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La politique étrangère et de défense selon Sarkozy


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Mariton (UMP) a proposé l'emprunt obligatoire :lol: j'en parlais quelques message avant ... bien sur balayé d'un revers de la main par NS.

A savoir que si emprunt "spécial" il y a ... l'essentiel des fond proviendra d'investisseur institutionnel type banque et assurance, la part particuliere représentera une portion congrue, l'épargne des particuliers étant placé en emprunt d'état via les placement banquaire type FCP, Sicav, fond diverse, et autre produit structuré intégré ou non a de l'assurance vie et autre enveloppe fiscale avantageuse. Quoiqu'il en soit rien avant 2010 ... donc on est surtout dans l'annonce d'une politique de dépense et en contrepartie de rigueur qui ne dit pas son nom. La question c'est quel vont etre les hausse d'imposition afférante et comment vont elle etre camouflée :lol: - rien que pour payer les interet de l'emprunt -

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  • 2 weeks later...

Tibéhirine : Sarkozy va lever le secret défense

Le président de la République veut toute la vérité sur le massacre des moines trappistes de Tibéhirine. L'armée algérienne pourrait être également impliquée dans le meurtre de l'évêque d'Oran, Mgr Claverie, en 1996.

En marge de son témoignage sur la mort des sept moines français de Tibéhirine, le général François Buchwalter a livré au juge parisien Marc Trévidic sa version de l'attentat contre Mgr Claverie. À en croire l'ancien attaché militaire de l'ambassade de France à Alger en poste de 1995 à 1998, les autorités algériennes pourraient avoir une part de responsabilité dans le meurtre mystérieux de l'évêque d'Oran, tué dans l'explosion d'une bombe le 1er août 1996. Le prélat fut assassiné deux mois après la découverte au bord d'une route près de Médéa des têtes décapitées des religieux.

Dans son audition, le général Buchwalter fait état d'un témoignage indirect d'un gradé de l'armée algérienne affirmant que les moines enlevés par le Groupe islamique armé (GIA) avaient été victimes d'une bavure militaire puis d'une macabre mise en scène. L'armée aurait bombardé un bivouac de djihadistes tuant dans l'opération les cisterciens.

Selon nos informations, les autorités françaises avaient, quelques jours avant le drame, volontairement coupé le contact téléphonique établi avec les preneurs d'otages. L'option de la négociation était abandonnée. L'opacité maintenue durant ces dernières années autour de la «bavure» aurait été favorisée par un sentiment de culpabilité général.

Apurer les contentieux

François Buchwalter s'interroge aussi sur une relation de cause à effet entre le massacre et l'assassinat de l'évêque. Mgr Claverie «pensait à l'implication du pouvoir algérien» dans la fin tragique des pères trappistes. «Je crois qu'il l'avait même écrit», précise-t-il.

Il ajoute : «Je pense qu'il y a un lien entre l'insistance d'Hervé de Charette à aller à Tibéhirine et cet assassinat. J'ai été témoin de la fureur du ministre algérien des Affaires étrangères quand Hervé de Charette a modifié le planning prévu pour aller à Tibéhirine. Les Algériens ont bataillé pendant des heures pour s'opposer à ce déplacement.»

En clair, le déplacement en Algérie du ministre français des Affaires étrangères de l'époque prévu pour tenter de rétablir la confiance entre Paris et Alger après le massacre des moines aurait mal tourné. En allant au dernier moment à Tibéhirine, Hervé de Charette montrait aux yeux d'Alger qu'«il ne passait pas l'éponge».

François Buchwalter, qui s'est entretenu avec l'évêque trois heures avant son assassinat, conclut : «Les autorités n'appréciaient pas sa liberté de ton, tant à l'égard des islamistes que du pouvoir algérien… Vous savez comment, il est mort : il a changé son billet au dernier moment. Très peu de gens étaient au courant.»

Venu saluer Hervé de Charette à Alger, Mgr Claverie était en effet rentré de manière inopinée à Oran ; un déplacement effectué dans un pays en guerre civile où les voyages des personnalités étaient surveillés. La technicité des auteurs de l'attentat qui avaient employé une bombe télécommandée avait également surpris.

Intervenant treize ans après les faits alors que l'instruction piétinait, la relance du dossier par le parquet antiterroriste de Paris n'a pas été commentée à Alger. Pour l'instant du moins. Elle pourrait s'expliquer par une volonté d'apurer les contentieux entre les deux pays. Au cours des dernières semaines, des affaires judiciaires délicates ont été traitées. Cheb Mami, star du raï et proche du président Bouteflika, a été condamné par le tribunal de Bobigny à cinq ans de prison ferme pour violences contre son ex-compagne après sa mise à disposition de la justice française. Une fillette franco-algérienne retenue en Algérie a été rendue à son père français, Jacques Scharbook.

De son côté, Nicolas Sarkozy a souhaité que la justice «aille jusqu'au bout de son travail». Il a indiqué mardi qu'il lèverait le secret défense. "Je veux la vérité. Les relations entre les grands pays, elles s'établissent sur la vérité et non pas sur le mensonge", a déclaré le président français lors d'une conférence de presse avec son homologue brésilien Inacio Lula da Silva à Paris. "J'indique de la façon la plus claire que, naturellement, je lèverai le secret défense sur tout document que nous demandera la justice. Il n'y a pas d'autre façons de faire la vérité, aucune autre façon. La justice doit avoir tous les documents"

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/07/07/01016-20090707ARTFIG00008-apres-tibehirine-l-armee-algerienne-a-nouveau-soupconnee-.php

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Après avoir émis de sérieux doutes dans l’affaire de l’assassinat des moines de Tibhirine

Nicolas Sarkozy fait marche arrière

Par :Hafida Ameyar

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Le président français est revenu à de meilleurs sentiments en affirmant s’en tenir au communiqué numéro 44 du GIA qui a revendiqué le meurtre des 7 moines de Tibhirine en 1996.

Le président français s’est de nouveau exprimé sur l’affaire de l’assassinat des 7 moines de Tibhirine, depuis L'Aquila (Italie), en marge du sommet du G8 (groupe des 8 pays les plus industrialisés), en opérant, cette fois, une marche arrière. Nicolas Sarkozy a, en effet, déclaré qu’“il n'y aurait pas de secret-défense” concernant l'assassinat des religieux de Tibhirine (Algérie) en 1996. “Pourquoi voulez-vous qu'avec le président algérien nos relations s'en trouvent bouleversées ? La justice est saisie ; que la justice dise la vérité. Moi, je m'en tiens quand même au communiqué numéro 44 du GIA (Groupe islamique armé, ndlr) en 1996 revendiquant l'assassinat des moines. Je n'ai accusé personne, je veux que la vérité soit faite”, a-t-il alors précisé.

La polémique autour de l’assassinat des moines de Tibhirine est née à la suite de la récente déposition du général français à la retraite, François Buchwalter, ancien attaché de la Défense à l’ambassade de France à Alger. L’ancien général attribuait le massacre des religieux à une “bavure” de l’Armée algérienne (ANP). Et alors que l’Algérie célébrait sa fête d’indépendance et procédait à l’ouverture du second Festival panafricain (Panaf’ 2009), de hauts responsables français au pouvoir, dont le président Nicolas Sarkozy et la ministre française de la Justice, Michèle Alliot-Marie, et d’anciens dirigeants, dont l’ancien Premier ministre Alain Juppé et l’ancien ministre des Affaires étrangères Hervé de Charrette, sont revenus à la charge. Le 6 juillet, le président Sarkozy a estimé qu’il faut laisser la justice “faire son travail”, avant de changer d’avis. Le lendemain, dans un point de presse, il a plaidé pour “la vérité”, en soutenant : “Les relations entre les grands pays (…) s’établissent sur la vérité et non pas sur le mensonge.” Le président français ne s’est pas arrêté là, allant jusqu’à révéler qu’“on ne peut dire que l’amitié entre les peuples et entre les pays peut résister aux mensonges”. Ses déclarations ont vite été suivies par celles de Mme Alliot-Marie, qui a alors annoncé des “investigations supplémentaires”, en signalant que le témoignage de l’ex-attaché militaire “apporte un élément nouveau”.

Jeudi, réagissant aux propos de François Buchwalter, Abdelhak Layada, un ex-chef du GIA, en prison au moment de l'affaire, puis libéré en 2006 dans le cadre de la Charte pour la réconciliation nationale, a confirmé au quotidien El Khabar que son mouvement était bien à l'origine des exécutions des religieux en 1996. “Les assassinats ont été commis par Djamel Zitouni (chef du GIA à l'époque des faits, ndlr), à la suite des tergiversations du renseignement français”, a-t-il expliqué. Layada a également confié que les négociations menées entre le GIA et les Français concernaient sa propre libération contre la libération des moines.

“Les Français ont tardé à répondre s'ils acceptaient de négocier ou non avec le GIA. C'était la cause de l'échec”, a-t-il précisé. Selon lui, les “services secrets français ont doublé les autorités algériennes et traité directement avec les ravisseurs”. L’ex-chef islamiste a aussi dénoncé une “deuxième trahison”, en référence au “non-respect par les Français de l'accord conclu avec le GIA pour la libération des moines”.

Notons que l’annonce faite le 9 juillet, par le président Sarkozy, sur la levée du secret-défense pour l’affaire des moines de Tibhirine a été suivie par celle concernant l’attentat de Karachi. D'abord attribué aux islamistes d’Al-Qaïda, cet attentat, qui a coûté la vie à 14 personnes, dont 11 ingénieurs français travaillant à la Direction des constructions navales (DCN) de Cherbourg, pourrait être lié à une affaire de pots de-vin. C’est, du moins, la piste qui a été privilégiée par les juges d'instruction chargés de ce dossier. Une piste qualifiée de “fiable” en juin dernier par Nicolas Sarkozy.

Hafida Ameyar

http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=118029&titre=Nicolas%20Sarkozy%20fait%20marche%20arri%E8re

Le général Buchwalter contredit par deux anciens de la DST

Par : Ameur Ouali

Lu : (3143 fois)

Raymond Nart est un ancien responsable de la DST, le service du contre-espionnage français. Lorsque l'affaire des moines avait surgi en 1996, il était en poste en qualité d'adjoint au directeur du service. À ce titre, il était l’un des interlocuteurs du général Smaïn Lamari pour la gestion de ce dossier. C'est à ce même titre qu'il a été interrogé, hier, par le magazine français Marianne sur les révélations du général Buchwalter dont il apparaît que la déposition devant le juge d'instruction a été diffusée par Patrick Baudoin, l'avocat des parties civiles. “Si l'armée algérienne avait joué un rôle dans l'assassinat des moines, jamais on n'aurait retrouvé les têtes.” Deuxième contre-argument, technique celui-là. “Comment expliquer qu'un tir à l'aveugle sur un bivouac n'ait touché que les corps des moines et pas les têtes ?” se demande-t-il. Le même argument est brandi par Yves Bonnet, patron de la DST, sous la présidence de François Mitterrand entre 1982 et 1985. Dans une zone montagneuse coupée de profondes vallées, un tir à partir d'un hélicoptère toucherait la tête s'il venait à atteindre sa cible. Pour lui, les dernières révélations ne sont que pures “affabulations” qui plus est d'un officier supérieur qui connaît les lieux de la tragédie. Quand celle-ci s'était jouée, c'est Claude Guéant, le numéro 2 de l'Élysée, qui était directeur général de la Police nationale. C'est un autre connaisseur du dossier qu'il faut ajouter à Bernard Bajolet, coordinateur d'une cellule de sécurité. Ancien ambassadeur à Alger et à Bagdad,

M. Bajolet a une bonne connaissance du “savoir-faire” terroriste. C'est pourquoi le président Sarkozy a précisé qu'il s'en tenait au communiqué du GIA revendiquant la mort des moines.

Ameur Ouali

http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=118031&titre=

L'affaire trouve son épilogue  ^-^

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  • 2 weeks later...
  • 2 months later...

Jean Sarkozy patron de la Défense

Selon Lepoint.fr, Jean Sarkozy serait le prochain président de l'EPAD (Établissement public d'aménagement de La Défense), qui gère l'aménagement du plus gros quartier d'affaires européen. Il devrait obtenir ce matin le soutien de la majorité au conseil général des Hauts-de-Seine.

Il succédera à Patrick Devedjian atteint par la limite d'âge (65 ans). Celui-ci comptait sur un décret ministériel pour voir son mandat prorogé, explique Le Parisien. Mais il n'en sera rien. "Tout cela ne doit évidemment rien au hasard" confie au journal un élu des Hauts-de-Seine.

Une nouvelle fonction qui pourrait bien lui servir de tremplin pour de nouvelles ambitions. "Cela permet à Jean de prendre pied dans un vrai territoire d'Ile-de-France, et éventuellement d'ensisager d'aller aux régionales de mars", décrypte un élu pour le Parisien.

Jean Sarkozy devrait être élu lors du prochain conseil d'administration de l'EPAD le 4 décembre.  Mais pour cela, il doit être élu auparavant au conseil d'administration, condition indispensable pour en briguer la présidence. La démission d'un administrateur devrait régler le problème.

Carla Bruni, bientôt la future ministre des Affaires Etrangères ?!  ^-^

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http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/10/08/service-minimum-a-l-elysee-pour-le-president-turc_1250841_3214.html#xtor=AL-32280184

Service minimum à l'Elysée pour le président turc

Le président turc Abdullah Gül voulait une inauguration en grande pompe pour la Saison de la Turquie en France. Elle aura lieu en petit comité au Grand Palais, Nicolas Sarkozy ne voulant pas s'afficher ostensiblement avec le président d'un pays dont il s'oppose à l'adhésion à l'Union européenne (UE).

La visite de l'exposition "De Byzance à Istanbul, un port pour deux continents" au Grand Palais sera expédiée, vendredi 9 octobre à midi, en une demi-heure, avec trois arrêts dans l'exposition. Celle-ci aurait dû être présentée par sa commissaire, la Turque Nazan Ölcer. Mais M. Sarkozy veut entendre parler français. Un compromis devrait permettre d'avoir une présentation conjointe avec l'historien français Pierre Chuvin.

La visibilité politique de la Saison, décidée en 2006 par Jacques Chirac, partisan de l'adhésion turque, et confiée à l'un de ses proches, Stanislas Pierret, est réduite a minima. Elle commence très tard, alors qu'il avait été envisagé de lui donner de l'ampleur en la faisant fusionner avec le vernissage d'expositions à Lille, en mars. M. Sarkozy ne voulait pas d'interférences avec les élections européennes de juin.

Mercredi soir 7 octobre, aucun ministre ne s'était déplacé au dîner offert à Paris par l'Ifri (Institut français des relations internationales) en l'honneur de M. Gül, qui rencontrait jeudi le premier ministre, François Fillon, et le président du Sénat, Gérard Larcher, ainsi que des responsables de l'économie. Il n'y aura pas non plus de point presse à l'issue du déjeuner de travail de vendredi à l'Elysée entre les présidents des deux pays.

Les deux hommes ont décidé de ne pas parler des affaires qui fâchent. On s'entretiendra de tout, sauf de l'essentiel, l'adhésion européenne. On parlera donc géopolitique, M. Gül voulant montrer que son pays a la même stratégie que l'Europe et la France au Proche-Orient et dans le Caucase. Il a noué des liens historiques avec Israël et l'avènement d'un gouvernement islamiste modéré, en 2002, a facilité le dialogue avec les pays arabo-musulmans.

La Turquie dispose d'une relation privilégiée avec la Syrie et sert de médiateur avec le Hamas palestinien. Ankara va reprendre la direction des forces armées de l'Isaf en Afghanistan le 1ernovembre, dans la foulée de la France. Elle dialogue avec l'Iran.

Bref, selon M. Gül, son pays dispose comme l'Europe d'un "soft power" consistant à œuvrer pour la paix et la stabilité dans la région et à diffuser les valeurs de démocratie, de laïcité et d'économie de marché.

Même sur le brûlant sujet arménien, les choses bougent et la puissante diaspora de France n'avait pas prévu de manifester contre M. Gül. Ce dernier a assisté, cet été à Erevan, à un match de football entre l'Arménie et la Turquie. Samedi, les deux pays comptent signer en Suisse un protocole pour normaliser leurs relations. Le sujet reste délicat : l'exposition au Grand Palais ne met pas autant en valeur les apports arméniens et juifs que l'aurait souhaité la partie française.

PERCÉE SUR L'ARMÉNIE

Globalement, la Turquie a proposé la création d'un forum de stabilité pour résoudre les conflits gelés au Caucase. Cela après avoir fait preuve de prudence pendant le conflit russo-géorgien d'août2008, où M.Sarkozy a joué les médiateurs. Elle n'avait pas permis aux navires de guerre américains de franchir le Bosphore pour croiser en mer Noire.

Enfin, avec l'UE, M. Gül espère ouvrir rapidement de nouveaux chapitres de négociations. La présidence suédoise pense à l'environnement. Ce processus risque de se tarir : cinq chapitres sur trente-cinq sont bloqués par Paris, car ils préjugent d'une adhésion complète (institutions, euro, etc.). Huit autres le sont parce qu'Ankara a refusé d'étendre son union douanière à Chypre lorsqu'elle est entrée dans l'UE en 2004, estimant que ce serait reconnaître ce pays.

La Commission doit remettre un rapport sur le sujet avant décembre. Peu importe l'évolution formelle des négociations, M.Gül estime que les Turcs doivent se hisser d'eux-mêmes au niveau européen, car c'est leur intérêt.

Même stratégie géopolitique, mêmes valeurs, avec une économie dynamique forte de 80 illions d'habitants : M. Gül espère que M.Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel finiront par ouvrir les yeux et changeront d'avis sur son pays.

En avril, Paris avait été choqué par l'opposition turque à la nomination du premier ministre danois Anders Fogh Rasmussen au secrétariat général de l'OTAN. Le premier ministre Recep Tayyip Erdogan lui reprochait d'abriter des télévisions kurdes et d'avoir laissé publier des caricatures du Prophète.

Arnaud Leparmentier

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Je ne savais pas que tendre la main à des dictatures (Iran et Corée du Nord)  :-X : on recevait le prix Nobel de la paix.  :O

Cher Président Sarkozy,

Ce n'était pas avec les guérillos des Farcs qu'il fallait tendre la main ou Kadhafi mais avec toutes les dictatures du monde !

Enfin, vous pouvez vous rattraper l'année prochaine. Il reste encore le Président Loukachenko, aller en Corée du Nord, en Iran, en Honduras, ... ce que Obama n'a pas encore fait  ^-^

P.S. : c'est presque toute la clique des démocrates en une décennie : Bill Clinton (le gigolo), Al Gore (le grand alarmiste écolo), Barack Obama (l'utopiste, le naïf, ...).

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pour moi le naif et l'utopiste c'est justement Sarkozy.

une France voulant jouer dans la cour des grands alors qu'il suffit de voir sur google earth son réelle potentielle.et je parle même pas de ses finances désastreuses.

les matériels militaires sont achetés avec de l'argent qu'on a même pas ! sur le crédit de soit disant générations futures.

une vision stratégique comme celle de la France reste un modèle de naiveté justement.

les Russes depuis quelques temps ont limité leur sphère extérieure à la guerre économique beaucoup plus interessante pour eux. la France croit encore qu'elle peut alors qu'il faudrait expliquer au président d'arrêter de prendre ses rêves pour des réalités.

sur le prix d'Obama , je penche pour un prix non mérité puisque justement les états unis garde un recours aux conflits. plutôt qu'un rôle accru à l'ONU de toutes les nations et non pas un club de fumeurs de cigares

@++

bye

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  • 2 weeks later...

Les contrats d'affaires commencent au Kazakhstan

NOUVELOBS.COM | 06.10.2009 | 15:49

La vente d'un oléoduc et de deux satellites d'observation a été conclue pour plusieurs millions d'euros. Total, GDF Suez, Alstom, Thalès ou encore Areva doivent également finaliser des contrats avec le pays.

A l'occasion de la visite mardi 6 octobre du président français Nicolas Sarkozy à Astana, le groupe européen EADS Astrium a signé un contrat avec le Kazakhstan pour la fourniture de deux satellites d'observation de la terre d'un montant évalué à 220 millions d'euros.

Les deux partenaires ont également paraphé un accord prévoyant la construction, dans la banlieue de la capitale kazakhe, d'un centre d'assemblage, d'intégration et de test de satellites, a précisé la présidence française.

Le premier satellite livré par EADS Astrium, d'une résolution de 7 m, sera lancé depuis le cosmodrome russe de Baïkonour, situé au Kazakhstan, le second, de résolution métrique sera lancé du centre spatial européen de Kourou, en Guyane française, a également indiqué l'Elysée.

Importantes retombées en France

Un consortium d'entreprises françaises dirigé par Spie-Capag (groupe Vinci) a lui aussi signé mardi un protocole d'accord pour la construction d'un oléoduc reliant le champ pétrolier géant offshore de Kashagan à Bakou.

Le texte, signé en présence des présidents kazakh Noursoultan Nazarbaïev et français Nicolas Sarkozy, prévoit des "négociations exclusives" pendant un an avec le consortium français (Spie, Manesmann-France, Europipe, GTS, Arcelor-Mittal), a-t-on appris auprès de la présidence française.

Le montant total de ce contrat est estimé à environ 2 milliards d'euros, dont 1,2 milliard reviendrait aux entreprises françaises si les négociations aboutissent, a-t-on précisé de même source.

D'importantes retombées sont attendues pour les entreprises françaises dans la région de Dunkerque (nord), estimées par l'Elysée à "1.000 emplois durables avec des pics de 3.000 à 4.000 sur une courte période".

Selon ces estimations, ce contrat devrait assurer quelque 3.000 emplois "pendant quelques mois" à Arcelor-Mittal, qui produit l'acier destiné à l'oléoduc, et plus de 600 à GTS Industrie (plaques, tôles) pendant six mois.

"Cet oléoduc va créer beaucoup d'emplois ici et en France", s'est lui-même réjoui Nicolas Sarkozy lors de la conférence de presse, et "assurera la sécurisation de notre approvisionnement énergétique".

Une fois à Bakou, capitale de l'Azerbaïdjan, le pétrole acheminé par le futur oléoduc rejoindra l'actuel oléoduc BTC, qui relie Bakou au port turc de Ceyhan, via la capitale géorgienne Tbilissi, sans passer par le territoire russe.

Coopération spatiale

La France et le Kazakhstan ont par ailleurs signé mardi, à l'occasion de la visite d'Etat de Nicolas Sarkozy, un accord intergouvernemental dans le domaine de la coopération spatiale en vue du développement des applications spatiales telles que la télémédecine, l'enseignement à distance, la protection de l'environnement et la météorologie.

D'autres contrats devraient se nouer, le chef d'Etat français s'étant déplacé accompagné d'une délégation d'une trentaine de chefs d'entreprises pour ce premier déplacement dans le pays depuis la visite e François Mitterrand en 1993.

"Le Kazakhstan est pour nous un partenaire majeur dans une région, l'Asie centrale, absolument stratégique pour le monde, un géant avec qui nous voulons développer nos relations dans tous les domaines", avait déclaré le chef de l'Etat français dans un entretien paru mardi dans le quotidien Kazakhstanskaïa Pravda.

Télécommunication, tramway, nucléaire

Dans le domaine stratégique des ressources énergétiques, dont le sous-sol du Kazakhstan regorge, Total et GDF Suez devraient formaliser leur participation à l'exploitation du champ gazier offshore de Khvalinskoye, opérée par le groupe pétrolier russe Loukoïl, à hauteur d'environ un milliard d'euros.

D'autres contrats seront signés pour la fourniture d'un système de télécommunication militaire par Thalès ou d'un tramway par Alstom. Areva doit pour sa part annoncer la création d'une société conjointe avec son partenaire kazakh pour l'exportation de combustible nucléaire.

Source :

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/asiepacifique/20091006.OBS3736/les_contrats_daffaires_commencent_au_kazakhstan.html

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salut tout le monde

quel est l'impact de la politique monétaire et de la dette publique croissante

sur la politique et le budget  de la défense ?

environ 44 milliard d'€ d'intéret a payer sur la dette pour 2008

est ce que ca a un lien avec :

l'aticle 104 du traité de maastricht et l'article 123 du traité de lisbonne ?

si ya des spécialistes ici  qui pourraient m'eclairer sur la question merci

car bon 44 milliard ca fais beaucoup d'equipements en moins

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C'est 44 milliards le service de la dette maintenant????

Si c'est confirmé, 44 milliards, c'est 25% du budget de l'Etat (15% il y a 2 ans): y'a t-il vraiment besoin d'expliquer l'impact sur la marge de manoeuvre? D'un autre côté, les Japonais arrivent à des choses assez impressionnantes question hardware (quantité et qualité) et effectifs avec un budget équivalent au nôtre et plus de 100% du PIB en dette.

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Un temps, avant la crise (donc ce sera encore plus dans les prochaines années), le déficit correspondait à peu près aux intérêts de la dette. En gros si la France n'était pas endettée, il n'y aurait pas de déficit. Intéressant non ?

Autre figure intéressant, la France a un déficit chronique même en période de croissance économique.

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C'est 44 milliards le service de la dette maintenant????

Si c'est confirmé, 44 milliards, c'est 25% du budget de l'Etat (15% il y a 2 ans): y'a t-il vraiment besoin d'expliquer l'impact sur la marge de manoeuvre? D'un autre côté, les Japonais arrivent à des choses assez impressionnantes question hardware (quantité et qualité) et effectifs avec un budget équivalent au nôtre et plus de 100% du PIB en dette.

C'est confirmé ... et c'est en baisse grace a la baisse des taux. En 2006 on était a 47 milliards. Par contre avec l'augmentation du volume de la dette/pib on risque de perdre nos faible taux et de voir le service de la dette exploser, la passage des 100% risque d'etre brutal, et c'est prévu pour 2012.

Accessoirement remboursement du capital courant et interet sont entierement financé par l'emprunt...

http://www.lesechos.fr/info/france/020178304588-la-charge-de-la-dette-va-progresser-de-20-milliards-d-euros-d-ici-a-2012.htm

La crise amène la France à franchir un nouveau palier d'endettement, à près de 90 % de PIB en 2011-2012, le rapporteur évoquant aussi un scénario pessimiste à près de 100 % de PIB. Il faudrait, souligne-t-il, une croissance économique de 3 % pour seulement stabiliser cet endettement ! Et même si celui-ci devrait rester soutenable, c'est-à-dire que l'Etat continuera de trouver preneur sur les marchés, « les charges d'intérêt pourraient rapidement devenir le premier poste de dépenses ». Celles-ci progresseront de 4 milliards d'euros l'an prochain et de « 4 à 6 milliards en 2011 », soit « l'intégralité »  des hausses de dépenses de l'Etat autorisées par la norme actuelle. Les budgets des ministères stagneront donc en volume. En additionnant les frais supportés par les collectivités locales et la Sécurité sociale (via la Cades), « en 2012, la charge de la dette publique serait supérieure de plus d'une vingtaine de milliards d'euros à celle versée en 2008 et avoisinerait 80 milliards d'euros », à 3,8 % de PIB.<

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Jacques Marseille estimait, en se fondant sur l'historique des rapports annuels de la Cour des Comptes, que 20 à 25% de la dépense publique (pas seulement le budget de l'Etat) étaient entièrement imputables aux redondances, doublons, structures non réformées, sureffectifs inutiles, mais aussi dépenses conjoncturelles accrues du fait de manque d'effectifs et de moyens à de nombreux endroits (et oui, quand un organisme doit faire avec des bouts de ficelle à l'année masi que sa mission DOIT être remplie, il faut bien solder en fin d'année, en faisant en catastrophe ce qu'on aurait pu et du lisser dans le temps)....

Même en supposant qu'il exagère, on pourrait dire que 15% sont économisables, en prenant aussi une marge incompressible de mauvaises dépenses (parce que l'homme est imparfait), et de surdépenses "politiques" (faut pas se faire d'illusions; aucun système ne peut fonctionner sans ça, ou nous serions des machines); mettons 8-10% pour l'ensemble de ces dépenses "intouchables". Dans ces 15% économisables, même 10% de la dépese publique totale, on a plus que le déficit.

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