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Achat suisse


scalp79
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  • 2 weeks later...

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20120505trib000697127/en-depit-des-polemiques-la-suisse-poursuit-le-processus-d-achat-du-gripen.html

Le Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports a envoyé en Suède entre le 2 et 4 mai une équipe de spécialistes pour tester l'avion de combat nordique lors d'une série de vols d'essai. Berne souhaite régler les détails techniques de l'acquisition "d'ici à la fin du deuxième trimestre 2012".

En dépit de la très grosse polémique en Suisse qui a vu le jour début 2012 à la suite des conditions d'acquisition de l'avion de combat suédois par Berne fin novembre, le ministère en charge de la Défense poursuit le processus d'achat de ces appareils sans vraiment s'en soucier. Notamment sans attendre les résultats d'une sous-commission du Conseil fédéral, qui doit faire la lumière sur les conditions d'achat du Gripen par la Suisse. Ainsi, "une équipe de spécialistes des forces aériennes et d'Armasuisse (le centre de compétences de la Confédération helvétique pour l'acquisition de systèmes et de matériels technologiquement complexes, ndlr) a effectué du 2 au 4 mai, à Linköping en Suède, une série de vols d'essai avec le Gripen F Demonstrator", a annoncé vendredi dans un communiqué le Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS), qui a été chargé par le Conseil fédéral "de prendre en main la préparation de l'acquisition du Gripen".

A cet égard, les quatres vols effectués en avion biplace ont servi "à vérifier les évaluations du Gripen E/F ainsi qu'à réduire les risques liés au développement de l'aéronef", a précisé le DDPS, qui assure que l'ensemble des vols d'essai a pu être "effectué comme prévu". Le programme, qui s'est déroulé sur trois jours, comprenait les éléments "entraînement en simulateur" de même que "vols d'essai". Durant la première journée, les deux pilotes ont rafraîchi leurs connaissances du Gripen dans le simulateur et se sont plus particulièrement familiarisés avec les nouvelles capacités du Gripen F Demonstrator, selon le DDPS. Les deux jours suivants ont permis d'effectuer les vols d'essai, qui ont été "exécutés sur la base de divers scénarios d'engagement, tels qu'on pourrait les imaginer en Suisse". Ils comptaient chacun deux avions avec le profil d'engagement de défense aérienne et de police aérienne avec l'emport de différents missiles (IRIS-T, Meteor et Amraam)M.. Les engagements ont eu lieu avec des configurations d'armes différentes et l'appui d'avions-cibles. "Tous les vols d'essai ont pu être effectués avec succès", a assuré le DDPS.

Un radar AESA en 2012 pour le Gripen

Le Gripen F Demonstrator, testé par les pilotes suisses en Suède, est un modèle intermédiaire entre le Gripen C/D et le Gripen E/F. Ce biplace dérivé du Gripen D a pris son premier envol le 27 mai 2008 et a, depuis, plus de 200 heures de vol à son actif, selon le DDPS. Ce démonstrateur sert de plateforme pour tester les systèmes partiels du Gripen E/F. Le Gripen F Demonstrator est motorisé par le réacteur de l'américain General Electric F414G. Par rapport au Gripen D, testé en 2008, le Gripen E/F dispose notamment d'un réacteur plus puissant, d'une capacité de stockage du kérosène plus importante, d'un nouveau radar à la pointe de la technologie (Active Electronically Scanned Array /AESA), d'un capteur infrarouge de détection et de poursuite de cible (passif, d'une nouvelle avionique, cockpit inclus, d'un nouveau système de guerre électronique, de deux postes d'arme supplémentaires et d'un nouveau train d'atterrissage. Pendant l'été 2012, Saab "montera le nouveau radar AESA et le soumettra à des tests", a indiqué le DDPS, qui vérifiera les performances du radar au "second semestre de cette année".

Pour autant, lors de ses deux évaluations en 2008, dont l'une sur le standard de l'avion livré en 2015 - ce qui était initialement programmé -, l'armée de l'air suisse avait estimé le Gripen "comme insatisfaisant" pour les missions de police aérienne. Et elle avait classé l'avion de combat suédois bon dernier, derrière le Rafale et l'Eurofighter. "Le Gripen a été le seul candidat à ne pas atteindre le seuil minimal (6 points, ndlr) des capacités attendues". Lors de la seconde phase d'évaluation - soit sur le standard de l'avion livré -, le Gripen dans sa version MS21, grâce à 48 projets de modernisation dans le domaine de la police aérienne, passe de 4,2 à 5,33 points. Encore insuffisant car il n'a toujours pas atteint le fameux seuil minimal des capacités attendues par l'armée de l'air suisse.

Les détails techniques de l'acquisition réglés fin du 2e trimestre

Selon le DDPS, il est prévu de régler "les détails techniques de l'acquisition coordonnée du Gripen par la Suède et la Suisse d'ici à la fin du deuxième trimestre 2012". Car Berne, pour optimiser son achat de 22 Gripen, entend le coordonner avec Stockholm qui pourrait acheter entre 60 et 80 Gripen de dernière génération. Le Parlement suédois devrait se prononcer en décembre pour cette acquisition. Du coup, la livraison des premiers appareils ne devrait intervenir qu'entre 2018 et 2020 au lieu de 2015.

Le Parlement suisse pourrait se prononcer en 2013. Enfin la décision finale, délai référendaire compris, devrait être prise entre la fin 2013 et le début 2014. Entretemps, une sous-commission du Conseil national aura fait la lumière sur la procédure du choix du Gripen. Elle devrait rendre son rapport dans la seconde quinzaine de mai.

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Tant que UEli est en place, il ne bougera pas, c'est sa crédibilité et sa carrière politique ainsi que la place de son parti qui sont en jeu. psychologie politique de base.

Bizarrement, il ne semble pas vouloir jouer la carte de la "nouvelle expertise ou l'information de dernière minute" pour changer de position, inflexibilité germanique typique. Quand c'est décidé , c'est décidé.

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http://www.letemps.ch/Page/Uuid/be1ba6de-9e01-11e1-9b7e-133af2371ffc/La_cr%C3%A9dibilit%C3%A9_dUeli_Maurer_est_en_jeu

Le conseiller fédéral UDC n’est toujours pas parvenu à colmater les fuites au sein de son propre département. Une accumulation de couacs mine sa crédibilité

Acquisition du Gripen, cyberdéfense, financement de l’armée: bien qu’il fasse bonne figure contre mauvaise fortune, à chacune de ses rencontres avec la presse le ministre de la Défense Ueli Maurer est désormais contraint à l’auto-justification. Malgré tous ses efforts pour afficher sa sérénité, sa stratégie de communication se résume à se défendre. Corrigé par le Conseil fédéral sur sa stratégie de cyberdéfense mais aussi le cadre financier de l’armée, contesté au sein de l’armée pour le choix du Gripen, ébranlé par le chaos informatique autour de la récupération des armes personnelles, Ueli Maurer doit craindre pour sa crédibilité.

Lundi, à la caserne de Jassbach, dans l’Emmental, là où se prépare la guerre électronique, le conseiller fédéral s’est pourtant montré très agacé par les fuites provenant de l’administration militaire et mettant en cause le choix du Gripen de Saab, à la place du Rafale de Dassault ou de l’Eurofighter de EADS. Selon ces informations, les essais réalisés au début du mois de mai en Suède avec le prototype E/F n’auraient pas été concluants. On n’aurait pas pu tester à fond la version choisie par la Suisse. Seules 7 des 98 améliorations exigées par Berne auraient été réalisées et l’appareil, avec son nouveau moteur, n’aurait atteint que Mach 1,23 au lieu de Mach 2.0.

Pour Ueli Maurer, toutefois, «tout se déroule comme prévu. Nous voulions tester les modifications les plus importantes, l’emport supplémentaire de fuel, le nouveau moteur; cela s’est déroulé normalement.» Ce que confirme Saab, selon qui les «98 améliorations sont à quelques exceptions près soit déjà complètement intégrées, soit tout au moins testées en vol et en rapide voie de développement vers la maturité». Pour Saab, si Mach 2.0 n’a pas été atteint lors de ses essais, c’est que ce n’était pas nécessaire à ce stade des tests. Qui vont encore se poursuivre en continu sur plusieurs années, selon Ueli Maurer.

Le problème pour ce dernier n’est pas les critiques des médias, mais ceux qui les nourrissent. Le ministre de la Défense l’admet: «Il y a encore au sein de l’armée un noyau qui veut un autre avion et qui continue à transmettre des informations pour modifier notre choix.» Et, devant les caméras, de se montrer sévère: «Qu’on sache bien que ce sera le Gripen ou pas d’avion du tout.» Près de six mois après l’option du Conseil fédéral pour le Gripen, Ueli Maurer n’est toujours pas parvenu à aligner les officiers des Forces aériennes et les ingénieurs d’armasuisse. Les militaires n’ont pas avalé le choix politique de leur patron: le meilleur avion possible au meilleur prix possible. Mais, admet un haut gradé, «il y a un vrai problème de loyauté envers le politique au sein de l’armée, attisé par les restrictions financières».

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Le problème de Mach 2 en Suisse se comprend avec une carte. Décollage de Payerne montée d'interception PC crantée et hop Mach 2... en Bavière dans la vallée du Pô ou en Bourgogne

Royal au bar ...

Maurer finalement n'est pas si con, 1.23 c'est déjà pas mal compte tenu des contraintes d'espace

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Le problème de Mach 2 en Suisse se comprend avec une carte. Décollage de Payerne montée d'interception PC crantée et hop Mach 2... en Bavière dans la vallée du Pô ou en Bourgogne

Royal au bar ...

Maurer finalement n'est pas si con, 1.23 c'est déjà pas mal compte tenu des contraintes d'espace

Ouais... t'as une mission d'urgence de police aérienne avec menace terroriste, prends un F18 qui va à Mach 1.8 ou un Gripen à Mach 1.2 ?

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En même temps on parle d'un prototype servant à intégrer les différents éléments du futur Gripen E/F, pas de l'appareil que les forces aériennes suisses ou suédoises vont recevoir dans 5-6 ans minimum.

Surtout qu'entre le moment de la sélection et le moment des essais, il s'est passé à peine 6 mois, donc c'est tout à fait normal que toutes les modifications demandées n'aient pas été intégrées (ou alors SAAB serait déjà numéro 1 mondial, vu ses capacités de développement et d'intégrations quasi-inhumaines...)

Mais bon, vu que les journaux du groupe Edipresse (entre autres) ne savent faire qu'une chose, du Maurer/armée-bashing, c'est normal qu'on est une à deux fois par mois (voir plus) un article défonçant les choix de Maurer, que ce soit sur les Gripen ou d'autres sujets...  :P

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Le problème pour ce dernier n’est pas les critiques des médias, mais ceux qui les nourrissent. Le ministre de la Défense l’admet: «Il y a encore au sein de l’armée un noyau qui veut un autre avion et qui continue à transmettre des informations pour modifier notre choix.» Et, devant les caméras, de se montrer sévère: «Qu’on sache bien que ce sera le Gripen ou pas d’avion du tout.» Près de six mois après l’option du Conseil fédéral pour le Gripen, Ueli Maurer n’est toujours pas parvenu à aligner les officiers des Forces aériennes et les ingénieurs d’armasuisse. Les militaires n’ont pas avalé le choix politique de leur patron: le meilleur avion possible au meilleur prix possible. Mais, admet un haut gradé, «il y a un vrai problème de loyauté envers le politique au sein de l’armée, attisé par les restrictions financières».

Donc il y a bien l'armée de l'air suisse qui fait tout pout torpiller le Gripounet.

C'est presque officiel ! :lol:

Ils veulent avoir les mêmes jouets que leur voisins : Du Raffy ou du Typhoon =)

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Surtout qu'entre le moment de la sélection et le moment des essais, il s'est passé à peine 6 mois, donc c'est tout à fait normal que toutes les modifications demandées n'aient pas été intégrées (ou alors SAAB serait déjà numéro 1 mondial, vu ses capacités de développement et d'intégrations quasi-inhumaines...)

Oui, tout à fait. Et pour compléter ton propos, rien ne sert de développer l'avion à l'excès - et notamment les points voulus exclusivement par le commanditaire suisse - si c'est pour ensuite entendre le "non" d'une votation populaire. Je me demande d'ailleurs comment ils ont pu traiter ce risque contractuellement.

Mais il semblerait que Maurer présente les modifications à apporter comme mineures (du "tuning") alors que nouvelle motorisation, modifications des ailes, allongement du nez, intégration d'un nouveau radar et donc d'une nouvelle masse, modifications des entrées d'air, etc... ça ne va pas être de la tarte ! Reste ensuite à intégrer les armes, car avec un tel changement de structure je ne vois pas comment ils pourraient faire autrement. Si les mots sont réellement de Maurer, et qu'il n'y a pas trop d’exagération médiatique sur ce point précis, alors le ton général de l'article me semble pertinent. Sur cet avion, il reste effectivement beaucoup à faire, ce qui n'est pas forcément un problème, mais la nuance peut se révéler importante dans le contexte d'une votation populaire.

Par contre, l'article est évidemment moins neutre lorsque sont dénoncées les capacités trop réduites de l'avion avec une motorisation installée depuis peu et autres points critiques qui font partie du développement normal d'un avion.

__________________

PS : En passant, je me demande bien comment les mass-médias français traiteraient le sujet si nous étions confrontés à un tel devoir d'informations, en vue d'une hypothétique votation populaire dans le pays et sur un sujet si technique. Ca serait du joli...

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Il me semble que les améliorations demandées sont par rapport à un gripen NG de base, pas par rapport à un Gripen C/D.

Car il faut savoir qu'en Suisse on aime bien les appareils Full options (par exemple pour les EC-635, ce qui avait d'ailleurs posé des problèmes de centrage des masses au sol).

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@

Ouais... t'as une mission d'urgence de police aérienne avec menace terroriste, prends un F18 qui va à Mach 1.8 ou un Gripen à Mach 1.2 ?

oui, mais l'important c'est plutôt de savoir en combien de temps sur un espace donné un avion est capable de se placer en position d'interception. En clair M 2 oui mais en combien de temps à quelle altitude et en combien de temps après le décollage sur alerte ?

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Il me semble que les améliorations demandées sont par rapport à un gripen NG de base, pas par rapport à un Gripen C/D.

Oui, c'est bien évidemment par rapport au Gripen NG. Mais toujours est-il que le Gripen NG est encore en développement : c'est loin d'être du "tuning". C'est sur ce point précis que Maurer est ambigu - d'après ce que j'ai pu lire en tout cas - et qu'il donne les armes pour se faire taper. D'ailleurs, avec son Gripen NG, Saab la joue "notre avion sera complètement nouveau et il ne faut donc pas se fier à la version Gripen C/D" mais "puisque c'est l'évolution d'un avion existant, il y a peu de risques de problèmes et retards liés au développement". Ils ont fait le même coup au Brésil.
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Parce que s'il y a un référendum, ça serait un argument dévastateur pour l'opposition: "si c'est pour acheter de la merde, autant ne pas l'acheter. "

Et accessoirement, je crois qu'il se ferait littéralement crucifier par la presse voir certains parlementaires...  :lol:

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je suis bien d'accord chris.

J'ai fait une boutade, certes, mais la façon de se raccrocher aux branches de Maurer n'est pas crédible et maintenant tout le monde sait que le choix a été financier et non opérationnel.

"halte au politiquement correct qui envahie le monde."

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Je ne suis pas sûr que les officiers français auraient pu parler avec autant de liberté. Au final, la commission de la politique de sécurité du National a porté plainte pour violation du secret de fonction. Au-delà même des critiques portant sur l'avion sélectionné, les officiers n'ont pas dû apprécier que Mauer se serve d'eux en laissant croire à une approbation du choix par les militaires - ayant répété à de multiples reprises que l’avion suédois "satisfait les exigences militaires helvétiques" - tout en ayant mis au placard les évaluations techniques réalisées par leurs soins. Ca pose d'ailleurs des questions sur le fonctionnement démocratique d'un pays - et on aurait néanmoins des leçons à recevoir - car si la trop grande liberté de parole des officiers peut s'avérer problématique, l'utilisation de leur silence, tout en laissant croire à un consentement technique et opérationnel de leur part, pour justifier des choix politiques n'est par forcément plus éthique et démocratique.
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Je retire tout ce qu j'ai pu dire sur la décision Suisse.

Aux vues des images ci-dessous, les suisses n'ont besoin que d'une paire de Hawkeye, de deux douzaines de Mirage 2000-5/9, de leurs montagnes et leurs pilotes.

;)

En tout cas, même s'ils volent sur Gripen et non sur Rafale, y'a pas grand monde qui ira les chercher en fond de vallée!

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Je ne suis pas sûr que les officiers français auraient pu parler avec autant de liberté. Au final, la commission de la politique de sécurité du National a porté plainte pour violation du secret de fonction. Au-delà même des critiques portant sur l'avion sélectionné, les officiers n'ont pas dû apprécier que Mauer se serve d'eux en laissant croire à une approbation du choix par les militaires - ayant répété à de multiples reprises que l’avion suédois "satisfait les exigences militaires helvétiques" - tout en ayant mis au placard les évaluations techniques réalisées par leurs soins. Ca pose d'ailleurs des questions sur le fonctionnement démocratique d'un pays - et on aurait néanmoins des leçons à recevoir - car si la trop grande liberté de parole des officiers peut s'avérer problématique, l'utilisation de leur silence, tout en laissant croire à un consentement technique et opérationnel de leur part, pour justifier des choix politiques n'est par forcément plus éthique et démocratique.

Juste pour info, je suis dans la forces aériennes (sergent), et tout les officiers supérieur sont contre le grippen surtout les pilotes.

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En même temps, les opérationnels voudront toujours ce qu'il y a de meilleur (et soyons réalistes, le Rafale sera de toute façon meilleur que le Gripen NG...), vu que de toute façon c'est pas eux qui financent...

C'est un peu comme si tu demandais aux soldats suisses s'ils veulent remplacer leurs Piranha II par des Armadillo (CV90 en version APC) ou des Boxer, à mon avis ils te répondront des Armadillo.

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