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Achat suisse


scalp79
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Invité Dorfmeister
il y a une heure, ARPA a dit :

Cela suppose aussi que pour les 30 prochaines années, ces 2 pays acceptent d'être incapables d'assurer seul leur police du ciel ? Ce n'est pas forcement problématique, mais la Suisse avait l'air de ne plus vouloir dépendre d'un voisin pour assurer sa police du ciel.

Cela suppose que pour les 30 prochaines années (et plus, faut croire): la Belgique et la Hollande ont décidé de mutualiser certaines compétences. Ce qui n'est pas une nouveauté, puisque ça a déjà été discuté ailleurs et que c'est déjà acté maintenant.

Teeny faisait un parallèle Suisse/Belgique: je répondais à sa remarque en mettant en exergue le fait que la situation n'est pas comparable. Le message était assez clair, je pense. Mais pas assez pour tous.

(Mais bon, c'est la Suisse ici. Pour la Belgique, le sujet est un peu plus bas. Pour l'instant).

Modifié par Dorfmeister
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  • 2 months later...

Un non aux nouveaux avions de combat mettrait en doute l'existence de l'armée

Citation

...

Le référendum prévisible est donc d'une grande importance. C'est précisément l'avantage tactique et le risque de la décision du Conseil fédéral. Un non remettrait en question l'existence de l'armée si elle devait être plus qu'un club national de costumes. Rien d'étonnant à ce que les partis critiques et les organisations critiquent le Conseil fédéral pour la procédure choisie. Ils savent qu'il sera beaucoup plus difficile de concrétiser le projet. Et contrairement au Gripen, cette fois-ci, ils ne pourront pas compter sur l'aide de toutes les compagnies de défense et de tous les pilotes mécontents de leur choix d'avion.

Google trads

https://www.nzz.ch/meinung/alles-oder-nichts-ld.1364699

https://translate.google.fr/translate?sl=de&tl=fr&js=y&prev=_t&hl=fr&ie=UTF-8&u=https%3A%2F%2Fwww.nzz.ch%2Fmeinung%2Falles-oder-nichts-ld.1364699&edit-text=

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Il y a 17 heures, mgtstrategy a dit :

rien compris

Je tente une traduction compréhensible :

Le projet de référendum Suisse est habile sur le plan tactique :

Il oblige le peuple Suisse à se prononcer sur l'existence même de la Force Aérienne Suisse sachant parfaitement que les Suisse ne renonceront jamais à leur Force Aérienne et à la souveraineté de leur espace aérien et territorial, tout en ne liant pas le résultat du référendum à un modèle d'avion de combat spécifique, laissant le choix de l'appareil aux experts d'Arma Suisse.

:coolc:

SharkOwl      

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  • 2 weeks later...

Exigences fixées pour le nouvel avion de combat et le système sol-air

Citation

Le DDPS a fixé les exigences auxquelles doivent satisfaire les nouveaux moyens de protection de la population contre les menaces aériennes. Par ailleurs, il a déterminé les critères d’évaluation impératifs et d’autres caractéristiques souhaitables en matière de politique d’armement, notamment en ce qui concerne les affaires compensatoires.

Cette phase lance le programme d’acquisition du nouvel avion de combat et du futur système de défense sol-air. Ces deux systèmes feront partie du programme Air2030, soit le modernisation en profondeur des Forces aériennes suisses. Nous allons égalment voir qu’il y a du changement en ce qui concerne la défense sol air et les implications des différentes exigence sur le choix de l’avion.

Exigences imposées:

 

L’ensemble de la flotte doit être mesure de réaliser les prestations suivantes :

fournir les prestations journalières de police aérienne, 24 heures sur 24, et imposer les restrictions d’utilisation de l’espace aérien suisse.

lors de tensions accrues, intervenir dans un délai de quelques minutes (QRA) dans l’ensemble de l’espace aérien suisse avec des avions de combat en cas de violation de l’espace aérien par des avions civils non coopératifs, des avions militaires de transport, des drones et des avions de combat isolés pénétrant dans l’espace aérien.

en situation de défense, en combinaison avec la défense sol-air, empêcher un adversaire, pendant une durée limitée, d’obtenir la supériorité aérienne et, dans le même temps, appuyer l’armée avec du feu opératif au-delà de la portée de notre propre artillerie et avec de la reconnaissance aérienne.

Données servant de base de calcul pour le dimensionnement de la flotte : la taille de la flotte doit permettre :

en situation normale, d’assurer le service journalier de police aérienne ainsi que l’instruction et l’entraînement.

lors de tensions accrues, de maintenir une présence permanente dans les airs d'au moins quatre avions pendant au moins quatre semaines.

en cas d'attaque armée, d'engager, parallèlement à l’accomplissement des tâches de défense aérienne, des avions de combat pour la reconnaissance aérienne et pour frapper des objectifs au sol.

Exigences relatives à l’acquisition du prochain avion de combat et d’un nouveau système de défense sol-air c. Le paquet logistique doit être dimensionné au minimum pour :

assurer en permanence le service de vol lorsque les frontières sont ouvertes et que l’approvisionnement en pièces de rechange à partir de et vers l’étranger peut être garanti ;

assurer la souveraineté sur l’espace aérien pendant approximativement six mois, de même que l’instruction et l’entraînement lorsque les frontières sont fermées et que l’approvisionnement en pièces de rechange à partir de et vers l’étranger ne peut pas être garanti. Exigences opérationnelles concernant le système de défense sol-air (DSA/Bodluv) :

La défense sol-air de grande portée doit être en mesure, seule ou en combinaison avec les avions de combat, de protéger des secteurs et, ce faisant, de combattre en premier lieu des objectifs dans l’espace aérien moyen ou supérieur. La surface à couvrir doit être de 15’000 km système doit disposer d’une grande portée, c’est-à-dire atteindre une altitude d’engagement de plus de 12’000 m (ver- ticalement) et une portée supérieure à 50 km (horizontalement).

Concernant la maintenance :

Pour le prochain avion de combat, le groupe RUAG est désigné comme centre de compétences pour le matériel au lancement du projet. Dans cette fonction, RUAG réalise les tâches non dévolues à la troupe concernant le suivi technique du système, la gestion du matériel entre la Suisse et l'étranger et la maintenance des avions. L’étendue et le degré de profondeur des tâches que devra accomplir RUAG seront déterminés dans le cadre de l'évaluation.

Pour le nouveau système de défense sol-air, il est en principe souhaitable que RUAG assume la fonction de CCM (dans la même mesure que pour le prochain avion de combat), pour autant que le fabricant du système retenu ne dispose pas d’une succursale en Suisse.

Les essais :

Une partie au moins des essais en vol et au sol doivent être effectués en Suisse pour tous les candidats entrant en ligne de compte pour l’acquisition du prochain avion de combat.

Outre des adaptations minimales requises (comme l’intégration dans nos propres systèmes de conduite), il faut renoncer à des helvétisations ; autrement dit, les systèmes (avions de combat et système de défense sol-air) doivent fondamentalement correspondre à la configuration qui est autorisée à l’exportation et qui est en service ou sera introduite dans le pays producteur.

Dans la mesure du possible, les avions de combat évalués seront pilotés par des pilotes suisses lors des essais en vol.

Pour améliorer la connaissance du système, il serait judicieux qu’une équipe de base composée de personnel de l’industrie suisse et de l’armée collabore avec le fabricant ou un représentant du fabricant pour le montage final des prochains avions de combat. Procéder au montage final en Suisse n’est pas une exigence, mais cette possi-bilité n’est cependant pas non plus exclue.

Pour augmenter le degré d’autonomie, il faut s’efforcer d’acquérir les droits d’utilisation (codes sources) en vue du développement autonome de logiciels C2 (Bodluv, système de surveillance de l'espace aérien).

Affaires compensatoires (offsets)

Pour l’acquisition des avions de combat et de la défense sol-air de grande portée, des affaires compensatoires représentant 100 % du prix d’achat doivent être exigées. L’industrie suisse pourra participer au développement futur de l’avion.

La mise en œuvre des obligations liées aux affaires compensatoires intervient après la signature du contrat. Les affaires compensatoires éventuellement générées auparavant peuvent être prises en compte jusqu’à 20 % du volume total des affaires compensatoires (Offset-Banking-Agreements).

http://psk.blog.24heures.ch/archive/2018/03/23/exigences-fixees-pour-le-nouvel-avion-de-combat-et-le-system-865371.html

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''Pour augmenter le degré d’autonomie, il faut s’efforcer d’acquérir les droits d’utilisation (codes sources) en vue du développement autonome de logiciels C2 (Bodluv, système de surveillance de l'espace aérien).''

Bonne nouvelle ! Le F-35A est ainsi exclu d'office du concours.

:coolc:

SharkOwl

 

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La défense aérienne du futur prend son envol

Citation

Après le refus du Gripen et la suspension du programme de défense sol-air, Guy Parmelin prend un nouveau départ. Il fixe les caractéristiques de base et définit les critères des futurs appels d’offres pour un nouvel avion et le système au sol

Les contours de la défense aérienne du futur commencent à prendre forme. Le ministre de la Défense Guy Parmelin vient de fixer les exigences et les desiderata de l’armée pour l’acquisition d’un nouvel avion de combat et d’un système de défense sol-air (DSA, Bodluv selon l’acronyme allemand). Ces informations seront importantes pour les fournisseurs qui participeront aux appels d’offres, lancés dès juin. L’idée générale consiste à combiner les aptitudes du modèle de jet appelé à remplacer à la fois les F-5 Tiger (26 sont encore régulièrement engagés) et les F/A-18 (30) avec celles de l’équipement au sol. «Plus la défense sol-air sera puissante, plus petit sera le nombre d’avions nécessaires, et inversement», écrit le Département de la défense (DDPS) dans un communiqué. Le Conseil fédéral a décidé d’accorder une enveloppe globale de 8 milliards de francs à cette fin.

Certains critères sont impératifs. Ainsi, l’appareil retenu devra assurer le service de police aérienne 24 heures sur 24, être capable d’intervenir «dans un délai de quelques minutes dans l’ensemble de l’espace aérien suisse» en cas de violation de celui-ci et permettre de «maintenir une présence permanente dans les airs d’au moins quatre avions pendant au moins quatre semaines lors de tensions accrues». Cette dernière exigence laisse penser que c’est le scénario de 40 avions qui aurait les faveurs de la cote. «Le dimensionnement de la flotte dépendra toutefois du type d’appareil. Certains peuvent rester plus longtemps en l’air que d’autres. Par ailleurs, nous recherchons la meilleure combinaison entre l’avion et le système de DSA», relativise le divisionnaire Claude Meier, chef de l’état-major de l’armée.

Cinq avions et trois systèmes de DSA

Sans surprise, les avionneurs appelés à participer à l’évaluation sont Airbus (pour l’Eurofighter allemand), Dassault (pour le Rafale français), Saab (pour le Gripen E suédois), Boeing (pour le F/A-18 Super Hornet américain) et Lockheed-Martin (pour le F-35A, également américain). «L’objectif est de n’avoir à l’avenir qu’une seule flotte», précise Christian Catrina, délégué de Guy Parmelin au programme global de renouvellement de la défense aérienne Air2030. Les F/A-18 seront progressivement mis hors service au fur et à mesure que les nouveaux appareils seront livrés, alors que les F-5 Tiger seront retirés du service avant le début de la livraison de leur successeur. Mais tout cela prendra du temps. Les évaluations seront longues et l’arrêté de planification du renouvellement de la défense aérienne sera soumis au référendum facultatif. Le très probable vote populaire n’aura pas lieu avant 2020.

Quant au système de DSA, il devra couvrir une surface d’au moins 15 000 kilomètres carrés. Il devra disposer d’une grande portée, ce qui exige une altitude d’engagement de 12 000 mètres et une envergure terrestre de 50 kilomètres. La liste des fabricants invités à participer au futur appel d’offres comprend le français Eurosam (pour le système SAMP/T9), l’israélien Rafael (pour le modèle David’s Sling) et l’américain Raytheon (pour le Patriot).

Sortir de l’impasse

Cette approche globale a pour but de sortir de l’impasse dans laquelle l’armée se trouve depuis le rejet populaire du Gripen en 2014 et le gel du programme DSA/Bodluv par Guy Parmelin dès son arrivée à la tête du DDPS en 2016.

Le DDPS exigera des constructeurs des affaires compensatoires industrielles de 100%, à répartir entre la Suisse alémanique (65%), la Suisse romande (30%) et la Suisse italienne (5%). Ce partage répond aux attentes du Groupe romand pour le matériel de défense et de sécurité (GRPM), qui demande justement une attribution de 30% aux entreprises romandes.

La partie en gras est favorable au Rafale. Dassault avait fait valoir cet argument en disant que 18 avions au lieu des 22, suffisaient pour accomplir les tâches demandées.

Il faut que Saab se dépêche de mettre au point sa bécane et son système d'arme.

https://www.letemps.ch/suisse/defense-aerienne-futur-prend-envol

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Je ne sais pas si le critère de 4 avions en l’air H24 est si dimensionant que ça.

En théorie avec 20-24 avions c’est faisable, donc s’ils cherchent à remplacer 30 F/A-18 plus quelques F-5 ils auront certainement assez d’avions pour remplir la mission.

Modifié par HK
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il y a 7 minutes, HK a dit :

Je ne sais pas si le critère de 4 avions en l’air H24 est si dimensionant que ça. En théorie avec 20-24 avions c’est faisable (...)

En théorie, c'est très chaud au contraire. 4 avions en l'air H24 c'est 10 patrouilles par jour de 2h30 chacune (pas de ravitailleurs), c'est à dire 40 sorties (tiens tiens...). Avec 20 avions,  la moyenne se situe donc à 2 sorties par jour pour chacun, soit 150 heures de vol sur une durée de 4 semaines.

En introduisant la remise en oeuvre, l'entretien, la maintenance et les pannes, l'affaire devient tout de suite très, très tendue. Déterminer le nombre d'avions nécessaires pour tenir ce rythme n'a rien de trivial et dépend ... des avions. Alors oui, c'est dimensionnant.

Modifié par DEFA550
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Il y a 9 heures, Ponto Combo a dit :

La défense aérienne du futur prend son envol

La partie en gras est favorable au Rafale. Dassault avait fait valoir cet argument en disant que 18 avions au lieu des 22, suffisaient pour accomplir les tâches demandées.

Il faut que Saab se dépêche de mettre au point sa bécane et son système d'arme.

https://www.letemps.ch/suisse/defense-aerienne-futur-prend-envol

L’argument que Dassault avait fait valoir dans le passé en disant que 18 avions au lieu des 22, suffisaient pour accomplir les tâches demandées était pour l’ancien contrat avorté par référendum, visant à remplacer uniquement les F-5E Tiger II.

Comme le mentionne ici l’article du ‘’Temps.Ch’’ ce nouveau concours vise le choix d’un seul avion de combat appelé à remplacer à la fois les F-5 Tiger (26) et les F/A-18 (30).

Selon différentes sources officielles, le nombre d’appareils à commander ici se situe entre 36 et 48 appareils.

Selon les coûts d’opérations étalés sur 30 ans avec le budget établi, je dirais 36 appareils si le Rafale ou le Super Hornet est sélectionné ou 48 appareils si le Gripen E est sélectionné.

Je ne crois absolument aux chances de l’Eurofighter. Ses coûts d’opérations sont astronomiques et son taux de disponibilité est microscopique.

J’exclu aussi d’office le F-35A puisque le partage des codes sources sont une exigence du projet  d’acquisition Suisse et là aussi, les coûts d’opérations sont très élevés pour ne pas dire hors contrôle et le taux de disponibilité est ‘’aléatoire’’ avec toutes les technologies non maitrisées de l’appareil de Lochkeed Martin.  

:coolc:

SharkOwl

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Il y a 8 heures, DEFA550 a dit :

En théorie, c'est très chaud au contraire. 4 avions en l'air H24 c'est 10 patrouilles par jour de 2h30 chacune (pas de ravitailleurs), c'est à dire 40 sorties (tiens tiens...). Avec 20 avions,  la moyenne se situe donc à 2 sorties par jour pour chacun, soit 150 heures de vol sur une durée de 4 semaines.

 

il y a 11 minutes, SharkOwl a dit :

L’argument que Dassault avait fait valoir dans le passé en disant que 18 avions au lieu des 22, suffisaient pour accomplir les tâches demandées était pour l’ancien contrat avorté par référendum, visant à remplacer uniquement les F-5E Tiger II.

Dassault se base sur des durées de patrouilles allongées à combien de temps dans sa proposition à 18 avions ?

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il y a 7 minutes, BPCs a dit :

 

Dassault se base sur des durées de patrouilles allongées à combien de temps dans sa proposition à 18 avions ?

Aucune idée.

Toutefois, pour ce nouveau concours qui vise le remplacement de 56 avions de combat, je crois que Dassault Aviation propose 36 Rafale avec, en collaboration avec le gouvernement français, des accès particuliers à certaines bases aériennes françaises pour les Rafale Suisse, notamment Solenzara pour ses infrastructures de tir réel Air Air et Air Sol.  

À suivre.

:coolc:

SharkOwl

 

Modifié par SharkOwl
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il y a 9 minutes, BPCs a dit :

Dassault se base sur des durées de patrouilles allongées à combien de temps dans sa proposition à 18 avions ?

Je ne suis pas certain que cette "proposition à 18 avions" ait été basée sur la même expression de besoin ; quelqu'un le saurait-il, ces besoins exprimés ont-ils évolué ? Il me semble, précisément, que le premier appel d'offre formulait des réponses ("on veut N avions !") plutôt que des besoins (comme on peut le voir ci-dessus).

Modifié par Boule75
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Si on exclut le Typhoon et le F-35 il resterait le Rafale... et le Gripen, qui reviendrait dans la course. Ce serait intéressant de voir si l'avion suédois a comblé une partie de son retard sur le Rafale et s'il est maintenant plus compétitif. 

En tout cas si la Suisse passe au Rafale, ça ouvre des portes intéressantes en matière de collaboration. En plus les deux pays sont voisins. 

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Il y a 2 heures, Kiriyama a dit :

Si on exclut le Typhoon et le F-35 il resterait le Rafale... et le Gripen, qui reviendrait dans la course. Ce serait intéressant de voir si l'avion suédois a comblé une partie de son retard sur le Rafale et s'il est maintenant plus compétitif. 

En tout cas si la Suisse passe au Rafale, ça ouvre des portes intéressantes en matière de collaboration. En plus les deux pays sont voisins. 

Concernant le Gripen, je ne crois pas.

Le programme de développement du Gripen E semble étrangement se dérouler dans le plus grand secret et sans aucune communication de la part de Saab.

Seul le premier vol du premier prototype du Gripen E et son premier vol supersonique ont été publicisés mais depuis, plus aucune communication de la part de Saab.

Aucune nouvelle non plus du second et du troisième prototype qui devraient voler au cours de prochains mois selon le programme initial. 

Si le programme d'essai se déroulait bien avec le 1er prototype les gens de Saab en parlerait. 

Or c'est le néant total.

Il y a très probablement un problème dans le cadre du programme d'essai et de développement.

À suivre.

:coolc:

SharkOwl 

Modifié par SharkOwl
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Il y a 4 heures, Kiriyama a dit :

Si on exclut le Typhoon et le F-35 il resterait le Rafale... et le Gripen, qui reviendrait dans la course. Ce serait intéressant de voir si l'avion suédois a comblé une partie de son retard sur le Rafale et s'il est maintenant plus compétitif. 

En tout cas si la Suisse passe au Rafale, ça ouvre des portes intéressantes en matière de collaboration. En plus les deux pays sont voisins. 

Pendant ce temps le Rafale progresse aussi,..... .

Point important, à ce jour le Rafale est mature et ses données sont contrôlables et vérifiables, ce n'est pas un prototype peut être toujours incomplet ni en cour de développement avec des données théoriques.

 

Un Gripen ne pourra jamais se comparer à un Rafale comme à d'autres avions de classe supérieure, sauf dans les rêves humides de certains, dans la com de SAAB et de gens payés pour.

 

Le Gripen a ses propres qualités et performances, ça devrait suffire à le comparer à la classe des Mirage 2000 et similaire.

Modifié par gargouille
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Il y a 1 heure, SharkOwl a dit :

Concernant le Gripen, je ne crois pas.

Le programme de développement du Gripen E semble étrangement se dérouler dans le plus grand secret et sans aucune communication de la part de Saab.

Seul le premier vol du premier prototype du Gripen E et son premier vol supersonique ont été publicisés mais depuis, plus aucune communication de la part de Saab.

Aucune nouvelle non plus du second et du troisième prototype qui devraient voler au cours de prochains mois selon le programme initial. 

Si le programme d'essai se déroulait bien avec le 1er prototype les gens de Saab en parlerait. 

Or c'est le néant total.

Il y a très probablement un problème dans le cadre du programme d'essai et de développement.

À suivre.

:coolc:

SharkOwl 

Si si, il y a des déclarations venant de Saab (février 2018):

Citation

Gripen E delivery schedule on target, says Saab boss

Saab remains on track to deliver the first series production examples of its Gripen E in the third quarter of next year, and is also hopeful of concluding delayed sales of new-build C/D-model examples during 2018.

"We will stick according to the plan and deliver the first two aircraft to the Brazilian air force and Swedish air force next year," says Saab chief executive Håkan Buskhe. "Things are going according to plan," he said while discussing the company's financial results for 2017 on 16 February.

"Test and evaluation of the first [prototype] aircraft is going extremely well. We are getting better-standard data than we had anticipated," Buskhe says. A second prototype will join its fleet by the end of this year.

"It's always challenging to have this type of programme, but if it's not challenging then it probably will not be a good product at the end," he notes, while describing development work as progressing "fairly well".

Noting that Saab is eyeing potential opportunities to sell the Gripen E to additional nations, including Canada, Finland and Switzerland, he says: "Our performance in delivery will also prove that we have a ready product."

https://www.flightglobal.com/news/articles/gripen-e-delivery-schedule-on-target-says-saab-boss-446054/

Reste à voir les conséquences de la prise de poids sur les performances et la maturité du système d'arme...

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Il y a 2 heures, gargouille a dit :

Point important, à ce jour le Rafale est mature et ses données sont contrôlables et vérifiables, ce n'est pas un prototype peut être toujours incomplet ni en cour de développement avec des données théoriques.

C'est à mon avis sur ce point que le Rafale peut sortir le grand jeux par rapport au 4 avions en l'air pendant 30 jours. Car ce qui va compter c'est la disponibilité et dans une moindre mesure l'autonomie.

Concernant le Gripen E ça va être difficile de donner une disponibilité sur la base de quelques proto. Donc sur ce plan il va forcément avoir des malus comme la dernière fois.

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il y a 54 minutes, herciv a dit :

C'est à mon avis sur ce point que le Rafale peut sortir le grand jeux par rapport au 4 avions en l'air pendant 30 jours. Car ce qui va compter c'est la disponibilité et dans une moindre mesure l'autonomie.

Concernant le Gripen E ça va être difficile de donner une disponibilité sur la base de quelques proto. Donc sur ce plan il va forcément avoir des malus comme la dernière fois.

Oui et pour l'instant ils testent l'avion et pas le système d'arme.

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il y a une heure, zx a dit :

ils ont bien des F5 et de F18, ca ne serait pas génant qu'ils aient des rafale et des gripen puisqu'on ne produit plus de M2000.

Ils disent qu'ils achètent deux types d'avions ?

Ce qui voudrait dire eu le Gripen NG était bien incapable d'assurer son rôle et le demeure ?

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il y a une heure, zx a dit :

ils ont bien des F5 et de F18, ca ne serait pas génant qu'ils aient des rafale et des gripen puisqu'on ne produit plus de M2000.

 

il y a 5 minutes, gargouille a dit :

Ils disent qu'ils achètent deux types d'avions ?

Ce qui voudrait dire eu le Gripen NG était bien incapable d'assurer son rôle et le demeure ?

A 4:38 il dit bien "Wir wollen nur eine Flotte", c'est à dire une flotte.

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