Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Guerre Ethiopie-islamistes somaliens.


Messages recommandés

Les américains visaient Al-Qaeda exclusivement ? Ou ils visaient aussi les islamistes en guerre avec l'Ethiopie ? Je comprends pas pourquoi aussi, les américains avaient du mal quand ils étaient là-bas, alors que les ethiopiens ont été rapides pour mettre les islamistes en déroute. ça ne devait pas être le même contexte.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 112
  • Created
  • Dernière réponse

les ethiopiens sont moins regardants sur leurs pertes et les dommages collatéraux...et puis ils connaissent mieux la region, ont engagé des forces conséquentes (T55, Mi8, Mig23 et 27 etc....) Ils n'ont pas peur d'entrer en contac et peuvent s'appuyer sur une partie des troupes loyalistes au gouvernement officiel (légitime ???) somalien

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

les ethiopiens sont moins regardants sur leurs pertes et les dommages collatéraux...et puis ils connaissent mieux la region, ont engagé des forces conséquentes (T55, Mi8, Mig23 et 27 etc....) Ils n'ont pas peur d'entrer en contac et peuvent s'appuyer sur une partie des troupes loyalistes au gouvernement officiel (légitime ???) somalien

Je savais pas que les ethiopiens avaient autant de matos, même s'il est vétuste.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Su-27 Ethiopiens contre MiG-29 hérytréens en 1999 : 3 a 0 [08] Cela avait était une vraie guerre de tranchée entre ces 2 pays, et les fournisseurs d'armes avait fait fortune dans le coin. Pour CVS, quand les américains sont intervenu il y a 13, c'était uniquement car les bonnes ames pleurait devant le spectacle télévisé des habitants du pays en proie à la famine et que l'ONU n'arriverait pas à normaliser la situation (une section entiére de Pakistanais à était perdu dans des combats contre les Warlords), ils ont envoyés des forces spéciales sans blindés et ont lancé plusieurs raids pour tenter de calmer le jeu, mais l'une de ces missions s'est mal passé, et l'opinion publique US à retourné sa veste, d'ou retrait des forces d'un théatre d'opération non stratégique. C'est une des raisons qui ont fait qu'en 95, quasiment personne ne soit allez au Rwanda, ce faire tirer alors qu'alors qu'ont venait aider, cela à refroidit les ardeurs.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

les ethiopiens sont moins regardants sur leurs pertes et les dommages collatéraux...et puis ils connaissent mieux la region, ont engagé des forces conséquentes (T55, Mi8, Mig23 et 27 etc....) Ils n'ont pas peur d'entrer en contac et peuvent s'appuyer sur une partie des troupes loyalistes au gouvernement officiel (légitime ???) somalien

La superiorité en puissance de feu ne signifie pas grand chose et la brutalité ne servent pas à grand chose si une guerrilla apparait.

Si j'etais à leur place je ne resterais pas longtemps dans le coin.Les bourbiers sont vraiment trop couteux,surtout quand on a un petit voisin hostile et dur à cuir au nord.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour rappel, l'armée américaine avait entamé en décembre 1992 Petit copier coller d'un article suisse concernant les opérations antérieures : l'opération «Restore Hope», prolongée dès mai 1993 par l'opération onusienne Onusom II. Les deux opérations ont été des fiascos: 152 Casques bleus ont été tués, les Américains ont perdu 30 hommes dans la traque infructueuse du chef de guerre Mohamed Farah Aïdid. La déroute américaine atteignait son comble le 3 octobre 1993 avec la mort de 18 Marines dont des corps seront traînés dans les rues de Mogadiscio. J'ajoute qu'avant leur départ, les casques bleus se sont fait cambrioler, des millions de $ en liquide ont disparut des coffres.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Somalie : Les vestiges des camps jihadistes

En l’espace de 24 heures, le 27 décembre, la plupart des responsables des tribunaux islamiques ont fui la capitale somalienne pour se réfugier dans le sud du pays, à Kismayo. Puis, alors que les troupes éthiopiennes les encerclaient, ils se sont dirigés vers la frontière avec le Kenya. La semaine dernière, les Etats-Unis ont bombardé plusieurs localités dans cette zone forestière, dans le cadre de la traque contre des responsables présumés d’al-Qaïda. A Mogadiscio, beaucoup de miliciens sont restés avec leurs armes, suscitant l’inquiétude de la population. Le cimetière italien, profané en janvier 2005, était l’un des camps d’entraînement les plus célèbres de ces jihadistes.

Un dôme aux murs blancs décrépis. Des tombes à ossements où s’amoncellent des douilles de canons et des mines anti-tanks. Un canon de 85 millimètres de fabrication russe gît à quelques mètres d’un camion rouillé. Dans l’extrême nord-ouest de Mogadiscio, le cimetière italien fait figure de musée macabre et constitue encore l’un des endroits les plus dangereux de la capitale.

Malgré une escorte armée, les journalistes étrangers ne peuvent s’aventurer seuls ici. Nous sommes accompagnés du général Mohamed Nur Galal. Les yeux rieurs, le visage bonhomme, affublé d’un tee-shirt délavé et d’un vieux pantalon à pinces, qui pourrait deviner que cet homme est un général trois étoiles, ancien ministre et chef des renseignements sous Siad Barré, commandant les forces rebelles au début des années 90 qui a bouté hors de Mogadiscio l’ancien dictateur ?

Appartenant au sous-clan Ayr (Haber Gedir), principal soutien des tribunaux islamiques, le général, qui par sa position d’homme respecté a pu rester relativement neutre durant ces six derniers mois, déambule dans le cimetière et désigne un large trou creusé dans la terre et caché par des broussailles. «Ici, en janvier 2005, les tribunaux islamiques ont creusé un trou et retiré tous les corps pour les jeter un peu partout dans la ville. J’ai personnellement aidé à ramasser les 1200 corps pour les renvoyer en Italie.» «La population vit dans la peur»

Après la profanation du cimetière, les tribunaux islamiques ont transformé cet endroit en camp d’entraînement de leurs milices shabab. Pendant deux ou trois mois, ces centaines d’hommes recrutés partout dans le pays et à l’étranger apprenaient les rudiments du Coran et surtout le maniement des armes. Parmi les détritus, j’aperçois un cahier d’écolier à la couverture bleu ciel, dont les coins semblent avoir été dévorés par les rongeurs. En le feuilletant, nous découvrons de longs paragraphes écrits en arabe, et de temps à autre, sur une pleine page, des dessins au stylo à bille coloriés en jaune et rouge. «Deux mines attachées ensemble, reconnaît le général Galal. Des explosifs et des canons. Ce cahier a dû appartenir à l’un des miliciens qui, dans sa fuite, l’a abandonné ici.»

En l’espace de quelques heures, les responsables des tribunaux islamiques ont fui la capitale, laissant la majorité de leurs stocks d’armes à la Villa Somalia ou dans d’autres quartiers généraux. Ces jihadistes, dont le nombre est estimé à 3 000, étaient commandés par Adan Hashi «Ayro», jeune protégé de Hassan Dahir Aweys, entraîné en Afghanistan, accusé de nombreux meurtres et qui a transmis sa science des explosifs aux milices de Mogadisio pendant plusieurs années. Selon plusieurs sources, il aurait fui avec ses deux épouses en Europe.

«La plupart des shabab sont encore à Mogadiscio, avec leurs armes, explique un membre de la société civile. Nous les voyons dans les rues, aux mêmes endroits qu’avant. La population vit dans la peur.»

---------------------------------

C'est la premiére fois que j'entend parler de ces violations de sépultures à grande échelle;

Dire que j'estimé que la situation du cimetiére de Mers El Kébir était un scandale; ces types n'ont aucun respect et n'en mérite aucun.[52]

Le comportement crétin de certains soldats Allemands en Afghanistan à fait le tour du monde et la silence radio, on se dit qu'il y a vraiment 2 poids, 2 mesures [20]

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je me permets de remonter ce sujet pour placer cette information. Comme quoi, les Ethiopiens ont eu la sagesse de ne pas rester longtemps en Somalie...

Les soldats éthiopiens commencent à quitter la Somalie

[23/01/2007 19:21]

NAI101-0123070548

MOGADISCIO (AP) -- Les soldats éthiopiens, dont la puissance militaire a été cruciale pour aider le gouvernement somalien à chasser la milice islamique, ont commencé à se retirer du pays mardi.

Le porte-parole du gouvernement somalien, Abdirahman Dinari, a rappelé la contribution de l'Ethiopie au départ des miliciens de Mogadiscio et de la majeure partie du sud du pays. Mais il a souligné qu'il était temps pour les soldats d'Addis Abeba de partir.

«Depuis aujourd'hui, les troupes éthiopiennes ont commencé à se retirer de la Somalie. Nous sommes reconnaissants du rôle important qu'ils ont joué dans le rétablissement de l'ordre dans le pays», a explique Abdirahman Dinari. Le porte-parole du gouvernement éthiopien, Zemedkun Tekle, a confirmé le retrait, sans autres précisions.

L'intervention de l'Ethiopie le mois dernier a permis une avancée militaire importante. Sans les chars et avions de combat d'Addis Abeba, le gouvernement somalien contrôlait une seule ville et ne pouvait pas entrer dans la capitale, aux mains de l'Union des tribunaux islamiques.

Reste que la situation est loin d'être sous contrôle dans ce pays de la Corne de l'Afrique, où subsistent les rivalités ethniques, le ressentiment à l'égard du voisin éthiopien et la menace que représentent toujours les miliciens.

Ce retrait souligne la nécessité de déployer une force de maintien de la paix dans le pays. Le conseil paix et sécurité de l'Union africaine a approuvé l'envoi d'environ 8.000 soldats pour une mission de six mois qui pourrait ensuite céder la place aux casques bleus. AP

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 months later...

ce jour ( 29 mars ), les Ethiopiens sont bien présents et appuient fortement l'arm ée "régulière"... Question : ne vont-ils pas vers l'enlisement dans cette Somalie de tous les dangers ? Et pas d'infos sur l'aide apportée par les USA... A quand donc aussi la reprise du conflit avec l'Erythrée ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 7 months later...
  • 8 years later...

10 ans plus tard, le bilan n'y pas glorieux avec des rumeurs sur des troupes éthiopiennes se serait entre combattus et que plusieurs villes en Somalie ont étaient abandonné pour raisons officiellement financières  

http://www.rfi.fr/afrique/20161027-somalie-le-retrait-troupes-ethiopiennes-lie-contraintes-financieres

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 966
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Aure-Asia
    Membre le plus récent
    Aure-Asia
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...