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Résilience à une nouvelle pandémie


Invité grinch
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Arrivé du patient espagnol

 

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les espagnols ont perdus du temps à chercher un moyen de transport approprié pour le transfert vers l'aéroport

Modifié par wolfmoy
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Bon il y a un prof de pharma ici donc je ne dirais que peu de choses.

Ebola c'est combien de morts par an? Et ou? Pas rentable.

Prof EN pharma. , pas de pharma ;) J ai aussi bosse pour l industrie pharmaceutique donc je peux te la faire sans langue de bois : pas assez de cas par ans et pas assez bankable> Le palu c est bien plus et ca interesse quai personne sauf a faire du mecenat donc de la pub (et deduire des impots) donc .....

Mode cynique 2 (et je sais que je vais me faire corriger par un modo Montpelliérain) déjà qu'ils investissent très peu sur la palu, alors ebola...

En plus si je ne me trompe ce filavirus mute très vite et duc coup les bouffées épiémiques sont brèves. Mais je peux me tromper, je parle de mémoire.

De mémoire aussi, travailler sur ebola nécessite un P4, et il n'y en a pas tant que cà.

Meme pas besoin de corrections on est d accord sauf pour la mutabilite du virus, il apparait relativement stable si ce n est qu il  perd en virulence avec le passage des generations). Les bouffes epidemiques sont breves surtout parceque le mode de transmission n est pas optimal et qu il  tue trop et trop vite. La flambee finit par s eteindre toute seule pour peu qu on ne se retrouve pas dans une boite de petri geante comme les bas fonds de Lagos.

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Ebola : l'OMS décrète une "urgence de santé publique de portée mondiale"

AfriqueL'Organisation mondiale de la santé a annoncé vendredi qu'il fallait considérer l'épidémie de fièvre hémorragique Ebola qui frappe l'Afrique de l'Ouest comme "une urgence de santé publique de portée mondiale".

 

Le comité d'urgence de l'OMS est unanime. L'épidémie de fièvre hémorragique qui frappe l'Afrique de l'Ouest est une "urgence de santé publique de portée mondiale". "Une réponse internationale coordonnée est essentielle pour arrêter et faire reculer la propagation internationale d'Ebola", ajoute le comité présidé par Margaret Chan.

 

L'épidémie d'Ebola la plus sévère en quatre décennies

 

L'épidémie d'Ebola qui a fait près de 1.000 morts depuis le début de l'année est "la plus importante et la plus sévère" en quatre décennies, a souligné dans une conférence de presse la directrice générale de l'OMS, le Dr Margaret Chan. Elle a estimé que les pays d'Afrique de l'Ouest touchés par l'épidémie : Libera, Sierra Leone, Guinée et Nigeria, "ne peuvent y faire face par eux-mêmes" et a appelé "la communauté internationale à leur fournir le soutien nécessaire". Mme Chan a ajouté qu'elle avait accepté les conclusions du comité et décrété cette "urgence de santé publique de portée mondiale", l'OMS coordonnant au quotidien la mobilisation internationale face à Ebola.

 

Le comité a exclu des restrictions sur les voyages internationaux ou sur le commerce international. Mais, a-t-il dit, "les Etats doivent se préparer à détecter et traiter des cas de malades Ebola" et "à faciliter l'évacuation de leurs ressortissants, en particulier les personnels médicaux, qui ont été exposés à Ebola".

 

Traduction, on va évacuer des ressortissants, membre d'ONG tel que MSF qui ont été exposés à Ebola.

 

 

Face à l'épidémie, les appels aux moyens extraordinaires se multiplient, suscitant une polémique sur l'éventuelle utilisation de traitements prometteurs encore expérimentaux. L'agence des médicaments américaine (FDA) a ainsi décidé de lever partiellement des restrictions sur le traitement expérimental TKM-Ebola de la société canadienne Tekmira.

 

Les deux Américains infectés au Liberia et raptriés aux Etats-Unisont été traités avec un autre sérum expérimental appelé ZMapp de la firme américaine Mapp Biopharmaceutical.

 

De hauts responsables américains ont jugé « inévitable » que des personnes ayant voyagé dans les pays africains touchés par l'épidémie entrent infectées aux Etats-Unis, mais ont affirmé ne pas craindre pour autant une épidémie étendue dans le pays.

Modifié par wolfmoy
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Un programme informatique avait prédit l'épidémie d'Ebola Quatre jours avant l'Organisation mondiale de la santé,

 

Un site qui scrute les informations sur le web et les réseaux sociaux avait détecté des cas suspects en Guinée. 

 

(Vive les titres racoleurs, la suite ici :--> http://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/ebola/un-programme-informatique-avait-predit-l-epidemie-d-ebola_665211.html )

Modifié par Daj
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Selon l'OMS, des essais cliniques d'un vaccin préventif contre le virus Ebola commencera dès le mois de septembre pour une mise sur le marché en 2015. Le Nigeria est, à son tour, en état d'urgence.

 

C'est un traitement qui intéresse désormais le monde entier. Un vaccin préventif contre le virus Ebola  mis au point par le laboratoire britannique GSK pourrait faire l'objet d'essais  cliniques dès le mois prochain. Si ceux-ci sont concluants, ce vaccin sera disponible  courant 2015

 

"On cible le mois de septembre pour commencer les essais cliniques, d'abord  aux Etats-Unis et certainement dans un pays africain, car c'est là que nous  avons les cas", a précisé Jean-Marie Okwo Bélé, directeur du département des vaccins et immunisation  de l'OMS, interviewé ce samedi par la radio RFI. Interrogé sur les perspectives de commercialisation du vaccin, il s'est  montré  optimiste : "nous pensons que si on commence au mois de septembre, vers  la fin de l'année on peut déjà avoir des résultats". "Et comme il s'agit d'une urgence, on peut mettre en place des procédures  d'urgence (...) pour que courant 2015 on puisse disposer d'un vaccin", a-t-il  ajouté.

 

 

Il n'existe pour l'instant aucun traitement spécifique sur le marché  permettant de traiter ou de prévenir la fièvre hémorragique Ebola provoquée par  un virus très virulent qui peut tuer en quelques jours. Le taux de létalité  (rapport entre le nombre de cas et le nombre de décès) est supérieur à 50%. Plusieurs vaccins en sont au stade des essais tandis qu'un traitement  prometteur, le ZMapp, vient pour la première fois d'être testé sur des  Américains infectés en Afrique après avoir donné d'excellents résultats sur des  singes.

 

L'état d'urgence gagne le Nigeria. Comme le Liberia et la Sierra Leone avant lui, le Nigeria a décrété  vendredi l'état d'urgence sanitaire après que deux nouveaux cas y eurent été  annoncés, portant à neuf le nombre de cas confirmés d'infections, dont deux  mortels. Tous ces malades ont été recensés à Lagos, principale ville du Nigeria et  d'Afrique de l'Ouest avec plus de 20 millions d'habitants.

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Les espagnols ont reçu l'approbation du CDC et de l'OMS pour les mesures prises pour le rapatriement.

 
«También contamos con el apoyo sobre el terreno de el Centro para el Control y Prevención de Enfermedades(CDC, por sus siglas en inglés)y la Organización Mundial de la Salud, que confirmaron que las condiciones higiénico- sanitarias han sido las adecuadas y felicitaron a Sanidad y Defensa por su despliegue»,

 


La France a contacté l’Espagne  pour avoir des infos sur le déroulement des opérations, au cas où.

 
Además, señaló que debido al éxito del procedimiento se están recibiendo peticiones de información de Francia «ante el supuesto de que se vean en un caso similar».

 

 

Nul doute que le RETEX espagnol voire US va permettre d'affiner les procédures françaises.

 

Déjà, on sait que les espagnols ont perdus du temps à chercher un moyen de transport (lequel - celui de la clinique vers l’aéroport ou l’élévateur ?)

 

En plus, le système US possède une seconde barrière physique avec un système d'alarme pression basse. Certes excessif pour Ebola (transmission par fluides corporels donc lourd) mais bien conçu pour les virus volatiles (SRAS etc...).

 

Dans le cas d'Ebola, la dépression évite à des particules d'être propagées lorsque le patient vomit

 

 

The decision to bring Brantly—and, a few days later, Nancy Whitebol, a colleague similarly infected—back to the US wasn’t a simple one. That’s not because of fears that the disease would spread in the US; even the ABCS, designed to contain airborne diseases like SARS, was probably overkill for the fluid-borne Ebola.

 

http://www.wired.com/2014/08/inside-the-flying-quarantine-used-to-transport-ebola-patients/

 

 

 

 

Modifié par wolfmoy
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1-Pour une douzaine de cas, oui, nous sommes pret : les structures de confinement existent ainsi que les procédures (notamment à Georges Pompidou ou à la Pitié, me rappelle plus lequel des deux)

 

 

 

Ces deux hôpitaux ne font pas parties des 9 hôpitaux dits de référence

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http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2014/08/11/25002-20140811ARTFIG00291-patrick-balkany-interpelle-marisol-touraine-et-assure-qu-il-y-a-des-cas-d-ebola-en-france.php

 

 

Patrick Balkany interpelle Marisol Touraine et assure qu'il y a des cas d'Ebola en France
 
Le député maire de Levallois adresse une question écrite au ministre de la Santé car il affirme que plusieurs cas ont été signalés en France. Le ministère de la Santé dément ces informations.

 

«Selon des sources médicales fiables, plusieurs cas (de virus Ebola, ndlr) auraient été signalés sur le territoire français». Cette déclaration choc vient de Patrick Balkany. Et selon lui, le ministère de la Santé serait au courant de la présence de malades sur le territoire français. Il publie ce lundi soir sur son site la question écrite qu'il adresse à Marisol Touraine et qui sera publiée au journal officiel dans les prochains jours.

 

Contacté par Le Scan, il confirme ses propos: «Je viens d'alerter en urgence le ministre des Affaires sociales et de la Santé sur les cas de virus Ebola recensés en France». Mais le parlementaire UMP refuse de livrer l'origine des «sources médicales» qu'il évoque dans sa question écrite. «Le ministère a été prévenu par mes sources et c'est tout de même curieux que l'on n'ait pas d'échos», estime le député des Hauts-de-Seine. «C'est une maladie grave, qui progresse vite et que l'on ne sait pas soigner», tient-il à préciser.

 

«J'ai donc demandé dès aujourd'hui au ministre, par une question écrite qui sera publiée au Journal officiel dans les prochains jours, de bien vouloir m'indiquer combien de cas atteints par le virus Ebola avaient, à ce jour, été recensés en France ainsi que leur zone d'importation», écrit-il. «Je lui ai également demandé, au vu de ces cas déclarés en France, qu'une information plus large sur les symptômes de la maladie ainsi que sur la marche en suivre en cas de soupçon d'infection, soit mise en place dans les plus brefs délais», peut-on lire sur le site de Patrick Balkany.

 

«Je parle de cas au pluriel mais pas encore d'épidémie. Mais je suis certain que ça va se savoir» affirme-t-il au Scan, sans livrer plus de preuves. «Au regard du caractère urgent de cette interpellation, j'espère obtenir une réponse rapide de la part de Mme le ministre», conclut-il sa question écrite.

 

Contacté par Le Scan, le ministère de la Santé affirme que «aucun cas de contamination par le virus n'a été recensé à ce jour en France. Le risque d'importation reste assez faible». Pour autant le ministère assure qu' «une extrême vigilance s'impose» et renvoie vers son site pour toute information complémentaire sur les mesure prévues en cas d'arrivée de malades sur le territoire .

 

http://patrickbalkany.fr/blog/virus-ebola-en-france-patrick-balkany-interpelle-en-urgence-mme-le-ministre-de-la-sante/

 

 

Virus Ebola en France : Patrick Balkany interpelle en urgence Mme le Ministre de la Santé

Alors que l’Organisation mondiale de la santé a lancé, vendredi 8 août, une alerte mondiale en décrétant un état d’urgence sanitaire planétaire contre le virus tueur, je viens d’alerter en urgence le ministre des Affaires sociales et de la santé sur les cas de virus Ebola recensés en France. 

 

En effet, l’épidémie a fait près de 1000 morts depuis le début de l’année et continue de progresser avec désormais quatre foyers en Afrique de l’Ouest : la Guinée, qui a fermé samedi une partie de ses frontières, ainsi que le Libéria, la Sierra Leone et le Nigeria, où l’état d’urgence sanitaire a été décrété.

 

Madame le Ministre a récemment déclaré que le risque d’importation du virus en Europe et en France était faible, ajoutant qu’aucun cas importé n’avait d’ailleurs été signalé. Or, selon des sources médicales fiables, plusieurs cas auraient été signalés sur le territoire français.

 

J’ai donc demandé dès aujourd’hui au Ministre, par une question écrite qui sera publiée au Journal officiel dans les tout prochains jours, de bien vouloir m’indiquer combien de cas atteints par le virus Ebola avaient, à ce jour, été recensés en France ainsi que leur zone d’importation.

 

Je lui ai également demandé, au vu de ces cas déclarés en France, qu’une information plus large sur les symptômes de la maladie ainsi que sur la marche en suivre en cas de soupçon d’infection, soit mise en place dans les plus brefs délais.

 

Au regard du caractère urgent de cette interpellation, j’espère obtenir une réponse rapide de la part de Mme le Ministre
Modifié par wolfmoy
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Mouais c'est un peu facile de dire "faite moi confiance (surtout de la part de Balkany :happy:), j'ai des preuves qu'il y a des cas d'Ebola en France... mais je ne peux pas vous montrer mes preuves".

Là j'ai vraiment l'impression qu'il veut juste surfer sur l'actuelle vague médiatique pour faire parler à tout prix de lui.

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exercice allemand en 2013 relatif au rapatriement d'un patient décelé au cours d'un vol

 

 

arrivé à l'aéroport

 

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préparation du système de décontamination

 

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sortie du brancard

 

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vérification pression négative de l'ambulance

 

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sortie patient

 

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nettoyage

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convoi

 

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exercice italien du 17 Septembre 2013

 

 

Nel porto di Civitavecchia (RM) si è svolta ieri l’esercitazione “ANAT”, che ha visto la partecipazione del 7° Reggimento Difesa NBC con un assetto in supporto alle Autorità ministeriali e locali, per la gestione di un’emergenza sanitaria.Lo scenario prevedeva un evento chimico-biologico-radiologico-nucleare (CBRN), ovvero la diffusione di un virus di febbre emorragica a bordo della nave ANAT ed il successivo rischio di contagio del personale a bordo dei traghetti.

 

Scopo principale dell’esercitazione era addestrare il personale frequentatore del corso COCIM (Cooperazione Civile Militare), in svolgimento presso il Centro Militare di Studi Strategici, al fine di fornire loro un quadro attuale della normativa e delle procedure vigenti in materia di difesa civile, protezione civile, cooperazione civile-militare e pianificazione d’emergenza, nel caso specifico, in ambito nazionale, con relative modalità di coordinamento interagenzia.

 

Per il reggimento è stata un’occasione addestrativa ad elevato profilo specialistico, nella quale sono state coinvolte le squadre di campionamento per l’identificazione degli agenti biologici, chimici e radiologici (SIBCRA), quelle di decontaminazione e la squadra di supporto sanitario, equipaggiata con barelle ad alto bio-contenimento, per il trasporto di personale contaminato.

 

 

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Operazione "Matilde"

Si tratta di un’esercitazione sul campo all’insegna della cooperazione civile-militare e vede coinvolti: l’Aeronautica Militare, 31° Stormo, 46^ Brigata Aerea e comparto del servizio Sanitario del Comando Aeroporto di Pratica di Mare; Vigili del Fuoco, la CRI, il Ministero della Salute, il ministero dell’Interno – Difesa Civile.
Lo scenario dell’’esercitazione è quello di un airbus A319CJ del 31° Stormo con base a Ciampino che parte per un volo umanitario in Afghanistan. Imbarca circa 50 passeggeri tra cui una donna incinta che partorirà in volo una bambina, Matilde. Inoltre sarà impiegato un C130J della 46^B.A. che trasporterà tramite una barella aviotrasportabile tipo ATI (Aircraft Transit Isolator) un passeggero contagiato in biocontenimento.
Sul volo è comunicata la presenza di quattro casi sospetti di peste polmonare
Partito l’allarme vengono allertati la Prefettura, l’Ospedale Spallanzani, i Vigili del Fuoco, il Servizio sanitario dell’Aeroporto di Pratica di Mare, la CRI con il Reparto di Sanità Pubblica, il Direttore ENAC dell’Aeroporto civile di Ciampino, il Sindaco di Ciampino.
A bordo dell’airbus, inoltre, sono presenti passeggeri allarmati che, tentando la fuga, provocano una colluttazione con il personale di volo provocando feriti.
La notizia sfugge su Facebook ed altri social media eblog, parlando di ebola e di attacchi NBC a Ciampino.
La Croce Rossa partecipa con mezzi e personale logista del CIE Centro, con il Reparto di Sanità Pubblica, con i Comitati Locali di Ciampino e Roma con squadre di primo soccorso, truccatori e simulatori.
Il reparto di Sanità Pubblica ha allestito il canale sanitario, ed è presente con il mezzo ad alto biocontenimento per il trasporto di contatti potenzialmente infetti e la camera da trasporto per pazienti infetti.

 

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Les allemands préfèrent utiliser des ambulances spécifiques (I-RTW pour infektions-rettungswagen) en lieu et place des caissons.

 

D'après les experts de l'institut Koch, les caissons ne sont pas utilisables lorsque il y a :

- insuffisance respiratoire aiguë
- Instabilité hémodynamique
- Anémie sévère
- Troubles de la coagulation
- Symptômes hémorragiques

 

Les suédois, luxembourgeois font de même . Quant au autrichiens, ils ont acquis des dingo 2 emergency véhicles (des I-RTW mais blindé > http://www.air-defense.net/forum/topic/17588-v%C3%A9hicules-sanitaires-et-tactiques/ ) et l'ambulance de Munich intervient jusqu'au nord de l'autriche.

 

Les italiens ont acquis l'isoark en remplacement du Vickers aircraft transport isolator. Visiblement, des accords ont été passés pour que la croix rouge italienne l'utilise ainsi que le 7ème régiment NRBC.

 

L'espagne utilise le même système.

 

Les US ont le patient isolation unit (PIU de GENTEX corporation ) et l'Aeromedical Biological Containment System (ABCS). D'après CNN, un caisson se place au-dessus de la civière installé dans l'ABCS. A voir s'il s'agit du PIU.

 

Quant à la France ....

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Ebola : un dispositif de crise prêt à être activé en France

Les ministères de la Santé, de l'Intérieur, et des Affaires étrangères ont mis en place un plan de vigilance face au risque Ebola. Il est actuellement au

niveau 2B de vigilance. Si un cas importé arrive en France, une cellule de crise sera déclenchée au ministère de la Santé.

 

Comment les cas sont-ils détectés ? Un premier filtre est effectué par les pays touchés par le virus (Guinée, Liberia, Sierra Leone).

 
Des médecins et des personnels d'aéroports contrôlent au moyen de pistolets thermiques la température des passagers. S'ils ont plus de 38 °C, ils ne peuvent pas prendre l'avion. Mais est-ce vraiment fiable, connaissant l'état de développement de certaines infrastructures africaines ? Le système est en tout cas validé par l'Organisation mondiale de la santé. Mais pourquoi ne pas contrôler plutôt la température à l'arrivée, en France ? Le ministère de la Santé estime que ce système ne serait pas optimum, notamment parce qu'il ne permettrait pas de détecter les voyageurs qui ont des correspondances, passant par Lyon ou par Amsterdam.

Que se passe-t-il s'il y a un cas « suspect » à bord d'un avion ? Si une personne est atteinte de vomissements, avec un tableau clinique pouvant évoquer Ebola, elle doit être séparée des autres passagers par le personnel de bord. Les stewards et les hôtesses ont à leur disposition des masques et des gants. C'est notamment ce point qui inquiète des personnels navigants. A l'arrivée, le malade est pris en charge par le Samu, selon un protocole très strict, en évitant tout contact avec les autres passagers à l'aéroport.

Quels sont les hôpitaux de référence ? Une liste de neuf hôpitaux de référence a été établie par le ministère de la Santé. Il s'agit de Bégin, Bichat, Necker à Paris, du CHRU de Rennes et de Lille, du CHU de Bordeaux et de Strasbourg, de l'hôpital Nord à Marseille et de l'hôpital de la Croix-Rousse à Lyon. Dans le même temps, le laboratoire P4 Jean- Mérieux de Lyon est chargé d'analyser les souches de virus pour savoir s'il s'agit ou non d'Ebola. L'Institut de veille sanitaire doit aussi dresser la liste des « cas contacts » susceptibles d'avoir été en contact avec le malade durant les heures précédentes, pour leur faire subir à eux aussi des tests.

Quelles sont les destinations non recommandées à l'étranger ? Le ministère des Affaires étrangères et celui de la santé recommandent aux Français de suspendre tout projet de voyage dans les pays où des cas d'Ebola sont avérés : la Guinée, la Sierra Leone, le Liberia et le Nigeria. Pour l'instant, la restriction ne concerne pas la Côte d'Ivoire, pays qui a beaucoup d'échanges avec la France. Aucun cas d'Ebola n'y est recensé, mais l'inquiétude monte sur place étant donné la proximité avec les zones infectées.

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Deux médecins américains infectés par le virus Ebola en Afrique et soignés aux Etats-Unis sont guéris. Le second malade va sortir de l'hôpital jeudi 21 août, a annoncé le docteur Ribner, le directeur du service des maladies infectieuses d'Emory (Atlanta) lors d'une conférence de presse. "Après une série de traitements rigoureux et d'analyses, l'équipe de médecins a estimé que les deux patients avaient guéri d'Ebola et pouvaient retourner dans leur famille sans craindre de transmettre l'infection aux autres", a-t-il affirmé. 

 

"Aujourd'hui est un jour miraculeux. Je suis extrêmement heureux d'être en vie, d'être en bonne santé et de pouvoir retrouver ma famille", s'est réjoui le malade, Kent Brantly, lors d'une conférence de presse donné jeudi.

 

Le docteur Brantly et la missionnaire Nancy Writebol, 60 ans, ont tous deux contracté Ebola alors qu'ils soignaient des malades au Liberia, l'un des quatre pays d'Afrique de l'Ouest touchés par cette épidémie sans précédent depuis l'émergence du virus en 1976. Nancy Writebol est sortie de l'hôpital le lundi 19 août.

Un sérum expérimenté avec succès

Le Dr Brantly et Nancy Writebol ont commencé à être traités en Afrique avec un sérum expérimental jamais utilisé auparavant sur des humains, avant d'être rapatriés par avion sanitaire aux Etats-Unis.

 

Développé dans le cadre d'un programme de recherche soutenu depuis dix ans par l'armée américaine et l'Agence publique de santé canadienne, cette molécule expérimentale s'appelle ZMapp. Elle est la propriété du laboratoire californien Mapp Biopharmaceutical Inc.

 

Ce médicament est le mélange de trois anticorps et d'un principe actif élaboré à partir d'un extrait du tabac, "une plante qui doit naturellement se défendre contre diverses infections virales", rapporte Slate.fr. Selon le communiqué de l'entreprise , il n'avait jamais été testé sur des êtres humains avant les deux médecins américains infectés en Afrique de l'Ouest.

Un traitement qui fait polémique

L'envoi des fioles de ce sérum au Liberia pour les deux médecins américains a posé un certain nombre de questions éthiques. Pourquoi des malades africains ne sont-ils pas cobayes à leur tour ? La question divise le monde médical et certains pointent le risque d'effets secondaires ou tout simplement le risque pour la vie des patients.

 

"Une situation épidémique ne me semble pas être un cadre adapté pour mettre en place des essais cliniques de large ampleur, estimait début août le médecin le docteur Sylvain Baize, de l'Institut Pasteur, interrogé par La Croix. Aujourd'hui, il ne semble pas éthique de proposer une molécule dont on ne connaît rien des effets secondaires."

 

 

 

ATLANTA (Reuters) - Le médecin et la missionnaire américains contaminés par le virus Ebola au Liberia se sont rétablis et ont été autorisés à quitter l'hôpital d'Atlanta où ils ont bénéficié d'un traitement expérimental, ont annoncé jeudi les autorités sanitaires.

 

La missionnaire Nancy Writebol et le Dr Kent Brantly avaient été rapatriés et hospitalisés à l'université Emory où ils ont été soignés au ZMapp, un sérum expérimental.

 

La première a quitté l'hôpital dès mardi, le second l'a imitée dans la journée.

 

Leur sortie ne pose aucun problème de santé publique, ont affirmé les médecins lors d'une conférence de presse.

 

L'épidémie de fièvre Ebola, qui touche plusieurs pays d'Afrique de l'Ouest depuis six mois, a fait au moins 1.350 morts, selon un bilan de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) publié mercredi.

 

Produit par le laboratoire Mapp Biopharmaceutical, le ZMapp n'avait jamais été testé sur des humains. Face à la gravité de l'épidémie en cours, les autorités sanitaires ont autorisé son usage expérimental.

 

Outre le Dr Brantly et Nancy Writebol, plusieurs patients en ont bénéficié, dont trois médecins au Liberia dont l'état de santé est en nette amélioration, selon les autorités locales.

 

En revanche, le prêtre espagnol Miguel Pajares, qui a lui aussi reçu ce traitement après avoir été rapatrié à Madrid, n'a pas survécu à la maladie. Le décès du prêtre, qui était âgé de 75 ans, a été annoncé le 12 août par les autorités espagnoles.

 

Le laboratoire Mapp dit ne plus avoir de stocks de son sérum.

 

La question est de savoir pourquoi le prêtre espagnol Miguel Pajares est décédé.

 

Est-ce du:

  1. à son âge ;
  2. le mode de rapatriement sanitaire ;
  3. son métabolisme
Modifié par wolfmoy
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La question est de savoir pourquoi le prêtre espagnol Miguel Pajares est décédé.

 

Est-ce du:

  1. à son âge ;
  2. le mode de rapatriement sanitaire ;
  3. son métabolisme

 

le délai de traitement

l'avancement de la maladie

une pathologie sous jacente agravante

une prise en charge trop tardive

 

Les possibilités sont innombrables et on ne peut pas vraiment conclure du %  d'efficacité du traitement sur 3 cas : on a 33% de mortalité (1/3) avec traitement contre environ 55% sans (1200 sur 2200)

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Il est a noter que l'OMS a rapatrié, avec le Gulstream III et l'ABCS, un expert infecté en Allemagne.

 

Les anglais ont rapatrié un infirmier anglais infecté par C-17. Singapour a organisé un exercice.

 

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singapore- Workers in protective gear attending to a mock Ebola patient, in an exercise to demonstrate Singapore's defence against highly infectious diseases, at Changi Airport's Terminal 2 yesterday. -- PHOTO: LIANHE ZAOBAO

 

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UK_the nurse leaves Sierra Leone in a special isolation chamber

 

Le CDC américain a rédigé un guide pour le transport des patients infectés par le virus Ebola.

 

http://www.cdc.gov/vhf/ebola/hcp/guidance-air-medical-transport-patients.html

 

 

  • Use of a portable isolation unit is recommended. The unit should be a completely enclosed, fluid-impermeable structure that provides sufficient space for medical care and patient needs. Ideally, the unit should be disposable or if not should have validated reprocessing instructions.
  • Non-emergency AGPs should not be performed. If AGPs are anticipated to be unavoidable, they should be performed in a portable isolation unit with HEPA filtration (or equivalent) of air leaving the unit to remove aerosols generated during the procedures.
  • If an isolation unit is not available, a perimeter should be established for designating “clean” and “dirty” areas for the purpose of defining where gowns and gloves must be donned and removed. The distance will depend on the area required for patient care support as well as designated space for safe removal of PPE; a minimum distance of 6 feet from the patient is recommended. Surfaces should be smooth, nonporous, and impermeable to enhance cleaning and disinfection.
  • Materials required for patient care, including PPE, should be organized outside the isolation area.
  • Receptacles for soiled linen, waste, and reusable equipment should be placed inside the isolation area. Supplies for cleaning spills should be kept in the area, including appropriate disinfectants (see below).
  • A portable chemical toilet approved for use during flight that is dedicated for patient use should be placed within the isolation area. The lid of the toilet should be kept closed.

Personnel who are within the designated isolation area must wear full PPE as required for Standard, Contact and Droplet precautions. Due to the limited space, lack of facilities for cleaning and disinfection, consideration should be given to the need for additional PPE in the case of environmental contamination, including leg covers, shoe covers, and head covers. Outside of the portable isolation unit or designated isolation area, PPE is not needed.

2. Minimize opportunities for exposure
  • Limit use of needles and other sharps as much as possible, particularly during periods of turbulence or when the aircraft is not stable. 
  • If use is necessary for patient care, all needles and sharps should be handled with extreme care and disposed in puncture-proof, sealed containers.
  • Whenever possible, disposable equipment should be used.
  • Do not perform non-emergency AGPs.
3. Personal protective equipment and procedures
  • The following PPE should be available for use by direct-care providers:
    • Non-sterile patient-care gloves
    • Disposable, impermeable or fluid-resistant isolation gowns, or other protective garments
    • Facemasks
    • Goggles or face shield (Corrective eyeglasses alone are not appropriate protection.)
    • Fit-tested, disposable respirators (at least as protective as fit-tested NIOSH-certified disposable N95 filtering facepiece respirators), for use during AGP, if needed.  
    • Soap and water and other hand hygiene product(s), e.g., alcohol-based hand rub
  • Disposable non-sterile gloves, gown, facemask and eye protection must be worn when entering the “isolation area” and for all patient contact.
  • Consideration should be given to including additional PPE that might be required in certain situations (e.g., copious amounts of blood, other body fluids, vomit, or feces present in the environment), including but not limited to:
    • Double gloving
    • Disposable shoe covers
    • Leg coverings
    • Head covers
  • During AGP, all personnel in areas that share air with the patient (i.e., within portable isolation unit) should use respiratory protection, i.e., N-95 or higher-level respirator. Personal protective equipment should be removed and discarded in designated receptacles after patient care is completed and prior to leaving the “isolation area” (e.g., between patients) or when soiled or damaged. Following aerosol-generating procedures, the respirator should remain on until the wearer is in the area designated as safe for respirator removal.
  • Hands must be washed with soap and water (preferred) or a waterless, alcohol-based hand rub containing at least 60% alcohol immediately after removal of PPE. Soap and water should be used if hands are visibly soiled.
  • Oxygen delivery with simple and non-rebreather face masks may be used for patient oxygen support during flight.
  • Manually assisted ventilation should be performed using a resuscitation bag-valve mask. If available, units equipped for HEPA or equivalent filtration of expired air should be used.
4. Management of potential exposures
  • Supplies should be available onboard to appropriately manage potential exposures to the patient’s blood or body fluids during travel.
D-Patients Requiring Mechanical Ventilation
  • Mechanical ventilators for patients with EVD should provide HEPA or equivalent filtration of airflow exhaust.
  • AMT services should consult their ventilator equipment manufacturer to confirm appropriate filtration capability and the effect of filtration on positive-pressure ventilation.
Modifié par wolfmoy
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Lors du Conseil des ministres du 27 août 2014,  des moyens civils et militaires d’évacuation sanitaires ont été identifiés et recensés.

 

Épidémie de maladie à virus Ebola
 

Le ministre des affaires étrangères et du développement international et la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes ont présenté une communication relative à l’épidémie de maladie à virus Ebola et aux mesures prises par la France pour aider à faire face à celle ci.

 

A cette occasion, ils ont fait un point sur l’aide apportée par la France à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) dans sa lutte contre l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest.

 

En réponse à l’appel lancé par l’OMS, le gouvernement français a décidé d’une part de débloquer une aide d’un million d’euros qui permettra le financement des opérations menées par l’OMS dans les pays affectés, et d’autre part une mise à disposition de personnels par le ministère chargé de la santé. Ce dernier a en effet pré-mobilisé des réservistes (épidémiologistes, réanimateurs, infectiologues, médecins de santé publique…). Plusieurs équipes pourront se relayer ensuite pour accompagner les équipes sanitaires locales.

 

Depuis le début de l’épidémie, la France est directement impliquée dans la lutte contre le virus Ebola :

  • Ce sont des instituts de recherche français, en particulier l’INSERM et l’Institut Pasteur, qui ont identifié l’épidémie dès son origine et contribuent depuis activement au diagnostic et à la surveillance de la maladie ;

  • Plusieurs experts français sont présents sur le terrain pour appuyer la prise en charge des malades, le contrôle de l’épidémie et la formation des personnels, aux côtés des Organisations non gouvernementales (ONG) locales, françaises et internationales, notamment Médecins Sans Frontières.

La France participe activement à l’effort européen et international pour combattre l’épidémie :

  • Elle est partie prenante de l’aide apportée par l’Union européenne (UE), qui s’élève désormais à 11,9 millions d’euros et permet de soutenir les actions menées sur place par les ONG, les instituts de recherche et les laboratoires ;

  • Elle a fortement soutenu la décision de la Banque Mondiale d’investir 200 millions d’euros dans l’appui de court et moyen termes aux systèmes de santé d’Afrique de l’Ouest ;

  • Elle contribue aux efforts de l’OMS pour coordonner les réponses et renforcer la sécurité sanitaire au niveau international, notamment à travers son bureau à Lyon.

La France est solidaire des pays africains touchés par l’épidémie :

  • Le gouvernement français a proposé aux autorités guinéennes de réorienter une partie de son contrat de désendettement et de développement vers un soutien au renforcement du système de santé national ;

  • La Guinée bénéficie d’un soutien de 30 millions d’euros apporté par l’Agence française de développement (AFD) et l’Union européenne dans le cadre d’un programme consacré notamment au renforcement des services de santé dans la région de Guinée la plus touchée par l’épidémie.

Les pouvoirs publics assurent la protection des ressortissants français :

  • Les communautés françaises dans la zone (3 000 en Guinée, une centaine au Libéria et en Sierra Léone) sont tenues régulièrement informées par les postes diplomatiques de la nature de la maladie, des mesures de prévention et de l’évolution de l’épidémie. A quelques jours de la rentrée, des conseils de prévention sanitaire ont été donnés aux établissements scolaires en Guinée et au Nigéria ;

  • Compte-tenu de l’évolution de l’épidémie et de la situation des systèmes de santé au Libéria et en Sierra Léone, les pouvoirs publics recommandent aux Français résidents dont la présence n’est pas indispensable de quitter ces pays ou de surseoir à leur retour de vacances. Ils recommandent à la société Air France de suspendre temporairement sa desserte de Freetown. En revanche, l’évaluation de la situation sanitaire en Guinée et au Nigéria, invite à maintenir les dessertes dans ces deux pays ;

  • Face à cette épidémie, l’Etat veille à garantir aux ressortissants Français que tout sera mis en œuvre pour les soigner en France, dans l’hypothèse où ils seraient atteints. A cette fin, le Gouvernement a identifié et recensé les moyens civils et militaires d’évacuation susceptibles d’être le cas échéant mobilisés.

Le Gouvernement réaffirme ainsi l’engagement de la France aux côtés de l’OMS et des Etats africains pour combattre l’épidémie d’Ebola et pour assurer la protection des ressortissants français.

 

http://www.20minutes.fr/monde/1433895-20140828-ebola-toutes-mesures-prises-proteger-ressortissants-annonce-francois-hollande

 

Lors du Discours d'ouverture de la Conférence des Ambassadeurs, le Président est plus précis

 

Mais en même temps que je parle de l’Afrique, par les liens qui nous unissent par l’histoire, par l’économie, par les liens humains, je dois aussi parler de l’Afrique comme d’un continent vulnérable. L’épidémie Ebola en est, encore une fois, la démonstration tragique.

 

Elle aurait appelé une réaction encore plus rapide. Cette épidémie a déjà fait plus de 2 000 morts – et encore nous n’avons toujours pas recensé toutes les victimes…

 

Depuis le début de cette épidémie, la France s’est impliquée – aussi bien le ministère des Affaires étrangères que le ministère des Affaires sociales et de la Santé. Les experts de l’INSERM et de l’Institut Pasteur ont identifié la présence du virus dès l’origine. Aujourd’hui ces mêmes experts contribuent activement au diagnostic et à la surveillance de la maladie. Ils sont présents, courageusement présents, sur place.

 

Je veux saluer aussi les organisations non gouvernementales présentes pour former, accompagner, soigner les malades et constater, hélas, les ravages du virus. La France doit montrer sa solidarité. Elle n’est pas que financière, elle doit être aussi scientifique, humaine. 

 

Toutes les mesures ont été aussi prises pour protéger nos ressortissants. Des moyens militaires, j’en remercie le ministre de la Défense, ont été déployés pour assurer une capacité d’évacuation sanitaire. Elle est mise à la disposition de l’Organisation mondiale de la santé.

Modifié par wolfmoy
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Lié à la resilience

 

 

L'Etat islamique s'intéresse à la peste bubonique Dans un ordinateur ayant appartenu à un djihadiste de l'Etat islamique, les journalistes de Foreign Policy ont retrouvé des documents sur l'armement biologique, notamment sur l'utilisation de la peste bubonique. 

C'était à craindre. Dans l'ordinateur portable d'un djihadiste de l'Etat islamique saisi au cours de combats contre d'autres rebelles islamistes dans le nord-ouest de la Syrie, les journalistes du bimensuel américain Foreign Policy ont retrouvé un document de 19 pages sur l'armement biologique. Ce document contient des explications pour récupérer le bacille de la peste bubonique sur des animaux infectés et le transformer en armes. En l'intégrant par exemple à de petites grenades, destinées à être lancées dans "des métros, des stades de football ou des salles de spectacles", et en prenant bien soin "d'utiliser l'air conditionné". Une technologie "peu onéreuse, mais qui peut faire un très grand nombre de victimes", précise le document. 

Un chimiste tunisien

Le djihadiste en question serait tunisien. D'après des documents retrouvés dans l'ordinateur, il a fait des études de physique et de chimie dans deux universités du nord du pays, ce qui a été confirmé par l'une d'entre elle. Il a disparu du pays depuis 2011. Quant à l'utilisation d'armes de destruction massives, elle est autorisée par la fatwa d'un prédicateur saoudien retrouvée dans son ordinateur. 

Rien n'indique dans les documents retrouvés sur l'ordinateur que l'Etat islamique dispose déjà de telles armes, reconnaît Foreign Policy. Mais avec le vaste territoire que s'est taillé dans les derniers mois le groupe terroriste, ses djihadistes ont de plus en plus de loisir pour les développer, prévient le magazine.


 
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