Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Le F-35


georgio
 Share

Messages recommandés

Il y a 3 heures, Picdelamirand-oil a dit :

GaN-based AESA radar has killed stealth as we know it.

http://www.snafu-solomon.com/2017/01/gan-based-aesa-radar-has-killed-stealth.html

Assez convaincant!

Il me semble que les radars UHF ou VHF nécessite des antennes énormes pour fournir une précision acceptable. C'est très bien de détecter la présence d'un avion dans un secteur mais ensuite il faut pouvoir l'abattre et ce n'est pas de ci tôt que l'on verra un missile guidé par des onde UHF.

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 14 minutes, Gaspardm a dit :

Il me semble que les radars UHF ou VHF nécessite des antennes énormes pour fournir une précision acceptable. C'est très bien de détecter la présence d'un avion dans un secteur mais ensuite il faut pouvoir l'abattre et ce n'est pas de ci tôt que l'on verra un missile guidé par des onde UHF.

Il faut penser hors des sentiers battus. Par exemple le f-35. Le F-35 si il sert un jour à quelque chose ce pourrait être contre la Chine. Si ils ont des radar adaptés à la détection des VLO, ils peuvent envoyer vers les pistes ainsi détectées une foultitude d'avions aux performances basiques mais pas cher d'emploi et d'acquisition. C'est pas avec leur 2 missiles air air que les F-35 pourront se défendre efficacement, ils seront submergés. Et ce n'est pas quelques pertes qui vont arrêter les Chinois.

En plus quand tu a détecté une piste tu peux diriger un radar bande X vers cette piste , surtout si c'est un AESA. et si il faut envoyer 1000 fois plus d'énergie pour le détecter eh bien tu envoie 1000 fois plus d'énergie. Tu ne peux pas le faire si tu scan tout l'espace ça rendrait ta fréquence de répétition beaucoup trop longue, ou il te faudrait un radar trop puissant, ou ça chaufferait trop, mais pour une piste ou même 8 tu peux le faire.

Modifié par Picdelamirand-oil
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 20 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

n plus quand tu a détecté une piste tu peux diriger un radar bande X vers cette piste , surtout si c'est un AESA. et si il faut envoyer 1000 fois plus d'énergie pour le détecter eh bien tu envoie 1000 fois plus d'énergie. Tu ne peux pas le faire si tu scan tout l'espace ça rendrait ta fréquence de répétition beaucoup trop longue, ou il te faudrait un radar trop puissant, ou ça chaufferait trop, mais pour une piste ou même 8 tu peux le faire.

Tiens 8 c'est pas le rbe2 dont tu parles?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

[Mode troll On]

Je ne vois pas pourquoi, vu que c'est l'appareil furtif ultime et qu'il a été conçu avant même que les ingénieurs y pensent eux-mêmes pour être la plateforme idéale de pilotage d'essaims de drones, eux-mêmes ultra-furtifs.

Et sinon, il est prévu pour être également parfait en CAS. A distance. A une altitude  de sécurité.

Sous protection des F22, eux-mêmes magnifiquement furtifs, ça va sans dire...

[Mode troll off]

 

On a simplement la démonstration, une fois de plus, qu'à être trop ambitieux et prétentieux, on aboutit à rien pour en prime un coût totalement déraisonnable : ils auraient dès le départ été plus humbles, en laissant de côté la version vtol, le viseur de casque, ALIS et tout le superflu, leur appareil furtif l'aurait été dès 2010 et serait opérationnel depuis lors avec un réel avantage, et des performances intrinsèques un peu meilleures.

Et ils seraient en train de travailler avec beaucoup plus de sérénité par incréments successifs pour intégrer la fusion de données étendue  plusieurs appareils, les viseurs de casque, le machin-truc-bidule awareness et autre ALIS.

 

Alors certes, il perdrait un peu de ses qualités de furtivité passive en ce moment, mais au moins la base serait saine et les évolutions pourraient être définies en bonne intelligence.

Là, c'est juste du gaspillage de temps, d'argent, de jus de cerveau et de crédibilité. Tout le monde va y perdre, de LM à l'armée en passant par le Pentagone.

Et avec la subtilité de Trump, l'atterrissage est mal parti pour s'effectuer en douceur.

Modifié par TarpTent
  • Upvote (+1) 4
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 6 heures, Gaspardm a dit :

Il me semble que les radars UHF ou VHF nécessite des antennes énormes pour fournir une précision acceptable. C'est très bien de détecter la présence d'un avion dans un secteur mais ensuite il faut pouvoir l'abattre et ce n'est pas de ci tôt que l'on verra un missile guidé par des onde UHF.

L'avion peut aussi aider le missile en rafraichissant les données du missile via la liaison (bi) directionnelle... ce que doivent faire toutes les dernières montures du marché. Et dans le cas d'un missile radar, il te verrouillera je pense forcément un jour, même si c'st à 10km plutôt que les 40 normaux.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je suis toujours étonné qu'on puisse douter de !intérêt de la furtivité à une époque où les militaires français, turcs, chinois, russes , japonais, coréens et bien sur américains confirment l'importance capitale de cette capacité pour les décennies qui viennent ...

Tous les systèmes radars nouveaux que l'on aime à opposer à la furtivité ne sont que des radars d'alerte ... Ce qui signifie qu'ils permettent uniquement de mobiliser des moyens de riposte ... Et 100% de ces moyens de riposte sont fortement affectés par la furtivité concernant leur capacité de menace ...

Alors oui bien sur se croire invincible grâce à la furtivité est une idiotie ... La furtivité permet avant toute chose d'obtenir une souplesse tactique et stratégique lorsqu'il s'agit de déterminer comment on va traiter des objectifs ...on a plus de choix d'approches , on a moins de menaces à identifier / traiter / éviter .

 

Concernant la décision du général Mattis c'est une excellente nouvelle ... Le pouvoir politique US semble enfin vouloir enquêter sur les errements de LM concernant le programme JSF et cette étude comparative va permettre de savoir si le F-35 apporte bel et bien des choses différentes et vitales que celles qu'un avion comme l'ASH peut fournir ...

Mais avec moins de 500 F-35C en commande pour l'US NAVY et les Marines, il était évident depuis l'origine que le F-35C ne serait jamais l'avion de combat unique de l'aéronavale US. Comme le PDG de Boeing l'a publiquement rappelé les F-35C et ASH sont depuis longtemps prévus pour former ensembles la flotte US. Le 100% F-35 n'a jamais été valide dans les faits contrairement au programme d'acquisition prévu par l'USAF pour le F-35A.

Nous verrons ce que l'étude donnera comme conclusion ... Mais je fais le pari d'un escadron de F-35C par porte avion confirmé pour les années qui arrivent ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 1 heure, Dany40 a dit :

Je suis toujours étonné qu'on puisse douter de !intérêt de la furtivité à une époque où les militaires français, turcs, chinois, russes , japonais, coréens et bien sur américains confirment l'importance capitale de cette capacité pour les décennies qui viennent ...

Tous les systèmes radars nouveaux que l'on aime à opposer à la furtivité ne sont que des radars d'alerte ... Ce qui signifie qu'ils permettent uniquement de mobiliser des moyens de riposte ... Et 100% de ces moyens de riposte sont fortement affectés par la furtivité concernant leur capacité de menace ...

Alors oui bien sur se croire invincible grâce à la furtivité est une idiotie ... La furtivité permet avant toute chose d'obtenir une souplesse tactique et stratégique lorsqu'il s'agit de déterminer comment on va traiter des objectifs ...on a plus de choix d'approches , on a moins de menaces à identifier / traiter / éviter .

 

Concernant la décision du général Mattis c'est une excellente nouvelle ... Le pouvoir politique US semble enfin vouloir enquêter sur les errements de LM concernant le programme JSF et cette étude comparative va permettre de savoir si le F-35 apporte bel et bien des choses différentes et vitales que celles qu'un avion comme l'ASH peut fournir ...

Mais avec moins de 500 F-35C en commande pour l'US NAVY et les Marines, il était évident depuis l'origine que le F-35C ne serait jamais l'avion de combat unique de l'aéronavale US. Comme le PDG de Boeing l'a publiquement rappelé les F-35C et ASH sont depuis longtemps prévus pour former ensembles la flotte US. Le 100% F-35 n'a jamais été valide dans les faits contrairement au programme d'acquisition prévu par l'USAF pour le F-35A.

Nous verrons ce que l'étude donnera comme conclusion ... Mais je fais le pari d'un escadron de F-35C par porte avion confirmé pour les années qui arrivent ...

N'empêche, quand on sait exactement où regarder, le discernement est nettement amélioré et cela s'applique aussi aux radars. De plus, les missiles SAM sont aussi guidés depuis le sol à l'aide d'informations multi-sources recoupées. Pour rappel, la technologie GaN apporte(ra) des améliorations très intéressantes dans le domaine de l'optronique aussi.
Enfin bref, il semble de plus en plus clair que la faible signature radar a des avantages décroissants face à l'amélioration des moyens de détection alors que les compromis qu'elle impose, eux, sont et resteront permanents.
Enfin, les recherches un peu partout dans le monde sur la furtivité se font sur des appareils assez spécialisés, pas des avions polyvalents. Un appareil généraliste furtif, c'est un peu, de mon point de vue, comme un camion de pompier blindé, ça peut servir dans des cas bien précis mais ça limite quand même pas mal les capacités utiles et ça rend le truc beaucoup plus cher à l'achat et à l'emploi sans être totalement à l’abri d'une mauvaise surprise.
Pour le F-35C, moi je ne prendrais pas de pari trop vite. C'est finalement le seul des 3 qui peut être sacrifié sans trop de remous diplomatique ni opérationnel.

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 2 heures, Dany40 a dit :

Je suis toujours étonné qu'on puisse douter de !intérêt de la furtivité à une époque où les militaires français, turcs, chinois, russes , japonais, coréens et bien sur américains confirment l'importance capitale de cette capacité pour les décennies qui viennent ...

Tous les systèmes radars nouveaux que l'on aime à opposer à la furtivité ne sont que des radars d'alerte ... Ce qui signifie qu'ils permettent uniquement de mobiliser des moyens de riposte ... Et 100% de ces moyens de riposte sont fortement affectés par la furtivité concernant leur capacité de menace ...

Moi ça ne m'étonne pas que tu ne comprennes pas tout, comme tu viens de le démontrer dans ces quelques lignes.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 22 heures, DEFA550 a dit :

10km, c'est déjà la normalité.

 

Il y a 12 heures, ascromis a dit :

J'aurais plutôt dit un minimum syndical.

Pour ceux qui doutent de la normalité, 10 km parcouru à Mach 3 (vitesse choisie arbitrairement élevée pour un missile), c'est encore près de 10 secondes de vol.

C'est déjà beaucoup, comme durée, pour une émission radar relativement consommatrice en énergie. Et ça va piocher dans les réserves d'une pile thermique pas forcément très grosse pour être logée dans un missile.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

1 hour ago, FATac said:

C'est déjà beaucoup, comme durée, pour une émission radar relativement consommatrice en énergie. Et ça va piocher dans les réserves d'une pile thermique pas forcément très grosse pour être logée dans un missile.

L'autre aspect c'est qu'on essaye d'allumer l'autodirecteur radar le plus tard possible pour retarder la mise en place des contre mesure, aussi les manoeuvre que pourrait faire le pilote, que les solution électronique plus ou moins automatisé. Tant que la cible ne reçoit et n'analyse  pas les émission du radar du missile il ne peut anticiper qu'un brouillage "blanc" et en gros des solution de masquage ou d'éblouissement brutale. Une fois l'autodirecteur allumé on peut répéter son signal et le leurrer en distance notamment, voir carrément essayer une "annulation".

En gros le missile peut commencer a émettre seulement quelques secondes avant la collision prévu ... ça aide beaucoup a empêcher le bon usage des ECM, et donc a augmenté nettement la probabilité de coup au but.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour les amateurs de blague "f-35" une petite video montrant la difficulté des pilotes de F-35C à garder leur viseur de casque devant les yeux au décollage. C'est poilant. Attention c'est via SPOUTNIK.com. Je suis méchant c'est uniquement sur le premier décollage.

 

C'est un gros bébé quand même. Je ne voit pas comment certains indiens pense faire tenir un f-35b sur une plateforme de frégate.

De plus avec le dégagement des tuyères quand on sait que l'ennemi n°1 des marins c'est le feux. Je ne suis pas sûr mais si le Thermion n'absorbe pas la chaleur mais agit uniquement comme déflecteur alors c'est juste infaisable.

 

 

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai pas de droit dans aviationweek. Tu peux nous faire un résumé ?

mais j'ai un lien sur un lobyist australien anti f-35 qui se sent pousser des ailes.

Trump’s search for truth about the JSF no bolt from the blue : http://www.theaustralian.com.au/business/opinion/robert-gottliebsen/trumps-search-for-truth-about-the-jsf-no-bolt-from-the-blue/news-story/93aa2effb585cd57374817cc79e38f86

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il faut être enregistrer, pas abonné pour avoir accès, voici l'article en spoiler

 

Norway Fears Lockheed Not Ready To Support F-35

http://aviationweek.com/defense/norway-fears-lockheed-not-ready-support-f-35

Norway Fears Lockheed Not Ready To Support F-35

Norwegian armed forces

OSLO, Norway—As Norway readies to welcome its first F-35s in country in just nine short months, top defense officials here worry Lockheed Martin won’t be ready to support the new fleet.

The nation plans to begin operating the Joint Strike Fighter (JSF) almost as soon as it arrives on Norwegian soil in November, according to air force officials. But while Lockheed has proved it can successfully deliver aircraft from the production line, the company has yet to show it will have a reliable system in place to support the aircraft on “day two,” says Maj. Gen. Morten Klever, Norway’s program director for F-35.

Norway has identified a number of “risk areas,” and is currently working with the F-35 Joint Program Office (JPO), Lockheed and engine maker Pratt & Whitney to mitigate those risks, Klever says.

“They will start training for initial operating capability immediately and everything needs to be in place for them to do that,” Klever says. “Is the industry ready to support and sustain the aircraft in Norway? There is a risk right now.”

Lockheed and the partners are setting up roughly 30 F-35 bases internationally between now and 2020, a massive undertaking, Klever says. In particular, Klever is concerned about Lockheed’s ability on day two to provide the necessary spare parts, equipment and support, while at the same time navigating the specific laws and regulations of Norway and eight other partner countries.

“I think Lockheed Martin really needs to step up the work on sustainment,” Klever says. “After all, the partners are expecting a seamless global sustainment solution.”

Chief of the Royal Norwegian Air Force Brig. Gen. Tonje Skinnarland echoes Klever’s concerns, adding that she is keeping a close eye on some “critical deviations” that have emerged recently.

“We are on a very tight plan, a very tight schedule, and everything is linked together,” Skinnarland says. “If we drift off the plan for any reason it will affect our ability to be operational along the path we have.”

Lockheed pushed back on these concerns, pointing to the arrival of the first F-35s in country for the Israeli air force in December 2016 as proof the company will be ready to support Norway’s F-35s. Working with Lockheed, Israel successfully launched a two-ship flight just 16 hr. after the aircraft touched down, company spokesman Mike Rein says.

“In the six weeks since the arrival, the IAF has met or exceeded all of their flying objectives and the aircraft and system remain in a ready state,” Rein says. “We are confident that it will be a similar case when Norway’s F-35s arrive in country for the first time.”
Italy’s F-35s, which arrived at Amendola air base in December, also are flying sorties according to plan with Lockheed’s support, Rein adds. The company expects similar successes at U.S. Naval Air Station Lemoore once F-35C operations begin there.

Meanwhile, the men and women on the ground at Ørland Main Air Station are doing their part to stand up the first Norwegian F-35 squadron. But the transition from F-16 to F-35 is just one piece of a sweeping modernization effort across Norway’s armed forces. As it introduces new equipment like F-35, Boeing’s P-8 maritime patrol aircraft (MPA), and new search-and-rescue (SAR) helicopters, Norway is re-structuring bases across the country to streamline operations in a tight fiscal environment. The government is consolidating the air force organization, recently shuttering the air wing at Bodo that was home to two F-16 squadrons, one of which has now been deactivated in anticipation of the F-35. At the same time, Norway also will close Andoya, currently the main maritime patrol base, once the legacy P-3 MPA fleet is retired.

Ørland will become the nation’s main combat airbase, eventually home to two F-35 squadrons—the historic 332 and 331 squadrons, which flew Spitfires in World War II—advanced air and base defense forces, and an upgraded SAR helicopter detachment. It must also be able to accommodate deployments of allied aircraft, in particular the NATO Airborne Warning and Control System. The new P-8s will be based at Evenes air base north of the Arctic Circle, along with forward-deployed F-35s, to hunt for Russian submarines.

“We need to be more lean and more effective, and use our finances in a better way, but we also have to change our perception to network centric warfare,” says Col. Aage Lyder Longva, commander of the 132 Air Wing.

The Norwegian Defense Estate Agency (NDEA) began building the support infrastructure for F-35 at Ørland in May 2015, with the goal of getting the basic equipment in place for operations by the time the first aircraft arrive. The outer shell of the new F-35 facility is already complete; now, Longva is waiting on Lockheed to install the eight simulators and necessary equipment for the Autonomic Logistics and Information System, the maintenance backbone of the new fleet.

To protect the new F-35s from prying eyes, base personnel are building a dirt wall around the outer perimeter, says Olaf Dobloug, chief of combat aircraft base construction with the NDEA. They also are updating and extending the runway by 300 meters, and adding new navigational and lighting systems.  

Altogether, Norway has estimated readying both Ørland and Evenes to accommodate new aircraft across the force—including infrastructure modernization and building new facilities—will cost 10 billion kroner, or about $1.3 billion, Longva says. Just over half of that will go exclusively toward supporting the F-35, he notes.

While much of the upgrade is focused on what happens inside base walls, Longva and Olaf also must keep in mind the surrounding area. A significant portion of the funds will go to noise abatement, partially due to stricter environmental regulations recently established by the Norwegian government and local authorities. By law the NDEA must offer to buy the private houses in the “red zone,” where noise from the existing F-16s and future F-35s will be the worst. If the residents choose to stay, the NDEA must install insulation into residents’ walls to protect against the noise.

Norway, Lockheed and the F-35 Joint Program Office clearly have a long way to go to prepare for the arrival of the JSF. But the new aircraft is not just a replacement for the legacy F-16 that Norway currently relies on to be its eyes and ears in the North Atlantic, Skinnarland says. The air force must fundamentally change its thinking to take full advantage of the new, fifth-generation capability.

“We have to be able to utilize the airframe in new ways, not continue in the same ways we have used the F-16,” Skinnarland says. “We have to develop concepts on how to operate, what’s the capabilities and possibilities of the new aircraft.”

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Premières images de la maquette plastique du F-35A Italeri à l'échelle 1/32.

Version "sortie de chaine d'assemblage" avant l'application finale des peintures "Ram".
Les "intake covers" et "exhaust covers" sont inclus !

L'inclusion d'armements avec une telle présentation est toutefois totalement irréaliste.  
:coolc:
SharkOwl

Référence : http://italeri.com/news_scheda.asp?idNews=703

 

 

b0574651-b259-44a6-93f2-7f76adf01ebe.jpg

 

cc4d4fba-2149-403a-8b25-4b069eff9df7.jpg

 

e63384b2-40f9-4742-b57c-5d30335f80d2.jpg

 

Modifié par SharkOwl
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 967
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Stevendes
    Membre le plus récent
    Stevendes
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...