

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Il y a 1 heure, Kerloas a dit :

La fête du slip semble désormais officiellement ouverte : 

:huh::sleep:

Texte du tweet (google traduction) :

"Yigitler a versé du sang, le drapeau s'est estompé, l'Anatolie commence à devenir une patrie. Salut à Kızıl elma, à Kızıl elma ...

Je me souviens avec gratitude du sultan Alparslan et de tous nos héros qui ont participé à ce gaz avec lui."

Yigitler ?


Alp Arslan ("Lion Héroique"), deuxième sultan sejoulkide

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alp_Arslan

 

Kızıl Elma

https://tr.wikipedia.org/wiki/Kızıl_Elma

Traduction Google :

"La pomme rouge est une expression qui symbolise des idéaux ou des rêves pour les Turcs et en particulier pour les Turcs Oghuz dans la mythologie turque , qui deviennent de plus en plus distantes car elles sont considérées mais plus elles sont attrayantes.

L' image de la pomme rouge, l'un des symboles importants du nationalisme turc et de l'expansionnisme turc, symbolise un but et un but pour les États turcs. Il a exprimé un lieu à atteindre, une ville à conquérir, tantôt l'idéal d'établissement d'un État, tantôt l'idéal de domination mondiale, parfois l'idéal d'unité turque."

Modifié par Benoitleg
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J'ai du mal à comprendre la non réaction de l'Europe (sauf la France), dans le cas de la Russie on sanctionne mais la Turquie menace directement un territoire Européen et on ne fait rien. Les pays baltes et la Pologne sont probablement occupés à organiser des manifestations en Belarus mais quand même...

  • Confus 1
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