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Invasion russe


medivil 47
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en pratique DORA n'existait pas en 1940 mais les forts étaient vulnérables à l'assaut de "commandos" ou à des coups d'embrasure ( c'est ce qu'a montré la prise en une matinée de eben emael ou la perte de la Ferté ) à l'époque, les américains ont réussi à prendre les forts de la ligne maginot ( ou les fortifications du siegfred ) par des actions combinées infanterie/blindés/génie ( mais les fortifications étaient en sous éffectif )

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La raison pour laquelle les américains ont pu prendre les fort est trés simple: les entré du fort se trouve en moyenne 1km en arrière des bloc de combat qui sont tous tourné vers l'allemagne. Comme les alliés venait de derrière (de paris) il ne sont pas tombé sur les blocs de combat des fort mais sur les entrés qui sont il faut le dire assez impossante et il ont refait le coup des allemand a Eben Emael: actions combiné comme tu l'as dit. Si ils été arrivé du coté allemand sa se serai déroulé trés differement puisque sur les blocs de combat il n'y a aucun point d'entrée.

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  • 1 year later...

Je remonte ce sujet du fond de l'abime car je suis tombé sur ce blog sur des articles résumant les stratégies militaires durant la guerre froide. Sur le lien ci dessous, il indique les plans US en cas d'invasion russe à la fin des années 1940 :

http://expluribusunum.blogspot.com/2008/08/histoire-stratgique-de-la-guerre-froide.html

Et ce livre en anglais expliquent les plans prévu dans les premiers chapitres :

Fighting World War Three from the Middle East

http://books.google.fr/books?id=-BhYbhKimFYC&dq=Fighting+World+War+Three+from+the+Middle+East:+Allied+Contingency+Plans,+1945-1954&printsec=frontcover&source=bl&ots=k2SBWG5KfL&sig=oolgb8s-iXWLsdP7Z63OWGWpm4k&hl=fr&ei=jI3bSZFAo6uMB-Wu9aoI&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1#PPP1,M1

Comme indiqué quelques pages plus haut, si les Soviétiques avaient déboulé en Europe, repli en Espagne, en Afrique du Nord et au Royaume Uni, on bombarde à tout vas et on reconstitue une grande armée avant de reconquérir l'Europe en passant selon plusieurs plans par le Moyent Orient.

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Image IPB

Une carte des plans soviétique dans les années 60

Dans le milieu des années 1960, une option offensive envisagée par l'Union

soviétique confiait à l'ancienne Tchécoslovaquie la conquête du sud-est de

la France.

Huit jours pour conquérir Lyon, en utilisant si besoin l'arme nucléaire.

Dix-sept ans après la chute du mur de Berlin, l'historien tchèque Petr Lunak

livre dans un passionnant ouvrage, paru le mois dernier, quelques secrets de la guerre froide. Ils font froid dans le dos.

Petr Lunak, qui est également diplomate à l'Otan, se fonde sur quinze documents tirés des archives militaires de l'ex-Tchécoslovaquie. En 1997, la République tchèque a été l'un des premiers pays d'Europe de l'Est à déclassifier ses archives.

Celles-ci révèlent que l'armée tchécoslovaque avait été chargée par l'ex-Union soviétique d'opérer en cas de guerre une offensive sur le territoire français en vue de conquérir Langres, Besançon, Épinal, puis Lyon.

« Jusqu'à la moitié des années cinquante, explique Petr Lunak, le pacte de Varsovie (organisation militaire réunissant l'URSS et les pays du bloc communiste) misait sur une stratégie défensive.

Avec le développement des armes nucléaires, Moscou et ses alliés ont mis ensuite au point un plan offensif pour occuper l'Europe occidentale. »

Aux termes d'un plan d'opération daté du 14 octobre 1964, approuvé par le président tchécoslovaque Antonin Novotny, Moscou, raconte Petr Lunak, avait dévolu « un rôle ambitieux et difficile » à l'armée tchécoslovaque : « vaincre les armées occidentales dans le sud de l'Allemagne de l'Ouest (ex-RFA) afin d'opérer au bout d'une semaine près de la frontière française ». Après la prise de Lyon par les Tchécoslovaques, l'Armée rouge était censée prendre le relais pour atteindre les Pyrénées. Des conversations entre généraux tchèques rapportées par l'historien montrent que ces derniers jugeaient toutefois ce plan irréaliste.

Ces documents révèlent surtout que Moscou envisageait d'utiliser éventuellement ses armes nucléaires pour parvenir à ses fins. Curieusement, ils ne font pas état des pertes humaines que devait entraîner une telle attaque mais se contentent d'estimer que les dégâts auraient été plus importants pour l'Ouest que pour le camp soviétique.

Un plan toujours intact en 1986

Le plan, qui, selon Petr Lunak, prévoyait « 130 tirs nucléaires pour atteindre Lyon », est resté intact jusqu'en 1986, date à laquelle l'ancien numéro un soviétique Mikhaïl Gorbatchev lançait sa perestroika et amorçait un rapprochement avec les pays occidentaux. Trois ans plus tard, l'empire soviétique s'effondrait comme un château de cartes. Le plan ne fut pas abandonné pour autant. En 1989, après la chute du communisme, il fut d'abord édulcoré de manière à proposer deux options, défensive et offensive. Et en janvier 1990, alors qu'il n'était plus qu'une relique de la guerre froide,

il fut de nouveau modifié à la demande de l'ancien dissident Vaclav Havel,

devenu président de la République tchèque. L'option offensive ainsi que les mentions des cibles allemandes et françaises passèrent aux oubliettes de l'histoire.

Pour Petr Lunak, ces documents révèlent la vraie nature du régime soviétique « qui a élaboré cette stratégie très agressive au début des années soixante en dépit d'une détente relative entre l'Est et l'Ouest et alors que l'Otan n'avait jamais envisagé d'offensive terrestre sur le territoire du pacte de Varsovie ».

Les documents publiés par l'historien tchèque laissent également supposer que les Soviétiques avaient déployé sur le territoire de l'ex-Tchécoslovaquie des ogives nucléaires après l'invasion du pays par les troupes du pacte de Varsovie en 1968. Ce déploiement est stipulé dans un traité signé en 1965 par les deux pays. « Mais nous n'en avons aucune preuve, précise Petr Lunak. Et les officiels de l'époque n'en ont jamais parlé. »

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  • 2 years later...

Je suis tombé sur l'article suivant :

Plus de soldats et moins de sécurité ?

La stratégie nucléaire de l’OTAN et le déploiement de la Bundeswehr au cours des années 1960

http://rha.revues.org/index7150.html#ftn25

Qui montrait que face à une armée rouge nucléaire, une armée allemande conventionnelle même fortement équipé, était plus que mal à l'aise et que les chanceliers allemands ont tout fait pour avoir une ''garantie'' atomique en demandant à tout le monde des engagements fermes (USA, Royaume Uni, France) mais celles ci ne furent pas ''automatiques''.

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