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Missilerie Navale


Philippe Top-Force
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L'abandon de huit programmes français d'armement a coûté 1,5 milliard d'euros.

Je lance ce post sur les projets et abandon de missiles ,ce sujet est apposé dans la rubrique marine ,car plusieurs concernaient des missiles navals ,mais d'autres sont des programmes terrestres.

J'ai retrouvé un article focalisant l'ampleur des dégats de la précédente LPM qui a causé des gaspillages pécuniers.

Je vous le fais partagé.

:arrow: Pour cinq des huit programmes qui ont été examinés par le CPRA, la décision d'abandon a été prise à la fin du développement : les missiles antichar AC 3G à longue portée et à moyenne portée, le missile antinavire futur, le missile porte-torpilles Milas et enfin le drone Brevel.

En outre, le satellite radar Horus n'a pas été poursuivi une fois qu'a été acquise la faisabilité.

Par ailleurs, l'abandon de la revalorisation du système de missile sol-air Roland est intervenu en 2003 peu après le lancement de la production de la part française. Enfin, le missile à fibre optique Polyphème a été arrêté : les études préliminaires révélaient que ce projet "posait des problèmes techniques dont la solution était trop coûteuse par rapport aux estimations".

Ces programmes impliquaient à l'époque Aerospatiale et Matra (filiale du groupe Lagardère) réunis depuis au sein de la partie française d'EADS.

Nous pouvons en débattre. ;)

Sources :Au cours de la période 1997-2002, la précédente loi de programmation militaire (LPM), l'abandon de huit programmes d'armement a coûté à l'Etat la bagatelle de 1,516 milliard d'euros en pure perte. Ainsi, le coût effectif des travaux déjà réalisés au moment de l'arrêt des programmes a été "estimé à 1,516 milliard aux conditions économiques de janvier 2003", précise le Comité des prix de revient des fabrications d'armement (CPRA) dans son 27e rapport.

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Arreter un programme ne coute rien (sauf penalites contractuelles - pas le cas ici). Ces 1.5 milliards sont des couts deja payes. A la limite, on peut parler de gaspillage de 1.5 milliards. Et encore, pas vraiment du gaspillage puisque ca fait tourner notre R&D. Ce qui nous coute vraiment ce sont plutot les etalements de programmes car ils augmentent la facture finale et/ou la facture par unite. A+

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les Sea Skua sont toujours en service ? :oops:

SEA SKUA, launched by helicopter, is the only missile system of its type that has been used in combat during two different wars, in the Falklands (1982) and in the Gulf (1991).

SEA SKUA is in service on Navy Lynx helicopters in Brazil, South Korea and in the United Kingdom, on Germany’s Sea Kings and Super Lynxes, and on AB-212 helicopters belonging to the Turkish navy. It will remain in service well into this century.

site MBDA : http://www.mbda.fr/site/FO/scripts/siteFO_contenu.php?lang=EN&noeu_id=113

C'est un vieux missile mais il a fait ses preuves....

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Arreter un programme ne coute rien (sauf penalites contractuelles - pas le cas ici). Ces 1.5 milliards sont des couts deja payes. A la limite, on peut parler de gaspillage de 1.5 milliards. Et encore, pas vraiment du gaspillage puisque ca fait tourner notre R&D.

Ce qui nous coute vraiment ce sont plutot les etalements de programmes car ils augmentent la facture finale et/ou la facture par unite.

A+

Oui et non :idea: ,cela dit :" Un rapport officiel critique le manque d'anticipation du ministère de la Défense dans la gestion de certains programmes. Il met en cause la lenteur des décisions qui auraient permis de limiter le coût de ces abandons.

Au cours de la période 1997-2002, la précédente loi de programmation militaire (LPM), l'abandon de huit programmes d'armement a coûté à l'Etat la bagatelle de 1,516 milliard d'euros en pure perte. Ainsi, le coût effectif des travaux déjà réalisés au moment de l'arrêt des programmes a été "estimé à 1,516 milliard aux conditions économiques de janvier 2003", précise le Comité des prix de revient des fabrications d'armement (CPRA) dans son 27e rapport.

"Clauses de dédit." Au regard de ces décisions prises, le CPRA observe qu'un abandon de programme reste "la réponse ultime à des difficultés budgétaires ou techniques". Il considère aussi que certaines décisions de report d'un projet sont "parfois le prélude à un renoncement final". Et de rappeler une nouvelle fois que "l'allongement du processus de réalisation accroît le coût global et peut favoriser l'obsolescence de technologies évolutives utilisées". Ce qui peut aboutir à mettre le lancement du développement ou de production d'un programme "hors de portée financière" pour l'Etat.

Le rapport du CPRA, qui tente de relativiser l'aspect financier, prend soin d'expliquer qu'un programme abandonné "ne veut pas dire travaux réalisés en pure perte car les acquis techniques demeurent".

Là Julien a raison. 8)

Mais, il rappelle que "l'abandon peut être une cause de surcoût du seul fait de l'application des clauses de dédit". Une chose est sûre : l'abandon des huit programmes étudiés a permis à la Défense d'économiser l'achat de ces matériels.

:arrow: Soit 4,72 milliards d'euros, selon le coût prévisionnel de production restant à financer. Et le gain final de ces mesures "peut être estimé à environ 3 % d'une annuité" budgétaire de la LPM 1997-2002, selon le CPRA. Ce qui semble très peu au regard des conséquences industrielles.

Meilleure anticipation. Le rapport critique notamment le délai de réflexion du ministère de la Défense avant que les conclusions "de l'évolution du contexte géostratégique ne soient tirées en programmation".

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Faudrait savoir a combien se montent ces clauses de dedits. A mon avis ca pese pas lourd dans les 1.5 milliards. Casser un contrat de production ca oui ca coute cher en penalites. Ne pas faire suivre un developpement d'une fabrication en serie ne devrait pas etre sanctionnee par des penalites (ou alors faibles et pas calculees sur la manque a gagner pour l'industriel). A+

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  • 9 months later...

C'est une question de prix.Le Mica VL n'apporte pas grand chose à l'Aster meme en prix.Son seul interet est de pouvoir etre mis en oeuvre sur des petits batiments. Le crotale NG reste un bon systeme quasi inbrouillable mais peu performant face aux missiles antinavires supersoniques. Il peut etre mis en oeuvre sur des petits batiments et il coute 5 fois moins cher que le systeme ASTER.. Pour des batiments de premier rang l'ASTER bien evidemment, et pour le second rang (style avisos/corvettes ) le Crotale NG en le modernisant et en le completant par des Mistral2 pour contrer les attaques saturantes de missiles style harpoon en temps clair (ce qui est la grande majorité du temps sous les tropiques).

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Le crotale NG est déja une modernisation, avec l'arrivé de Mica VL et de aster 15 je doute de l'utilité de le moderniser une nouvelle fois

Il est en tout etat de cause maintenu et modernisé ne serait ce que pour les armées etrangeres.Et il faut le faire pour les systemes operationels sinon il perdra completement de son efficacité en ambiance CME.

Le mica VL est trop cher pour les batiments de second rang.La munition coute 5 fois plus chere qu'un crotale, et plus de 70% du prix d'un aster 15.la conduite de tir est presque aussi chere que l'aster 15.

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"Le VL Mica (vertical launch Mica) est un missile à lancement vertical. De fait, le missile Mica n'a qu'une durée de vie limitée dès lors qu'il est embarqué en vol. Il peut alors être reclassé pour faire l'objet d'un lancement à partir du VL Mica. Cela permet de réaliser des économies importantes, car il n'est pas nécessaire de re-développer un missile anti-aérien pour avoir un système sol-air performant."

(source)

Ou comment recycler les missiles interdits de vol.

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Ou comment recycler les missiles interdits de vol.

Il est clair que c'est le seul interet du Mica VL.La munition et le systeme de tir coutant presqu'autant que les ASTER15, on voit pas pourquoi on se doterait d'un systeme inférieur a l'Aster 15 vu l'absence de booster.

A la limite un Aster 15 simplifie sans le PifPaf couterai le meme prix.

Sur le SM2, c'est un missile LP/MP classique donc limité en performance pour contrer des petites cibles ultramanoeuvrantes comme les missiles antinavires supersoniques.L'avantage est que la munition (equipement de production et R&D largement amortie) utlisant de surcroit un autodirecteur semiactif (necessant des illuminateurs) est peu couteuse.Bien moins chere qu'un Aster.

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  • 3 weeks later...

L'Espagne achete des missiles Tomahawk Tactom, le congres US a officielement autoriser la vente deTomahawk à l'espagne qui deviendra ainsi le troisieme pays au monde à en avoir apres les USA et l UK..

Les navires qui en seront armée seront les suivants ;

Les F-100 et les S-80

EE UU venderá a la Armada los «Tomahawk» que negoció Aznar

La compra de los misiles, gestionada por el Gobierno del PP, convierte a España en el tercer país que dispone de estos proyectiles de largo alcance

C. Pérez

Madrid- Se doctoraron en 1991 en la primera Guerra del Golfo y causaron estragos en las líneas iraquíes. Diseñados para volar a baja altura, estos proyectiles de largo alcance son capaces de recorrer 1.600 kilómetros a velocidades supersónicas en busca de su objetivo. Casi nunca fallan. Los radares se vuelven locos para seguir su rastro y, por si fuera poco, pueden variar su rumbo y corregir el blanco en pleno vuelo. Son los misiles «Tomahawk», hasta ahora sólo en poder de Estados Unidos y Reino Unido y, dentro de muy poco, también en posesión de la Armada Española.

El Gobierno de EE UU ha autorizado finalmente a España la compra de estos misiles tácticos de crucero, que la Armada incorporará al sistema de armamento de su flota de fragatas y submarinos, según confirmaron a Ep fuentes militares españolas. Se cierran así varios años de gestiones con la Administración Bush, que arrancaron durante el Gobierno de José María Aznar, que consiguió el respaldo del secretario de Defensa estadounidense, Donald Rumsfeld, a las aspiraciones españolas. Tras el sí del Gobierno de EE UU, el propio Rumsfeld comunicó el pasado julio al entonces ministro de Defensa, José Bono, el placet del Pentágono, sin el cual ningún «Tomahawk» sale de EE UU rumbo a cualquier otra Fuerza Armada.

El objetivo de la Marina española es instalar este sistema de proyectiles de largo alcance a las fragatas de la clase «Álvaro de Bazán» -los buques de última generación dotados del sistema de combate estadounidense «Aegis», que permite detectar blancos aéreos en un radio de 600 kilómetros- y a los submarinos de la clase S-80, actualmente en proceso de construcción en los astilleros de Navantia.

Cambios en los lanzadores. Las fuentes consultadas señalaron que la operación se encuentra actualmente en la fase de «estudio de viabilidad» y que ya se está elaborando la denominada Carta de Requisitos (LOR, por sus siglas en inglés), el documento en el que se plasman las necesidades operativas que deberá cubrir el programa de armamento.

Este documento delimitará el número de unidades que se adquirirán, previsiblemente 60, así como las características específicas que deberá tener el sistema de misiles, que se incorporará tanto en la flota de escoltas como en el arma submarina de la Marina española. Los técnicos militares españoles están analizando también las modificaciones que se deberán desarrollar en el lanzador de los misiles «Tomahawk» para adaptarlo a las fragatas de la clase «Álvaro de Bazán», las denominadas F100.

Tras el visto bueno de la Administración estadounidense y los últimos retoques del programa por parte de la Armada, el Ministerio de Defensa deberá dar luz verde a este proyecto de armamento y aprobar la adquisición en Consejo de Ministros.

España adquirirá varias decenas de la cuarta versión de misiles «Tomahawk». Este modelo, bautizado por su fabricante, la compañía norteamericana «Raytheon», como el «Tomahawk Táctico» o «TacTom», tiene un coste estimado en unos 700.000 dólares, bastante menor que el de las versiones anteriores, al estar dotado de un motor de propulsión más económico.

Al igual que sus predecesores, el «TacTom» tiene un alcance efectivo de unos 1.600 kilómetros y, además, puede ser reprogramado vía enlace por satélite, eligiendo entre 15 objetivos previamente definidos, e incluso puede ser dirigido a otro blanco no prefijado transmitiéndole las coordenadas GPS.

Este avanzado misil, que alcanza una velocidad de 800 kilómetros por hora, tiene capacidad para ser utilizado como plataforma de reconocimiento gracias a la cámara de televisión que incorpora y a la transmisión vía satélite en tiempo real de las imágenes que capta. Una cualidad que permite al buque o submarino que los incorpora visualizar el terreno al que se dirigirá el misil, así como observar posteriormente los daños ocasionados por el proyectil, entre otras posibilidades.

El Gobierno de Estados Unidos tan sólo había autorizado hasta el momento la compra de misiles «Tomahawk» a Reino Unido, que adquirió también la versión «TacTom» para armar su flota de submarinos nucleares de las clases «Trafalgar» y «Swiftsure».

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