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Drone (UAV) dans l'armée de terre française


Manu
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il y a 5 minutes, gargouille a dit :

Première nouvelle que l'on n'est pas très bon pour dessiner un drone, quel raccourcie !

C'est du logiciel qu'il faut revoir, pas l'engin.

 

Logiciel ou dessin on n'est malheureusement pas bon dans ce domaine.  

 

 

 

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Il y a 2 heures, Rivelo a dit :

Mais quelle est l'intérêt d'un drone MALE avec un fil à la patte de 100 à 150km par rapport à sa base ?

Voler longtemps ? 

Que tu amènes la station sol proche du lieux d'opération est un autre débat. 

Il y a 2 heures, Rivelo a dit :

Quelle logique pour l'AdT d'acheter un drone qui se vante d'avoir une interface simple d'usage mais qui en fait exige que ses opérateurs aient une licence de pilote ?

D'où vient cette information ? Tu as une source ?

Il y a 2 heures, Scarabé a dit :

Logiciel ou dessin on n'est malheureusement pas bon dans ce domaine. 

Je ne crois pas que l'on est le recul ou les informations nécessaires pour avoir un avis aussi tranché. C'est purement ton ressenti personnel 

Il y a 2 heures, Scarabé a dit :

Surtout que les Spy'Ranger sont arrivés et sont lagement suiffisant pour regler un tir de mortier   

Quel rapport avec un drone de plusieurs centaines de kilo ? 

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8 minutes ago, clem200 said:

Que tu amènes la station sol proche du lieux d'opération est un autre débat. 

Station sol et piste d’atterrissage, le drone ne peut pas se rendre sur la zone d’opération tout seul, il doit rester dans la bulle. C'est la tout le problème.

La force du Reaper, c'est qu'il peut décoller de Niamey et couvrir toute la zone Barkhane. Un Patroller, au contraire,  pourra décoller de Gao et rayonner dans un rayon de 150km autour de la base, comme l'on fait les drones allemands Heron 1 affectés à la Minusma. Cela limite l’intérêt. Alors qu'un drone transportable dans un sac à dos ou dans un Masstech peut-être emmené dans le cœur de l'action.

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il y a 1 minute, Rivelo a dit :

Station sol et piste d’atterrissage, le drone ne peut pas se rendre sur la zone d’opération tout seul, il doit rester dans la bulle. C'est la tout le problème.

La force du Reaper, c'est qu'il peut décoller de Niamey et couvrir toute la zone Barkhane. Un Patroller, au contraire,  pourra décoller de Gao et rayonner dans un rayon de 150km autour de la base, comme l'on fait les drones allemands Heron 1 affectés à la Minusma. Cela limite l’intérêt. Alors qu'un drone transportable dans un sac à dos ou dans un Masstech peut-être emmené dans le cœur de l'action.

Et c'est pour cela que tous ces drones existent, ils se complètent

Modifié par clem200
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35 minutes ago, clem200 said:

D'où vient cette information ? Tu as une source ?

https://www.journal-aviation.com/actualites/36466-les-futurs-pilotes-de-l-armee-de-terre-se-forment-au-patroller

 

Quote

Suite à la commande en avril 2016 du système de drone tactique Patroller de Safran Electronics & Defence, dans le cadre du remplacement des systèmes de drones tactiques intérimaires Sperwer, l'Aviation légère de l'armée de terre a mis en place un cursus de formation des pilotes en amont des premières livraisons, annoncées pour début 2019.
[...]
La seconde phase, pratique, se déroulera de septembre prochain jusqu'à la fin 2017, avec l'obtention d'un brevet aéronautique, « light aircraft pilote license ». « C'est l'équivalent du brevet de base avion, le Patroller étant considéré comme un véritable avion, il est donc cohérent de faire des pilotes des vrais usagers de l'air », nous explique-t-on. La formation sur Patroller et les expérimentations devraient avoir lieu au cours de l'année 2018, afin d'être prêt pour accueillir les premiers drones tactiques en 2019.

Il est question depuis de faire cursus commun avec l'armée de l'air

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il y a 10 minutes, Rivelo a dit :

Merci de l'info. 

Cependant je ne comprends pas ta critique envers le drone. Aucun rapport entre sa facilité d'utilisation vanté par le fabricant (qui vise aussi l'export) et la volonté de formation de ses hommes de l'armée de terre. 

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il y a une heure, Rivelo a dit :

La force du Reaper, c'est qu'il peut décoller de Niamey et couvrir toute la zone Barkhane. Un Patroller, au contraire,  pourra décoller de Gao et rayonner dans un rayon de 150km autour de la base, comme l'on fait les drones allemands Heron 1 affectés à la Minusma. Cela limite l’intérêt.

Colle lui une Satcom au Patroller et avec ses 20h d'autonomie, il deviendra tout suite plus intéressant.

A l'époque où Stratege/Patriote inquiet traînait dans les arcanes de la BiTD, il semblait évident que l'accès de Safran à une connexion satellite ne se ferait pas... ne serait-ce que parce que, à cette époque, le concurrent était le watchkeeper.

Il y a 4 heures, Rivelo a dit :

Le projet Patroller est un projet de BITD depuis le début. Le cahier des charges initial (qui visait à faire une sorte de drone MAME de 6h d'autonomie) a été tordu pour faire un drone MALE national.

Je pense que c'est surtout un projet de Safran, car à la DGA beaucoup se bidonnaient sur ce Patroller qui ne pouvait pas décoller si trop de vent (dixit Stratege).

Ceci dit, dommage que les retards actuels du programme ne permettent pas de pousser justement davantage le bouchon vers un MALE national, vu le Bazar de l'Eurodrone

Edit : le site du constructeur dit plus de 1000 km de connexion avec la Satcom optionnelle.

https://www.safran-electronics-defense.com/sites/sagem/files/patroller-rpas.pdf

 

Modifié par BPCs
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1 hour ago, clem200 said:

Cependant je ne comprends pas ta critique envers le drone. Aucun rapport entre sa facilité d'utilisation vanté par le fabricant (qui vise aussi l'export) et la volonté de formation de ses hommes de l'armée de terre. 

Mon point c'est que il suffit d'une simple formation de quelques jours/semaines au 61RA pour devenir opérateur de Black Hornet (micro-drone), NX70 (petit quad-copter) ou Spy'Ranger. Ce sont des équipements que les personnels de l'armée de terre peuvent facilement prendre en main en quelques semaines et emmener sur le terrain (ils tiennent tous dans un sac à dos).

Au contraire, le Patroller nécessite des pilotes dont la formation est longue (cela se compte en mois/années) - du moins c'est le choix chez nous pour que les appareils puissent voler en espace aérien partagé en métropole. Cela ruine l’intérêt de l'interface simplifiée (destinée à qualifier rapidement les opérateurs). Et si déjà tu formes des pilotes capable de piloter un avion de tourisme, pourquoi ne pas prévoir un cockpit de pilotage complet pour le télépilote comme sur le Reaper pour exploiter tout le potentiel de l'appareil ?

Le concept du Patroller, justifié d'un point de vue de maintient de notre indépendance technologique, est bancal d'un point de vue opérationnel pour moi.

Modifié par Rivelo
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Il y a 7 heures, Rivelo a dit :

Le concept du Patroller, justifié d'un point de vue de maintient de notre indépendance technologique, est bancal d'un point de vue opérationnel pour moi.

Si on lui mettait un moteur diesel en plus d'une Satcom, on serait clairement devant des performances de Male, dépassant largement les 20h actuelles.

Et des moteurs diewels pour UAV il y en a comme le 100 td2 de Danielson

http://www.danielson-eng.fr/danielson-100-td2-62.htm

dim-100td2.jpg

Pour le tactique qq chose comme le MBDA spectre ou le Fireshadows aurait été plus adapté

https://dronebelow.com/2018/09/24/mbda-announces-spectre-evtol-combat-drone/amp/

Modifié par BPCs
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Il y a 8 heures, Rivelo a dit :

Le concept du Patroller, justifié d'un point de vue de maintient de notre indépendance technologique, est bancal d'un point de vue opérationnel pour moi.

Pour moi il y a erreur. 

L'armée de terre voulait ce concept, personne ne lui a imposé cela. En 2015 ils hésitaient avec le Thalès Watchkeeper qui a des performances moindres mais un concept d'emploi en tout point similaire. 

Et cela semble plaire aux Anglais qui l'utilisent un peu partout dans le monde. 

Donc ce que tu n'aimes pas n'est pas du au drone en lui même, mais a la doctrine de l'armée de terre 

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Le calendrier officiel reste :

- réception du 1er système (2 stations sol + 5 vecteurs) fin 2021

- formations préalables pilotes et maintenanciers faites (réalisées aujourd'hui par l'industriel)

- d'ici fin 2021, le 61è RA sera autonome formation/entraînement

- 1ère projection OPEX planifiée mi-2022

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Il y a 12 heures, Rivelo a dit :

Mon point c'est que il suffit d'une simple formation de quelques jours/semaines au 61RA pour devenir opérateur de Black Hornet (micro-drone), NX70 (petit quad-copter) ou Spy'Ranger. Ce sont des équipements que les personnels de l'armée de terre peuvent facilement prendre en main en quelques semaines et emmener sur le terrain (ils tiennent tous dans un sac à dos).

Au contraire, le Patroller nécessite des pilotes dont la formation est longue (cela se compte en mois/années) - du moins c'est le choix chez nous pour que les appareils puissent voler en espace aérien partagé en métropole. Cela ruine l’intérêt de l'interface simplifiée (destinée à qualifier rapidement les opérateurs). Et si déjà tu formes des pilotes capable de piloter un avion de tourisme, pourquoi ne pas prévoir un cockpit de pilotage complet pour le télépilote comme sur le Reaper pour exploiter tout le potentiel de l'appareil ?

Le concept du Patroller, justifié d'un point de vue de maintient de notre indépendance technologique, est bancal d'un point de vue opérationnel pour moi.

Bien sur, ça te choque.

Je ne pense pas que tu trouverais normal de permettre à tout titulaire d'un permis B conduire un semi remorque de 40 T partout en France.

 

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il y a une heure, floflo7886 a dit :

Le calendrier officiel reste :

- réception du 1er système (2 stations sol + 5 vecteurs) fin 2021

- formations préalables pilotes et maintenanciers faites (réalisées aujourd'hui par l'industriel)

- d'ici fin 2021, le 61è RA sera autonome formation/entraînement

- 1ère projection OPEX planifiée mi-2022

Florance Parly a annoncé la semaine derniere que suite à l'accident de decembre les livraisons des drones tatique ont été décalées à 2022. 

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http://www.opex360.com/2020/06/15/larmee-de-terre-a-recu-ses-trois-premiers-systemes-de-mini-drones-de-reconnaissance/

Extraits *********** 

Annoncée en 2019, la livraison des premiers Systèmes de mini-drones de reconnaissance [SMDR] à l’armée de Terre a finalement été annoncée ce 15 juin par le ministère des Armées. Ce qui marque le début du remplacement des « drones de renseignement au contact » [DRAC], en service au sein du 61e Régiment d’Artillerie [RA] depuis 2008... Le SMDR repose sur trois drones Spy’Ranger de Thales, qui s’est associé avec les PME françaises Aviation Design et Merio pour remporter ce marché, notifié par la Direction générale de l’armement [DGA] en décembre 2016.... Pouvant être mis en oeuvre en 12 minutes par un binôme [installation de la rampe de lancement, assemblage du drone, initialisation de la station de contrôle et tests avant le vol], le SMDR est, avance le ministère des Armées, « deux fois plus performant que son prédécesseur ».  Le « SMDR se compose de trois drones identiques Spy’Ranger et d’une station sol. Équipé d’une boule optronique haute définition fonctionnant de jour comme de nuit, il offrira des performances accrues de détection, de reconnaissance et d’identification. D’une envergure de près de 4 mètres et d’une masse de 15 kg, le drone dispose d’une autonomie de l’ordre de 2h30 »....permet la transmission de flux vidéo en haute définition jusqu’à 30 km de la station sol en temps réel et de « façon fiable et sécurisée. »   

« La charge utile constitue une véritable innovation en soi. La plupart des drones ne sont en effet pas en mesure de maintenir leurs capteurs sur l’objectif lors de manœuvres soudaines et brutales. La gyrostabilisation dont bénéficie le mini drone Spy’Ranger permet de maintenir la caméra et les capteurs embarqués en ligne sur l’objectif, même si l’aéronef repousse au maximum les limites de la cellule en termes de manœuvrabilité », fait valoir Thales.

Au total, 35 SMDR ont été commandés par la DGA. Sur ce nombre, dix devront avoir été livrés à l’armée de Terre en 2020, les 25 derniers étant attendus en 2021.... mis en oeuvre par les unités d’artilleries, à commencer par le 61e RA

Fin extraits *******

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  • 4 months later...

Elistair a sorti un nouveau drone filaire qui a l'air d'avoir été au moins testé par l'AdT:

https://air-cosmos.com/article/elistair-conoit-un-drone-ddi-aux-applications-de-dfense-23818

2kg de charge utile à 100m pendant 24h. C'est assez pour avoir une boule optro correcte et un relai de communication. Ca irait bien sur ou dans un VBAE, et dans les transmissions pour monter des réseaux.

 

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2 hours ago, hadriel said:

Elistair a sorti un nouveau drone filaire qui a l'air d'avoir été au moins testé par l'AdT:

https://air-cosmos.com/article/elistair-conoit-un-drone-ddi-aux-applications-de-dfense-23818

2kg de charge utile à 100m pendant 24h. C'est assez pour avoir une boule optro correcte et un relai de communication. Ca irait bien sur ou dans un VBAE, et dans les transmissions pour monter des réseaux.

Israël en propose des dizaine de mats-volants du genre ... et depuis des année ... les polices américaines en sont absolument fan. L’ancêtre c'est Hovermast, avec ses nacelle 4K qualifiées naval ...

https://skysapience.com/defense-products/

Y a même des solution des déploiement complètement téléopéré pour les endroit dangereux.

Accessoirement l'engin sert d'antenne relai pour communication 4G ... pour de l'écoute EM etc. etc.

 

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On 11/4/2020 at 6:36 PM, hadriel said:

Elistair a sorti un nouveau drone filaire qui a l'air d'avoir été au moins testé par l'AdT:

https://air-cosmos.com/article/elistair-conoit-un-drone-ddi-aux-applications-de-dfense-23818

2kg de charge utile à 100m pendant 24h. C'est assez pour avoir une boule optro correcte et un relai de communication. Ca irait bien sur ou dans un VBAE, et dans les transmissions pour monter des réseaux.

 

Il faudra suivre s'il y a des déclinaisons du porteur de brouilleur des FDI.

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La première partie concerne les drones de l'AdT avec le SMDR en évaluation techniquo opérationnelle par la STAT à Mourmelon.

Avec la vérification de l'exactitude de l'extraction de coordonées de position afin de délivrer un feu d'artillerie.

On apprend que trois systèmes on étés livrés par la DGA aux forces et que dix autres le seront d'ici la fin de l'année conformément à la LPM.

edit: je suis en retard le soldat de marine a été plus rapide. :-)

Modifié par P4
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French Army To Test Small Drones That Can Detect, Intercept, And Possibly Jam Communications

The French Ministry of Defense’s Project Sauron is now calling for industry proposals for small electronic warfare-enabled drones.

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France has kicked off a program to develop an electronic warfare payload for a mini unmanned aerial vehicle. The French Ministry of Defense is looking for a payload, or payloads, that will be able to detect, locate, and identify radio communications transmitters, as well as potentially jam them. The project’s name — Sauron — seems to be a nod to the all-seeing-eye antagonist in Tolkien’s Lord of the Rings, not the first time such a reference has been used for a military surveillance application.

The country’s Defense Innovation Agency has released a request for proposals (RFP) for the new payload, which it wants to be small enough that it can be carried by drones weighing less than 55 pounds in total. The RFP calls for submissions by January 18, 2021, and the defense ministry hopes to contract several research and development projects that will each run for a seven-month period, including a demonstration at the end.

The RFP doesn’t specify the type of drone that the payload could be integrated on, but says that either fixed-wing or rotary-wing types will be considered, providing that the payload weighs less than 11 pounds and has an energy requirement of less than 50 watts. Also, it demands that a single drone be able to carry out all the desired missions, rather than splitting components of the system across multiple unmanned platforms. 

While other initiatives call for multiple drones to be employed in an autonomous “swarm,” this requirement is not mentioned and it instead stresses the importance of the system being unitary in nature. This would allow the suitably equipped drone to be used as an infantry support tool operated by a small team on or close to the battlefield. However, a larger number of drones could still potentially be equipped with the same payload to provide coverage over a wider area.

Once deployed onboard the chosen unmanned aerial vehicle (UAV) platform, the payload is expected to be able to detect, locate and track one or more types of radio communications transmitters operating in the bands between 30 and 6000 megahertz (MHz). It will need to be capable of identifying multiple transmitters simultaneously and mapping the radio-frequency environment in the area of interest accordingly. The information collected will need to be transmitted to a ground station in real-time.

In an operational context, the electronic warfare drone could provide even smaller French Army units with greater situational awareness about any enemy units around them. If used on a larger scale, it could help map out enemy locations across a broader area, a capability that you can read more about here. 

The French Ministry of Defense describes this electronic support payload as an “emerging requirement” in drone warfare and notes that it will have to be capable of being programmed and reoriented during the flight. An offensive jamming capability is not presently a prerequisite, but is something the French do appear to be interested in and would reflect similar developments underway in Europe right now. 

“We are not only interested in new technologies,” the French Ministry of Defense outlined in its RFP, and “the innovative nature of the proposals may consist of ‘diverting’ the use of existing technologies.” This seems to open the door to other electronic warfare drone payloads already in development, although restricting the bidders to European Union industry rules out some solutions, such as those already planned for the U.S. Army under its Air Launch Effects initiative, for example. 

At this stage, the French Ministry of Defense is just looking for proposals before down-selecting those that it sees as having potential for further development, including a demonstration. The organization confirms, however, that “industrialized solutions resulting from these projects could equip [French] Army drones. The possibility of scaling up (in terms of technological maturation and mass production) should be taken into account in the proposal.”

This plan to put an electronic support measures payload on a mini UAV is an ambitious one, although there has been significant miniaturization of related technologies in recent years. There are already similar signals intelligence (SIGINT) payloads available for the U.S.-made Scan Eagle that provide a lot of this desired functionality already. Launched by catapult, the ScanEagle weighs around 44 pounds, so is in the same category as the types of drones the French are looking to explore in a similar role.

The Scan Eagle’s SIGINT capability is known as “Peebles” or the “Peebles Payload.” This is thought to offer the same capabilities as a “dirtbox” system, allowing soldiers to track the position of an individual from their phone signal and potentially intercepting audio from the call, as well as the associated metadata. Such a capability would undoubtedly be of use in the French Armed Forces’ ongoing anti-insurgent operation in Africa’s Sahel region and would parallel similar tactics used by French fixed-wing aircraft in both Africa and the Middle East.

Meanwhile, the U.S. Navy and Marine Corps operate the Silent Echo, a SIGINT payload for Group 1 UAVs, which weigh less than 20 pounds. Another such electronic warfare payload is the Spectral Bat for the RQ-21, suggesting that the kind of capability the French military is now looking for is within reach.

Whatever the results of this latest initiative, France has shown that it, too, is increasingly embracing the potential of UAVs to carry a wider variety of payloads for new types of missions. 

https://www.thedrive.com/the-war-zone/37636/french-army-to-test-small-drones-that-can-detect-intercept-and-possibly-jam-communications

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Un dossier d'A&C .sur les drones dans l'AdT de juin 2020. https://www.air-cosmos.com/media/14755/download

Quote

 Le Spy’Ranger dispose ainsi de trois heures d’autonomie pour une portée de 30 km 35 systèmes ont été commandés par le ministère des Armées, chacun composé de trois drones.

A votre avis comment pourrait etre ventilé ces systèmes au sein des différents régiments une fois ceux d'artillerie pourvus?

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  • 3 weeks later...

Super(s) article(s), je confirme.

Il y a truc qui me titille : le NX70 est donné pour 45 minutes d'autonomie et 3km de portée, avec un zoom x10, ce qui correspond aux spécifications du "micro-drone collectif de niveau section". Il n'y pas en inventaire actuellement de drone correspondant aux cahier des charge du "micro-drone spécialisé au niveau compagnie" (autonomie d’une heure, une portée de 6 km, zoom x30, pour pouvoir guider un tir de MMP). La possibilité d'extraire les coordonnées d'une cible ne fait partie non plus des caractéristiques publiques du NX70 (c'est plutôt du ressort du "grand frère" SMDR confié aux artilleurs).

Nouvelle version de drone (Novadem ou autre) à venir ? Ou alors le second batch de NX70 (qui intègrent l'ombilic) ont des performances améliorées ??

Modifié par Rivelo
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  • BPCs changed the title to Drone (UAV) dans l'armée de terre française

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