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[Rafale] *archive*


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Je suis pret à parier que les capteurs IR du MICA et de l'OSF c'est les memes. Ce qu'il y a c'est qu'avec l'OSF il y a en plus un zoom et balayage mécanique. Apparement c'est cette partie qui a des soucis. Sans la voie IR mais avec les capteurs MICA fusionnés, ça revient à peut pret au meme sauf qu'il n'y a pas de balayage et qu'on peut faire une croix sur le mode surveillance de l'espace aérien. Reste le mode poursuite qui doit etre à peut pret identique avec des MICAs sauf peut etre qu'il n'y a pas de zoom.

L'OSF NG aura un balayage électronique à la AESA.

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@Roland

Je partage ton avis Roland ainsi la voie IR de l'OSF était considérée comme obsolète dès l'entrée en service dans l'ADLA.

Je me souviens d'articles notamment dans Air Fan et AC qui mettaient l'accent sur la voie TV et oubliaient soigneusement de s'étendre sur la voir IR; les opérationnels intervieuwés disant eux qu'ils ne s'en servaient guère...

On pourra remarquer cependant que ce ne serait pas la première fois dans l'histoire de l'aviation que les voie IR, jugées "révolutionnaires" pour la discrétion des interceptions par les ingénieurs/concepteurs, soient finalement reléguées aux oubliettes par les opérationnels.

Ce fut le cas d'une partie des Century Series aux USA, mais aussi  le cas du Crusader, que ce soit aux USA ou en France.

Difficile d'en déduire quelque chose de sûr et certain. En discutant avec un pilote il y a quelques mois, ce dernier me sous-entendait que la voie IR de l'OSF perdait une grande partie de son intérêt quand on avait 2 MICA-IIR en bout d'aile.

Cela ne veut pas forcément dire que le MICA-IR est plus précis qu'une voie OSF, mais peut-être qu'il est suffisant pour détecter sommairement un hostile avant de braquer la voie TV de l'OSF dessus. Ou peut-être même que l'autodirecteur du MICA porte plus loin que l'actuelle voie IR, je ne sais pas trop.

Après, si c'est vrai en plein jour, c'est peut-être différent en pleine nuit. Mais si l'OSF-IR ne permet pas de toute manière de faire une identification à longue distance de l'appareil (ça n'aura jamais la précision d'une voie TV) en pleine nuit, l'intérêt est moindre (juste une hypothèse de ma part sans aucune preuve hein! je prends ça comme exemple!).

Les pilotes auront plutôt intérêt à allumer leurs radars équipés des modes ad-hoc!

Enfin bon, les suppositions vont bon train je pense. Et comme d'hab, ceux qui savent vraiment ne diront rien (et s'ils parlent, ils feront bien attention à en parler à quelque qui n'y pige pas grand chose aux capteurs IR, comme moi par exemple! :lol:).

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The Specter electronic-warfare suite also is being enhanced, mainly with the upgrade of the DDM missile warning system to the "NG" configuration. The DDM-NG is an imaging infrared system.

Puisque personne ne réagit je vais poser ma petite quéston. =D

La voie IR de l'OSF est elle abandonné parce que les nouveaux DDM vont offrir cette fonctionnalité sur 360° en permanence?

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Puisque personne ne réagit je vais poser ma petite quéston. =D

La voie IR de l'OSF est elle abandonné parce que les nouveaux DDM vont offrir cette fonctionnalité sur 360° en permanence?

Les dernières nouvelles prises à droite et à gauche parlaient bien d'abandonner la partie IR de l'OSF.
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La voie IR n'est pas abandonnée définitivement.

Elle l'est pour l'OSF-IT de 2012.

Une nouvelle technologie (matrice, fixe) est attendue pour le futur OSF-NG qui n'est pas encore financé.

Ce n'est que partie remise.

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On pourra remarquer cependant que ce ne serait pas la première fois dans l'histoire de l'aviation que les voie IR, jugées "révolutionnaires" pour la discrétion des interceptions par les ingénieurs/concepteurs, soient finalement reléguées aux oubliettes par les opérationnels.

Ce fut le cas d'une partie des Century Series aux USA, mais aussi  le cas du Crusader, que ce soit aux USA ou en France.

Et j'ai ouïe dire que pendant la guerre du Golfe (1991), les A-10 équipés LANTIRN préféraient utiliser les autodirecteurs de Maverick version IIR parce qu'il était tout simplement meilleur... mais bon, bruit de chiottes, j'ai aussi entendu dire que les Maverick IIR étaient nazes dans le désert, du moins de jour.
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Et j'ai ouïe dire que pendant la guerre du Golfe (1991), les A-10 équipés LANTIRN préféraient utiliser les autodirecteurs de Maverick version IIR parce qu'il était tout simplement meilleur... mais bon, bruit de chiottes, j'ai aussi entendu dire que les Maverick IIR étaient nazes dans le désert, du moins de jour.

Non, les A-10A n'etaient pas muni de LANTIRN en 1991.  Ils utilisaient les AGM-65 comme FLIR de fortune justement parce qu'ils n'avaient rien d'autre.

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http://lemamouth.blogspot.com/2009/06/relance-dix-damocles-et-trois-sdti.html

incessamment la commande de trois drones SDTI (Sagem) et de dix nacelles de targetting Damoclès (Thales), au titre du plan de relance, pour les premiers, et en urgence opération pour les seconds. Cette dernière commande avait été révélée par Air & Cosmos, il y a trois semaines environ : comme les industriels, la communication publique groupe ses annonces, pendant le salon du Bourget. Mais alors, il était question de financer des pods (photo : crédit DGA) par le plan de relance.

La commande des SDTI est plus inattendue, même si l'attrition, en Afghanistan, rendait inévitable, voire urgente, le renforcement du potentiel drones du 61e RA. L'achat des Sperwer détenus par les Canadiens semblait tenir la corde, mais pour des raisons diverses, c'est donc l'achat de neuf, réglé par le plan de relance, qui a été préféré.

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N'oublions pas que les crédits débloqués au titre du plan de relance ne sont pas des augmentations de budget mais des dépenses anticipées.

Le chiffre final restera le même...

Donc au dépend de quoi va-ton acheter trois drones de + ???

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Je peux pas aller au Bourget c'est en plein pendant la semaine du Bac  O0 Par contre le meeting du centenaire à l'air intéressant, j'espère que ça vaudras le coup parce que Reims ca fait loin de chez moi quand même :/

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http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/06/rafale-la-france-a-fait-le-bon-choix-celui-de-voler-de-ses-propres-ailes.html#more

Rafale : "La France a fait le bon choix, celui de voler de ses propres ailes"

Larousse A l'occasion de l'ouverture ce matin du Salon du Bourget, voici quelques extraits de mon récent livre "Défense européenne, la grande illusion". (Editions Larousse, 9,90 euros). Il s'agit du chapitre consacré aux choix industriels. Où l'on voit que l'Europe coûte cher...

"Les nations sont trop petites et elles doivent s'associer si elles veulent continuer à jouer dans la cour des grands. On connait l'antienne. Mais c'est faux. L'histoire récente de l'aéronautique militaire européenne est là pour le prouver. L'union ne fait pas toujours la force, et encore moins le succès. C'est l'histoire du combat entre le Rafale et l'Eurofighter. La France a fait le bon choix, celui de voler de ses propres ailes. Voici pourquoi. (...)

Deux avions ont bien été construits : le Rafale et l'Eurofighter par un consortium regroupant le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne. Mais entre les deux, il n'y a pas photo, que ce soit sur les qualités de l'avion ou sur son prix. Tout franco-français qu'il soit, le Rafale remporte la partie. « D'un point de vue économique, le pari de faire baisser les coûts de l'Eurofighter grâce à la coopération a totalement échoué : tant le coût de construction du Rafale que son coût total (développement compris) sont inférieurs à ceux de l'avion européen », constatait par exemple en 2006 la journaliste économique Anne-Marie Rocco, dans l'hebdomadaire Challenges. Même un europhile convaincu, comme Jean-Dominique Giulani, président de la Fondation Robert Schuman, le reconnaît : « l’idée selon laquelle la coopération européenne réduirait les coûts des équipements militaires ne résiste pas toujours à l'épreuve des faits ». Un point de vue partagé par la plupart des spécialistes, qui s'accordent à penser qu'un Eurofighter coûte aux contribuables des pays concernés, au moins 1,5 fois plus cher qu'un Rafale pour le contribuable français. Les coûts de l'Eurofighter ont tellement explosé que, depuis 2003, le Ministry of Defence britannique ne les communiquent plus, officiellement « pour des raisons commerciales ». Quant au Rafale, selon un récent rapport du Sénat français (novembre 2008), le coût total du programme pour l'Etat est de 39,6 milliards d'euros, sur la base de 286 appareils. Plus de 135 millions d'euros par avion, si l'on intègre les coûts du développement, c'est cher, c'est horriblement cher pour le contribuable. Mais la facture aurait été de 50% supérieure si la France avait fait le choix de l'Europe! En faisant cavalier seul, on a donc économisé près de 20 milliards d'euros...

La coopération européenne ne réduit pas les coûts, bien au contraire. Selon la théorie économique, produire plus d'avions devrait faire baisser le prix unitaire de chaque appareil. Ce sont les « économies d'échelle », mais l'Europe a inventé une échelle qui fait grimper les prix. Selon le principe du « juste retour industriel », les pays participants exigent en effet que chacun d'entre eux reçoivent une part de travail proportionnelle à leurs commandes. (...)

Très critiqué, le choix de jouer en franco-français plutôt qu'en européen apparaît aujourd'hui comme le plus rationnel, tant sur le plan des finances publiques que sur celui des besoins militaires. On l'oublie souvent, mais la France n'est pas le seul pays européen à avoir agi de la sorte. La Suède, très soucieuse de son indépendance, a fait de même. La Suède, avec ses 10 millions d'habitants et son produit intérieur brut six fois inférieur à celui de la France, est l'un des rares pays au monde à avoir conservé une industrie aéronautique nationale. Depuis les années 1930, les Suédois construisent des avions de combat, comme les célèbres Saab Drakken, Viggen et désormais Gripen. Non seulement, la Suède produit des avions de guerre, mais elle réussit à en exporter (...). Ce que la petite Suède sait faire, et plutôt bien, il n'y avait aucune raison que la France – six fois plus grande – ne puisse le réussir, n'en déplaise à tous les idéologues qui estiment, une fois pour toutes, que la France est trop petite.

Ce que démontre l'exemple de la Suède, c'est que rien ne remplace la volonté politique. Le contre-exemple parfait est celui des Pays-Bas. Les deux pays sont comparables : une culture proche, une vieille tradition étatique, une population et une richesse voisines, avec même un léger avantage pour la Hollande. Sauf que La Haye a renoncé. Comme Saab en Suède, les Pays-Bas avait pourtant leur constructeur aéronautique national avec Fokker. Il a aujourd'hui disparu. Après la seconde guerre mondiale, les Pays-Bas, il est vrai beaucoup plus touchés que la Suède restée neutre, renonce à conserver une capacité nationale à construire des avions de combat, pour s'en remettre aux Britanniques, puis aux Américains".

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Comme le dit si bien un personnage des Simpsons : HA HA !!!  ;)

Les remarques sur la coopération ratée du programme Eurofighter ne sont telles pas applicable au f-35 (dans une moindre mesure peut-être), ou même à l’A400M et bien d'autres ?

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Le GRIPEN n'est pas un avion national suédois c'est un avion bi-national américano suédois

On ne peut guère parler d'indépendance nationale à ce niveau

Je ne partage pas tout à fait cette analyse.

Le Rafale aurait volé sur des F404, et avec un radar Ferranti ou GEC Marconi, en emportant des Sidewinder ou des Pythons, on l'aurait quand même présenté comme une brique majeure de l'indépendance nationale, ne serait-ce que parce qu'on l'aurait fait nous même en choisissant les éléments étrangers à mettre dedans.

La conception du Gripen reste essentiellement Suédoise. Ils ont acheté des éléments et des équipements sur l'étagère et ils les ont intégré (avec les soucis que l'on imagine et que l'on connait sur les CDVE par exemple). Les américains ne sont pour rien dans la conception ou la fabrication du Gripen, ils n'ont rien décidé (à part accorder des licences de composant ou des autorisations d'exportation).

La grosse faiblesse du Gripen, c'est de dépendre des autorisations US pour une exportation. Pour ce qui est de l'usage suédois, c'est en toute indépendance.

Sa seconde faiblesse, c'est d'être proposé par BAe sur les marchés export ...  :lol:

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Les remarques sur la coopération ratée du programme Eurofighter ne sont telles pas applicable au f-35 (dans une moindre mesure peut-être)

non : les américains décident de tout sur ce programme. C'est un programme 100% US avec des investisseurs extérieurs minoritaires qui n'ont aucun pouvoir de décision. Le seul droit qu'ils ont c'est de se chamailler entre eux pour récupérer les miettes du montage industriel que l'oncle SAM est disposé à soutraiter.

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Oui ça je sais. Je parlais de la coopération foirée, genre réduire les couts avec un maximum de monde et d'argent, c'est pour cela que je précise "dans une moindre mesure"  ;)

La question c'est plutôt qu'elle est la coopération qui n'as pas été foireuse ? On les accumules dernièrement (pourvu que ça marche mieux pour le Neuron).

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PARIS AIR SHOW: Dassault offers rocket pod-equipped Rafale for Afghanistan mission

By Craig Hoyle

Dassault (hall 2A) is exhibiting a French air force Rafale fighter with TDA 68mm rocket pods, providing a glimpse of a possible future equipment fit for operations in Afghanistan.

Three F2 production standard Rafales returned from Kandahar airfield last month after completing a four-month deployment - the third of its kind to the Afghanistan theatre since 2007.

"We are very happy from the third time we are in this environment," says Jean-Marc Gasparini, Dassault's vice-president military aircraft programmes. "NATO standards are evolving, so we have some adjustments to make. But there were no big technical issues."

A new software standard will be delivered before year-end, he says, with this including an air-to-ground gunnery mode - a valuable weapon in the close air support role. "Afghanistan is a very interesting test field, but they are performing an operational mission. We must not give them things that are not adapted for this context," he says.

Early test work has already been conducted with the new rocket pod fit, which uses the aircraft's third under-wing weapons station. "There is still a job to do," says Gasparini. "We are very imaginative, and we are trying to listen to our customer."

Dassault should receive a contract for around 60 F4-standard Rafales before year-end, and still expects to produce just under 300 for the French air force and navy over the life of the programme.

"Today the situation is very positive," says Gasparini. "Tranche 4 will give us five to eight years of visibility. It gives us a safe position, and puts us in the best position to enter the export market."

All the latest news, images and video from the Paris Air Show

http://www.flightglobal.com/articles/2009/06/15/327905/paris-air-show-dassault-offers-rocket-pod-equipped-rafale-for-afghanistan.html

En gros : des pods roquettes 68mm de TDA en point 3 de voilure sur un appareil au salon du Bourget, un mode canon air-sol pour l'Afghanistan, une commande de 60 "F4" en attente et Dassault qui écoute enfin ses utilisateurs !  ^-^

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Oui ça je sais. Je parlais de la coopération foirée, genre réduire les couts avec un maximum de monde et d'argent, c'est pour cela que je précise "dans une moindre mesure"  ;)

La question c'est plutôt qu'elle est la coopération qui n'as pas été foireuse ? On les accumules dernièrement (pourvu que ça marche mieux pour le Neuron).

Dans la mesure ou ce sont les US qui décident de tout, la coopération n'a pas une incidence significative sur l'augmentation du budget du programme et les problèmes techniques qu'il rencontre. Sans coopération les problèmes auraient été les mêmes.

Au contraire, on peut même dire que si le F-35 survit, ce sera grâce à la coopération : il est plus difficile pour l'administration US de stopper un programme dans lequel de nombreuses nations étrangères se sont investies.

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