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Navy quiz


Chris.
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  • 2 months later...
  • 8 months later...

Je ne sais pas si on a le droit de faire des déductions avec de l'aide documentaire type NavWeapons et Wikipédia donc je mets ça dans en caché

Révélation

Je reconnais les tourelles AA double 10,5cm qui sont typiquement allemande

J'en compte 6 tourelles donc 12 canons.

Selon Navweapons : les Bismarks en avaient 16 (4x2+4x2, NavWeapons recense 2 modèles d'affûts ), les Scharnorsts 14 (7x2), il ne reste que la classe Hipper avec leur 12 (6x2). Les Deutchlands en avaient 6 (3x2). Sauf s'il y a eu modification.

Donc un classe Hipster

 

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Couillu le pilote du Spit' qui a fait la reco.

Ports, gares de triage  etc ---->FlakFlakFlak

 

EDIT: après recherche le pilote en question, John (Derek) Chandler (1st Photographic Reconnaissance Unit), disparaîtra en mission au dessus/large de la France aux commandes de son appareil quelques jours après ce cliché, le 16 février 1941.

Modifié par 13RDP
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Il y a 2 heures, ARMEN56 a dit :

Une autre vue

4kscea.jpg

Le NELSON je pense - Celui sur la droite pourrait être un des 4 croiseurs lourds classe Suffren ; on distingue une  tourelle II

Ca marchait à quoi ces bateaux au charbon ? ?

Parce que je viens de finir un livre sur la WW1 à Tahiti ou des navires du kaiser ont bombardé Papeete. Ils voulaient débarquer pour nous piquer le charbon afin de ravitailler leur croiseurs. 

L'Officier de marine qui commandait la place à foutu le feu au reserve de charbon de la marine. les navires Allemands en voyant l'incendie se sont éloigné. Tout en continuant de bombarder l'ile.    

 

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Il y a 2 heures, pascal a dit :

Le français est je pense un des deux Tourville (Tourville ou Duquesne) grue entre les cheminées double catapulte derrière cheminée 2 petites superstructure grand tripode ...

Le brit Nelson oui (peux pas lire le nom)

tu as probablement raison , après croisement de plusieurs sources dont le LOS HS 31 :smile: je me suis laissé confondre avec hauteurs des mâts entre les deux photos ( stern view du croiseur et vue de profil.

 

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il y a 57 minutes, Scarabé a dit :

Ca marchait à quoi ces bateaux au charbon ? ?

Parce que je viens de finir un livre sur la WW1 à Tahiti ou des navires du kaiser ont bombardé Papeete. Ils voulaient débarquer pour nous piquer le charbon afin de ravitailler leur croiseurs. 

L'Officier de marine qui commandait la place à foutu le feu au reserve de charbon de la marine. les navires Allemands en voyant l'incendie se sont éloigné. Tout en continuant de bombarder l'ile.    

 @Loïc C.@pascal

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Les grands bâtiments de la WW1 marchaient au charbon pour aller très vite les premier grands navires à chauffe intégrale au mazout sont les cuirassés de la classe Queen Elizabeth et peut être quelques cuirassés US ... On est en 1916/17. Les Allemands avaient tenté une LA diésélisée sur le Prinz régent Luitpold un cuirassé de la classe König mais cela avait été abandonné ...

Nos 4 croiseurs de la classe Suffren conçus dans l'entre-deux guerres avaient des soutes à charbon

Je cite cite un passage du hors série n°31 de LOS! (pour des questions de fainéantise vespérale et aussi pour faire de la pub à Caraktère ... superbe maison d'édition)

Citation

Si l’aspect extérieur des quatre bâtiments est assez semblable les évolutions les plus importantes concernent l’organisation interne. Le renforcement de la protection étant devenu une priorité, plusieurs solutions vont être mises en œuvre, elles s’appuient principalement sur l’interprétation des dispositions du traité de Washington. Tout d’abord – il s’agit là d’une spécificité française – les quatre croiseurs vont être dotés de soutes à charbon d’une capacité d’environ 640 tonnes. Ces soutes sont disposées de part et d’autre du compartiment propulsion arrière comprenant deux chaudières et un ensemble turbo-réducteur positionnés dans l’axe longitudinal de la coque. Ce système dit de « bourrage » épais de 2 mètres permet d’amortir les effets d’une explosion sous-marine. Sur le Suffren et le Colbert le charbon sert également de combustible à deux chaudières développant 3 600 cv qui permettent aux bâtiments d’adopter une vitesse de croisière lente offrant une autonomie supplémentaire de 2000 nautiques. Attendu qu’il s’agit de combustible ce charbon ne rentre pas dans le déplacement Washington bien que participant à la protection. Ces chaudières seront supprimées au cours d’une refonte et leur volume remplacé par des soutes à mazout (supplément de 840 tonnes) mais, le bourrage de charbon sera conservé tout comme sur le Foch et le Dupleix qui eux chauffent exclusivement au mazout, le charbon n’étant embarqué que sur ordre spécial.

 

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Il y a 16 heures, Scarabé a dit :

Ca marchait à quoi ces bateaux au charbon ? ?

Parce que je viens de finir un livre sur la WW1 à Tahiti ou des navires du kaiser ont bombardé Papeete. Ils voulaient débarquer pour nous piquer le charbon afin de ravitailler leur croiseurs. 

L'Officier de marine qui commandait la place à foutu le feu au reserve de charbon de la marine. les navires Allemands en voyant l'incendie se sont éloigné. Tout en continuant de bombarder l'ile.    

 

Pour le biseau charbon mazout, je ne maitrise pas bien le sujet , en fouillant j’ai cependant trouvé cet éclairage intéressant voir le tableau in fine
https://hal-normandie-univ.archives-ouvertes.fr/hal-02501156/document

Cet épisode WW1 de Papeete, déjà entendu parlé bien sûr ; qqes liens consultables sur le net .

https://www.histogames.com/HTML/chronologie/epoque_contemporaine/premiere-guerre-mondiale/batailles/papeete.php

Ceci dit lors WW2 , à l’approche de l’ennemi , les dépôts de carburant Brest Lorient ….etc ont aussi brulé .

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  • 5 months later...
  • 2 weeks later...

vwd5ns.jpg

Le MAGENTA ici en Penfeld

https://fr.wikipedia.org/wiki/Magenta_(1861)

« Le Magenta fait partie d’une série de navires conçus par Dupuy de Lôme, entre 1859 et 1872, qui sont décrits comme étant les « bâtiments à coques en bois les plus grands jamais construits dans les chantiers navals français ». La série comporte 23 navires dont un « sister-ship » au Magenta, baptisé le Solférino et lancé en 1861. Ces deux bateaux constituent la classe Magenta, qui correspond aux deux seuls cuirassés à deux ponts jamais construits dans le monde3. Le navire possède une coque en bois, un blindage et un système de propulsion à vapeur. Ce dernier est réalisé par la société Mazeline au Havre. Le système de blindage du navire, constitué de plaques d’acier fondues à Saint-Chamond fixées sur du bois, pèse un total de 812 tonnes, ce qui nécessite un renforcement de la coque.

L'éperon de bronze du Magenta conçu également aux aciéries de la Marine de Saint-Chamond pèse à lui seul 15,8 tonnes et est alors « la plus grosse pièce d’acier moulé en France au XIXe siècle »

Le naufrage du Magenta n'est qu'une des catastrophes ayant eu Toulon comme cadre. Le 31 octobre 1875, entre minuit trente et 1 h du matin1, alors que le Magenta est en rade de Toulon, un incendie se déclare à son bord, à l'arrière du coqueron des officiers. Le capitaine de vaisseau Galiber est alors prévenu. Les soutes avant sont noyées avec succès. L'impossibilité de noyer les soutes arrière et la progression du feu contraignent toutefois l'amiral à évacuer le navire, trente minutes après le début du sinistre. Les fouilles archéologiques de la fin du XXe siècle ont permis de retrouver un élément de lance d’incendie. Les navires de l'escadre du Magenta envoient leurs chaloupes secourir l'équipage.

À 3 h 55 (ou 3 h 30, ou 3 h 35), la frégate explose par l'arrière en raison des 20 tonnes de poudre présentes à bord. Les soutes à poudre n’avaient pas été noyées, six victimes sont à déplorer. La déflagration brise de nombreuses vitres dans la ville, projette des plaques de blindage du navire et des morceaux de bois enflammés tombent sur plusieurs navires dont la Victorieuse"

 

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  • 6 months later...

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