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Éjection d’un pilote lors d’un convoyage


jeanmi
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'paraît que les oies sauvages peuvent atteindre quasiment ces altitudes. Bon, cela dit, question oies sauvages les cieux algériens ça a l'air assez tranquille, quand même.[08]
Euh, les oies cendrées cette année n'ont toujours pas décollé vers l'Afrique du Nord, à cause du climat bizarre de ces derniers temps. Mais l'Algérie, c'est bien l'Afrique du Nord ? C'est là que vont les oies cendrées... [08]
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Il revenait d’une opération au Tchad

Un Mirage français se crashe à Oum El-Bouaghi

Source : Liberté

Après avoir subi un contrôle médical de circonstance, le pilote fut acheminé à bord d’une ambulance vers Constantine. Il sera transféré vers l’aéroport civil Mohamed Boudiaf dans l’attente d’un vol spécial qui devra le ramener en France.

La paisible dechra de Hamchir-Torkia II, cette localité rurale de la wilaya de Oum El-Bouaghi, est sortie hier de l’anonymat. À notre arrivée sur les lieux, aux environs de 17 heures, une foule nombreuse venue des localités proches et aussi des wilayas limitrophes étaient déjà sur place, qui pour avoir des nouvelles, qui pour voir de près les restes de l’appareil de l’armée de l’air française.

La foule est retenue à distance par un imposant périmètre de sécurité dressé par les gendarmes assistés par les gardes communaux. Des militaires faisaient aussi partie du dispositif.

Hamchir-Torkia II, distante de 78 km de Constantine, est située à 1 km du chef-lieu de la commune (mairie), Hamchir-Domghani est à 7 km du chef-lieu de daïra (sous-préfecture). Ses habitants étaient hier ébahis, aussi bien par les faits qui venaient de se dérouler que par l’importance que venait d’acquérir leur village l’espace d’un événement. Selon des témoins oculaires, tout a commencé aux environs de 12h quand un sourd bruit a déchiré le ciel au-dessus du paisible village de Hamchir-Torkia II.

Quelques instants après, les villageois stupéfiés ont assisté sans broncher au crash du monoplace de l’armée française. Un villageois, les yeux dans le vide, tenait à nous raconter la scène dont il fut témoin : “Un bruit de tonnerre m’a fait sortir. C’est comme si le ciel nous tombait dessus. Une minute… non trois minutes après, je suppose, j’ai vu un petit avion d’où se dégageait une fumée qui passait au-dessus de nous. Avant que l’appareil ne s’écrase, le pilote a sauté. Juste ici.” Cette version des faits est sur toutes les lèvres. En effet, le pilote, après avoir orienté la trajectoire de son appareil vers un terrain nu, s’est éjecté. L’aéronef est allé piquer son nez, fort heureusement, loin des habitations. L’unique pilote du mirage a pu atteindre à l’aide de son parachute et sans difficulté le sol.

La scène rendue apocalyptique à cause du vacarme produit et par l’appareil en détresse et par la fumée qui s’est dégagée a provoqué, l’espace d’un quart d’heure, la panique au sein des villageois.

Une fois les secours sur les lieux, ils ont pris en charge aussi bien le pilote qu’une dizaine d’habitants, notamment des femmes sous le choc.

Après avoir subi un contrôle médical de circonstance, le pilote fut acheminé à bord d’une ambulance vers Constantine. Il sera transféré vers l’aéroport civil Mohamed-Boudiaf dans l’attente d’un vol spécial qui devrait le ramener en France.

À 18h30, le pilote du chasseur de l’armée de l’air française était toujours au salon d’honneur de l’aéroport de la capitale de l’Est algérien, situé sur le plateau de Aïn El-Bey. Selon une source sûre, que nous avons pu approcher sur les lieux de l’accident, la région survolée par l’aéronef de l’armée de l’air française est un couloir aérien emprunté par les aéronefs allant du Sud vers le Nord.

C’est cette ligne balisée que suivait le mirage F1 avec trois autres appareils du même type et un avion ravitailleur avant de s’écraser.

Pour rappel, l'ANP dispose elle aussi, à quelques encablures des lieux de l’accident, d’un aéroport pour les chasseurs de l’armée de l’air.

Hier, au moment où nous mettons sous presse, les services de sécurité étaient toujours sur les lieux de l’accident où un périmètre de sécurité a été dressé autour des restes de l’appareil, éparpillés entre le nouveau tracé de la ligne du chemin de fer Aïn Mlila-Tébessa et un pâté de maisons.

ça change de l'article de l'autre connar qui se demandé comment des Mirage pouvaient violet notre espace aerien [26] Ce type ne sais meme pas qu'il ya des closes permettant ce genre de passage [38]
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Crash du mirage français

Des experts militaires français à Oum El-Bouaghi

Par : nacer b.

Lu : (644 fois)

Quelques heures après l’ouverture d’une enquête pour déterminer les circonstances du crash du Mirage F1 de son armée de l’air, le ministère français de la Défense a dépêché à Oum El-Bouaghi des officiers enquêteurs pour faire les constats d’usage et réunir les éléments matériels qui seront analysés dans le cadre des investigations menées par le commandement. Avant cela, l’attaché militaire de l’ambassade à Alger était jeudi sur les lieux de l’accident.

Ainsi, durant toute la matinée d’hier, soit de 9h à 13h, 4 experts de l’armée de l’air française ont supervisé l’opération visant la récupération des débris du Mirage F1. L’opération s’est déroulée en présence des autorités militaires et civiles algériennes. Les officiers français étaient accompagnés d’officiers de l’armée de l’air algérienne et de la Gendarmerie nationale.

Des engins lourds, appartenant aux collectivités et entreprises locales, ont été mobilisés à l’occasion. Des habitants du village ont participé au ramassage des restes de l’aéronef sous l’œil attentif des experts français qui avaient, auparavant, pris l’ensemble des données du terrain à même de les orienter lors de l’enquête ouverte par le département de Michèle Alliot-Marie. À 13h, les camions chargés des débris du chasseur bombardier ont été convoyés vers une plate-forme aéroportuaire tenue secrète par les services compétents pour être acheminés vers l’Hexagone. La veille, soit au lendemain du crash, l’attaché militaire de l’ambassade de France à Alger s’est déplacé sur les lieux du sinistre pour établir le constat de l’accident, s’enquérir de la situation et remercier les autorités civiles et militaires algériennes pour leur célérité dans la prise en charge du sinistre.

Le même jour (jeudi), la panique persistait dans le petit village de Henchir-Torkia II, situé à 1 km du chef-lieu de la commune Henchir-Tomghani.

La moitié des élèves de l’école primaire Mechta-Maâncer avait séché les cours. C’était hier, à 14h30, soit 1h30 après le départ du convoi militaire transportant les débris du chasseur français, que les services de sécurité algériens ont levé le périmètre de sécurité instauré autour du lieu du crash. Les derniers véhicules tout-terrains de la Gendarmerie nationale ont quitté les lieux que les jeunes du village ont immédiatement réinvestis pour s’adonner à une partie de foot, profitant d’un ciel clément après deux jours de temps maussade. Pour rappel, mercredi dernier, aux environs de 11h50, un chasseur de l’armée de l’air française, de type Mirage F1, s’est écrasé sur un terrain nu de la localité de Henchir-Torkia II dans la wilaya d’Oum El-Bouaghi, à 78 km de Constantine. Le chasseur, qui faisait route de n’Djaména (Tchad) vers une base aérienne de l’Hexagone avec 2 autres Mirage F1 et un Boeing ravitailleur avant de se crasher, fait partie de l’escadron des chasseurs composant le dispositif “Épervier” opérationnel au Tchad depuis 1986, selon le ministère français de la Défense.

Le pilote du monoplace a réussi à s’éjecter, sain et sauf, avant que l’aéronef ne pique son nez sur un terrain plein. Ce dernier a regagné le jour même, en fin de soirée, la France à bord d’un vol spécial depuis l’aéroport Mohamed-Boudiaf de Constantine.

N. B

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CRASH DU MIRAGE F1 À OUM EL-BOUAGHI

L’enquête sur plusieurs fronts

09 décembre 2006 - Page : 2

Le crash de l’avion français dans une zone d’implantation de groupes armés, avait ouvert les portes à toutes les spéculations.

Le pilote d’un Mirage français de type F1 a dû s’éjecter de son appareil, «pour une raison encore indéterminée», mercredi, lors d’une mission effectuée, depuis le Tchad. Le pilote a été «récupéré sain et sauf», a indiqué le communiqué du ministère français de la Défense, précisant que l’avion «s’est écrasé sur une zone non habitée au sud-est de l’Algérie, sans causer de dommages aux tiers». Selon un communiqué du ministère de la Défense «cet appareil qui effectuait une mission programmée, depuis N’Djamena (Tchad) vers la métropole, était intégré à un dispositif aérien comprenant un Boeing ravitailleur C135 et trois Mirage F1», puis le communiqué conclut qu’«une enquête sera diligentée afin de déterminer les circonstances de l’accident».

La présence militaire dans la bande ouest du Sahel, notamment au Tchad, a été renforcée, apportant un soutien discret au président Idris Déby, en proie à de profondes dissensions internes, avec au moins deux groupes armés, très actifs dans le Ténéré et à la lisière des frontières avec le Tchad. La France a renforcé, fin novembre 2006, son plan dit «dispositif Epervier», déployé depuis 1986 au Tchad et qui compte, désormais, environ 1200 hommes, des hélicoptères, des blindés ainsi que des chasseurs Mirage F1, des appareils de transport, de reconnaissance et des ravitailleurs. Il y a quelques semaines, le 24 octobre plus exactement, le tir d’un missile sol-air contre un avion de reconnaissance français, Breguet Atlantique dans l’est du Tchad, avait ravivé les craintes de Paris sur le niveau d’armement de la rébellion et sa détermination à prendre le pouvoir au Tchad. Les Mirage F1, basés au Tchad, sont également intervenus, le week-end dernier, contre les rebelles de l’Ufdr, un mouvement armé hostile au régime centrafricain soutenu par Paris, dans des combats qui se déroulent dans le nord-est de la Centrafrique, non loin du Tchad et du Soudan. Vendredi, un militaire français y avait été sérieusement blessé aux jambes.

Un Mirage F1 CT, de l’armée de l’air française, s’est écrasé en milieu de journée, vendredi, dans la région désertique d’Abéché, au nord du Tchad. Le pilote s’est éjecté et a été rapidement récupéré par les équipes de secours.

L’accident a été provoqué par un oiseau que l’avion a percuté à grande vitesse: une «collision volatile» dans le jargon aéronautique. La France maintient en permanence un dispositif aérien au Tchad dans le cadre de l’opération Epervier. Cet accident est le troisième de l’année pour l’aviation militaire française.

En mars, un Mirage 2000 D avait déjà percuté un volatile au large de la Corse, contraignant le pilote à l’éjection. En mai, un Mirage 2000-5 a été victime d’une panne alors qu’il s’apprêtait à se poser sur la base de Dijon-Longvic et s’était écrasé sur un hangar, sans faire de victime.

Le crash de l’avion français, dans une zone d’implantation de groupes armés, avait ouvert les portes à toutes les spéculations. La région d’Oum el Bouaghi reste, à ce jour, infestée de groupes armés locaux, affiliés au Gspc, mais qui, heureusement, ne disposent pas de moyens qui pourraient mettre en péril ce genre d’avions de guerre. Cependant, il est vrai aussi qu’à la faveur des nouvelles mutations du Gspc, ces hypothèses sont à prendre en ligne de compte pour au moins deux raisons. La première est que le Gspc, largement présent dans la bande du Sahel, semble avoir contracté des «alliances utiles» avec des groupes armés locaux, notamment nigériens,

maliens et tchadiens. La parenthèse du «coup de froid» avec le Mdjt tchadien, qui avait livré à l’Algérie via la Libye, le chef du Gspc, Ammari Saïfi, alias El-Para, après avoir été fait prisonnier par les rebelles dans le désert du Ténéré, a été vite fermée, le groupe opposé à Déby n’ayant rien récolté de cette transaction politico- sécuritaire dont le but avait été de faire passer le Mdjt pour une organisation d’opposition non liée au terrorisme. Aussi, le Tchad demeure le plus grand marché clandestin de l’armement et tous les groupes de la région saharo-sahélienne s’y alimentent.

La seconde raison est que, depuis qu’il a prêté allégeance à Al Qaîda, le Gspc tente de se donner une plus grande dimension et une envergure transnationale, afin de justifier sa connexion avec l’organisation de Ben Laden, de frapper ensuite, même symboliquement, la France, que Zawahiri avait mise en garde du péril venant d’Algérie.

Le Gspc doit devenir «l’os dans la gorge des croisés américains et français». Cette formule belliqueuse, lancée par le n°2 de l’organisation Al Qaîda, Aymane al-Zawahiri, constitue, aujourd’hui, la principale source d’inquiétude des services français, qui craignent des attaques-surprises de la part des salafistes algériens

article du journal l'expression,

il semblerait que la région du crash soit infestée de terroristes

le pilote français a été finalement plus chanceux que ce qu'on croyait!

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???
Mirage F1 CT 254, tombé dans la région d'Abéché le vendredi 1er septembre 2006 suite à une collision volatile. C'était le quatrième crash de l'année pour l'AdA, puisque faisant suite à la perte du M2000-5F 72 le 27/02/2006 (abordage), du M2000D 684 le 31/03/2006 (collision volatile), et du M2000-5F 69 le 29/05/2006 (problème technique).

Avec tout ça, les statistiques de la sécurité des vol vont en prendre un coup...

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Avant de dire des conneries, prend une carte et regarde où est située Constantine. Ensuite, tu nous explique comment un avion soit-disant abattu au Tchad peut faire plus de 1500 km avant de tomber, et surtout pourquoi il a fait ces 1500 km avant d'essayer de se poser.
Ben c'est sur que si on croit au communiqué de l'armée c'est pas possible... Mais comme je les fait sous entendre, un avion qui part au combat et qui tombe sois disant a cause d'un "volatile " je suis desolé, mais c'est comem lescables electriques qui ont fait tomber les Apaches au Kosovo.
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un avion qui part au combat et qui tombe sois disant a cause d'un "volatile " je suis desolé, mais c'est comem lescables electriques qui ont fait tomber les Apaches au Kosovo.

Qui rentre à la maison. Convoyage. C'est pas comme s'il venait de survoler un objectif et qu'il rentrait à la base.
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Je me demande même si on en est pas carrément à la contestation du communiqué de presse.
Rien à voir avec la contestation, je ne crois pas aveuglement ce qui se dit à la télé, j'émets juste des doutes. Il n'y a pas longtemps vous aviez vous meme posté quelque part une info comme quoi un avion FR a été verouillé en Afrique par un missile sol-air et que finalement le missile n'a rien touché. Je me trompe ? C'est aussi une coincidence ?
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Il n'y a pas longtemps vous aviez vous meme posté quelque part une info comme quoi un avion FR a été verouillé en Afrique par un missile sol-air et que finalement le missile n'a rien touché. Je me trompe ? C'est aussi une coincidence ?

Non mais attends... Tu sous-entends alors que c'est en Algérie que l'on a tiré sur le F1 ? ? ? [09] Parce que sinon, je n'arrive plus à te suivre.
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Non mais attends... Tu sous-entends alors que c'est en Algérie que l'on a tiré sur le F1 ? ? ? [09] Parce que sinon, je n'arrive plus à te suivre.
Je veux dire tout simplement que peut etre l'avion a été abattu au Tchad mais le communiqué dit accident en Algerie, pour que ca ne fasse pas tache. C'est vrai quoi, au bout d'une semaine deja un avion en moins, vive le coup de main au Tchad.

Tu vois mieux ce que je voulais dire ?

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Tu vois mieux ce que je voulais dire ?

Je vois. Mais je ne crois vraiment pas que les communiqués soient si mensongers.

Je ne vois pas pourquoi il cacherait qu'un antique Mirage F1 qu'il est temps de mettre à la casse se fait abattre au Tchad.

Par contre, dire qu'il est tombé en Algérie, sans savoir dire pourquoi, et que le pilote a été réccupéré sans aucun soucis, en donnant précisément le nom de Constantine et même celui de Oum Bouaghi, ça me parait résonnable. Mais si tu veux, dès que j'ai un peu de temps, on va sur place ! [30]

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Je vois. Mais je ne crois vraiment pas que les communiqués soient si mensongers.

Je ne vois pas pourquoi il cacherait qu'un antique Mirage F1 qu'il est temps de mettre à la casse se fait abattre au Tchad.

Par contre, dire qu'il est tombé en Algérie, sans savoir dire pourquoi, et que le pilote a été réccupéré sans aucun soucis, en donnant précisément le nom de Constantine et même celui de Oum Bouaghi, ça me parait résonnable. Mais si tu veux, dès que j'ai un peu de temps, on va sur place ! [30]

pour la véracité des infos, la presse algérienne est tres locace à ce sujet, il ya méme des photos qui circulent de l'appareil qui se serait brisé en trois morceaux!

des témoins sur les lieux racontent méme que le pilote a attendu la derniére minute avant de s'éjecter![27]ce qui a probablement évité un drame! et qu'il a fini accroché a un arbre[08]

pour les détails il parait que le parachute était de couleur rouge et que les secours sont arrivés 15 min aprés le crash, pour éteindre l'incendie et récupérer le pilote qui a été conduit à l'hopital militaire de constantine pour des soins.

autres infos; il semblerait que le piote se dirigeait plus tot vers une toute nouvelle base aerienne (la plus grande et plus moderne du pays) située justement à oum el bouaghi!

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