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Résilience à une nouvelle pandémie


Invité grinch
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Messages recommandés

Le président placé à l'isolement, 30 cas confirmés

La présidence de la république portugaise a annoncé que Marcelo Rebelo de Sousa suspendait toutes ses activités publiques afin de rester chez lui.

https://5minutes.rtl.lu/actu/monde/a/1480045.html

Quote

Tous ses rendez-vous ainsi que déplacements dans le pays ou à l'étranger endéans les deux prochaines semaines ont été annulés ou reportés. Il restera sous surveillance médicale pendant la période de quarantaine. Le présidence a annoncé vouloir montrer l'exemple en prenant une décision forte et concrète.

 

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Il y a 11 heures, christophe 38 a dit :

quant à l'OMS, ils ont envoyé du monde là bas, qui peut donc croiser ce qu'ils constatent avec ce qu'on leur déclare.

Justement, as tu passé du temps à revoir la conférence de presse de l'OMS après le retour de leur délégation ?

Ça a duré près de 2 heures, mais tu devrais...

Henri K.

P.S. J'avais même posté la vidéo ici le 26 Février : 

 

Modifié par Henri K.
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Le 26/02/2020 à 14:19, rogue0 a dit :

Une bonne nouvelle, source en français.
La Chloroquinine a été jugée efficace pour traiter les symptômes du COVID-19, après traitement de patients chinois.
C'est un médicament déjà largement disponible, et à 10 centimes la pilule
(bon, vu les effets secondaires, ça ne sera pas utilisé en préventif, seulement en curatif)

http://french.xinhuanet.com/2020-02/05/c_138758154.htm

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/probablement-le-traitement-le-plus-simple-pour-traiter-le-coronavirus-les-specialistes-senthousiasment-pour-la-chloroquine-deja-utilisee-contre-le-paludisme_3841305.html

Déplacé du fil "impact économique".

1)Il y a plein de médicaments avec de larges effets secondaires (positifs ou négatifs): cf l'aspirine...

2) En fait, dans l'urgence, les chercheurs avaient commencé par retester tous les médicaments existants ayant eu un effet sur d'autres coronavirus, ou virus (VIH, SRAS, MERS, grippe, etc).
(gros avantage : médicament déjà connu, validé pour les patients humains, avec effets secondaires connus)

La chloroquine avait déjà eu des effets sur le SRAS, in vitro.
Les chercheurs chinois ont prouvé l'effet sur les patients atteints de COVID-19, et donné une idée du dosage efficace.

https://vih.org/20200220/les-molecules-anti-vih-a-la-rescousse-de-lepidemie-de-covid-19/
https://francais.medscape.com/voirarticle/3605674

Pour le mécanisme d'action, je ne suis pas un sachant, je cite les chercheurs:

https://virologyj.biomedcentral.com/articles/10.1186/1743-422X-2-69

 

Si ce traitement s'avérait efficace, il est rare en Europe. Les chinois le produisent et le réservent en priorité à leurs besoins.

https://www.cairn.info/revue-mondes-en-developpement-2015-2-page-21.htm#

Sur le monopole Novartis ... du traitement développé par les laboratoires militaires chinois

1.4 De la première combinaison à dose fixe au contrat OMS/Novartis : émergence d’un marché public sous monopole

En accord avec les autorités nationales, des contacts sont pris avec la firme multinationale suisse Novartis (anciennement Ciba-Geigy). Les deux partenaires développent la combinaison à dose fixe pour l’international. Un brevet est déposé sur la formulation de l’association par la Chine et une licence exclusive d’exploitation en dehors de la Chine est concédée à Novartis. En 1998, l’entreprise multinationale obtient une première autorisation de mise en marché de la CDF qu’elle commercialisera sous le nom de marque Riamet pour le Nord et Coartem pour le Sud.

1.6 Malgré une diversification de l’offre, un marché public toujours sous domination de Novartis

Sur l'absence de stocks:

déconnexion entre une offre organisée au plan global et des demandes nationales, l’ajustement des capacités de production se heurte à l’instabilité de la demande et aux difficultés de prévisions rencontrées par les grandes organisations internationales. Celles-ci sont, en effet, fortement dépendantes des politiques sanitaires nationales, mais aussi des procédures d’agrément et d’accès aux subventions, des capacités de subventionnement, donc, plus généralement, des questions de prix et de solvabilité. Or, les CTA sont des médicaments à courte durée de vie (24 mois environ) et donc difficilement stockables. De ce fait, face à la nécessité de croissance des capacités de production, les industriels concernés manifestent une certaine réticence par la crainte de capacités excédentaires.

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il y a une heure, neoretro a dit :

Si ce traitement s'avérait efficace, il est rare en Europe. Les chinois le produisent et le réservent en priorité à leurs besoins.

https://www.cairn.info/revue-mondes-en-developpement-2015-2-page-21.htm#

Sur le monopole Novartis ... du traitement développé par les laboratoires militaires chinois

1.4 De la première combinaison à dose fixe au contrat OMS/Novartis : émergence d’un marché public sous monopole

En accord avec les autorités nationales, des contacts sont pris avec la firme multinationale suisse Novartis (anciennement Ciba-Geigy). Les deux partenaires développent la combinaison à dose fixe pour l’international. Un brevet est déposé sur la formulation de l’association par la Chine et une licence exclusive d’exploitation en dehors de la Chine est concédée à Novartis. En 1998, l’entreprise multinationale obtient une première autorisation de mise en marché de la CDF qu’elle commercialisera sous le nom de marque Riamet pour le Nord et Coartem pour le Sud.

1.6 Malgré une diversification de l’offre, un marché public toujours sous domination de Novartis

Sur l'absence de stocks:

déconnexion entre une offre organisée au plan global et des demandes nationales, l’ajustement des capacités de production se heurte à l’instabilité de la demande et aux difficultés de prévisions rencontrées par les grandes organisations internationales. Celles-ci sont, en effet, fortement dépendantes des politiques sanitaires nationales, mais aussi des procédures d’agrément et d’accès aux subventions, des capacités de subventionnement, donc, plus généralement, des questions de prix et de solvabilité. Or, les CTA sont des médicaments à courte durée de vie (24 mois environ) et donc difficilement stockables. De ce fait, face à la nécessité de croissance des capacités de production, les industriels concernés manifestent une certaine réticence par la crainte de capacités excédentaires.

Attention tu confonds 2 gammes de médicaments anti paludiques

La chloroquine qui est un vieux produit assez facilement accessible (enfin jusqu'à il y'a un ou deux mois, quand on s'est rendu compte qu'il avait un pouvoir tératogène et que les recommandations ont changée, imposant une contraception chez l'homme comme chez la femme de 12 ou 18 mois après la prise)

et les CTA ou combinaison a base d'artémisinine qui elles sont récentes et sous quasi monopole Novartis

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Il y a 4 heures, Henri K. a dit :

Justement, as tu passé du temps à revoir la conférence de presse de l'OMS après le retour de leur délégation ?

Ça a duré près de 2 heures, mais tu devrais...

Henri K.

P.S. J'avais même posté la vidéo ici le 26 Février : 

 

jutement, non !

d'une part, je ne suis pas technicien ni medecin, donc incapable de comprendre, c'est à dire d'apprécier..

ensuite, je parle français et je pense bien le comprendre... pas l'anglais ni autre langue, surtout dans les subtilités

enfin, ce n'est pas que je sois pressé, mais visionner 2 heures de conférence pour en extraire quelques secondes qui répondront à mes questions... je passe mon tour.

désolé.

 

Il n'empeche que je suis (de naissance) sceptique : je ne crois pas sur parole un état, encore moins une dictature qui emprisonne ceux qui parlent (le medecin lanceur d'alerte) par peur de devoir modifier son systeme de vie ou pour ne pas déplaire aux étages superieurs. ça passe aussi par le filtre d'internet ou les cameras à reconnaissance faciale..

Là bas, je serai en camp de concentration, si j'étais encore vivant. Je me pose trop de questions (qui dérangent)

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Je retiens quelques  éléments inquiétant : en Italie la cotamination touche plus de 6000 personnes et a causé plus de 300 morts donc 5 %

En Chine la situation a été maîtrisée par des mesures de confinement drastiques (les images de rue désertes) or chez nous la contamination va se propager dans les supermarchés...jusqu'à quel stade, a partir de quel moment le système hospitalier va-t-il craquer ? (plus de place, personnel malade à X %)...

Je suis très sceptique face aux déclarations optimistes sur l'efficacité des traitements

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Voilà la vision du côté des vivants pour la France et la Belgique. Plus de test faute de réactif (même décision qu'en France, on arrête les tests) et pas assez de lits : on a fait les choix de laisser passer les "anciens" à supposer qu'ils soient les seuls concernés… On s'en remet à l'invocation : prenons soin de nos anciens, protégeons-les, c'est moins cher que d'ouvrir des lits en dégageant des crédits.

Un choix pas très humain pour un pays riche. Un mélange de négligence et de cynisme en fait qui a une conséquence : l'impuissance. 

https://www.levif.be/actualite/belgique/coronavirus-il-faut-craindre-des-victimes-collaterales-en-belgique/article-normal-1261539.html

En France on a consulté le Comité éthique. Cela évitera des recours juridique en responsabilité après le pic ou du moins permettra de défendre les choix que les experts ont validé concernant la sélection des personnes à soigner et celles à renvoyer à leur famille et qui ne seront pas comptabilisées,faute d'avoir été testées, dans le bilan de la maladie et du "crash test" du système hospitalier .

Côté Italie, l'OMS a salué l'effort salutaire du pays qui va débloquer 8 milliards (Pour mémoire 200 millions pour la France sur dégel de crédits non distribués aux hôpitaux l'an dernier…) pour embaucher 20.000 personnels soignants et augmenter les lits de réanimation de 50%.

https://www.rtl.fr/actu/international/coronavirus-l-italie-envoie-20-000-renforts-dans-ses-hopitaux-7800218735

Si la France faisait comme ses voisins, cela représenterait 2500 lits ouverts pour sauver des vies (en plus de 5000 actuels dont seulement 500 disponibles si on en croit les stats), soit ce que les Chinois ont ouvert avec leurs 2 hôpitaux médiatisés (2700 lits). Les chinois ont créés plus de 10 hôpitaux sur la seule région de Wuhan et plus de 44 dans le pays. La fin du pic, après les mesures, parait il inutiles, prises à la mi-février, leur a permis un retour plus proche de la normale qui est maintenant gérable dans les hôpitaux normaux et de fermer 9 hôpitaux de campagne sur la seule région de Wuhan...

Avec l'épidémie de grippe actuelle cela éviterait d'autres morts si on avait des moyens dans les mêmes proportions que certains de nos voisins.

Je ne comprends toujours pas quels arbitrages (en dehors de celui d'enterrer la médecine hospitalière avec ses patients) justifient un tel traitement du corps médical.

 

Quelques hôpitaux de campagne NRBC avec beaucoup de lits de réanimation, en commande et l'embauche de personnels soignants, ce serait peut-être bien pour les crises.

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il y a 55 minutes, neoretro a dit :

Si la France faisait comme ses voisins, cela représenterait 2500 lits ouverts pour sauver des vies (en plus de 5000 actuels dont seulement 500 disponibles si on en croit les stats), soit ce que les Chinois ont ouvert avec leurs 2 hôpitaux médiatisés (2700 lits). Les chinois ont créés plus de 10 hôpitaux sur la seule région de Wuhan et plus de 44 dans le pays. La fin du pic, après les mesures, parait il inutiles, prises à la mi-février, leur a permis un retour plus proche de la normale qui est maintenant gérable dans les hôpitaux normaux et de fermer 9 hôpitaux de campagne sur la seule région de Wuhan...

La France semble avoir plus de lits/habitants que la Chine ou l'Italie. C'est d'ailleurs assez étonnant de voir le nombre réduit de lits/habitants côté italien quand on connaît sa pyramide démographique. A voir ensuite si ces données sont valables/comparables : qu'appelle-t-on un lit dans chacun des pays ? quels moyens humains et techniques y attache-t-on ?

https://www.cia.gov/library/publications/the-world-factbook/fields/360.html

 

Modifié par Skw
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Côté nombre de lits on n'est pas mauvais

https://data.oecd.org/fr/healtheqt/lits-d-hopitaux.htm

Pour une étude complète ce rapport très complet :

https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/es2015.pdf

Là où on est moins bons c'est sur les lits de réanimation qui sont les plus coûteux. Mais c'est un point commun à beaucoup de pays vu leur coût.

https://data.oecd.org/fr/healtheqt/lits-d-hopitaux.htm

Le Japon et la Corée font la course en pointe avec 2 fois plus de lits par habitant ce qui explique leur capacité à prendre en charge les malades les plus graves et leur politique de dépistage très généreuse visant à assurer un maximum de sécurité aux patients

 

Conséquence du nombre de tests effectués, ils sont en apparence les plus touchés...

il y a 10 minutes, Henri K. a dit :

On met toujours le confinement comme la raison du "succès" de la Chine à contenir l'épidémie, or la réalité est que le confinement n'est qu'un maillon parmi tant d'autres. On peut citer quelques uns ici :

  • Une gestion centralisée de la crise, avec un appui politique fort
  • Une capacité de production industrielle omni-directionnelle, et mobilisable à un temps très court
  • Des forces scientifiques (armée, industriel, académique...) rodées et très impliquées dans l'analyse et la recherche des différentes solutions.
  • Plus de 40000 personnels médicaux (militaires et civils) ont été "injectés" en masse dans l'épicentre, une partie avec de l'expérience dans la lutte de SARS, MERS et Ebola en Chine et ailleurs
  • Les civils beaucoup plus disciplinés et "aware" du danger que ça peut présenter
  • Une campagne de communication assez bien en place, pour informer le peuple des dernières directives institutionnelles
  • ...etc...etc

"Copier" l'exemple de la Chine chez soi n'est pas un exercice facile. Un maillon de moins et on aura un résultat très différent.

La suite nous dira...

Henri K.

C'est parfaitement résumé.

La France avait ça avec son service de santé des armées et ses hôpitaux de campagne sans compter ses centres NRBC. Les redoter et les reconstruire serait un mimima en cas de coup dur comme à présent et un soutien à la médecine civile pour les crises.

On paye le prix des économies sur le nombre et la qualité des hommes et des équipements.

De même sur l'outil industriel qui fait pitié.

J'oublie toute la contribution du civil qui était parfaitement structurée

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il y a 51 minutes, Skw a dit :

La France semble avoir plus de lits/habitants que la Chine ou l'Italie. C'est d'ailleurs assez étonnant de voir le nombre réduit de lits/habitants côté italien quand on connaît sa pyramide démographique. A voir ensuite si ces données sont valables/comparables : qu'appelle-t-on un lit dans chacun des pays ? quels moyens humains et techniques y attache-t-on ?

https://www.cia.gov/library/publications/the-world-factbook/fields/360.html

 

J'ai cité quelques sources officielle supra.

Le rapport drees nuance la question du "lit", c'est bien plus complexe.

Mais pour un virus qui exige les soins intensifs : respiration artificielle, haute capacité d'analyse bactériologique des sources d'infections pulmonaire, dyalises et autres joyeusetés, la notion de lit est assez simple à comprendre du côté matériel, l'OMS passe son temps à définir la notion avec la liste des équipements, personnel inclus.

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Comment ça se passe de l’autre côté des Alpes ? Voici quelques instantanés

Et non je ne parle pas italien, mais la traduction automatique fonctionne tout à fait correctement merci pour elle

Des gens meurent maintenant que nous aurions sauvés il y a trois semaines

MILAN. «Des gens que nous aurions sauvés il y a jusqu’à trois semaines meurent maintenant. C’est une guerre.  » La petite chronique est celle d’un diplômé de l’hôpital de Bergame qui demande à rester anonyme. « Au cours des 48 dernières heures, j’en ai dormi trois », dit-il, car pendant 17 jours, il s’est retrouvé dans l’urgence du coronavirus dans laquelle la Lombardie a sombré. «Il y a aussi la vague de collègues infectés», dit-il, «et ça fait une drôle d’impression d’admettre ceux qui jusqu’à la veille étaient avec vous de l’autre côté

60% de la population italienne pourrait être contaminée (si les comportements ne changent pas)

« Italiens, restez à la maison si vous le pouvez » est l’appel d’un Walter Ricciardi choqué « par ces Italiens qui étaient tranquillement encombrés par la mer ce dimanche pour manger du poisson ou prendre un apéritif comme si de rien n’était »
(…) « Le problème – essayez de faire comprendre aux gens qui minimise Ricciardi – est qu’aujourd’hui, beaucoup de raisons croient que la possibilité d’être infecté est en tout cas une possibilité éloignée, car ils jugent les plus de 7 000 positifs à ce jour aussi peu que le fait qu’en Italie, nous sommes 60 millions « . Un discours qui pour l’épidémiologiste ne résiste pas. « Ceux qui pensent ainsi ne savent pas qu’un virus de ce type peut se développer sans trouver de résistance, car un vaccin manque et parce qu’étant nouveau, toute la population n’a pas d’anticorps pour y faire face ». Mais s’étendre jusqu’où ? Les courbes des graphiques élaborées par les épidémiologistes, non seulement en Italie, indiquent jusqu’à 60% de la population, ce qui, en observant les taux de létalité actuels, signifierait compter plus d’un million de décès et assommer nos hôpitaux, qui avec tant d’accès ne pourraient plus guérir ni les patients coronavirus ni ceux atteints d’autres pathologies graves, lesquelles ne se mettent pas en grève. »

Nous devons choisir qui traiter et qui ne pas traiter, comme dans toute guerre. Restez à la maison !

«A l’intérieur de la salle d’urgence, une grande salle avec vingt lits a été ouverte, qui n’est utilisée que pour des événements de masse. Nous l’appelons Pemaf, ou plan d’urgence pour le maxi-influx. C’est là que se fait le triage, ou le choix.  »
(…) «Dire qu’ils ne meurent pas du coronavirus est un mensonge amer. Ce n’est même pas respectueux de ceux qui nous quittent. Ils meurent du Covid-19, car sous sa forme critique, la pneumonie interstitielle affecte les problèmes respiratoires antérieurs, et le patient ne peut plus supporter cette situation. La mort est causée par le virus, pas par autre chose »
(…) Et vous médecins, pouvez-vous endurer cette situation?
«Certains en sortent écrasés. Cela arrive au petit jeune et au garçon nouvellement arrivé qui se retrouve tôt le matin à devoir décider du sort d’un être humain. A grande échelle, je le répète »
(…) Que pensez-vous des dernières mesures gouvernementales? « Peut-être qu’elles sont un peu génériques. Le concept de fermeture du virus dans certaines zones est correct, mais il arrive avec au moins une semaine de retard. Ce qui compte vraiment, c’est autre chose ».
Quoi?
« Restez à la maison. Restez à la maison. Je ne me lasse pas de le répéter. Je vois trop de gens dans la rue. La meilleure réponse à ce virus est de ne pas faire le tour. Vous n’imaginez pas ce qui se passe ici. Restez à la maison. »
(…) Trouvez-vous une explication à tout cela?
«Je ne cherche pas. Je me dis que c’est comme une chirurgie de guerre. Nous essayons seulement de sauver la peau de ceux qu’on peut. Voilà ce qui se passe.

 

C’étaient des instantanés de la zone la plus touchée de France le 16 mars… pardon, je veux dire d’Italie le 8 mars.

Compte tenu des 8 jours de décalage.

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il y a 16 minutes, Alexis a dit :

Comment ça se passe de l’autre côté des Alpes ? Voici quelques instantanés

Et non je ne parle pas italien, mais la traduction automatique fonctionne tout à fait correctement merci pour elle

Des gens meurent maintenant que nous aurions sauvés il y a trois semaines

MILAN. «Des gens que nous aurions sauvés il y a jusqu’à trois semaines meurent maintenant. C’est une guerre.  » La petite chronique est celle d’un diplômé de l’hôpital de Bergame qui demande à rester anonyme. « Au cours des 48 dernières heures, j’en ai dormi trois », dit-il, car pendant 17 jours, il s’est retrouvé dans l’urgence du coronavirus dans laquelle la Lombardie a sombré. «Il y a aussi la vague de collègues infectés», dit-il, «et ça fait une drôle d’impression d’admettre ceux qui jusqu’à la veille étaient avec vous de l’autre côté

60% de la population italienne pourrait être contaminée (si les comportements ne changent pas)

« Italiens, restez à la maison si vous le pouvez » est l’appel d’un Walter Ricciardi choqué « par ces Italiens qui étaient tranquillement encombrés par la mer ce dimanche pour manger du poisson ou prendre un apéritif comme si de rien n’était »
(…) « Le problème – essayez de faire comprendre aux gens qui minimise Ricciardi – est qu’aujourd’hui, beaucoup de raisons croient que la possibilité d’être infecté est en tout cas une possibilité éloignée, car ils jugent les plus de 7 000 positifs à ce jour aussi peu que le fait qu’en Italie, nous sommes 60 millions « . Un discours qui pour l’épidémiologiste ne résiste pas. « Ceux qui pensent ainsi ne savent pas qu’un virus de ce type peut se développer sans trouver de résistance, car un vaccin manque et parce qu’étant nouveau, toute la population n’a pas d’anticorps pour y faire face ». Mais s’étendre jusqu’où ? Les courbes des graphiques élaborées par les épidémiologistes, non seulement en Italie, indiquent jusqu’à 60% de la population, ce qui, en observant les taux de létalité actuels, signifierait compter plus d’un million de décès et assommer nos hôpitaux, qui avec tant d’accès ne pourraient plus guérir ni les patients coronavirus ni ceux atteints d’autres pathologies graves, lesquelles ne se mettent pas en grève. »

Nous devons choisir qui traiter et qui ne pas traiter, comme dans toute guerre. Restez à la maison !

«A l’intérieur de la salle d’urgence, une grande salle avec vingt lits a été ouverte, qui n’est utilisée que pour des événements de masse. Nous l’appelons Pemaf, ou plan d’urgence pour le maxi-influx. C’est là que se fait le triage, ou le choix.  »
(…) «Dire qu’ils ne meurent pas du coronavirus est un mensonge amer. Ce n’est même pas respectueux de ceux qui nous quittent. Ils meurent du Covid-19, car sous sa forme critique, la pneumonie interstitielle affecte les problèmes respiratoires antérieurs, et le patient ne peut plus supporter cette situation. La mort est causée par le virus, pas par autre chose »
(…) Et vous médecins, pouvez-vous endurer cette situation?
«Certains en sortent écrasés. Cela arrive au petit jeune et au garçon nouvellement arrivé qui se retrouve tôt le matin à devoir décider du sort d’un être humain. A grande échelle, je le répète »
(…) Que pensez-vous des dernières mesures gouvernementales? « Peut-être qu’elles sont un peu génériques. Le concept de fermeture du virus dans certaines zones est correct, mais il arrive avec au moins une semaine de retard. Ce qui compte vraiment, c’est autre chose ».
Quoi?
« Restez à la maison. Restez à la maison. Je ne me lasse pas de le répéter. Je vois trop de gens dans la rue. La meilleure réponse à ce virus est de ne pas faire le tour. Vous n’imaginez pas ce qui se passe ici. Restez à la maison. »
(…) Trouvez-vous une explication à tout cela?
«Je ne cherche pas. Je me dis que c’est comme une chirurgie de guerre. Nous essayons seulement de sauver la peau de ceux qu’on peut. Voilà ce qui se passe.

 

C’étaient des instantanés de la zone la plus touchée de France le 16 mars… pardon, je veux dire d’Italie le 8 mars.

Compte tenu des 8 jours de décalage.

 

Très moche et aucune solidarité européenne parce que tout le monde est aussi moche/nul/imprévoyant. Du sauve qui peut et du chacun pour soi à la louche en se moquant des autres qui dépensent sans compter et dans la plus grande confusion, hommes et moyens, pour lutter contre ce fléau et qui "ne seraient vraiment pas raisonnables tant ils exagèrent".

Imposer cela à un tel niveau aux soignants et aux familles des patients est indigne. Surtout que, malheureusement, rien n'indique que ce virus aura une fin à brève échéance.

Une débâcle et aucun sursaut pour le moment à part s'occuper, bien vainement, du cours de la bourse qui n'en est que la conséquence et qui peut se remettre en quelques jours si la situation est correctement gérée.

Il reste quelques heures pour prendre les dernières arbitrages. Des exemples cités par l'OMS existent (Chine, Corée, Italie…). On ne pourra plus dire qu'on ne savait pas.

il y a 29 minutes, Alexis a dit :

Walter Ricciardi

Professor Walter Ricciardi graduated with a degree in medicine in 1986 and a doctorate in public health medicine in 1990from the University of Naples. He currently holds the title of Professor of Hygiene and Public Health at the Università Cattolica del Sacro Cuore in Rome where he is also Director

https://www.lastampa.it/cronaca/2020/02/23/news/coronavirus-walter-ricciardi-dell-oms-grave-errore-non-mettere-in-quarantena-le-persone-arrivate-in-italia-dalla-cina-1.38504030

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https://www.lanouvellerepublique.fr/niort/coronavirus-les-masques-pour-les-professionnels-de-sante-sont-arrives-en-deux-sevres

Ce mercredi 4 mars, quatre médecins français, par l'intermédiaire de Me Fabrice Di Vizio, ont d'ailleurs saisi le tribunal administratif de Paris "pour exiger de l’Etat la fourniture de masques FFP2 à tous les médecins généralistes libéraux exerçant sur le territoire national".

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L'infectiologie du coronavirus 2019 varierait en fonction de la température, avec un pic de dangerosité à 8,72°C. Mais c'est plus compliqué si on tient compte de l'humidité.

https://www.scmp.com/news/china/science/article/3074131/coronavirus-highly-sensitive-high-temperatures-dont-bank-summer (8 mars 2020)

L'équipe de Canton a basé son étude sur chaque nouveau cas de coronavirus confirmé dans le monde entre le 20 janvier et le 4 février, y compris dans plus de 400 villes et régions chinoises. Ces cas ont ensuite été modélisés en fonction des données météorologiques officielles de janvier provenant de toute la Chine et des capitales de chaque pays touché. L'analyse a montré que le nombre de cas a augmenté en fonction des températures moyennes jusqu'à un pic de 8,72 degrés Celsius, puis a diminué.

Toutefois, une étude distincte menée par un groupe de chercheurs, dont l'épidémiologiste Marc Lipsitch de l'école de santé publique T.H. Chan de Harvard, a révélé qu'une transmission soutenue du coronavirus et la croissance rapide des infections étaient possibles dans toute une série de conditions d'humidité - des provinces froides et sèches de Chine aux régions tropicales, comme la région autonome de Guangxi Zhuang à l'extrême sud du pays et Singapour.

Est-ce que les gouvernements ne devraient pas inverser toutes les consignes d'économies d'énergie et demander à tous les Français de chauffer leur logement et leur locaux accueillant du public à 22° plutôt qu'à 18 ? De la même façon, ne faudrait-il pas avoir une consigne d'hygrométrie ? Faut-il que les logements soient secs ou bien humides ?

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il y a une heure, Wallaby a dit :

L'infectiologie du coronavirus 2019 varierait en fonction de la température, avec un pic de dangerosité à 8,72°C. Mais c'est plus compliqué si on tient compte de l'humidité.

https://www.scmp.com/news/china/science/article/3074131/coronavirus-highly-sensitive-high-temperatures-dont-bank-summer (8 mars 2020)

L'équipe de Canton a basé son étude sur chaque nouveau cas de coronavirus confirmé dans le monde entre le 20 janvier et le 4 février, y compris dans plus de 400 villes et régions chinoises. Ces cas ont ensuite été modélisés en fonction des données météorologiques officielles de janvier provenant de toute la Chine et des capitales de chaque pays touché. L'analyse a montré que le nombre de cas a augmenté en fonction des températures moyennes jusqu'à un pic de 8,72 degrés Celsius, puis a diminué.

Toutefois, une étude distincte menée par un groupe de chercheurs, dont l'épidémiologiste Marc Lipsitch de l'école de santé publique T.H. Chan de Harvard, a révélé qu'une transmission soutenue du coronavirus et la croissance rapide des infections étaient possibles dans toute une série de conditions d'humidité - des provinces froides et sèches de Chine aux régions tropicales, comme la région autonome de Guangxi Zhuang à l'extrême sud du pays et Singapour.

Est-ce que les gouvernements ne devraient pas inverser toutes les consignes d'économies d'énergie et demander à tous les Français de chauffer leur logement et leur locaux accueillant du public à 22° plutôt qu'à 18 ? De la même façon, ne faudrait-il pas avoir une consigne d'hygrométrie ? Faut-il que les logements soient secs ou bien humides ?

Et bien c'est une bonne nouvelle, ça. Le printemps va pouvoir aider à la réduction des contaminations.

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il y a 50 minutes, Wallaby a dit :

L'infectiologie du coronavirus 2019 varierait en fonction de la température, avec un pic de dangerosité à 8,72°C. Mais c'est plus compliqué si on tient compte de l'humidité.

https://www.scmp.com/news/china/science/article/3074131/coronavirus-highly-sensitive-high-temperatures-dont-bank-summer (8 mars 2020)

L'équipe de Canton a basé son étude sur chaque nouveau cas de coronavirus confirmé dans le monde entre le 20 janvier et le 4 février, y compris dans plus de 400 villes et régions chinoises. Ces cas ont ensuite été modélisés en fonction des données météorologiques officielles de janvier provenant de toute la Chine et des capitales de chaque pays touché. L'analyse a montré que le nombre de cas a augmenté en fonction des températures moyennes jusqu'à un pic de 8,72 degrés Celsius, puis a diminué.

Toutefois, une étude distincte menée par un groupe de chercheurs, dont l'épidémiologiste Marc Lipsitch de l'école de santé publique T.H. Chan de Harvard, a révélé qu'une transmission soutenue du coronavirus et la croissance rapide des infections étaient possibles dans toute une série de conditions d'humidité - des provinces froides et sèches de Chine aux régions tropicales, comme la région autonome de Guangxi Zhuang à l'extrême sud du pays et Singapour.

Est-ce que les gouvernements ne devraient pas inverser toutes les consignes d'économies d'énergie et demander à tous les Français de chauffer leur logement et leur locaux accueillant du public à 22° plutôt qu'à 18 ? De la même façon, ne faudrait-il pas avoir une consigne d'hygrométrie ? Faut-il que les logements soient secs ou bien humides ?

Attention : si j'ai bien compris, l'étude en question (non relue par les pairs) fait un simple constat empirique sur le nombre de cas connus en fonction de la température extérieure.

Ca n'a peut être pas grand-rapport avec les températures de survie ou de contagiosité réelle du virus.
(c'est pour ça que j'ai retiré mes spéculations si l'épidémie va continuer ou pas durant l'été).

Exemple:

  • Température extérieure de 9°, mais contagion à l'intérieur d'un bus chauffé à 20°.
  • L'épidémie continue de se transmettre à Singapour (26°-28° 100% d'humidité à l'extérieur) ... mais la transmission a-t-elle eu lieu à l'extérieur, ou dans un bureau climatisé à 20° ?)

Là, c'est du débat scientifique en temps réel ...
Je fais confiance aux chercheurs/sachants/décideurs pour savoir quand les données sont assez fiables pour prendre une décision pour contenir l'épidémie.

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https://www.latimes.com/california/story/2020-03-08/feds-advise-against-cruise-ship-travel-as-coronavirus-spreads (8 mars 2020)

Dimanche, le département d'État a exhorté les citoyens américains à ne pas voyager sur les bateaux de croisière, avertissant que les passagers des navires à coque sont plus susceptibles de contracter l'infection au coronavirus et pourraient être soumis à des quarantaines et à d'autres restrictions de voyage international.

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https://www.welt.de/vermischtes/article206136215/Coronavirus-Deutschland-Bayern-will-Veranstaltungen-mit-mehr-als-1000-Gaesten-untersagen.html (9 mars 2020)

Le président de l'Association médicale mondiale, Frank Ulrich Montgomery, estime que l'Allemagne est bien placée malgré la hausse des chiffres de l'infection par les coronavirus. "Notre système de santé fonctionne parfaitement", a-t-il déclaré. Il a également déclaré que la récente augmentation du nombre de cas au cours du week-end n'était pas exceptionnelle pour une population totale d'environ 82 millions de personnes. Il a déclaré que la suggestion d'annuler les grands événements et de les éviter était la bonne. Cependant, la limite de 1000 participants choisie par le ministre fédéral de la santé Jens Spahn (CDU) est à son avis discutable. Il a déclaré qu'il préférait "avoir 100 à 200" participants comme limite supérieure.

Toutefois, en ce qui concerne la situation du coronavirus en Italie, M. Montgomery a exprimé son inquiétude. Personne ne sait actuellement pourquoi les gens y "meurent comme des mouches". En revanche, M. Montgomery a qualifié de bonnes nouvelles les rapports en provenance de Chine, où le nombre de nouveaux cas enregistrés est tombé à son plus bas niveau depuis le début des publications.

Il a été prouvé qu'environ 200 personnes sont déjà mortes de la grippe en Allemagne cette saison. C'est le résultat des dernières données du groupe de travail sur la grippe du RKI. Depuis octobre 2019, un total de 119 280 cas de grippe confirmés en laboratoire ont été transmis au RKI. Environ un sixième (17 %) de ces cas étaient si graves que les patients ont été hospitalisés.

Andreas Gassen, président de la Caisse nationale d'assurance maladie, part du principe qu'une grande partie de la population sera infectée avant que la propagation de la maladie ne s'arrête réellement. "Cela peut sembler choquant pour le profane, mais vu sobrement, cela n'a rien de menaçant : il existe des virus qui infectent pratiquement tout le monde au moins une fois. Par exemple l'herpès et la grippe", a-t-il déclaré au "NOZ". Dans ce cas, on parle d'une "infestation" de la société, qui conduit finalement à une sorte d'immunité de troupeau.

"Le coronavirus ne devrait pas non plus disparaître", a déclaré M. Gassen. La question est de savoir combien de temps l'"infestation" va durer. "Cela pourrait prendre quatre ou cinq ans. Plus vite cela va, plus grand est le défi pour le système de santé. Mais je ne vois absolument pas que même si le nombre de cas continue à augmenter rapidement, nous atteindrons nos limites". Actuellement, Corona est "plus une infection médiatique que médicalement pertinente", a déclaré M. Gassen.

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https://www.scmp.com/news/china/science/article/3074351/coronavirus-can-travel-twice-far-official-safe-distance-and-stay (9 mars 2020)

Le coronavirus peut voyager deux fois plus loin que la "distance de sécurité" officielle et rester dans les airs pendant 30 minutes, selon une étude chinoise

Les autorités conseillent aux gens de rester à 1 ou 2 mètres les uns des autres, mais les chercheurs ont découvert qu'un passager d'un bus avait infecté d'autres voyageurs assis à 4,5 mètres

Les chercheurs ont également constaté qu'aucun des passagers des deux bus qui portaient un masque n'était infecté. Ils ont déclaré que cela justifiait la décision de demander aux gens de porter un masque facial en public.

Les chercheurs ont également découvert qu'il [le coronavirus] peut rester plusieurs jours sur les surfaces où les gouttelettes respiratoires atterrissent, ce qui augmente le risque de transmission si une personne peu méfiante la touche puis se frotte le visage et les mains.

La durée de sa présence sur la surface dépend de facteurs tels que la température et le type de surface. Par exemple, à environ 37°C (98F), il peut survivre deux à trois jours sur du verre, du tissu, du métal, du plastique ou du papier.

"Lorsque vous empruntez des transports publics plus fermés tels que le métro, les voitures, les avions, etc., vous devez porter un masque en permanence, et en même temps, minimiser le contact entre vos mains et les zones publiques, et éviter de vous toucher le visage avant de nettoyer", ont-ils déclaré.

Les chercheurs ont également suggéré d'améliorer l'hygiène dans les transports publics et de régler la climatisation pour maximiser le volume d'air frais fourni.

Ils ont également déclaré que les intérieurs devraient être nettoyés et désinfectés une ou deux fois par jour, en particulier après l'arrivée des passagers au terminal.

Un médecin de Pékin impliqué dans le diagnostic et le traitement des patients atteints de Covid-19 a déclaré que l'étude avait laissé certaines questions sans réponse.

Par exemple, les passagers assis juste à côté des porteurs n'étaient pas infectés, bien qu'ils aient été les plus exposés aux aérosols porteurs de la maladie.
 

https://www.scmp.com/lifestyle/health-wellness/article/3074192/coronavirus-why-you-touch-your-face-so-much-and-how-stop ( 9 mars 2020)

Nous nous touchons le visage plus souvent que nous ne le pensons - une étude a montré que les étudiants en médecine se touchaient le visage 23 fois par heure en moyenne
Pour limiter les contacts avec le visage, il est suggéré de garder les mains occupées, d'utiliser des outils pour se gratter le visage en cas de démangeaison et de porter des gants.

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Les hôpitaux ont évalué les besoins nécessaires pour faire face au défi pour le moment sans effet… ils ont l'habitude, cela fait 18 mois que cela dure...

https://www.lequotidiendumedecin.fr/hopital/covid-19-le-collectif-inter-hopitaux-cih-reclame-3-4-milliards-deuros-pour-recruter-40-000

Il faut deux fois plus de personnel mais deux fois moins d'argent qu'en Italie.

Un avis médical et sur la résilience des hommes et du système médical français

https://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/infectiologie/la-covid-19-est-un-reel-danger-deux-scientifiques-font-le-point-sur-le-coronavirus-sars-cov-2

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