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Cela chauffe en Centrafrique.


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il y a 1 minute, Ojs.Fisher a dit :

Ca fleure bon la manip, quand même, tellement c'est gros.
C'est aussi le pays où plein de monde porte des gris-gris censés arrêter les balles et autres bidules assez "gros" aussi. Quelle misère !

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La vérité peut se situer partout sur le spectre de "ça s'est vraiment passé" à "les blancs nous offrent un repas à chaque fois qu'on va leur dire qu'on a été violé". En passant par une force politique locale qui aimerait bien ne plus voir de soldats français en Centrafrique pendant quelques années. Potentiellement, aucune de ces explications n'excluent les autres. 

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Le 01/04/2016 à 11:51, Ojs.Fisher a dit :

Pas crédibles. Certains laissant même entendre une manipulation destinée à discréditer l'action de la France.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/04/02/2316600-militaires-francais-accuses-de-viols-hollande-tape-sur-la-table.html

«Il faut être prudent, ne pas accuser trop vite»
 

Citation

 

La population centrafricaine est-elle choquée par ces affaires d'agressions sexuelles et de viols ?

Cette affaire n'est pas un sujet de discussions. Seuls les ministres et responsables politiques en font état. Malheureusement, ici, le viol des femmes est répandu et ce, depuis pas mal de temps. Cela fait quasiment partie du paysage. Lors d'affrontements entre communautés, comme le pays en a connu avant l'intervention de la force Sangaris, les fractions utilisent l'agression et l'enlèvement de femmes comme «outils» de répression et monnaie d'échange.

Ces nouvelles accusations surviennent au moment où le contingent français se retire de Centrafrique. Cela est-il lié ?

Il y a eu, c'est quasiment déjà prouvé, des agressions et (ou) viols commis par des militaires français mais aussi par des soldats d'autres pays comme le Gabon. Cela n'est pas, en effet, anodin que ces plaintes surviennent au moment du retrait des troupes françaises. Il faut savoir que sur les 110 plaignantes, une quarantaine se disent enceintes de ces militaires. Or, il semble que pas mal de ces filles avaient une liaison avec les militaires accusés. Il se dit ici que certaines d'entre elles cherchent en fait, à travers ces procédures, à obtenir une aide du père de leur enfant avant qu'il ne quitte le territoire et ne les abandonne à leur sort comme cela se fait pratiquement tout le temps. Pas mal de ces dossiers pourraient donc se dégonfler.

L'affaire de ces rapports sexuels avec des animaux semble également mise en doute. Qu'en est-il ?

Depuis un an et demi, une vidéo montrant une fille ayant des rapports sexuels avec un chien circule dans le pays. L'ONU n'a jamais pu déterminer où elle avait été tournée et ni même si elle l'avait été en Centrafrique. Aucun militaire n'y est d'ailleurs visible. C'est l'ONG AIDS-Free World, à l'origine des autres accusations, qui rapporte ces faits. Mais, il se dit déjà qu'aucun élément ne le prouve. Dans tous ces dossiers, il faut être prudent, ne pas accuser trop vite».

 

 

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Le 1/4/2016 à 11:51, Ojs.Fisher a dit :

Sa peut arriver mais la rare fois ou j'ai était d'un tel comportement sa était réglé sérieusement .

L'Armée reste un microcosme de la société ,avec des possibilités de déviance .

Bien évidemment sa reste très isolé .

Le 1/4/2016 à 11:55, Boule75 a dit :

Ca fleure bon la manip, quand même, tellement c'est gros.
C'est aussi le pays où plein de monde porte des gris-gris censés arrêter les balles et autres bidules assez "gros" aussi. Quelle misère !

Le problème s'est qu'en supposant que le cas soit vrai ( comme dit plus haut sa reste très rare ,moi en 15 ans j'ai entendu parlé d'un cas qui a était réglé sérieusement ) ,la façon de gérer des africains sa aident pas à trouver de la crédibilité ,sans oublié les possibles manipulations extérieures .

Bien évidemment si le cas est concret ben pas de pitié .

Il y a 14 heures, TimTR a dit :

La vérité peut se situer partout sur le spectre de "ça s'est vraiment passé" à "les blancs nous offrent un repas à chaque fois qu'on va leur dire qu'on a été violé". En passant par une force politique locale qui aimerait bien ne plus voir de soldats français en Centrafrique pendant quelques années. Potentiellement, aucune de ces explications n'excluent les autres. 

Oui tout est possible ,comme je le dis l'armée s'est un microcosme de la société civile ,et on peu retrouvé (rarement ) des gens déviants .

Mais comme je le dit sa reste très rare comme situation .

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Le 02/04/2016 à 12:52, Philippe Top-Force a dit :

 

Magnifique cette phrase au conditionnel du Président, transformée en affirmation dans le titre du JDD, l'affirmation validant du même coup les accusations (dont au final, on ne sait vraiment pas grand chose, si ce n'est qu'elles ont été recueillies par l'ONU).

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  • 6 months later...

RCA - A 1ère vue, pas d'opération Touraco finalement pour prendre la suite de Sangaris à la fin du mois

Mais un "moins vendeur" ESN 70 : pour Éléments de Soutien National (70 devant être le format de la mission).

En quelque sorte, la suite des EFAO (Éléments français d'assistance opérationnelle) des années 80 et 90.

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  • 3 weeks later...

SANGARIS : Désengagement progressif de la force et de son matériel

Depuis mai 2016, cette présence militaire s’est alors restructurée pour atteindre aujourd’hui un format de 350 hommes sur le théâtre. Depuis  plusieurs semaines, le volume des moyens français déployés sur ce théâtre a également fortement décru avec le rapatriement du matériel lourd et des véhicules.Pour cela, le Centre de Soutien des Opérations et des Acheminements (CSOA) des Armées met en œuvre les acheminements nécessaires par voies routière, aérienne et maritime :

Les matériels et véhicules non réorientés vers d’autres théâtres d’opération partent de Bangui pour rejoindre la France en passant par le Cameroun et la façade maritime.

Le navire « MN Calao », affrété en partie pour le désengagement, a embarqué plus d’une centaine de containers et près de 70 véhicules tactiques lors de son passage à Douala (Cameroun) du 5 au 7 septembre dernier.

http://www.defense.gouv.fr/operations/centrafrique/actualites/sangaris-desengagement-progressif-de-la-force-et-de-son-materiel#

 

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Il y a 6 heures, collectionneur a dit :

Cela me paraîtrait plus pratique de les laisser en Afrique vu que la situation risque de dégénérer de nouveau de façon trop visible...

Il n'a pas un centre de maintenance a Abidjan pour les remises en état ?

Les VBL doivent repasser en usine pour leur modernisation à mi vie. En Afrique la maintenance c'est niveau 1 pour les niveau 2 et 3 c'est en métropole.  

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Ils n'ont pas pu avoir de mandat de l'ONU pour pouvoir désarmer les milices, vu qu'ils ont toujours le contrôle des mines de diamants, ils vont pouvoir recruter et financer l'achat d'armes. tous les problèmes vont revenir au galop, retour à la case départ.

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Le 12/10/2016 à 10:47, chaba a dit :

Bonne ambiance a Bangui vendredi dernier un assassinat (un colonel...) et sept morts de plus (+ xx blesses) dans les affrontements qui suivent... (certes, c'etait au kilometre cinq, mais quand meme!)

http://koaci.com/centrafrique-colonel-larmee-assassine-quartier--102584.html

Quand j'y étais il y avait un colonel aussi de je ne sais plus quelle faction il avait pris 5 balles dans le buffet... 5 jours après il buvait des coups en terrasse, rustique le garenne...

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Je viens de regarder ce qui rester sur place.  

Nous avons donc:  

1 Groupe de commandement et de logistique de 60 hommes

1 Compagnie d'infanterie 140 hommes

Renforcé d'un groupe mortier de 81mm  de 10 Pax

ob_98684e_img-1247.jpg

Et d'un groupe TLD de 10 pax

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Nous avons aussi un peloton de cavalerie à 6 VBL qui peut éventuellement utiliser les 3 ERC 90 qui vont finir leur vie à Bangui . 40 hommes environ   

Il faut rajouter.  

2 Sections Génie 60 hommes

Dont une équipe EOD sur PVP

On a aussi laissé 1 EGRAP sur place.

  carac_vignette_1.jpg

 

L'armée de l'air à aussi un petit groupe de 30 pax sur place 

Avec un Fennec qui peut être équiper en fonction des missions d'une boule optronique d'un canon de 20 mm. D'un tireur d'élite.

Une équipe de 5 pax avec 2 Land Rover qui sont équipée pour faire du JTAC ( bref les avions de N Ndjamena pourraient rappliquer vite fait en cas de menace sur notre  ESN 70)  

On doit aussi envoyer 4 SDTI pour faire du renseignement au profil de l'ONU. Mais pour l'instant pas encore confirmé.

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Je n'ai pas bien compris comment cela va s'articuler. Un groupe de drones va travailler aux profils de l'ONU sous drapeau français ou passe sous casque bleue ? 

http://lignesdedefense.blogs.ouest- france.fr

Un autre pour la mission européenne et un 3e restant sous drapeau français, cela me compliqué comme chaîne de commandement.

Et pour la solde, Louvois risque d'être de se planté vu les primes différentes :)

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http://lavoiedelepee.blogspot.fr/2015/01/au-coeur-des-tenebres.html

 

Citation

mercredi 2 novembre 2016

Un papillon sur l'épaule. Honneur aux soldats de l'opération Sangaris

 

 

Modification d'un billet publié le 31/12/2014


 

Quel est le combat le plus violent mené par des forces occidentales depuis 2013 ? Il s’agit certainement de l’affrontement survenu les 4 et 5 août entre les soldats français du Groupement tactique De Boissieu et des combattants de l’ex-Seleka à Batanfago au nord-ouest de la Centrafrique. Deux soldats français et un soldat congolais de la MISCA y ont été blessés alors que les bandes de la Seleka ont été détruites avec, selon les sources, de 37 à 70 tués et un nombre inconnu de blessés. Le fait est que, hormis quelques images passées en boucle sur les chaînes d’information pendant une journée, ces événements n’ont guère été mis en avant par le gouvernement comme si cette victoire et celle de Boguila le 5 mai face aux mêmes ex-Seleka ou de Grimari en avril, face à une bande anti-balaka cette fois, étaient honteuses.

 

Il est vrai que l’opération Sangaris ne s’est pas vraiment passée comme prévue. Il n’existe que deux moyens d’user de la force légitime : la guerre et la police. Dans le premier cas, on affronte, un ennemi politique ; dans le deuxième cas, on s’oppose éventuellement à ceux qui contreviennent à la loi et l’ordre. En Centrafrique, contrairement au Mali, on a refusé de désigner un ennemi. On s’est donc lancé dans une opération de police internationale mais sans l’avouer (le cabinet du ministre de la défense m’a téléphoné pour me dire que ce n’était pas bien du tout de le dire) et surtout sans se donner les moyens de réussir. Une mission de sécurisation impose une présence humaine suffisante pour pouvoir s’imposer à tout le monde partout et en en même temps et bien entendu cette masse critique doit être d’autant plus importante que la situation est grave. 

 

Par sous-estimation de l’ampleur des bandes armées (certains hauts responsables auraient, paraît-il parlé de « promenade » en préparant l’opération) et en pariant à la fois sur la « sidération » des factions à l’arrivée des soldats français puis sur le secours rapide des Alliés, on a cru que l’engagement d’une poignée d’hommes, pour six mois suffirait (et 1 600 hommes au cœur d’une ville de plus d’un million d’hommes et sans parler de l’ensemble du pays, c’est une poignée). En réalité, c’est nous qui avons été surpris, par l’ampleur de la haine accumulée, par la force du mouvement anti-balaka, par l’état du pays qui nécessitait d’aller bien au-delà de la seule sécurisation, par le peu d’empressement des Européens à nous aider, par la lenteur enfin de la communauté internationale à nous relever. Il a donc été évident très vite que cette opération avait été mal engagée mais plutôt que de l’avouer, on a préféré fustiger les « pseudo-experts auto-proclamées » et les « généraux de Paris », puis, de plus en plus, jouer la discrétion.

 

Nous avons donc laissé notre poignée de soldats, à peine et discrètement renforcés de 400 hommes, dans une situation impossible au cœur des ténèbres, en proie aux spectacles de l’horreur, jusqu'au cannibalisme, aux mouvements plus ou moins rationnels des foules, aux accusations d’aider les uns lorsqu’on désarmait les autres, à l’impuissance devant les faits de délinquance (que faire des délinquants lorsqu’il n’y a plus de justice ou de police locale), à la menace permanente d’agressions aussi diverses que toujours soudaines. C’est ainsi donc que l’on a refusé aussi de communiquer vraiment sur les combats, pourtant victorieux, ajoutant en plus le manque de reconnaissance. 

 

Pire, l’espace médiatique, comme dans chaque opération de stabilisation en Afrique (Turquoise au Rwanda ou Licorne en Côte d’Ivoire), a été laissé à ceux qui nous voulaient du mal, exploitant les possibles fautes de comportement de quelques-uns des 15 000 soldats français qui finiront par être engagés au total dans cette « promenade » de six mois, mais surtout en les inventant. Pour beaucoup désormais l’engagement en Centrafrique, ce sera donc plus des accusations d’abus sexuels que des victoires au combat et surtout des milliers de vies sauvées. Les massacres évitées ne se voient pas et les aveux de manipulation ne sont jamais rapportés avec la même force que les accusations, quand ils sont rapportés.

 

L’opération Sangaris est ainsi devenue peut-être la plus difficile que les forces armées françaises aient eu à conduire depuis vingt ans. Si peu de soldats, trois au total dont deux au combat, ont été tués au regard des dangers encourus, le nombre de blessés et notamment de troubles psychologiques (un homme sur huit pour les deux premiers mandats pour un pour douze au retour d’Afghanistan) est particulièrement élevé. Beaucoup avouent avoir connu là leur expérience la plus épuisante. Bien au-delà des six mois initiaux évoqués, la force Sangaris et les contingents de la MINUSCA, sans parler par décence de la mission européenne (un millier d’hommes péniblement déployés après des mois de tractations sur les 1,7 millions que comptent les armées de l’UE), sont parvenus à détruire des milliers  d’armes et à assurer dans la plupart des villes de l’ouest centrafricain, résultat remarquable au regard des effectifs engagés. 

 

Tout cela est à mettre à l’honneur de nos soldats mais cela aurait pu être obtenu beaucoup plus vite, avec moins de souffrances et pour moins cher que les 500 millions d’euros que nous avons finalement dépensés (sans parler de l’usure des équipements) si on avait engagé tout de suite 10 000 hommes. Une opération de stabilisation comme Sangaris reste une opération de Sisyphe tant qu’une force nationale et/ou internationale suffisante n'est pas en mesure d’assurer la sécurisation minimale du pays. On espère que cela sera le cas avec la MINUSCA (et les 350 soldats français en réserve d’intervention). Le fait qu’il s’agisse de la sixième opération successive « MI », après l’échec des cinq précédentes (MISAB, MINURCA, MINUC, MICOPAX, MISCA) depuis vingt ans n’incite cependant pas à l’optimisme même si on est en présence, avec au moins 10 000 hommes, d’effectifs enfin un peu conséquents. Les effectifs sont nécessaires mais pas suffisants.

 

Preuve est ainsi faite que, par habitude, structure et surtout par effectifs insuffisants, les forces françaises en Afrique restent des forces d’intervention « coup de poing », forme d’engagement dans lequel elles sont encore très efficaces mais que dès lors que l’on sort de ce schéma, en refusant de désigner un ennemi, on se condamne à l’enlisement. Il faut soit l’assumer politiquement, soit en tirer des conséquences en infléchissant les évolutions en cours de nos forces. Nous ne pouvons déjà plus apparemment mener seuls des opérations de stabilisation et même les opérations de guerre tendent à se réduire à une simple collection de frappes sans possibilité de contrôler véritablement un espace important quelconque. 

L’opération Sangaris est officiellement terminée depuis le 31 octobre dernier, presque trois ans après son lancement. La France peut en être légitimement fière. Nous sommes la seule nation occidentale à avoir vraiment voulu faire quelque chose et avoir réellement agi, nous avons sauvé des milliers de vie et posé des bases, certes fragiles, pour la reconstitution d’un Etat. On attend maintenant une reconnaissance réelle et visible du courage et des efforts des soldats qui ont été plongés dans les ténèbres.


En savoir plus sur http://lavoiedelepee.blogspot.com/#x3oy3sOWAXHmqdpC.99

 

 

 

 

Comme le souligne le Colonel Goya , Honneur à nos soldats de Sangaris , comme le prouve ces médailles décernées :

 

 

 

Citation

[À L'HONNEUR] Deux légionnaires exemplaires !

Deux caporaux du 2e régiment étranger d'infanterie ont été décorés pour leurs actions en République centrafricaine dans le cadre de l’opération SANGARIS :
- Le caporal Pavels a fait preuve d’une grande bravoure sous le feu ennemi à trois reprises, aux abords de l’aéroport de M’Poko, dans le 5e arrondissement de Bangui et en mission près de Sibut. Gardant son sang-froid lors de chaque prise à partie, le légionnaire a commandé son équipe en dépit de l’intensité des attaques, pour riposter par un feu nourri et contrôlé jusqu’à neutralisation des adversaires. Le caporal Pavels a été cité à l’ordre de la brigade avec attribution de la croix de la Valeur militaire avec étoile de bronze. 
- Le caporal Jiri a été engagé comme auxiliaire sanitaire spécialisé, il s’est illustré à Bambari dans la nuit du 11 au 12 août en montant à l’assaut sur les positions de l’adversaire. Le 1er octobre il repoussait une offensive ennemie contre les forces de l’Onu. Par son courage, il a contribué à restaurer la sécurité dans certains quartiers de Bambari et à protéger la population en infligeant de lourdes pertes à l’ennemi. Le caporal Jiri a été cité à l’ordre du régiment avec attribution de la croix de Valeur militaire avec étoile de bronze.

L' Armée de Terre est fière de compter dans ces rangs des militaires dotés d'un réel sens du devoir et de la mission. #FiersDeNosSoldats

 

 

 

Modifié par Gibbs le Cajun
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  • 2 weeks later...
  • 1 month later...
Il y a 4 heures, Barristan-Selmy a dit :

République centrafricaine : Un nouveau groupe armé sème la terreur

https://www.hrw.org/fr/news/2016/12/20/republique-centrafricaine-un-nouveau-groupe-arme-seme-la-terreur

Ce qu'il y a bien avec ces groupes armés, plus leur nom est pompeux, pire est leur comportement :

« Retour, Réclamation et Réhabilitation » !?

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  • 5 months later...

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