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guerre des mines


Philippe Top-Force
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A la demande de la DGA... Thales Underwater Systems développe ses recherches en "Guerre des Mines", rejoignant ainsi la volonté de la DGA de préparer les diverses briques technologiques et algorithmiques des futurs systèmes de lutte contre les mines navales. Dans le domaine des drones sous-marins autonomes, les deux marchés DGA "Système autonome de chasse aux mines" (AUV) et "Véhicule Anti-Mines Autonome" (VAMA) ont pour objectif de valider le concept d'emploi des véhicules inhabités en Guerre des Mines et de progresser dans leur maîtrise opérationnelle. Ces deux Démonstrateurs ont été l'occasion de définir un partenariat de long terme entre les sociétés Thales Underwater Systems et ECA, spécialiste en robotique sous-marine.

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  • 5 years later...
  • 4 weeks later...

Thales Uk et un drone de surface pour la guerre es mines http://www.marinelink.com/news/minewarfare-unmanned345980.aspx

Thales UK has signed a contract with Autonomous Surface Vehicles Ltd (ASV Ltd) to develop a re-configurable Unmanned Surface Vehicle (USV) to meet the challenges of future off-board Mine Countermeasures (MCM) operations.

The vessel has been jointly designed to meet a number of key requirements and drivers: Deployable from military platforms, craft of opportunity and from shore/harbour Air transportable Payload flexibility for all MCM systems – unmanned underwater vehicles, towed sonar, disposal systems, minesweeping Stable platform with excellent slow speed and towing capabilities Highly reliable & cost effective

The low signature USV, which is 11.5m in length and 3.6m in beam, will have a maximum speed of around 25 knots. The vehicle is now under construction and will be undergoing acceptance trials later this year. A series of payload trials will be conducted from early 2013 onwards, drawing on experience gained in previous off-board system programmes.

ASV Ltd is a UK company and part of Global Fusion, a privately owned international marine services group. Formed in 1998, ASV Ltd provides rugged, reliable and effective unmanned systems using cutting edge marine technology from its operating base near Portsmouth.

Dan Hook, Managing Director at ASV, in welcoming this contract says: “We are pleased to be developing such an advanced capability with Thales UK and are confident in the system’s performance for the wide range of roles.”

Phil Naybour, head of Thales UK’s naval business, says: “As the MCM capability integrator of over half the world’s in-service fleet of minehunters, Thales brings many years of experience and understanding of mine warfare operations alongside world-class sensors and systems.

“As we head into an era that heralds a step change in the delivery of mine warfare, moving from dedicated MCMVs to off-board systems and sensors, Thales’s extensive capabilities in mission system integration are being brought to bear.

“The Unmanned Surface Vehicle will be central to the success of these new concepts of operation in mine warfare; being able to demonstrate and de-risk both the vehicle and its potential payloads is a clear benefit to both our customers and ourselves. We welcome the news of this contract signature with ASV as it represents a critical step towards the delivery of future off-board MCM capability.”

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  • 5 months later...

Deux article sur la guerre des mines chez M&M, avec tout plein d'illustration

http://www.meretmarine.com/fr/content/plongee-dans-le-monde-de-la-guerre-des-mines

Brest, bâtiment de la force d’action navale. De la fenêtre du capitaine de vaisseau Frédéric Benon, on aperçoit une partie des bâtiments de la flotte dédiée à la guerre des mines. Chasseurs de mines tripartites, bâtiments remorqueurs de sonars, bâtiment de soutien de plongée, bâtiment d’expérimentation de guerre des mines… « Nous avons beaucoup de moyens ici à Brest. Au sein de la force d’action navale, la force organique de  guerre des mines a une organisation bien spécifique, très centralisée. Ici, je commande un état-major de 20 personnes en charge de la conduite des opérations de guerre des mines. Dans le bâtiment à côté, il y a l’antenne délocalisée de l’état-major et l’école de formation. Tout se décide ici. »

Une présence brestoise qui s’explique par la présence de la base de l’Ile-Longue, de l’autre côté de la rade. « Notre première mission, c’est la protection et particulièrement celle des sous-marins nucléaires lanceurs d’engin contre le risque des mines. » Inlassablement, les huit chasseurs de mines tripartites (CMT) brestois (- trois CMT sont également déployés à Toulon, notamment pour la protection du porte-avions Charles de Gaulle -) « ratissent » les fonds de la rade de Brest à la recherche d’un écho suspect. Les bâtiments remorqueurs de sonars font régulièrement un état des lieux pour dresser une cartographie mise à jour en permanence. Et, quand il y a des endroits où les navires ne peuvent se rendre, ce sont les hommes du Groupement des Plongeurs Démineurs (GPD) qui plongent. « La rade de Brest est un terrain extrêmement exigeant, il y a des cailloux partout, les marnages et les courants sont importants. Travailler ici obligent nos hommes et nos équipages à maintenir un niveau opérationnel très élevé ».

Car s’il y a un domaine où la France est largement reconnu au niveau mondial, c’est bien la guerre des mines. Une composante peu connue de la Marine, mais pourtant essentielle. Déjà parce que les approches de nos côtes, particulièrement en baie de Seine et donc sur un des axes commerciaux majeurs, sont encore truffées d’engins historiques, régulièrement mis à jour. Ensuite parce que la mine est une arme encore régulièrement utilisée dans les conflits mondiaux. Contrairement aux mines anti- personnelles terrestres, l’usage de la mine en mer est autorisé et codifié par des textes internationaux. « C’est une arme du combat naval à part entière. Des industriels européens en fabriquent. Et elles sont encore très utilisées ». En 1987 à Suez et surtout en 1991, devant les côtes koweitiennes, les mines ont su rappeler leur présence aux forces navales occidentales. « La première guerre du golfe a provoqué une prise de conscience sur l’importance de la guerre des mines. Les forces de Saddam Hussein avaient miné toutes les approches du Koweït. Des bâtiments de la coalition ont subi des graves dommages alors qu’ils essayaient de se rapprocher. Il a fallu interrompre les opérations pour envoyer des chasseurs de mines libérer le terrain ». Ce sont les Européens, Français en tête, qui ont effectué la mission. « Cela fait trente ans que l’on chasse la mine avec une flotte de bâtiments qui sont, encore actuellement ce qui se fait de mieux. Nos 850 marins ont des compétences très pointues, que ce soit les détecteurs anti sous-marins sur les bâtiments ou les plongeurs-démineurs qui peuvent intervenir dans tous les théâtres d’opérations. Et, puis, nous avons en France le meilleur sonariste du monde avec Thalès. Tous ces éléments font que la guerre des mines est un domaine dans lequel notre savoir-faire est internationalement reconnu. »

Un savoir-faire qu’il faut entretenir en permanence. « La menace des mines, à l’image de l’ensemble des armes du combat naval, évolue. Les mines deviennent de plus en plus furtives, certaines sont acoustiquement transparentes. Il nous faut faire évoluer nos connaissances techniques en permanence, de manière à pouvoir établir des contre-mesures adaptées. » Pour cela, il faut connaître la mine. Et donc la démonter. « Pour cela, nous neutralisons la mine. C’est-à-dire que nous séparons la charge principale de son détonateur, après l’avoir remontée à la surface puis ramenée à terre. A l’aide d’instruments que nous adaptons pour une manipulation à distance, nous démontons l’ensemble du mécanisme que nous envoyons ensuite à l’analyse ». En matière de mines, l’imagination des constructeurs est sans limite. Mines déguisées en rochers, mines mobiles, mines intelligentes qui se déclenchent de manière aléatoire… « bien sûr, tout cela existe. Mais il faut quand même insister sur le fait que la plus grosse menace à laquelle nous avons à faire face, c’est la mine traditionnelle ». Un fût rempli d’explosifs qui se déclenchent soit par contact soit par « influence » magnétique ou acoustique. L’arme du pauvre, qui avec « un budget » de 10.000 à 15.000 euros permet de faire sauter une frégate à plusieurs centaines de milliers d’euros. « C’est une menace qui existe toujours. Le régime libyen avait, par exemple, miné ses approches. Les hommes du GPD y ont passé plus de neuf mois pour sécuriser la zone ».

Un contexte qui a amené les industriels à plancher sur la question. Comment sécuriser la chasse aux mines ? D’abord en éloignant le bâtiment de la cible, tout en la détectant de plus en plus loin. Et pour cela le drone parait la solution la plus adaptée. La marine nationale n’en est actuellement pas encore équipée, mais d’autres pays, comme la Norvège, le sont depuis plus de 10 ans. « Le drone est un outil très intéressant qui a toute sa place dans un dispositif de guerre des mines. Il permet de projeter un sonar puissant très loin et donc de mieux anticiper la réponse. Mais il ne peut être utilisé efficacement qu’avec les moyens humains, techniques et navals que nous avons actuellement. Il est impensable de faire reposer la mission de chasse aux mines sur une seule machine qui peut tomber en panne ou être arrêté par des obstacles très rudimentaires comme des filets de pêche, qu’il ne sait pas voir. A cela s’ajoute la difficulté de l’analyse des images. Le drone va partir du navire ou d’un autre drone « porteur ». Il va faire sa reconnaissance, son sonar va balayer la zone puis il va revenir au bateau. Là, il va falloir extraire des centaines, voire des milliers d’images qu’il va falloir décortiquer et analyser. C’est un processus à la fois très fastidieux et chronophage. De plus, le drone va effectuer une passe au-dessus de l’écho, ce qui ne va pas être suffisant à nos détecteurs pour définir le type de mines et donc la contre-mesure adaptée. C’est un moyen intéressant  pour la Marine au sein du dispositif spécialisé actuel ».

Parfois, les hommes et les moyens de la guerre des mines partent bien loin de leur rade brestoise ou toulonnaise. Exercice de l’Otan en Baltique, sécurisation des approches des ports libyens… les opérations extérieures  sont nombreuses. Jusqu’en 2009 la guerre des mines disposait d’un bâtiment de support dédié, le Loire, notamment pour le ravitaillement en soute et les télécommunications. Il n’a pas été remplacé suite à son désarmement. « En 2011, nous avons bénéficié du soutien du Bâtiment de Commandement et de Ravitaillement Var. C’est une très bonne solution pour conduire les opérations. Mais qui ne pourra pas être forcément systématiquement reconduit. Nous étudions toutes les solutions possibles pour pouvoir être sur les théâtres d’opérations où nous sommes attendus, tout en préservant au maximum le potentiel de nos navires ». D’autres nations ont développé, en la matière, différents moyens de projection. Ainsi, les Etats-Unis ont récemment envoyé quatre de leurs chasseurs de mines dans le golfe arabo-persique à bord d’une barge.

« Nous sommes une petite unité au sein de la Marine. Mais nous sommes des passionnés. La diversité des profils dans le recrutement de nos hommes, notamment au sein des trois groupements de plongeurs démineurs, fait que nous sommes une unité multiculturelle, ce qui est indispensable pour faire face aux nombreuses situations inédites auxquelles nous devons nous adapter ». Le commandant Benon est plongeur démineur. Et il en est fier.

De l’autre côté du quai, ils sont là, les chasseurs aux noms de constellation. Huit des onze chasseurs de mines tripartites dont dispose la Marine nationale. Issu d’un programme mené en commun avec les Pays-Bas et la Belgique, les bâtiments ont été construits dans les années 1980 aux chantiers DCN de Lorient. 51.50 mètres de long, 9 mètres de large, avec une coque en composite et des boucles d’immunisation pour être amagnétique, ils ont tous été modernisés durant les dix dernières années. Ils sont armés par un équipage de 45 personnes, dont 12 opérateurs « chasse aux mines ». A bord de la Cassiopée, le deuxième de la série, le capitaine de corvette Tanguy Durand, commandant le bâtiment et plongeur démineur de spécialité, accueille chaleureusement, « parce que c’est toujours un plaisir de faire découvrir ces bateaux, leurs équipages et cette mission ». Sur le pont arrière, il y a beaucoup de matériel : des embarcations semi-rigides, un caisson hyperbare « pour les six plongeurs-démineurs du bord, qui plongent jusqu’à 55 mètres » et deux PAP. Les poissons auto-propulsés : deux robots, construits par la société ECA, filoguidés et contrôles depuis le centre opérationnel du navire, équipés d’une caméra pour inspecter les cibles et capables de transporter une charge pour effectuer un contre-minage.

Juste en dessous de la passerelle, il y a le centre opérationnel. « C’est d’ici que, en configuration de chasse de mines, tout est contrôlé, y compris la route du navire ». La méthode de recherche des mines est minutieuse : « un quadrillage serré de la zone à une vitesse de trois nœuds » A côté de sa propulsion principale assurée par un diesel alternateur de 2000 CV, le chasseur peut passer en propulsion électrique, ce qui lui donne une souplesse de manœuvre accrue et une signature acoustique beaucoup plus faible. Au CO, des consoles renvoient les images transmises par les sonars du bord. « Nous avons deux sonars: un sonar de coque et, depuis 2002, un sonar mobile, le sonar propulsé à immersion variable. Celui-ci peut monter et descendre dans la colonne d’eau, ce qui permet de s’affranchir de certains phénomènes parasites acoustiques et d’améliorer la détection ».

Une fois qu’un écho est repéré, nous allons tourner autour pour voir comment son image acoustique se comporte ». Il ne suffit en effet pas de repérer l’écho, il faut également analyser son image acoustique sous tous les angles pour déterminer de quel type de mine il s’agit. « Il y a vraiment deux phases : la détection et la classification ». Dans le CO, les détecteurs sont entraînés pour analyser et discriminer rapidement les échos. Avec le tacticien, ils sont six par bordée. « C’est un travail très précis et qui demande énormément de concentration. » Auquel se rajoute la tension de travailler à proximité de cibles potentiellement très dangereuses. Alors, les marins se motivent en entretenant une petite compétition. « Nous sommes des chasseurs, nous débusquons, alors il y a toujours de la fierté à trouver une mine là où un autre bateau ou l’autre bordée ne l’a pas vu, une saine émulation », sourit le commandant. Et dans la coursive du Cassiopée, comme dans celle de tous les autres chasseurs, il y a évidemment un tableau de chasse.

Pas de tableau de chasse sur le Thétis. « Nous ne sommes pas un chasseur de mine. Mais nous savons faire beaucoup de choses ». Le capitaine de corvette Eric Haguenier, sous-marinier de spécialité, commande le bâtiment d’expérimentation de la guerre des mines Thétis. « J’ai appris un nouveau métier, celui de la guerre des mines, auquel s’ajoute les missions extrêmement variées ». Le Thétis est un quasi  sister-ship des bâtiments hydrographiques Laplace, Lapérouse et Borda et du patrouilleur Arago. « Il a les mêmes dimensions, 59 mètres de long, 1000 tonnes et le même type de propulsion avec deux diesel-alternateurs couplés à deux lignes d’arbres, pour une puissance de 2500 CV  et deux moteurs électriques auxiliaires». Un bateau manoeuvrant, malgré son fardage important. « Ce qui est important puisque nous passons beaucoup de temps à faire du point fixe ». Conçu pour permettre l’expérimentation des nouveaux équipements de guerre des mines, le Thétis est, depuis 1986, le banc de test pour le GESMA (groupe d’études sous-marines de l’Atlantique), qui appartient à la DGA. « Sur 100 jours de mer par an, 30 sont alloués au GESMA ».

Aujourd’hui, le Thétis va mettre à l’eau deux bouées figurant des cibles aularge de Camaret. Celles-ci vont servir pour les mesures pour un nouveau radar de surface, spécialement adapté au repérage des objets flottants, type conteneur tombé d’un navire. Le technicien du GESMA est à bord, les bouées sont disposées à l’arrière. Il s’agit d’être précis, les positions GPS sont prédéterminées pour optimiser les mesures depuis les antennes de la côte. Les cailloux de la pointe du Toulinguet ne sont pas loin. La manœuvre est effectuée sur propulsion électrique et se déroule sans encombre.

« Nous avons deux grues à bord, ce qui permet de manutentionner ou de récupérer les équipements. Mais nous avons également la possibilité d’en remorquer d’autres. L’idée, c’est d’adapter le navire aux demandes de test. » Un abri dit « shelter » sur le pont est aménagé pour accueillir huit personnes, comme par exemple une équipe de techniciens. Il y a également de la place pour saisir un conteneur de vingt pieds supplémentaire. « Nous avons également de grosses capacité de stockage au pont principal facilement accessibles par les moyens de manutention. »

Une polyvalence qui vaut au bâtiment de se voir régulièrement mis à contribution par un autre commandement, celui du préfet maritime au nom de l’action de l’état en mer. Police des pêches ou encore  patrouilles Vigimer, le Thétis peut s’adapter à de nombreuses missions, avec notamment embarquement de commandos, qui peuvent être hélitreuillés à l’avant du navire. « De la guerre des mines aux mesures anti-terroristes,  ici on s’adapte et c’est ce qui nous plaît », conclut le jeune commandant.

Le second sur la dronisation de la guerre des mines http://www.meretmarine.com/fr/content/la-guerre-des-mines-lheure-des-drones

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Ce qui est intéressant et innovant, c'est que le prototype d'USV fait sans personnel le largage et la récupération de ses drones sous-marins.

C'est cela la grande nouveauté.

Il faut bien voir que dans les articles sur l'automatisation FREMM, il me semble avoir lu qu'ils se vantaient que la mise à l'eau et la récupération du sonar remorqué ne nécessitait que 4 personnes ...

Ce genre de technologie est aussi essentiel pour déployer des drones à partir d'un sous-marin, car il ne faut pas compter sur des petits bras musclés pour aider visuellement à la manœuvre !

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  • 1 year later...
  • 7 months later...

J'ai eu la chance pendant mes vacances de visiter le M650 Sagittaire (ma photo de profil=), en face des chantiers Piriou de Concarneau)et j'avais été étonné de la passerelle: tant de cartes...

Je pensais qu on etait passe un minimum au numérique...

C'est un choix de la Marine nationale que de conserver un format papier de ses cartes (en mode principal ou secours, au choix du commandant, de mémoire). A partir de là, il faut uen carte pour chaque zone parcourue.

 

Bien que plus contraigannt poru le personnel, la papier a l'avantage de ne rarement tomber en panne.

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C'est clair qu'il faut garder des cartes à bord, pour la navigation dans les ports et les eaux côtières, et en cas de pépin.

Mais après pour la guerre des mines qui doit nécessiter de mettre des cartes a jour continuellement, l'outil informatique est plus pratique que la gomme et le crayon, à mon avis.

Quoique en parlant avec les marins, ils n avaient trouvé qu'une mine en 4 mois de mission=D

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  • 5 months later...

Mais après pour la guerre des mines qui doit nécessiter de mettre des cartes a jour continuellement, l'outil informatique est plus pratique que la gomme et le crayon, à mon avis.

 

En mode chasse aux mines, les commandes du CMT se font depuis le co et là les cartes sont informatisées.

 

Ah, détecteur sur CMT, deux heures à la console de détection, deux h à la console de classification et deux h à la passerelle (carte et radar de navigation).

 

Est-ce qu'il y a du nouveau concernant le remplacement des chasseurs de mines ?

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Bien que plus contraigannt poru le personnel, la papier a l'avantage de ne rarement tomber en panne.

Et puis c'est tellement plus sexy les grande feuille de papier :)

Il n'y a pas de solution qui existe a base de code barre pour projeter automatiquement les info tactique sur une carte positionné sous un projecteur de table a carte, avec donc le cumule des deux, papier plus source numérique?

On arrive a caller une carte sur un smartphone avec l'APN intégré et les QRcode, je suppose que ca doit pas être plus compliqué sur un système professionnel.

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Et puis c'est tellement plus sexy les grande feuille de papier :)

Il n'y a pas de solution qui existe a base de code barre pour projeter automatiquement les info tactique sur une carte positionné sous un projecteur de table a carte, avec donc le cumule des deux, papier plus source numérique?

On arrive a caller une carte sur un smartphone avec l'APN intégré et les QRcode, je suppose que ca doit pas être plus compliqué sur un système professionnel.

 

Rien vu chez les industriels sur ce sujet, mais dans l'absolu ça ne me semble pas impossible.

 

Cela dit, IxBlue propose de superbes tables à carte tactiques connectées au système de carte électronique de navigation clasique (ECDIS) qui répondent peut être à la problématique, sans avoir de cumul.

 

Cela rentre dans les réflexions sur "la passerelle du futur" tout cela. Toute bonne idée est bonne à prendre, mêem si c’est pour l'écarter à la fin.

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Rien vu chez les industriels sur ce sujet, mais dans l'absolu ça ne me semble pas impossible.

 

Cela dit, IxBlue propose de superbes tables à carte tactiques connectées au système de carte électronique de navigation clasique (ECDIS) qui répondent peut être à la problématique, sans avoir de cumul.

 

Cela rentre dans les réflexions sur "la passerelle du futur" tout cela. Toute bonne idée est bonne à prendre, mêem si c’est pour l'écarter à la fin.

Le souci des solution "écran" c'est qu'on a rarement un dalle qui fait un metre carré avec une résolution de 300dpi et la possibilité d'écrire dessus.

Certes écrire sur l'écran ca existe, des dalles a >300dpi aussi, mais rarement dans les dimensions d'une table a carte classique...

D'ou mon idée de mixer les deux pour garder a la fois un tarif raisonnable, et de l'interet pour le papier en plus du backup.

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Avec le DECCA c'était pas le top, mais ensuite avec le GPS c'était un jeu d'enfant les postions sur la carte.

 

Me voici en 88 à la carte sur le M917 Crocus dans le golfe d'oman

 

126_en10.jpg

 

En 2011, j'ai revisité le Crocus à Zeebrugge et les équipements à la passerelle (et au co) n'ont plus rien à voire (heureusement) avec ce que j'ai connu

 

sam_1613.jpg

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  • 4 weeks later...
  • 4 weeks later...

@MeretMarine Océan Indien : le CMT L’Aigle participe à la sécurisation du détroit de Bab El Mandeb http://t.co/XOFp6Nxn3j

— Philippe Top-Action (@top_force)

April 24, 2015

Une force de guerre des mines dans le détroit de Bab-el-Mandeb Via @MeretMarine http://t.co/arexiTQacc

— Philippe Top-Action (@top_force)

April 24, 2015
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  • 1 month later...
  • 4 months later...
  • 1 month later...
  • 2 weeks later...

En 2014, l'USAF a testé avec succès le mouillage de mine navale, de précision et à distance.

Tout simplement en rajoutant des kits de guidage JDAM et des ailerons (voire moteurs) aux mines Quickstrike (des corps de bombe Mk8x avec des fusées adaptées)

L'expérience promet de rendre l'opération beaucoup plus sûre, rapide et flexible (auparavant elles étaient larguées verticalement depuis des bombardiers stratégiques).
L'article retrace l'historique de la guerre des mines, et quelques études de cas (futures?)  ...

http://www.airpower.maxwell.af.mil/digital/pdf/articles/2015-Mar-Apr/V-Pietrucha.pdf

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