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Achat suisse


scalp79
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Mea culpa je pensais que tu parlais des procédures standard de décollage. à Vrai dire ce genre de système je ne l'avais vu jusqu'ici que pour les essais du F35 STOLV mais avec des cables sous l'avion au niveau des trains. Je penche pour un système de mesure de la poussée des réacteurs dans ce cas là, c'est ce qui me parait le plus logique.

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je sais, ca va faire raler, pas taper! pas taper!

Eurofighter Spotterday at Emmen - 14. Nov. 2008

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ça se passe bien pour le Typhoon là bas ? il vole beaucoup ?

dommage qu'on avait pas le viseur de casque, c'est un plus pour le Typhoon ça, en plus les Suisses n'ont jamais du essayer avant.

Le viseur de casque est déjà en dotation sur nos F/A18 roland...

la preuve en image ci-dessous. ;)

http://www.aviapic.ch/forum/viewtopic.php?f=40&t=2810&st=0&sk=t&sd=a&start=30

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Ce n'est pas pour le WEF que nous avons besoin de nouveaux avions» 

  Source: Journal le Temps, quotidien  suisse romand, Philippe Miauton, 25.11.2008 ( http://www.letemps.ch/template/suisse.asp?page=5&article=244693 )

Ce mardi, à Emmen (LU), Armasuisse présente l'Eurofighter, le troisième et dernier avion en lice pour remplacer l'obsolète flotte de Tiger. Le divisionnaire Markus Gygax, le chef ad interim des Forces aériennes depuis la démission du commandant de corps Walter Knutti, suit la procédure avec intérêt. Cet achat, devisé à 2,2 milliards, a d'ores et déjà du plomb dans l'aile. Une partie du parlement est sceptique. Et la population sera certainement amenée à se prononcer puisqu'une initiative du GSsA est sur le point d'aboutir. Markus Gygax, lui-même pilote, explique au Temps la nécessité pour la Suisse d'acquérir un nouvel appareil.

Le Temps: Pourquoi faut-il à tout prix remplacer les Tiger?

Markus Gygax: Contrairement au territoire sur lequel la sécurité est garantie, en temps de paix, par la police, la souveraineté de l'espace aérien suisse est, quant à elle, assurée par les Forces aériennes, soit l'armée. Nous avons pour mission de garantir la sécurité du ciel, de contrôler le trafic, et d'intervenir si nécessaire aussi bien en période de paix qu'en période de crise militaire. Dans les deux cas, nous employons le même instrument: les avions de combat. La question de savoir combien d'avions sont nécessaires est intimement liée à cette mission. La taille de notre pays et la rapidité avec laquelle il est possible de le traverser, nous obligent à avoir continuellement des avions engagés dans le ciel d'où la nécessité de disposer d'une nouvelle flotte.

- Combien d'avions sont-ils nécessaires pour assurer une défense 24 heures sur 24?

- En période de paix prolongée, ou lors d'événements ponctuels comme le WEF ou l'Euro 2008, durant lesquels on sait quand commence l'action et quand elle se termine, les 33 F/A-18 suffisent. Car l'ennemi potentiel n'est pas un avion de combat. Aussitôt qu'une crise se déclare dont on ne connaît pas la durée, assurer la sécurité 24 heures sur 24 nécessite une flotte plus grande. La majorité des petits Etats en Europe tentent de maintenir une flotte de 60 à 70 appareils.

- Il semblerait que l'on se dirige vers l'achat de 22 avions plutôt que 33. Confirmez-vous cette information?

- Les besoins de l'armée sont évalués à 33 avions. Mais les tests des trois candidats doivent nous permettre de juger lequel peut rester le plus longtemps en mission dans le ciel par exemple. Ces données auront clairement une influence pour définir le nombre d'avions nécessaire. Du point de vue des militaires, nous devons atteindre un quota d'une soixantaine d'avions au total. Les politiques, eux, nous allouent une somme de 2,2 milliards. A nous de faire au mieux avec cette somme.

- Le GSsA critique le fait que la Suisse possède plus d'avions au mètre carré que l'Autriche, par exemple. Comment cela se fait-il? -

Ce mode de calcul n'est pas sérieux. Plus un pays est petit, plus le temps pour traverser son espace aérien est restreint. Nos avions doivent donc être continuellement dans le ciel. Nous avons donc besoin de plus d'avions que des pays plus vastes où les appareils peuvent être stationnés au sol dans l'attente d'une intervention.

- Qu'en est-il de la coopération avec les voisins de la Suisse en matière de défense aérienne? -

Depuis quelques années, nous avons des accords avec la France, l'Italie, l'Allemagne et, depuis avril 2008, avec l'Autriche. Le spectre des interventions pour lesquelles nous coopérons est large. Cette coopération se limite toutefois à des missions qui ne sont pas militaires. Aussitôt qu'une crise apparaît, c'est au politique de décider si nous devons défendre notre souveraineté ou si la coopération peut être prolongée. Cet aspect de la coopération n'est actuellement pas réglé, car chaque pays souhaite conserver sa souveraineté en matière d'espace aérien et son indépendance lors de conflits.

- La sécurité aérienne coûte cher. Les pays européens n'ont-ils pas intérêt à étendre cette coopération?

- Nous sommes déjà parvenus à appliquer des accords sur la sécurité aérienne civile. Il serait peut-être nécessaire de les étendre à un aspect militaire. Toutefois, de tels accords impliqueraient aussi des coûts pour les services rendus par les forces aériennes voisines et découleraient d'une décision politique.

- Des rumeurs laissent entendre que vous manquez de pilotes. Comment comptez-vous y remédier si la Suisse acquiert un nouvel avion? -

C'est faux! Nous avons assez de pilotes pour assurer nos missions. Mais il est vrai que nous souhaitons augmenter nos effectifs. Leur formation coûte très cher. Tant qu'une décision liée au remplacement partiel de la flotte des Tiger n'est pas prise, on ne peut pas former trop de pilotes. Pour disposer d'un nombre plus élevé à l'avenir nous pouvons modifier, lors de l'instruction, la part des pilotes d'avion de combat et celle des pilotes d'hélicoptère. Enfin dans le paquet des conditions d'achat figure également la possibilité pour nos pilotes de s'entraîner au sein des forces aériennes des pays d'origine des avions. Nous avons donc les moyens de corriger la situation actuelle.

- La possibilité pour les avions suisses de s'entraîner sur les territoires de ces pays fait-elle également partie du paquet? -

Tout à fait! D'un côté, nous demandons de pouvoir nous entraîner avec nos propres avions sur leur territoire. De l'autre, nous souhaitons aussi utiliser des bases sur place afin de décharger la Suisse, relativement au bruit notamment.

- Vous êtes provisoirement à la tête de l'armée. Souhaitez-vous toujours devenir attaché militaire à Washington?

- Je me suis officiellement porté candidat pour reprendre la tête des Forces aériennes. Je me sens maintenant prêt. J'imagine que la situation se clarifiera dès que le nouveau chef de l'armée sera nommé. [/quote

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5 même, si on veut pousser...

Mais en plus de l'autonomie, il y a la practicité de la chose...

Les FA-18 suisses ne volent quasiment jamais avec plus de 2 réservoirs (voir assez souvent un seul...), même depuis Payerne, qui a la plus grande piste de Suisse...

Le problème vient entre autres des bases de Sion et Meiringen, qui sont très mal situées d'un point de vue facilité d'accès par les airs, au fond de vallées parfois assez étroite (surtout Meiringen...) et coudée (Sion a une approche IGS, avec guidage instrument puis virage à gauche (15 à 20° je pense) et atterrissage à vue, par exemple). En plus, la piste y est moins longue... (un peu moins que 2 km je crois).

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- Il semblerait que l'on se dirige vers l'achat de 22 avions plutôt que 33. Confirmez-vous cette information?

- Les besoins de l'armée sont évalués à 33 avions. Mais les tests des trois candidats doivent nous permettre de juger lequel peut rester le plus longtemps en mission dans le ciel par exemple. Ces données auront clairement une influence pour définir le nombre d'avions nécessaire. Du point de vue des militaires, nous devons atteindre un quota d'une soixantaine d'avions au total. Les politiques, eux, nous allouent une somme de 2,2 milliards. A nous de faire au mieux avec cette somme.

- La possibilité pour les avions suisses de s'entraîner sur les territoires de ces pays fait-elle également partie du paquet? -

- Je me suis officiellement porté candidat pour reprendre la tête des Forces aériennes. Je me sens maintenant prêt. J'imagine que lTout à fait! D'un côté, nous demandons de pouvoir nous entraîner avec nos propres avions sur leur territoire. De l'autre, nous souhaitons aussi utiliser des bases sur place afin de décharger la Suisse, relativement au bruit notamment.

Si on croise 22 appareils pour le prix disponible et l'entrainement chez le vendeur : il ne reste que le Rafale ...

On imagine plutôt un entrainement chez les voisins frontaliers : France et Allemagne plutôt que Suède.

Surtout si il faut utiliser leurs bases pour décharger la suisse

Et ensuite si on doit acheter 22 appareils : l'eurofighter est hors course vu son prix

reste que le Rafalou : cqfd... :lol: :lol: :lol:

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ouai autant pour moi, merci du tuyau.

c'est pas plus mal, comme ça ils ne serons pas emerveillés par le nouveau joujou du Typhoon  =)

ou alors ils pensent peut être que c'est indispensable... pas sûr que de retourner à un avion sans viseur sur casque paraisse tip top ;)

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ou alors ils pensent peut être que c'est indispensable... pas sûr que de retourner à un avion sans viseur sur casque paraisse tip top ;)

Doivent bien se douter que si ils veulent un viseur de casque sur le Rafale ils l'aurons. Mais c'est sur que ça aurait été mieux si il y était déjà..

Bon ils ont eu droit a l'AESA, ça ils ont jamais vu avant par contre  =)

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peut être qu'ils pourront adapté les viseurs de casque du f 18 sur le rafale ?

Plug and play baby  :lol:

mouais, Norvège ou Suède, ça changera pas grand chose, vu qu'actuellement, nos pilotes font des campagnes en Norvège...

Le kero c'est cher. Ils vont pas voller jusqu'a l'autre bout de l'europe quand ils peuvent aller en France. Ilsprennentlerafaleetpisc'esttout.  O0
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En interne le Gripen emporte 3008 litres pour le monoplace et il y a pas de bidon externe de 2000l pour lui.

Le Rafale a deux moteurs mais n'emporte pas pour autant deux fois plus de carburant.

En réalité, en lisse, le Gripen va plus loin que le Rafale ou que le Typhoon dans beaucoup de configurations de vol. Mais au moindre réservoir supplémentaire, et l'avantage relatif disparait.

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