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Drone aérien


azaazel
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Autant navaliser le nEUROn, en plus ils se ressemble beaucoup (et ça doit être faisable)

:P

Il y a une différence majeure entre un projet américain réalisé dans 2 à 5 ans, qui vole déjà, tire déjà, se crashe déjà  :lol: ... et UN démonstrateur dont la suite du financement et la suite tout court n'est pas encore décidée.

Ce démonstrateur devrait déjà être décliné en version aéro normale puis d'attaque avant de penser à le navaliser ... bref, en 2060  :-[ et si DA existe encore ...

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Image IPB

A new U.S. Air Force X-plane designated X-56A will explore active control technology for potential use in future high-altitude, long-endurance (HALE) reconnaissance aircraft.

Designed by Lockheed Martin’s Skunk Works, the X-56A flying wing will also later be flown by NASA, and is an innovative modular unmanned air vehicle designed to test active flutter suppression and gust load alleviation. These technologies are considered vital for the successful development of the slender, lightweight, high-aspect-ratio wings that could be used by future transports as well as intelligence, surveillance and reconnaissance UAVs.

http://www.aviationweek.com/aw/generic/story_channel.jsp?channel=defense&id=news/asd/2012/02/01/02.xml&headline=USAF%20Reveals%20Latest%20X-Plane:%20X-56A

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J'adore !

J'imagine la même chose, avec quelques grammes de C4/Semtex ou autre sur chacun des mini-drones, et un ou deux senseurs de présence ...

Ca fait un champ de mines AP/incapacitantes mobile. Vous imaginez 200 trucs comme ça, en quinconce, qui "tombent" sur une compagnie d'éclaireurs, ou qui montent du sol, d'un coup ...

Ou alors, pour nettoyer un compound ou un réseau de tunnels ... 30 mini-drones qui quadrillent tout l'espace en mode cherche-et-détruit toute présence vivante, ou qui rentrent par toutes les ouvertures à la fois, sur un refuge de combattants ennemis ...

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moi ce que j'aime surtout avec ces mini drones c'est qu'en continuant a en réduire la taille on pourra en construire des microscopique et qui pourront aider a soigner des maladies graves dans le corps humain

Ou vous tuez de l'intérieur et disparaître sans laisser e trace !
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moi ce que j'aime surtout avec ces mini drones c'est qu'en continuant a en réduire la taille on pourra en construire des microscopique et qui pourront aider a soigner des maladies graves dans le corps humain

Le corps humain, c'est quand même plutôt aqueux/solide comme univers, alors a part pour combattre en formation les armées de microbes cachés dans un nez, les applications médicales d'escadrilles de micro drones de ce genre risquent d'être fort limitées  =D

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Certes la démonstration est impressionnante, mais gardons à l'esprit que ces quad-coptères sont asservis par un dispositif de mesure externe (caméra IR), donc il y a de la marge entre ce type de vol "télécommandé" et un vol autonome (avec capteurs et CPU intégrées...).

rq: dans la catégorie quad autonome, on est plutôt au niveau de l'AR Drone de Parrot (mais c'est déjà pas mal vu le coût de la bête!)

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Certes la démonstration est impressionnante, mais gardons à l'esprit que ces quad-coptères sont asservis par un dispositif de mesure externe (caméra IR), donc il y a de la marge entre ce type de vol "télécommandé" et un vol autonome (avec capteurs et CPU intégrées...).

rq: dans la catégorie quad autonome, on est plutôt au niveau de l'AR Drone de Parrot (mais c'est déjà pas mal vu le coût de la bête!)

Nope, GRASP Lab utilise des robot autonome et pas télépiloté - ca n'aurait aucun intérêt -, qui dispose de différente stratégie et qui reçoivent leur consigne a distance. Le genre de consigne c'est disposé vous en 8  etc. A priori dans le réseau il y en a un aléatoirement qui prend le lead, et les autres qui l'accepte comme leader celui ci défini son second lui meme décidant de son troisième etc. comme une réseau routable ensuite ils se positionne dans l'espace l'un par rapport a son voisin, celui de plus haut niveau étant prioritaire sur la position, ainsi on obtient une logique de banc de poisson ou d'essaim d'insecte, formation de volatile etc. A priori la structure suis l'intelligence collective ou chacun integre la consigne initial plus les contrainte de ses voisins ... et on obtient un systeme autonome en plus de l'autonomie de chacun des membres.

Ici le mode formation follow the leader avec la tolerance aux pannes.

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=-cZv5oKABPQ

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J'ai mal exprimé ma pensée : l'asservissement est je pense extérieur (les quad sont trackés par les caméra IR que l'ont voit sur la vidéo). En cela ils ne sont pas autonomes (surtout que je pense qu'une partie, si ce n'est tout l'asservissement de haut niveau est déporté au sol).

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J'ai mal exprimé ma pensée : l'asservissement est je pense extérieur (les quad sont trackés par les caméra IR que l'ont voit sur la vidéo). En cela ils ne sont pas autonomes (surtout que je pense qu'une partie, si ce n'est tout l'asservissement de haut niveau est déporté au sol).

KmelRobotics ne communique pas trop sur ses drones, mais a priori ils sont "self-sensing" et "l'intelligence" est totalement embarqué. Les éclairage "IR" servent petut etre de balise pour les camera a bord des drones... ou juste pour que la vidéo ne soit pas trop flou avec un temps de pose rapide.

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  • 2 weeks later...
  • 3 weeks later...

Lu dans le blog DSI http://www.dsi-presse.com/?p=4527#more-4527  les coûts véritables et les comparatifs avec F16/A10 par le think tank CDI.

Drones MALE : sont-ils budgétairement pertinents ?

Ces vingt dernières années, une série d’argumentaires visant à légitimer l’emploi des drones, en particulier de drones MALE, ont émergé, impliquant de véritables récits, principalement aux États-Unis, pour n’être que peu remis en question. Pêle-mêle, les drones seraient moins coûteux à l’achat et à l’emploi que des plateformes pilotées et, de la sorte, leur éventuelle perte en opération, que ce soit du fait de l’adversaire ou d’autres causes, ne poserait pas de problème. Reste que ces affirmations attendaient encore d’être intégralement vérifiées : lorsque ces argumentaires ont émergé, l’emploi de drones armés était encore balbutiant (le premier tir de Hellfire depuis un MQ-1 est intervenu en 2002). C’est l’exercice auquel vient de se livrer le

Center for Defense Information (CDI), un think tank américain travaillant fréquemment sur les questions aéronautiques, qui permet d’affiner la vision que l’on a de l’emploi des drones MALE, en particulier de leurs coûts.

Le coût unitaire d’un MQ-9 est fréquemment cité comme de l’ordre des 4 à 5 millions de dollars par plateforme, mais le CDI replace cette somme dans son contexte : outre l’inflation, il faut également prendre en compte le fait qu’un système MQ-9 compte quatre drones et une station de contrôle, les coûts de R&D, les coûts des capteurs. A la clé, un coût de 120,8 millions par système (dollars 2012), sur base de l’achat de 399 drones par l’Air Force – soit un montant de 30,2 millions/drone.

Il faut également prendre en compte la réduction probable des commandes qui seront effectuées, impliquant un accroissement du coût unitaire. Comparativement, un F-16C est évalué à 55 millions de dollars et un A-10C à environ 30 millions de dollars. Ces coûts sont également à recadrer au regard de la survivabilité des appareils, très faible face à des environnements menaçants. Les MQ-9 ne disposent pas de systèmes d’autodéfense et ne sont pas véritablement en mesure de conduire des manœuvres évasives. Leur facteur de charge maximal serait ainsi de 2G, tandis que des manœuvres sous de fortes incidences pourraient leur faire perdre le contact avec leur satellite, avec à la clé une perte quasi certaine.

Dans le même temps, le CDI met en évidence la question des coûts à l’heure de vol. D’un point de vue factuel, il est 3 624 dollar/heure de vol pour le Reaper, contre 17 780 dollars pour un A-10C et 20 809 dollars pour un F-16C. Toutefois, les chiffres masquent aussi des profils d’utilisation très différents dès lors qu’un système de quatre appareils doit pouvoir effectuer une orbite permanente. La question des coûts d’entretien est également abordée et est annuellement estimée à 5,1 millions par MQ-9, soit 20,4 millions par système et par an.

Comparativement, le coût annuel d’entretien d’un A-10C est de 5,5 millions et celui d’un F-16C de 4,8 millions. D’autres aspects sont également à prendre en ligne de compte, comme la nécessité de la mise en place d’une infrastructure spécifique, en plus des bases aériennes ou encore la nécessité de disposer d’un important volume de bande passante, en particulier de coûteuses liaisons par satellites. Reste, également, la question des coûts humains : une orbite de Predator durant 24 heures nécessite la mobilisation de 144 personnes, contre 171 pour un Reaper, dont 66 pour l’analyse et la dissémination des informations recueillies.

Qu’en penser ? Les analyses du CDI se positionnent clairement dans une optique très militante, visant à déconstruire la pertinence et la légitimité des choix de l’US Air Force en regard de drones MALE. Il n’en demeure pas moins que la comparaison entre appareils pilotés et MQ-9 n’est pas toujours des plus heureuses : les profils de mission sont radicalement différents, le MALE étant affecté à des missions ISR, voire de frappe d’objectifs ponctuels. Le volume de personnel travaillant sur les questions de renseignement est ainsi considérable et n’a évidemment pas lieu d’être pour un A-10 ou un F-16. De même, les profils de vol sont différents : les MALE intègrent des hippodromes positionnés en fonction des besoins là où les options de manœuvre des

appareils pilotés in situ sont plus importantes. Par contre, l’analyse du CDI a le mérite de mettre en évidence des coûts jusque là peu mis en évidence : les 50 millions de dollars la plateforme montrent le prix que l’on est prêt à sacrifier pour les missions ISR et, plus généralement, pour la protection des forces terrestres en opération – le suivi des forces amies au sol étant l’une des grandes catégories de fonction des drones MALE.

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