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La guerre et l'histoire du Sahara Occidental


scorpion-rouge35
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et Patati et Patata, tout ca pour dire que finalement il peut arriver ce que tu veux le sahara restera Marocain, l'armée ne bougera pas les marocains resterons chez eux les sahrawis du polisario reviendrons au maroc de leur plein grés en tant que marocain et ceux qui ne le voudrons pas il n'ont qu'a rester a l'Algerie pays qui les aime tant, pendant que vous y etes donnez a cela tindouf qu'ils etablissent leur pays la bas, tous ensemble ils pouront peupler une petite ville, mais dela a vouloir adminisitrer un teritoire qui fait plus du 1/3 du teritoire marocain faut etre un minimum objectif..

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hitmoon ça doit etre de ça dons tu parle [11]

Rabat estimant que les marocains installé recemment au sud ont le droit de voter (aucun doute sur leur vote) Le polisario refuse bien entendu que ces populations, non sahraoui participent au vote

les colons marocains établie au sahara occidental (ils se fent passé pour des saharaoui)....quelque images avec des soldat marocains....histoire de touts va bien

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le minimum de ressources naturelles dans tu parle appartienne déja a un peuple....avec ten résonement c la loi du plus fort.[38]...toutes les colonisations dans le monde sont du au ressources naturelles...la dernier est l'irak[11]
- Oui et non, disons que c'est plus compliqué. Quelle ressource naturelle dans le désert du Mali ? quelle ressource naturelle au fin fond de l'amazonie ?

- ce que certains ont du mal à saisir, c'est que l'imposition du droit des peuples à disposer d'eux-même est en soi l'illustration de la loi du plus fort, mais opérée de façon plus subtile qu'en envoyant un cuirassé. L'effet est cependant comparable, puisqu'il s'agit de substituer une forme de domination à une autre, comme je l'écrivais précédemment.

une petite info..[28].la kabylie ne veut pas sont indéndance..[50].elle veut la reconaissance de ça long ,de ça culture (se qu'ils sont déja obtenue[11])...j'éspére t'avoire corrigé sur la réalite [11]

Je ne crois pas, non. [61]

"La kabylie" n'est pas une personne, elle ne "veut" donc rien. Il existe plusieurs degrés dans les revendications de certains Kabyles, qui vont de la recon,aissance à l'indépendance en passant par diverses nuances d'autonomie. Il y a en fait autant d'avis différents que de Kabyles. [08]

Accessoirement, pour suivre ton raisonnement : si les Kabyles forment éventuellement un peuple, ce qui n'est pas certain mais pourrait arriver demain, alors leur terre leur appartient et ils ont le droit de demander l'indépendance, d'avoir leur propre Etat, car c'est ça aussi le droit des peuples à disposer d'eux-même. C'est la même logique que toutes les indépendances, et il n'y a pas de raisons objective pour que ce mouvement s'arrête, mis à part l'effet de mode.

et puis ça n'a rien avoire avec le sahara occidental.....la kabylie a toujour fait partie de l'algerie....la 1er balle tiré par la révolution algerienne en 1954 a eu lieu en kabylie...c le couer de l'algerie[28]

Ça c'est de la politique. [08]

On croirait entendre un pied-noir en 1960 : "l'algérie est française depuis 130 ans et ça doit continuer" ; ou un calife de Cordoue : "l'Andalousie est musulmane depuis 500 ans" ; ou un sultan d'Istanbul : "la Serbie nous appartient depuis plusieurs siècles" ; ou un premier ministre Français dans les années 80 : "la Nouvelle-Calédonie est à nous" etc...

Il faut savoir que certains Grecs veulent la restitution de Constantinople, que des Savoyards en France veulent l'indépendance d'un micro-Etat etc. Au nom de quoi devrait-on leur dire non, si on suit la stricte logique du droit des peuples à disposer d'eux-même ? Et si demain je formais un peuple avec mon voisin ?

Le critère chronologique n'aurait ainsi, dans cette optique, pas forcément de validité au vu des exemples qui précèdent ; il en aurait d'autant moins qu'avec ce droit des peuples à disposer d'eux-même, on voit même arriver des revendications qu'on juge "fantaisiste". Mais il faut se souvenir que l'indépendance du Kosovo, c'était aussi "fantaisiste" il y a 10 ans, tout comme l'indépendance de l'Algérie état "fantaisiste" en 1945. Autre temps, autres moeurs, autres perceptions. Personne ne peut savoir si en 2060, l'indépendance de la Kabylie sera une question "fantaisiste" ou pas, à l'image de ce qui te semble évident pour la question du Sahara occidental. (Je blague un peu, mais le fond n'est pas si faux... [08] )

pour le sahara occidental il a était occupé militairement par une puissance étrangére.[38]...et si il était marocain ..[57]...le maroc auré fait depuis longtemp l'autodétermination du peuple du Sahara Occidental...[26]..et puis le droit international reconé se droit au sahraoui..[21]..l'onu a méme envoyé une mission sur place en 91.[22]..et elle s'apél <> [12]

A partir du moment où on ne croit plus au père noël, on ne croit plus à l'ONU, surtout quand on sait comment cette institution fonctionne. [61]
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si les sahraoui voulaient étre marocains ...ils ne resteraient pas pour sertin 30ans réfugiés a tindouf en algerie....et puis ya la minurso labas....ils sufiré qu'ils lui demande de les enmené au maroc[11]

je les trouvé sur un blog

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les réfugiés sahraouis sont en Algérie depuis 30 ans

Réfugiés sahraouis : depuis 30 ans dans le désert algérien

Des milliers de réfugiés sahraouis vivent depuis 1975 dans l'extrême sud-ouest de l'Algérie, une région désertique où la température atteint parfois 60 degrés. Dans l'attente d'une solution à leur exil forcé, ils sont presque entièrement dépendants de l'aide humanitaire internationale.

District de Farsia, dans le camp de Smara, le plus grand des quatre camps de réfugiés sahraouis. Mal protégée par les tentes et habitations en dur qui l'entourent, la place principale est battue par un vent tourbillonnant qui soulève le sable. Un plafond bas de nuages gris obscurcit le ciel et maintient la température à un niveau inférieur à la normale en cette après-midi d'octobre. Fait exceptionnel, des gouttelettes de pluie tombent sur Farsia. Quelques minutes seulement.

Karkaza, elle, ne se soucie guère des éléments. La fillette, cinq ans à peine, est venue recevoir, avec quelques de ses aînées, plusieurs kilogrammes de farine distribués par le Programme alimentaire mondial avec le soutien financier d'ECHO. Lovées dans des tuniques multicolores, les femmes participent activement à l'opération. Un à un, les sacs sont hissés sur les charrettes puis acheminés dans les foyers. Bientôt, les mêmes femmes reviendront sur la place de Farsia. Comme d'habitude, on les informera par haut-parleur. La prochaine fois, on distribuera des lentilles ou de l'huile.

Alors que le soleil se couche sur le camp, Karkaza est de retour chez elle : une large tente rectangulaire, que les vents omniprésents ont recouverte d'une fine couche de sable, ainsi que deux petites pièces en terre séchée. Sa maman, Salka Ghalla, restée à l'abri pour allaiter son bébé de cinq mois, témoigne : « Je suis arrivée ici à l'âge d'un an. Depuis, je me suis mariée et j'ai eu cinq enfants. »

La plupart des réfugiés sahraouis a rejoint ce coin perdu du désert algérien en 1975 et 1976. Les combats faisaient rage dans la région côtière du Sahara occidental, depuis lors en grande partie sous contrôle marocain. « C'était au mois de novembre. Nos familles ont parcouru près de 400 kilomètres, avec des ânes pour transporter l'eau et la nourriture », se souvient le mari de Salka, Cheikh Moubarak Al-Said, occupé à préparer le thé.

Ici, rien ne pousse, ou presque. L'eau est acheminée jusqu'au camp de Smara par des camions citernes affrétés par des organisations humanitaires. Le premier puits est distant d'une vingtaine de kilomètres. « Même si l'eau est propre à la consommation, elle a un fort goût de sel. Nous l'utilisons surtout pour les tâches domestiques », explique Salka. Bientôt, grâce au soutien d'ECHO, des canalisations relieront le camp.

Sur la piste caillouteuse qui serpente entre les hameaux de tentes, on aperçoit de petits enclos ronds, bricolés avec de la tôle recyclée et du fil de fer. Ils abritent quelques rares têtes de bétails. « Nous possédons un mouton et une chèvre », dit Salka en souriant. « On garde le lait pour nos enfants. Plus tard, quand les animaux seront plus grands, on les vendra sur le marché. »

La viande est chère dans les camps, et peut rapporter beaucoup. Surtout lorsque, comme chez Salka et Cheikh Moubarak, on ne perçoit aucun salaire. « La viande de chameau est la moins chère, alors on en mange une à deux fois par mois. Aujourd'hui, nous avions des pâtes au déjeuner. Ce soir, ce sera riz et lait pour tous. »

Pour les réfugiés sahraouis, l'assistance humanitaire est vitale. « Chaque mois, nous recevons des lentilles, du riz, de l'huile, du sucre et du lait en poudre ». Certes, l'aide ne couvre pas tous les besoins, en produits frais par exemple, même si légumes, fruits et oufs viennent compléter occasionnellement les distributions de denrées de base. L'assistance demeure « considérable », reconnaît Salka. « Sans elle, on ne survivrait pas longtemps ».

Après presque 30 ans d'exil, les réfugiés sahraouis se sont organisés. Un étonnant réseau de dispensaires et d'hôpitaux quadrille les camps. Comme Karkaza, tous les enfants en âge d'être scolarisés vont à l'école et l'illettrisme est en fort recul. A Smara, 65% des 42.000 résidents ont moins de 15 ans. Les femmes ont acquis un rôle primordial, y compris dans la distribution de l'aide alimentaire.

« Nous aimerions pouvoir rentrer sur nos terres, revoir notre patrie », insiste pourtant Salka, en tournant son regard vers l'ouest. « Devenir propriétaires, comme ceux qui vivent en Europe et dans les pays développés ».

En attendant, Karkaza, Salka et les autres s'apprêtent à célébrer Ramadan, mois de jeûne et de recueillement pour cette population à 100% musulmane. Au menu de l'Iftar - le repas qui rompt le jeûne - une soupe à l'orge et quelques dattes viendront améliorer un tant soit peu leur quotidien.

(Europe.eu)

et puis si les saharaoui voulaient étre marocains .....ils ne se révolterait pas chaque anniversére de la créeation de la rasd [57]

année 2005......toutes la présse étrangére est interdit d'acced au sahara occidental ...coté marocain bien sur

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occupation de smara par l'armée marocain en 1975

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l'invasion du sahara occidental en 1975 par le maroc

La vérité sur la guerre du Sahara

présse marocaine

www.telquel-online.com

Archives, cartes, recoupements, multiples entretiens avec des officiers d’active… Karim Boukhari et Amale Samie ont creusé le plus loin possible pour reconstituer la trame d’une guerre qu’on connaît mal. Une enquête exclusive

Que sait-on vraiment de cette guerre ? Pendant 30 ans, la lourde chape hassanienne, puis le réflexe de peur, ont confiné les Marocains dans l’ignorance de ce qui a été, pourtant, une véritable épopée militaire. 5 phases principales l’ont marquée :

l’effort de conquête et ses préparatifs (1973-1976), le harcèlement de l’ennemi et les défaites successives

(1976-1980), la pénible érection du mur de protection et le renversement graduel de la situation (1980-1987), avant le statu quo final, puis le cessez-le-feu (1991). Chronique d’une guerre méconnue.

1973 - 1976 occupation du terrain

Dès 1973, le Maroc a compris son erreur initiale d’avoir sous-estimé le Polisario. "Le ralliement immédiat du Polisario à l’Algérie et, derrière, son adossement financier et militaire à la Libye et à pratiquement tout le bloc de l’Est, a été vite digéré, nous expliquent des officiers à la retraite. Le Maroc n’a été ni bien conseillé, ni bien préparé à livrer bataille. Mais, il a compris que l’Espagne allait quitter le Sahara et que le reste allait se réduire à une course contre la montre". En 1974, Hassan II saisit la Cour internationale de justice de La Haye au sujet du statut du Sahara. En parallèle, il fait appel à son homme de confiance du moment, Ahmed Dlimi, qui réendosse sa tunique de militaire. À partir de 1974, Dlimi et ses hommes tenteront des incursions-éclair dans le Sahara contrôlé par l’Espagne. Quand, en 1975, la CIJ de La Haye et l’ONU rendent leur copie (en gros, oui à une auto-détermination pour le Sahara), Hassan II déduit que le territoire reviendrait à celui qui l’occuperait en premier, aussitôt que les troupes espagnoles auraient décampées. D’où l’idée d’une Marche verte vers Laâyoune doublée, à l’est, d’une pénétration militaire. L’Espagne de Franco a tout compris et a choisi, sur la fin, de laisser faire. "Pourquoi Franco aurait-il fait la guerre au Maroc puisque l’Algérie, via le Polisario, allait immanquablement le faire ?, nous explique un gradé marocain. L’Espagne voulait bien retirer ses troupes du moment qu’elle s’était assurée en partie le contrôle des phosphates et de la pêche dans la région et de la sauvegarde des îles Canaries en regard du territoire disputé". C’est en 1975 que le Maroc effectue, pour de bon, des missions de reconnaissance aérienne dans le ciel du Sahara. Dlimi et ses hommes préparent déjà un ratissage du terrain, loin de la côte atlantique. Tout est prêt pour concrétiser le coup de poker tenté par Hassan II : une Marche verte vers Laâyoune. Un véritable coup de génie. Ou comment occuper symboliquement la "porte" du Sahara, mettant les voisins et la communauté internationale devant le fait accompli, tout en s’assurant le consensus de la classe politique et en tenant éloignée une armée qui restait sur deux tentatives successives de coups d’Etat, en 1971 et 1972. Le 6 novembre 1975, donc, 350.000 civils, accourus des quatre coins du royaume, marchent vers Laâyoune, en partant de Tan Tan, escortés par des avions-éclaireurs. Les "marcheurs" ne vont pas jusqu’à Laâyoune, mais ils ont le temps de franchir la ligne de démarcation symbolique via le poste frontière de Tah. Le Maroc a ouvert la porte et mis les pieds dans l’ancien Sahara espagnol ! Pratiquement dans le même temps, Dlimi entame l’opération Ouhoud, du nom d’une célèbre guerre sainte de la première ère islamique. Militairement, la surprise est totale. Pendant le déroulement de la Marche verte vers Laâyoune, Dlimi pénétrait le Sahara en douce, à plus de 100 km à l’est, en "raflant" au passage les postes de Farsia, Jdiriya, Hawza et, plus tard, Mahbes, finissant de nettoyer tout le secteur de Smara. Le tout sans opposition notoire. L’occupation du terrain est en marche et Franco, de son lit de mort, a donné à ses troupes l’ordre de ne pas tirer. Le 14 novembre, le Maroc signe les accords de Madrid dont la Mauritanie, qui hérite du contrôle du tiers sud du Sahara, est la troisième partie prenante. Les troupes de Mokhtar Ould Daddah s’emparent de Lagouira avant de marcher, plus tard, sur Dakhla. L’Algérie dénonce, le Polisario regroupe toutes ses troupes du côté de Tindouf, alors que sa direction multiplie les va-et-vient jusqu’à Alger. Début 1976, le décor est bien planté : la Mauritanie contrôle théoriquement le tiers-sud du Sahara et le Maroc les deux tiers nord. L’Algérie se prépare et prépare le Polisario à la guerre. Alors que la communauté internationale se relève encore du choc, tout est prêt pour une guerre qui sera, beaucoup plus, une course effrénée pour occuper les villes, plutôt que d’investir entièrement un territoire à la configuration d’un no man’s land difficile à sécuriser. Pour Dlimi, qui commande les troupes marocaines, la stratégie consiste à occuper le terrain par paliers, horizontalement, en s’enfonçant graduellement vers le bas, via de longues colonnes blindées. En face, l’Algérie arme le Polisario et l’envoie récupérer les positions prises par les Marocains. La guerre du Sahara à proprement parler peut commencer.

1976 - 1980 : La grande désillusion

L’euphorie née de la pénétration en douce des unités de Dlimi dans le Sahara n’a pas duré longtemps. Dès janvier 1976, une première grande bataille a lieu autour d’Amgala, entre des troupes marocaines et algériennes. Les Marocains gagnent la première manche, laissant 200 victimes algériennes sur le sable. La victoire est totale et le Maroc, sur ordre de Hassan II, choisit de "se contenter" de la prise de 100 prisonniers algériens. Le calcul du monarque est simple : le Maroc a gagné la bataille, mais il n’a pas envie de déclencher une guerre contre l’Algérie. D’où le choix de libérer une bonne partie des captifs. Le calcul, en tout cas, sera juste, puisque cette bataille maroco-algérienne, plus connue comme Amgala 1, restera comme la seule confrontation réelle entre les troupes des deux pays. Quelques semaines plus tard, le Maroc perd Amgala suite à la riposte polisaro-algérienne. Et à partir de là, les deux (ou trois) adversaires se livreront à un interminable jeu du chat et de la souris. Le Maroc occupe déjà plusieurs villes. Pour conforter ses positions, il se heurte au problème du ravitaillement. Le Polisario sort alors ses griffes. Grâce à sa très grande mobilité, il déploie sa technique de la guérilla en multipliant les attaques surprise de toutes parts. "C’est, comme nous l’explique cet officier, une guerre sans front, où les embuscades sont monnaie courante". Les Marocains, à leur grande surprise, découvrent que le Polisario, comme cela nous a été confirmé par plusieurs sources, est "mieux équipé, mieux préparé" à une guerre qu’il pressent longue. Écoutons la confidence de ce pilote de chasse marocain : "On effectuait nos missions aériennes à l’œil nu. Pour beaucoup d’entre nous, on recevait notre formation sur le tas. J’ai tiré, faute de discernement, sur des positions marocaines… En face, le Polisario n’avait pas d’aviation, mais avançait dans des chars ultrasophistiqués pour l’époque, équipés d'infra-rouge, qui leur permettaient d’attaquer et de cibler juste même la nuit". En plus, et tout au long de cette année 1976, les unités du Polisario s’infiltraient dans le massif de l'Ouarkziz qui surplombe la gara de Tindouf. Occupé à libérer les villes du Sahara, le Maroc n’a pas cru l’Algérie capable de donner le feu vert au Polisario pour s’attaquer aux parties non contestées du Maroc. Le Polisario a fini par faire de cette montagne marocaine un véritable bunker et une base de lancement des attaques contre les positions marocaines. L’année 76 verra aussi la mort d’El Ouali, le fondateur du Polisario, en plein champ de bataille sur le front mauritanien. Il est remplacé, à la surprise générale, par Mohamed Abdelaziz, voulu et imposé par les Algériens. Sur les champs de bataille, le Maroc perd considérablement du terrain. L’aviation marocaine multiplie les missions. Au point qu’on l’accuse d’avoir eu recours au napalm lors d’une de ces missions… Le Polisario multiplie les attaques, notamment à partir de 1978, contre les positions marocaines. En parallèle, l’Algérie déstabilise la Mauritanie politiquement, et le Polisario l’use militairement. L’été 1978, déjà, le président mauritanien Ould Daddah est renversé par Ould Haïdallah. L’année d’après, la Mauritanie se retire tout simplement du Sahara. La guerre, qui fait rage, devient celle du Maroc et de l’Algérie. Hassan II contre Boumediène. Deux modèles de gouvernance diamétralement opposés. Avec le retrait de Nouakchott, le Maroc se retrouve avec un territoire de près de 270 000 km2 à sécuriser. Une tâche d’autant plus difficile que le Polisario, désormais, multiplie les attaques de l’intérieur même du territoire mauritanien, en partant des villes du Nord, dont Zouerate. Ou Bir Moghrein. En août 1979, et à l’évacuation de Dakhla et tout l’Oued Eddahab par la Mauritanie, les forces marocaines investissent la ville, après une course contre la montre avec les unités du Polisario venant de Zouerate et de Bir Moghrein. Les Marocains arrivent plus vite que leurs adversaires ; le 11 août, ils sont à Dakhla. Le 14, ils commencent à sécuriser la province. Mais les lignes de l’armée marocaine s’étirent, le ravitaillement se perd en cours de route. Le Maroc recule et, en dehors des grandes villes comme Boujdour et Dakhla, il se cantonne au Nord et à ses trois points stratégiques que sont Laâyoune, Boucraâ et Smara. Tout autour, le Polisario tisse un axe de défense "mobile" qui va jusqu’aux portes de Boujdour. En janvier 1979, par exemple, il pousse le luxe jusqu’à occuper, quelques heures durant Tan Tan, violant allègrement la souveraineté marocaine. La désillusion, qui durera jusqu’en 1980, est alors d’autant plus grande que, sur le plan diplomatique, le Polisario marque des points. Sans être un fiasco, la guerre du Sahara semble alors très mal engagée et un changement de stratégie, d’abord militaire, devient urgent.

1980 - 1987 : Le mur par lequel le salut arrive

En 1980, Dlimi, sur les conseils des experts du Mossad israélien, lance le chantier d’un mur de sable, qui tracera de nouvelles frontières à l’intérieur du Sahara. "L’idée, se souvient un officier, est de défendre les positions marocaines, les villes comme les immensités désertiques, et surtout de choisir désormais les champs de bataille". Dlimi s’appuie sur ses trois colonnes blindées, Ouhoud, Arak et Zellaqa, fortes de 20.000 hommes chacune, pour creuser des sillons à travers le Sahara. Août 1980, le premier mur est en construction, qui protège le triangle névralgique Boucraâ-Smara-Boujdour. Le Polisario, sentant venir le danger, intensifie les attaques et accumule les démonstrations de force (bateaux de pêche arraisonnés non loin de Boujdour) avant l’achèvement du premier mur en 1982. Une année auparavant, Hassan II avait surpris tout son monde, à commencer par la classe politique marocaine, en acceptant, sans doute pour répondre à la pression de la communauté internationale, l’idée d’un référendum. Politiquement, une brèche est ouverte. Et tout devient possible. Le Maroc reprend militairement du poil de la bête. Mais, politiquement, il a bel et bien concédé du terrain pour sa souveraineté. C’est alors que l’armée, à son tour, et au bout de près d’une décennie de combats, pour reprendre l’expression d’un témoin de cette guerre, "contre des ennemis souvent invisibles", donne des signes de fatigue. Que se passe-t-il au juste avant que Dlimi, un certain jour de janvier 83, trouve la mort dans un accident de voiture pour le moins irréel ? Nul ne le saura jamais, même si, des années plus tard, la CIA déclassera une partie de ses archives pour placer l’ancien commandant de la zone Sud parmi une longue liste d’assassinats politiques. L’assassinat de Dlimi changera, en tous cas, la donne au Sahara. Militairement, et surtout politiquement. Abdelaziz Bennani, voire Driss Benaïssa, Abrouk ou le colonel Britel qui dirigeront plus ou moins la manoeuvre à la suite de Dlimi, iront chercher leurs consignes auprès du roi. Hassan II décide, par exemple, que le "droit de suite" (possibilité de poursuivre les intrus en dehors du mur), auquel sont dédiées les brèches qui séparent le mur sera désormais astreint. "Le but, nous explique un officier à la retraite, est d’éviter de nouveaux affrontements directs avec l’armée algérienne en poursuivant l'assaillant loin du mur". Politiquement, Hassan II fait de Driss Basri son représentant personnel au Sahara, et bientôt son interlocuteur aussi bien auprès des Algériens que des émissaires de l’ONU. Le Sahara, qui continue d’être un champ de bataille, vaut au Maroc moins de morts et de prisonniers. Mais, diplomatiquement, le retard accusé par le royaume dès les années 70 par rapport au Polisario et à l’Algérie s’agrandit. En 1984, la RASD (République arabe sahraouie démocratique), proclamée dès 1976, est reconnue par l’OUA (Organisation de l'unité africaine). Le Maroc, trahi par ses amis africains, claque la porte de l’OUA et se ferme complètement. Il se reconcentre sur son effort de guerre et lance la construction d’un deuxième mur, toujours loin de Tindouf. Les escarmouches reprennent de plus belle, comme si chacun s’était mis d’accord, de part et d’autre, qu’aucune solution politique n’était envisageable avant la désignation d’un vainqueur et d’un vaincu à la guerre. En 1987, pourtant, le Maroc remporte une victoire morale : le 6e et dernier mur est achevé. Oued Eddahab est définitivement sécurisé, fermant ainsi le front mauritanien et ouvrant la voie, l’année d’après, au Plan de paix présenté par le S.G de l’ONU, Javier Perez De Cuellar.

1987 - 1991 : La fin d’une guerre inutile

L’année 1987 s’annonce sous de meilleurs auspices pour le Maroc. Il stabilise la situation. Le Polisario triomphant du début des années 80 s’essouffle graduellement. Il ne parvient plus à inquiéter Dakhla, complètement sécurisée. Le dernier mur, celui qui longe la frontière avec la Mauritanie, est enfin terminé. Il protège aussi Tichla et Aousserd dans l’est de la province d’Oued Eddahab. Mais les attaques rageuses ne cessent pas. En février, mars et novembre de cette année, le Polisario effectue raid sur raid le long du mur qui va maintenant de M’hamid El Ghizlane à Guergarat, à 55 km au nord de Lagouira, pour éprouver les défenses marocaines soumises à rude épreuve. Mais désormais, la pression va changer de camp. Le Polisario laisse trop de victimes pour une armée, déjà sans hiérarchie, dont l’effectif peut aller jusqu’à 30 et 40.000 hommes, selon les périodes. La Libye ne fournit plus d’armes depuis longtemps, les "guerilleros" ont pris de l’âge et comme nous le dira le journaliste tunisien Abdelaziz Dahmani (il prépare un ouvrage sur le sujet) : "La relève n’était pas à la hauteur. Finie la connaissance du terrain, la guerre avait l’âge des recrues". En fait, ces soldats formés en Union soviétique n’étaient pas destinés à la guérilla mais à une guerre plus conventionnelle. Toujours selon Abdelaziz Dahmani, c’est là qu’a résidé l’erreur qui sera fatale au Polisario en tant que force militaire. Les jeunes ne connaissaient le Sahara que par les cartes ou par les "excursions" à l’est des murs. C’est alors le commandant Ayoub Lahbib, dernier chef de guerre, qui fait l’essentiel de la pugnacité du Polisario.

Les opérations continuent tout de même. Le mur est solide mais pas infranchissable. Le Polisario utilise, par endroits, la technique des bombardements pour forcer le passage. Des incursions sont aussi signalées à travers l’une ou l’autre des cinq "brèches", qui séparent les six portions du mur. Défaillance des radars de surveillance ? Erreurs à mettre sur le compte de certaines négligences et défauts de transmission ? En août et en décembre1987, puis en janvier 1988, des accrochages acharnés se déroulent tout le long du mur. Ils feront près de 300 morts de chaque côté. Mais c’est désormais une guerre sans grande conviction et politiquement inutile même à celui qui l’entretient. Surtout que le Maroc et le Polisario avaient accepté le plan de paix de l’ONU, le 30 août 1988. Pour négocier en position de force, le Polisario essaie de faire le forcing, mais le 11 décembre il abat un avion américain par erreur. Durant cette même année, la situation politique est désastreuse pour les dirigeants du Front. Une révolte ouverte a explosé dans les camps de Tindouf. Une de ses conséquences sera le ralliement de 6 membres de la direction du Polisario, dont Omar Hadrami. Le Polisario tente toujours de s'adapter à des confrontations conventionnelles auxquelles le mur, désormais achevé, l’oblige. Ayoub opère par concentration de blindés. Les derniers combats significatifs auront lieu à Gueltat Zemmour, en octobre 1989, en janvier et en novembre 1990 où le Polisario laissera près de 100 morts sur le terrain. C’est à cette époque-là, selon Lahbib, rentré au Maroc depuis, que le Polisario apprend à "percer" le mur avant de faire demi-tour sous le feu de l'aviation marocaine. Il faudra attendre août 1991 pour que la guerre cesse définitivement. L’armée du Polisario se désagrège encore et ne compte plus, selon la majorité des observateurs, que 2000 à 6000 réguliers. Bizarrement, alors, quand le cessez-le-feu bilatéral est enfin proclamé le 6 septembre 1991, le Maroc est militairement au plus fort alors que le Polisario est au plus bas ! Mais continuer était plus inutile que jamais. Malgré quelques dernières escarmouches, la guerre du Sahara était bien finie.

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Oui et non, disons que c'est plus compliqué. Quelle ressource naturelle dans le désert du Mali ? quelle ressource naturelle au fin fond de l'amazonie ?

- ce que certains ont du mal à saisir, c'est que l'imposition du droit des peuples à disposer d'eux-même est en soi l'illustration de la loi du plus fort, mais opérée de façon plus subtile qu'en envoyant un cuirassé. L'effet est cependant comparable, puisqu'il s'agit de substituer une forme de domination à une autre, comme je l'écrivais précédemment.

je croi que nous sommez d'accord sur le fait de la loi du plus forte [27]

Je ne crois pas, non.

"La kabylie" n'est pas une personne, elle ne "veut" donc rien. Il existe plusieurs degrés dans les revendications de certains Kabyles, qui vont de la recon,aissance à l'indépendance en passant par diverses nuances d'autonomie. Il y a en fait autant d'avis différents que de Kabyles.

Accessoirement, pour suivre ton raisonnement : si les Kabyles forment éventuellement un peuple, ce qui n'est pas certain mais pourrait arriver demain, alors leur terre leur appartient et ils ont le droit de demander l'indépendance, d'avoir leur propre Etat, car c'est ça aussi le droit des peuples à disposer d'eux-même. C'est la même logique que toutes les indépendances, et il n'y a pas de raisons objective pour que ce mouvement s'arrête, mis à part l'effet de mode.

je te dis ça peut étre parsque je suis kabyle.....et que touts ceux que je connais non jamais parlé d'indépendance...mais se disent algerien aven touts.....et puis je te garentie s'ils voulaient vrément leur indépendance....ils le ferait savoire....mais bon il y a bien une minorité qui veut une autonomie ....mais pour la plus par des crétien évengiliste (ils sont apparu dans le début des années 90 mais pas catholique)...pour la simple résent que le couvernement algerien refuse de reconaitre une 2e minorité crétien et nouvelle...alors qu'il a déja des relation avec le vaticon...ect ...pour la 1er [12]

Ça c'est de la politique.

On croirait entendre un pied-noir en 1960 : "l'algérie est française depuis 130 ans et ça doit continuer" ; ou un calife de Cordoue : "l'Andalousie est musulmane depuis 500 ans" ; ou un sultan d'Istanbul : "la Serbie nous appartient depuis plusieurs siècles" ; ou un premier ministre Français dans les années 80 : "la Nouvelle-Calédonie est à nous" etc...

oui dario je voix se que tu veut dire mais touts cpays on étaient occupé c différent... [11]

A partir du moment où on ne croit plus au père noël, on ne croit plus à l'ONU, surtout quand on sait comment cette institution fonctionne.

c triste mais t'a toutes afait résent.....l'actuelité international nous le démentre touts les jours [17]
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et Patati et Patata, tout ca pour dire que finalement il peut arriver ce que tu veux le sahara restera Marocain, l'armée ne bougera pas les marocains resterons chez eux les sahrawis du polisario reviendrons au maroc de leur plein grés en tant que marocain et ceux qui ne le voudrons pas il n'ont qu'a rester a l'Algerie pays qui les aime tant, pendant que vous y etes donnez a cela tindouf qu'ils etablissent leur pays la bas, tous ensemble ils pouront peupler une petite ville, mais dela a vouloir adminisitrer un teritoire qui fait plus du 1/3 du teritoire marocain faut etre un minimum objectif..

tu parle d'un minimum objectivité [29] bon je ne répend pas a c discoure de nationaliseme aveugle [26]
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je tai donné ( et pas que moi ) pleins de preuve que le sahara est marocain, si quelqu'un est aveugle c'est sans doute pas moi, regarde toi tu fait du copier collé de journaux algerien manquant d'objectivité, tu ne changera jamais de position, on dirait que ce tien a coeur a ce point là :s soit t'est sahrawi du polisario, soit ta une haine envers le Maroc autrement tu aurais un minimum d'ouverture sur ce sujet. et quand je dis que le Maroc ne changera jamais de position meme si cela le mene contre une guere et pas que contre le polisario, contre nimporte quel autre pays qui s'opposera a ses interets il l'a deja fait dans les années 70 il le refera et avec joie quon en termine de cette histoire une fois pour toute... c'est logique ya que regarder les investissements enorme, le sacrifice economique qui a ete fait, ne pense pas qu'on va laissé ca et partir comme si de rien n'etait, meme si decision de l'onu le contrain (ce qui est loin detre le cas) Un etat au sud je n'y crois pas, tu rêve..

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je te dis ça peut étre parsque je suis kabyle.....et que touts ceux que je connais non jamais parlé d'indépendance...mais se disent algerien aven touts.....et puis je te garentie s'ils voulaient vrément leur indépendance....ils le ferait savoire....mais bon il y a bien une minorité qui veut une autonomie ....mais pour la plus par des crétien évengiliste (ils sont apparu dans le début des années 90 mais pas catholique)...pour la simple résent que le couvernement algerien refuse de reconaitre une 2e minorité crétien et nouvelle...alors qu'il a déja des relation avec le vaticon...ect ...pour la 1er [12]
Oui, je comprend tout à fait ton point de vue. [27]

Mais j'ai vu, lu, entendu des Kabyles, que ce soit sur internet ou dans le réel, qui travaillent sur ces questions d'autonomie. Il est cependant possible que certaines de ces personnes soient plus "bruyantes" en France qu'en Algérie.

Sur internet :

http://www.makabylie.info/?article698

http://www.makabylie.info/?article36

http://www.tamazgha.fr/article.php3?id_article=88

Contre le MAK : http://www.algeria-watch.org/farticle/revolte/achab_autonomie.htm

http://www.algeria-watch.org/farticle/revolte/mak.htm

http://www.tamazgha.fr/article.php3?id_article=88

http://www.waac.info/amazigh/2001-Kabylia/Tizi-Ouzou_U_dec4-25-02.html

On dirait que ça bouge quand même un peu, même si tout cela est très récent. [21]

(une affaire très symbolique : http://www.kabyle.com/La-tombe-de-la-Kahina-arabisee,12188.html )

c triste mais t'a toutes afait résent.....l'actuelité international nous le démentre touts les jours [17]
Oui, c'est la fin des grandes illusions. [17]
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Beuuuuh, le droit c'est la realité, dire le contraire à mes profs c'est se mettre directement la corde au cou.

Plus serieusement j'aurais dû me relire, c'est bien entendu un avis consultatif, pas une décision. n'empeche, d'un point de vu politique celle ci fait autorité au même titre que toutes les autres constatations onusienne.

Concernant le probleme de méthodologie, mea culpa j'essaye de faire comme les journalistes avec leur interpretation absurde des chiffres statistiques, leurs abus de langague (les francais pensent que) en mobilisant à outrance les sondages (gros chiffres de preference) comme la voix du peuple, Pierre doit se retourner dans sa tombe avec mon utilisation grotesque d'effet verdict qui transforme l'opinion majoritaire en réalité.

Patrick champagne si tu m'entend, je ne recommencerait plus [08] (hey oui, en droit on ne fait pas que du droit [08] )

Enfin, je m'attendais à tomber sur un public profane, l'opinion publique n'existe pas, les artefact concernant les stats et autres ce sont des notions qui ne sont pas maitrisé par beaucoup de monde, j'ai essayé, j'ai perdu.

Donc comment dit on déja, oui: Je me suis fait grillé [50]

Plus serieusement, quand je parle d'écrasante majorité, je ne fais que reprendre l'article wikipedia que j'ai vu, je ne me suis pas amusé à verifier les sources, perso je pense que les differents auteurs d'apres ce que j'ai pu lire sont objectif

Le 13 décembre 1974, l'Assemblée générale de l'ONU adopte la résolution 3292. Elle réaffirme le droit à l'autodétermination du Sahara espagnol, demande à la Cour internationale de Justice d'émettre un avis consultatif sur le statut et les liens juridiques du territoire et mandate une mission de visite dans le territoire.

La mission se déroule en mai-juin 1975 et visite le Sahara occidental et les pays limitrophes. Elle présente son rapport à l'ONU le 15 octobre et conclut à un « consensus écrasant parmi les Sahraouis vivant sur le territoire en faveur de l'indépendance et en opposition à l'intégration avec tout pays voisin[65] ». Les dirigeants de la mission constatent également un soutien massif de la population en faveur du Front Polisario.

Le 16 octobre 1975, la Cour internationale de Justice rend son avis : elle reconnaît que le territoire du Sahara occidental n'était pas terra nullius avant la colonisation par l'Espagne et qu'il avait des liens juridiques d'allégeance avec le Maroc et l'ensemble mauritanien. Cependant, elle ne constate aucun lien de souveraineté territoriale. Elle conclut que ces liens ne sont pas de nature à entraver « l'application du principe d'autodétermination grâce à l'expression libre et authentique de la volonté des populations du territoire ».

En fin de compte je pense que ce probleme est ultra compliqué. Perso je pense que dans l'absolu, le sahara occidental sera à terme un etat libre, si on découvre du petrole dans ses sous sol, le procéssus visant à l'autodétermination n'en sera qu'acceleré (par les americains voulant traiter avec un micro etat, le manipuler à sa guise)

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je tai donné ( et pas que moi ) pleins de preuve que le sahara est marocain, si quelqu'un est aveugle c'est sans doute pas moi, regarde toi tu fait du copier collé de journaux algerien manquant d'objectivité, tu ne changera jamais de position, on dirait que ce tien a coeur a ce point là :s soit t'est sahrawi du polisario, soit ta une haine envers le Maroc autrement tu aurais un minimum d'ouverture sur ce sujet.

et quand je dis que le Maroc ne changera jamais de position meme si cela le mene contre une guere et pas que contre le polisario, contre nimporte quel autre pays qui s'opposera a ses interets il l'a deja fait dans les années 70 il le refera et avec joie quon en termine de cette histoire une fois pour toute...

c'est logique ya que regarder les investissements enorme, le sacrifice economique qui a ete fait, ne pense pas qu'on va laissé ca et partir comme si de rien n'etait, meme si decision de l'onu le contrain (ce qui est loin detre le cas)

Un etat au sud je n'y crois pas, tu rêve..

Ca ressemble etrangement à une expropriation ce que tu propose non !?

Je croyais que les sahraouis etaient marocains. Pourquoi parler de sacrifice economique, d'investissement enorme.

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il ya sacrifice si il ya un nouveau Etat, Oui c'est des marocains (dailleurs leur chef s'appelle marrakchi qui pour ceux qui ne parle pas arabe veut dire originaire de marrakech...), donc il ya pas d'expropriation, ceux qui ne se sente pas marocains, ils n'ont qu'a allé creer leur pays ailleur, tindouf me semble un bon endroit.

En fin de compte je pense que ce probleme est ultra compliqué. Perso je pense que dans l'absolu, le sahara occidental sera à terme un etat libre, si on découvre du petrole dans ses sous sol, le procéssus visant à l'autodétermination n'en sera qu'acceleré (par les americains voulant traiter avec un micro etat, le manipuler à sa guise)

et le Maroc t'en fait quoi? ni les USA ni n'importe qui n'enlevera au Maroc son teritoire, quand a l'autodétermination, c'est beau propre, idealiste mais faut voir les choses en face jamais on arrivera a un accord personnes ne sera daccord sur qui va voté ou non donc restons réaliste.

la proposition faite par le Maroc dernierement me semble la derniere chance pour le polisario d'en finir, apparement ils ne veulent pas, tampis pour eux.

edit:

pour la partie sacrifice: car a cause de la guerre des sables on a eu de grave problemes economique que ca soit pour la creation des murs que pour les combats materiel morts etc

a cette epoque le maroc avait une economie qui connaissait un boom, pour te dire, il yavait des espagnols qui venait chercher du boulot chez nous, puis la guerre est venu on connait tous la suite....

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D'apres le droit international, le maroc est un colon, au sahara occidental. Seul l'administration marocaine est tolleré sur place. Donc l'avis du colon, certes il est important mais bon, ca sert à rien de faire du nationalisme à outrance, le maroc c'est pas Israel qui s'asseoit sur les décisions onusienne

pour la partie sacrifice: car a cause de la guerre des sables on a eu de grave problemes economique que ca soit pour la creation des murs que pour les combats materiel morts etc

a cette epoque le maroc avait une economie qui connaissait un boom, pour te dire, il yavait des espagnols qui venait chercher du boulot chez nous, puis la guerre est venu on connait tous la suite....

Mais encore, je suis curieux, je voudrais bien que tu m'explique la suite [30]
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crois moi bien, le sahara c'est pas une affaire banale au maroc quelque soit la decision de l'onu le maroc y restera, ta qu'a voir les derniers discours du Roi M6, en gros c'etait "le sahara restera marocain chaque grain de celui ci nous est cher.." etc pour te dire que le roi ne se lancera pas dans de telle discours si la creation d'un autre etat etait envisagé... ben la suite tout le monde la connait, la guerre la mort la construction du murs le statuco.. cette situation na que trop durée 30 ans ca fait trop, mais sache que le temps ne joue pas contre les interets du maroc loin de la..

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je tai donné ( et pas que moi ) pleins de preuve que le sahara est marocain

je ne vois aucune preuve que t'a posté toi ... a par les discoure nationaliste qui n'avence vraiment a rien [21]

regarde toi tu fait du copier collé de journaux algerien manquant d'objectivité

pour les journeaux dans tu parle....il raporte les declaration des représentent du polisario....ça conserne le conflit actuel a moin que tu préfére rien que se qui se dit au maroc [52]

on dirait que ce tien a coeur a ce point là :s soit t'est sahrawi du polisario, soit ta une haine envers le Maroc autrement tu aurais un minimum d'ouverture sur ce sujet.

je ne suis pas sahraoui non [61] et je nais aucune haine envers le maroc (dayeur j'ai passé mais vacconce il y a quelque années [28] )....mais je n'aime pas la hagra (la loi du plus fort) qu'on insulte l'algerie et la fon passé pour le méchon de l'histoire accause de ça posission envére les saharaouis et qui est la méme que le droit international [38].

et puis c toi qui n'a pas un minimum d'ouverture sur ce sujet ...mois j'ai posté des source international ,neutre et point de vue de l'algerie , du maroc , du polisario ...ect

et il y a aussi la présse marocaine , algerienne , et international......et toi quelle source t'a posté?....aucune a part les serment [50]...et comme je te les dis plus hau ....je ne fait pas des copie coller pour rien....les article on une duré limité d'affichage et aprés ils sont envoyé au archive...la si tu veut les consulté...il te faux payé[12]

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quand je defend le sahara marocain je me fait traité de nationaliste dont le discours ne mene a rien, que dirait Omar Khattabi on t'entendant dire ca... personne n'aime lhgra, tu pense sincerement que l'Algerie n'a rien a voir avec le polisario?[57], si on la traite pas "gentillement" c'est parcequ'elle la soutenu militairement le polisario, des marocains sont mort a cause de cela. On en reparlera de ce probleme dans 10 ans et là tu vera que rien n'aura changé, le maroc se sera mieux armé, le polisario s'affeblira comme c'est le cas année apres année, au mieux une guerre eclatera et là les dés sont jetés, ils n'auront plus d'armé ni d'hommes pour utiliser cette carte 2 fois, il restera la carte diplomatique et la on en revien a la proposition qui a ete faite, je vois pas ce quon peut faire de mieux. quand aux articles que tu publie, ben ils ont tous le meme resumé "le maroc c'est le mechant les pauvre sahrawi demande leurs droits et l'algerie garante de leur liberté les soutiens" ca ne fait qu'attisser la haine entre marocains et algerien sur ce forum.

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Oui, je comprend tout à fait ton point de vue. [27]

Mais j'ai vu, lu, entendu des Kabyles, que ce soit sur internet ou dans le réel, qui travaillent sur ces questions d'autonomie. Il est cependant possible que certaines de ces personnes soient plus "bruyantes" en France qu'en Algérie.

Sur internet :

http://www.makabylie.info/?article698

http://www.makabylie.info/?article36

http://www.tamazgha.fr/article.php3?id_article=88

Contre le MAK : http://www.algeria-watch.org/farticle/revolte/achab_autonomie.htm

http://www.algeria-watch.org/farticle/revolte/mak.htm

http://www.tamazgha.fr/article.php3?id_article=88

http://www.waac.info/amazigh/2001-Kabylia/Tizi-Ouzou_U_dec4-25-02.html

On dirait que ça bouge quand même un peu, même si tout cela est très récent. [21]

(une affaire très symbolique : http://www.kabyle.com/La-tombe-de-la-Kahina-arabisee,12188.html )

Oui, c'est la fin des grandes illusions. [17]
merci dario pour c lien...c bien se que je pensé......le mouvement sésoufle.....sertinement acause de l'amélioration de la situation economique en algerie[12]
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je ne vois aucune preuve que t'a posté toi ... a par les discoure nationaliste qui n'avence vraiment a rien [21]

pour les journeaux dans tu parle....il raporte les declaration des représentent du polisario....ça conserne le conflit actuel a moin que tu préfére rien que se qui se dit au maroc [52]

je ne suis pas sahraoui non [61] et je nais aucune haine envers le maroc (dayeur j'ai passé mais vacconce il y a quelque années [28] )....mais je n'aime pas la hagra (la loi du plus fort) qu'on insulte l'algerie et la fon passé pour le méchon de l'histoire accause de ça posission envére les saharaouis et qui est la méme que le droit international [38].

et puis c toi qui n'a pas un minimum d'ouverture sur ce sujet ...mois j'ai posté des source international ,neutre et point de vue de l'algerie , du maroc , du polisario ...ect

et il y a aussi la présse marocaine , algerienne , et international......et toi quelle source t'a posté?....aucune a part les serment [50]...et comme je te les dis plus hau ....je ne fait pas des copie coller pour rien....les article on une duré limité d'affichage et aprés ils sont envoyé au archive...la si tu veut les consulté...il te faux payé[12]

Oui ta passé t'est vacconce il y a quelque années, mais sa change pas le faite que tu crois trop au père Noël.

Commencez par laisser les personnes qui sont a TINDOUF libre de leur mouvement, séquestré un peuple et injecter des pétrodollar dans les poches des dirigent des rebelles c'est facile.

Ps : Les photos au dessus, je t'explique organisse une manifestation a Rabat ou Casablanca sans autorisation c'est normal que les forces de l'ordres intervienne, allor aprés si par dessus il se prenne des pierres la force et de rigueur.

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LoL @ les photos postées au dessus!

- Si ce sont des "sahraouis" pro-marocains, pour vous ce sont obligatoirement des marocains déguisés en "sahraouis"! quellle imagination! Bref, vous n'arrivez toujours pas a accepter que le Polisario ne represente qu'une partie des "sahraouis" et qu'il y'en a la masse qui sont unionistes?

- Des "soulevements populaires"... moi je ne vois meme pas 100 personnes! Sinon les autres personnes á coté ont l'air de s'en foutre completement... pas normal pour un "soulevement populaire"!!! (Je parie qu'il va me repondre que ce sont des marocains deguisés en "sahraouis")

- LoL @ la photo sur "l'invasion de Smara"... mais que vois-je? des "sahraouis" portant un drapeau marocain!!! Hein? Qu'entends-je? des marocains déguisés en "sahraouis"? Ah bon? en 1975? Ah! ils habitaient deja lá bas! Ce sont des "sahraouis" alors ou pas?

Sinon j'ai mis le terme "sahraoui" between brackets puisque ce mot n'a aucune signification!

1- "Sahraoui" en Arabe veut dire "habitant du désert"... on n'est pas sortis de l'auberge alors!

2- Si on raisonne par tribus c'est la galere! puisque á la fois les tribus presentes sur ce territoire constituent une espece de mosaique pas evidente á voir (a), sinon que ces tribus appartiennent á trois "groupes ethniques" (la encore c'est pas evident) qui s'etendent sur tout le Sahara Occidental et les provinces au sud de l'Atlas au Maroc, la moitie nord de la Mauritanie (d'oú le 1er partage de 1975) et l'ouest algérien (b) (d'oú la facilité d'integrer des algeriens dans le Polisario... le "ministre de la defense du Polisario" par exemple)

(a) http://www.telquel-online.com/161/images/shema.pdf

(b) http://img204.imageshack.us/img204/2755/hsnbv4.jpg

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Comment expliquer l'afflut massif des sahrawis vers le Maroc ces derniers temps scorpion rouge ? On parle de plusieurs milliers de personnes !

C parce que la mère protectrice algérienne ne leur livre plus de riz et de gaz ?

A toi, je veux juste savoir...

Il va te sortir un article tiré d'un forum, ou une vieille photo en noir et blanc pour répondre.^^
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Comment expliquer l'afflut massif des sahrawis vers le Maroc ces derniers temps scorpion rouge ? On parle de plusieurs milliers de personnes !

C parce que la mère protectrice algérienne ne leur livre plus de riz et de gaz ?

A toi, je veux juste savoir...

Comment peuvent-ils traverser alors qu'il y a un mur de défense, si ces pseudos personnes s'enfuient alors le Polisario peut s'infiltrer facilement de l'autre cote.
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généralement, ils leur faut l'autorisation de sortie des camps de tindouf, pour cela il font en sorte de partir en Mauritanie puis font appel à l'ambassade du Maroc qui se charge de leur rapatriement, mais c'est pas si simple deja faut avoir l'autorisation et un pretexte qui tien la route, puis une fois le premier barage depassé il reste l'armée Algeriene qui encercle les camps. quand au mur il est véritablement efficace, toutes les tentatives qui ont été faite après sa construction on été un échec sanglant. ps : depuis 1975 ce sont prés de 7000 sahrawis qui ont fuis les camps pour rejoindre la mere patrie

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Invité maodin

J'ai une question: en 5000 ans d'histoire, a quelle époque il y avait deux Etats ou deux peuples de Tanger jusqu’à la rivière du Sénégal ?

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Liste des "grosses tetes" qui ont rallié le Maroc (jusqu'á 2002. un update s'impose pour la periode 2002-2007):

* Omar Hadrami Mohamed Ali - responsible of the military security of Polisario, a relative of the late Ma al-'Aynayn

* Lebnaha Attaya - Close to Prime Minister of the Sahrawi Arab Democratic Republic, Mahfoud Ali Beiba

* Ghaoutah Mohamed Ahmed Baba - census official

* Mustapha El Barazani – founder member and representative at the Organisation of African Unity

* Mustapha Bouh - Political Commissar for Sahrawi Popular Army of Liberation.

* Bachir Dkhill - Founding member of the Polisario, representative of the organization in several countries and organizations.

* Guajmoula Bent Ebbi - member of the Politburo, and today Moroccan MP.

* Sidati Mohamed Abdellahi alias Sidati El Ghallaoui - representative of the Polisario in Italy and Malta.

* Omar Hadrami –founding member of the Front and member of the Politburo.

* Mohamed Abdelkader Ould Mohamed Oul Habiboullah Ould Haibelti - Held several top positions before heading the Sahrawi Republic-radio

* Brahim Hakim - Former foreign minister of the RASD and representative of the Polisario in North America.

* Maâlainine Mohamed Khaled - Polisario observer at MINURSO in Mauritania (5-7-2005)

* Boullahi El Khalifa - Director of Polisario radio broadcasting

* Mohamed Salem Khatri

* Keltoum Khayati - Formerly in charge of the organization of women.

* Ayoub Lahbib - Founder member of the Polisario and member of the Executive Committee

* Abderrahmane Leibek – Polisario member

* Mohamed Ahmed ben Omar Ouled M'Brirek - Polisario representative for the identification of Sahrawis

* Ahmed Moulay M’Hamed - Head of the Security Services

* Lfdal Malainine – director at the Education Ministry

* Ghoulam Najem Mouichane - representative in Germany

* Ahmed Ould Mohamed Abderrahman Cheikh Abdelaziz Rabani

* Hametti Rabani - Minister for Justice and Cults

* Mohamed Abdellahi Ould Mohamed El Mostapha Rabani - Lawyer

* El Haj Abdellah Ould Abdelkader Ould Rabani – Journalist

* Merrebih Rebbou

* Ahmed Ould Saleh - personal secretary of Ayoub Lahbib

* Baba Mustapha Sayed - Representative of the Polisario in Canada. Brother of El-Ouali Mustapha Sayed, founder and the Polisario

* Bachir Mustapha Sayed - foreign minister and coordinator with the MINURSO. A brother of El-Ouali Mustapha Sayed.

* Bouchaâb Yahdih - reprenstative of Polisario in France

* Cheikh Ali El Bouhali Hnini

* Daifallah Yahdih - former census official

* Cheikh El Mahjoub Ould M'Hamed Salem Ould Erraha - former census official

Sinon pk personne n'a repondu á mon message? ;)
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