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AFRICOM : Le Centre de commandement des États-Unis pour l'Afrique


Invité grinch
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les americains revienne a la charge ;/

Une délégation américaine vient discuter du commandement régional Africom dans plusieurs pays africains

AP | 11.06.2007 | 20:16

Une délégation du Pentagone, venue discuter de son projet de commandement régional pour l'Afrique, Africom, a achevé lundi une visite de trois jours à Alger avant de partir pour le Maroc, la Libye et neuf autres Etats africains.

La délégation américaine, conduite par le sous-secrétaire adjoint principal à la Défense Ryan Henry, s'est entretenu, dimanche, avec le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, et le ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, Abdelmalek Guenaïzia.

Au siège de l'ambassade des Etats-Unis à Alger, Ryan Henry a expliqué qu'Africom n'en est actuellement qu'au "stade de la réflexion et ne sera effectif en tant que tel que vers la fin 2008". Il a souligné qu'"il ne s'agit pas de bases militaires, d'avions, de bateaux ou de flotte armée, mais d'une équipe pluridisciplinaire à plus de 25% civile", dont "le numéro deux sera un responsable du rang d'ambassadeur".

"L'activité essentielle d'Africom en matière de lutte contre le terrorisme est d'éliminer les structures et lieux de refuge et d'éviter qu'ils aient des sanctuaires à partir desquels ils organisent et lancent des opérations terroristes", a-t-il précisé.

Et "sa mission première est de travailler avec les pays africains afin de leur permettre de renforcer leurs capacités à résoudre leurs problèmes et à relever certains défis", a-t-il assuré. "Il est question d'aider les Africains à mettre en place un environnement sécurisé afin d'éviter une intervention militaire US dans les 50 années à venir...". AP

Actualité (Lundi 11 Juin 2007)

Une délégation du Pentagone reçue à Alger

Consultations algéro-américaines sur le commandement africain

Par : Samar Smati

Lu : (1636 fois)

Les Américains lancent à partir d’Alger une série de consultations sur l’Africom et souhaitent l’adhésion des principaux pays africains, l’Algérie comprise. Avec un bémol, changement de ton, côté US, en se mettant au diapason des interrogations algériennes.

Les Américains ont débarqué. Pas les Forces armées. Mais leurs représentants au sein du Département de la Défense et du Département d’État avec dans les valises leurs explications concernant l’Africa Command ou Africom, le projet de création d’un commandement africain pour les forces armées américaines. Une délégation d’une douzaine de hauts cadres des deux ministères américains est actuellement à Alger afin d’expliciter les plans US “en cours pour réorganiser comment seront gérées et menées les actions américaines militaires et internationales en Afrique”, dixit Ryan Henry, sous-secrétaire adjoint principal chargé de la politique militaire à la Défense, et chef de la délégation.

Les États-Unis, échaudés par les réactions rétives des États africains après la décision du président Bush d’unifier la politique américaine en Afrique autour d’un commandement militaire basé sur le continent, reconsidèrent un peu leur approche et opèrent une stratégie d’explication et de consultation sur les objectifs attendus de l’Africom auprès des pays africains, même si le projet en est “à la fin des études de faisabilité”. D’autant que les Africains ont peu apprécié la politique du fait accompli. “Nous sommes en train de nous organiser, avec un processus de consultation avec les principaux pays africains”.

L’argument est simple, l’Africom ne veut pas du “leadership” africain mais se veut plutôt comme un support et un appui “aux principaux États africains et aux institutions africaines, Union africaine, les communautés économiques régionales, ainsi que leurs branches sécuritaires” afin de parer aux difficultés. “Nous pensons et nous estimons que les problèmes africains seront mieux résolus par les leaders africains. Nous croyons aux solutions africaines pour les problèmes africains”, précisera le chef de la délégation US, reprenant ainsi une phrase phare des principaux initiateurs du Nepad. “Nous sommes intéressés à apporter notre appui là où c’est opportun et adéquat en complément aux efforts faits par les dirigeants africains”. Et pour ce faire, les USA se font même rassurants sur la pierre d’achoppement. “Il n’y aura pas de nouvelles forces. Il n’y aura pas de nouvelles bases en Afrique”, dira le responsable américain. Il n’y aura pas non plus de participation ou d’intégration des forces combattantes américaines en Afrique. Une affirmation qui se veut également une réponse aux inquiétudes suscitées à ce sujet. “Ce commandement sera différent des autres. Il n’est pas conçu pour lutter ou mener une guerre…”

Sa mission principale sera de travailler, selon le chef de la délégation US, avec les pays partenaires et les institutions africaines pour leur permettre de “renforcer leurs capacités afin de relever leurs propres défis et résoudre leurs problèmes”. Il s’agit, pour Ryan Henry, de prendre les mesures par “anticipation”. Une manière d’éviter que “les problèmes ne deviennent des crises et des crises des conflits”. En somme, mettre en place un “environnement sécurisé” en travaillant de concert avec les pays du continent. Et il ne faut pas y voir d’autres intentions selon lui.

L’Africa Command, basé en Afrique, sans siège important, mais dont les éléments seront dispatchés sur plusieurs pays, sera dirigé, selon Ryan Henry, par un général 4 étoiles ou un amiral, “le plus haut niveau de la hiérarchie militaire”, uniquement chargé de la politique américaine sur le continent, il sera secondé par un ambassadeur de haut rang ou un très haut fonctionnaire du département d’État. Il ne sera pas non plus à composante totalement militaire, 25% ou plus de son personnel sera issu des Affaires étrangères. Il ne comprendra pas non plus une présence importante. Et aura pour objectif de “travailler en arrière plan”. Quant au rôle que pourrait jouer l’Algérie ou un autre pays africain dans la conception ou la mise en œuvre de l’Africom, le sous-secrétaire adjoint principal chargé de la politique militaire à la Défense assure que les USA souhaitent que “chaque pays ait le rôle dans lequel il se sent à l’aise ou qui lui convienne”. “Nous estimons que l’Algérie joue un rôle essentiel. Elle abrite d’ailleurs le Centre africain de prévention et de lutte contre le terrorisme. Après les consultations d’aujourd’hui et à venir, et si les Algériens sont à l’aise et souhaitent jouer un autre rôle, nous serons heureux de discuter avec eux de ça”, affirme Ryan Henry. L’objectif étant d’avoir les Africains en “chef de file”. Interrogé sur le malaise suscité en Afrique par l’annonce de création de l’Africom, Ryan Henry met un bémol et affirme qu’il ne s’agit pour l’instant que de “planification”. “Nous n’avons pas encore toutes les questions, donc pas toutes les réponses. Nous allons vers les principaux pays africains, nous leur demandons leurs apports et contributions. La seule décision est celle de l’organisation du commandement pour qu’il soit le plus efficace. En dehors de cela, toutes les décisions qui seront prises, le seront après consultations”. La délégation devrait poursuivre sa tournée entamée hier par Alger en se rendant à Rabat, Tripoli, au Caire, à Djibouti et Addis-Abeba au siège de l’Union africaine.

Les Américains se veulent rassurants et espèrent rassurer l’Afrique en l’intégrant au projet Africom. À charge aux Africains de défendre leurs intérêts.

Samar Smati

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on sais débarassé des americains  =D

DIVERGENCES ENTRE ALGER ET LE PENTAGONE SUR L’AFRICOM

Guenaïzia dit non à Rayan Henry

12 juin 2007 - Page : 6

Cette question, qu’on croyait dépassée, est sans cesse relancée par les exigences américaines, dont la plus urgente semble être, pour le moment, l’implantation d’un commandement militaire dans la région maghrébine.

L’Algérie s’est démarquée de la stratégie américaine de lutte contre le terrorisme en Afrique, axée sur la mise en place d’un commandement central pour l’Afrique (Africom), en affirmant privilégier les mécanismes déjà existants de «sécurité collective» de l’Union africaine.

A l’issue d’un entretien dimanche à Alger avec le sous-secrétaire d’Etat américain à la Défense, Rayan Henry, les autorités algériennes ont insisté sur le «potentiel de sécurité collective» de l’UA et «les mécanismes africains propres de sécurité», selon une «source autorisée» citée par l’APS. Henry avait été reçu par le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, le ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, Abdelamalek Guenaïzia, et le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel.

La rencontre a eu lieu dans le cadre d’une campagne d’explication de Washington sur les objectifs de l’Africa Command (Africom) que les Etats-Unis veulent installer en Afrique pour intensifier la lutte contre le terrorisme, notamment au Maghreb et dans les pays du Sahel. Cette question, qu’on croyait dépassée, est sans cesse relancée par les exigences américaines, dont la plus urgente semble être l’implantation d’un commandement militaire dans la région maghrébine. Récemment encore, l’ambassadeur des Etats-Unis en Algérie, Robert Ford, avait dit: «Ecoutez, il n’existe pas de base militaire américaine en Algérie. A aucun moment nous n’avons demandé d’établir une base militaire en Algérie, et nous ne demandons pas. Moi-même, je n’ai pas entendu que des officiels américains avaient formulé pareille demande».

La suite avait été une baisse de tension entre les deux pays, mais Washington avait insisté auprès d’autres pays de la région pour que cela se fasse dans un délai dont l’échéance serait fixée à septembre 2007 pour permettre à cet ensemble d’être opérationnel à l’automne 2008.

En fait, il existe un commandement militaire américain pour l’Afrique. Le grand commandement se trouve à Berlin, avec un volet ouvert sur l’Afrique ayant en charge la région du Maghreb et le continent africain. Ce commandement est dirigé par le général Ward. La question qui se pose est la suivante: va-t-on rester (pour ce qui concerne l’Afrique) en Allemagne? Va-t-on déplacer le siège? C’est possible...Le Congrès n’a pas encore donné le financement nécessaire pour l’opération..«Les commentaires préliminaires développés à cette occasion par la partie algérienne ont mis en évidence l’état et les perspectives des efforts déployés par l’UA en vue de valoriser le potentiel de sécurité collective à l’échelle du continent dans la conformité à son pacte de non-agression et de défense commune» a-t-on réitéré ainsi à Alger.

Les responsables algériens ont évoqué la mise en place de mécanismes africains propres pour la prise en charge des besoins en termes d’opérations de maintien de la paix, dont la force africaine en attente de formation, et exposé les arrangements entre l’UA et l’ONU, ainsi que les dispositifs (...) de lutte contre le terrorisme dont l’Afrique s’est dotée pour contribuer efficacement à une coopération antiterroriste globale, selon l’APS. L’UA est dotée d’un Conseil de paix et de sécurité (CPS) pour la prévention des conflits et le déploiement éventuel de forces d’interposition entre belligérants, mais ses moyens sont très faibles.

En mars dernier, Alger avait marqué ses réticences concernant l’Africom en annonçant qu’elle refusait d’être intégrée dans le champ d’action de ce commandement régional.

«Le territoire algérien n’est pas concerné par le commandement américain projeté. L’Algérie n’a jamais accepté l’installation de bases étrangères sur son sol, (qui seraient) incompatibles avec sa souveraineté et son indépendance», avait déclaré l’ancien ministre algérien des Affaires étrangères, Mohamed Bedjaoui.

Les Etats-Unis font, depuis lors, du forcing afin de pousser, soit l’Algérie, soit le Maroc à accepter l’installation, sur leurs territoires respectifs, d’une base militaire qui servirait, selon Washington, à surveiller le mouvement très inquiétant des groupes armés de la triple région maghrébine, saharienne et sahélienne, qui se servent de vastes étendues désertiques pour en faire une rampe de lancement au service d’Al Qaîda.

Fayçal OUKACI

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Invité Andalussian
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oui bien sur toi t'a oubli d'étre con se matin.. =D.. 90 minutes ( le magazine de la cellule d’investigation de Canal +) ....

le méme qui a déffusé le méme jenre de reportage bidon qui disé que les service secré algerien et français on colaboré pour cométre les attentas du métro de paris en 95 et le détournement du vol alger paris en 1994  :O

a fin de justifié le soutien de la france a la guerre contre le térrorisme en algerie ;/

canal + est la ceul chaine en france qui diffusa dans les années 90 les interwieu des chef du gia a l'étrenger et les fesaient passé pour des opposent politique alors que les massacre était comis touts les jours :|

et oui aux etats unies ils ont leur téhorie du complot sur le 11 septembre et nous on a la téhorie du cabiné noir :O

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Une délégation américaine en consultation à Rabat sur le projet de l'"AFRICA Command"

Rabat, 11/06/07- Une importante délégation américaine a rencontré, lundi à Rabat, des représentants des Forces Armées Royales et du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, pour un échange des points de vue sur les questions d'avenir ainsi que sur le rôle du commandement militaire unifié pour l'Afrique (U.S. Africa Command) des Etats-Unis.

La visite de la délégation américaine fait suite à l'annonce faite par le président américain George W. Bush sur le nouveau commandement régional, en février dernier, indique un communiqué de l'ambassade des Etats-Unis à Rabat.

Cette visite "fait partie d'une tournée effectuée auprès des partenaires Africains des Etats-Unis d'Amérique pour discuter de l'établissement de ce commandement", précise la même source, ajoutant que "la délégation a souligné qu'aucune décision n'a été encore prise sur l'emplacement possible du personnel de l'AFRICOM".

"Nous sommes ici pour écouter" a déclaré M. Ryan Henry, sous-secrétaire principal à la Défense, chargé de la politique, qui conduit cette délégation.

"Tandis que nous avons une idée sur les grandes lignes sur ce qu'Africa Command devrait être, nous voudrions discuter et échanger des points de vue avec nos homologues avant d'entamer des procédures", a dit M. Henry cité par le communiqué.

"U.S. Africa Command", connue sous le nom d'AFRICOM, prévoit de fournir aux nations africaines et aux organismes régionaux une coordination intégrée du département de la Défense pour répondre aux besoins de la sécurité et au développement, rappelle le communiqué, faisant état actuellement de trois options pour l'établissement de sièges militaires régionaux des Etats-Unis qui maintiennent des relations avec des pays de l'Afrique.

Selon la même source, les responsables du département de la Défense américain ont déclaré que le personnel d'Africom comprendra une grande variété d'experts en diplomatie, en développement et en économie mais n'inclura pas de troupes.

"AFRICOM ne signifie pas qu'il y aurait des forces américaines additionnelles sur le continent", a dit M. Henry. "C'est surtout un siège et un point de planification", a-t-il ajouté. Il aidera à appuyer les dirigeants des nations africaines et les communautés économiques régionales, conclut la même source.

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Une délégation américaine vient discuter du commandement régional Africom dans plusieurs pays africains

Une délégation du Pentagone, venue discuter de son projet de commandement régional pour l'Afrique, Africom, a achevé lundi une visite de trois jours à Alger avant de partir pour le Maroc, la Libye et neuf autres Etats africains.

La délégation américaine, conduite par le sous-secrétaire adjoint principal à la Défense Ryan Henry, s'est entretenu, dimanche, avec le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, et le ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, Abdelmalek Guenaïzia.

Au siège de l'ambassade des Etats-Unis à Alger, Ryan Henry a expliqué qu'Africom n'en est actuellement qu'au "stade de la réflexion et ne sera effectif en tant que tel que vers la fin 2008". Il a souligné qu'"il ne s'agit pas de bases militaires, d'avions, de bateaux ou de flotte armée, mais d'une équipe pluridisciplinaire à plus de 25% civile", dont "le numéro deux sera un responsable du rang d'ambassadeur".

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Une délégation américaine en consultation à Rabat sur le projet de l'"AFRICA Command"

Rabat, 11/06/07- Une importante délégation américaine a rencontré, lundi à Rabat, des représentants des Forces Armées Royales et du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, pour un échange des points de vue sur les questions d'avenir ainsi que sur le rôle du commandement militaire unifié pour l'Afrique (U.S. Africa Command) des Etats-Unis.

La visite de la délégation américaine fait suite à l'annonce faite par le président américain George W. Bush sur le nouveau commandement régional, en février dernier, indique un communiqué de l'ambassade des Etats-Unis à Rabat.

Cette visite "fait partie d'une tournée effectuée auprès des partenaires Africains des Etats-Unis d'Amérique pour discuter de l'établissement de ce commandement", précise la même source, ajoutant que "la délégation a souligné qu'aucune décision n'a été encore prise sur l'emplacement possible du personnel de l'AFRICOM".

"Nous sommes ici pour écouter" a déclaré M. Ryan Henry, sous-secrétaire principal à la Défense, chargé de la politique, qui conduit cette délégation.

"Tandis que nous avons une idée sur les grandes lignes sur ce qu'Africa Command devrait être, nous voudrions discuter et échanger des points de vue avec nos homologues avant d'entamer des procédures", a dit M. Henry cité par le communiqué.

"U.S. Africa Command", connue sous le nom d'AFRICOM, prévoit de fournir aux nations africaines et aux organismes régionaux une coordination intégrée du département de la Défense pour répondre aux besoins de la sécurité et au développement, rappelle le communiqué, faisant état actuellement de trois options pour l'établissement de sièges militaires régionaux des Etats-Unis qui maintiennent des relations avec des pays de l'Afrique.

Selon la même source, les responsables du département de la Défense américain ont déclaré que le personnel d'Africom comprendra une grande variété d'experts en diplomatie, en développement et en économie mais n'inclura pas de troupes.

"AFRICOM ne signifie pas qu'il y aurait des forces américaines additionnelles sur le continent", a dit M. Henry. "C'est surtout un siège et un point de planification", a-t-il ajouté. Il aidera à appuyer les dirigeants des nations africaines et les communautés économiques régionales, conclut la même source.

quesque les respensable marocains on ditent sur l'africom...oui ou non
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en tous cas si le maroc accepte, y'auras une contre partie. Je pense que les us vons nou fournire du matos militaire en échange.

meyeu encore...une reconnaissance politique de la souvrainté marocaine sur le sahara occidental.............mais cette solution ne sera pas son risque pour le royaume..........je voix deja le prétéxe des salafistes pour justifié déventuel attentas...............une nouvelle occupation par les croisés =D =D
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meyeu encore...une reconnaissance politique de la souvrainté marocaine sur le sahara occidental.............mais cette solution ne sera pas son risque pour le royaume..........je voix deja le prétéxe des salafistes pour justifié déventuel attentas...............une nouvelle occupation par les croisés =D =D

Tout a fait d'accord avec ton analyse...en tt cas le refus catégorique du MDN algérien sur ce dossier la mérite d'etre analysé et interpreté..

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Vue comment c'est partie l'africom seras au Maroc. Mais faut arrêter de croire que le Maroc c'est le togo, la présence serais discrète.

en tous cas si le roi accepte, a mon poins de vue sa serais pour modernises sont armée plus rapidement.

expliquer moi comment ca se passe  plusieur base militaire dans le pays...?

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meyeu encore...une reconnaissance politique de la souvrainté marocaine sur le sahara occidental.............mais cette solution ne sera pas son risque pour le royaume..........je voix deja le prétéxe des salafistes pour justifié déventuel attentas...............une nouvelle occupation par les croisés =D =D

pour les terro même sans ça il menace le maghreb, donc voilà.

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Tout a fait d'accord avec ton analyse...en tt cas le refus catégorique du MDN algérien sur ce dossier la mérite d'etre analysé et interpreté..

hé bin s'il l'install chez nous ont aura aucun control sur c'est activité ou sur c'est instalation il pouré trés bien abrité des moyén d'espionage :O

et puis ont jamais aimé la présence étrangére =D =D

pour les terro même sans ça il menace le maghreb, donc voilà.

avec certin abruti qui gobe touts se qu'on leur dit ..... moin d'argument auront les salafiste pour endoctriné les espris faibles meyeu se sera =|
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L’Algérie a confirmé son refus d’accueillir sur son sol le siège de l’Africom, un projet  =Dmilitaire américain visant à faire barrage à Al-Qaida dans la région du Sahel

Le Centre de commandement militaire pour l’Afrique (Africom), sur lequel l’Algérie a exprimé des réserves, devrait être complètement opérationnel à la fin de septembre 2008, a fait savoir avant-hier le Pentagone tandis que le commandant en chef de l’Africom devrait prendre ses fonctions avant la fin de l’année 2007. La nomination d’un officier général à la tête du centre de commandement interviendra à la fin de l’année budgétaire, qui se termine le 30 septembre aux Etats-Unis. Le sénat devra ensuite entériner la nomination de l’officier général, a précisé la même source. Le commandant en chef adjoint de l’Africom devrait être au début un responsable du département d’Etat tandis que son effectif comprendra du personnel issu principalement de l’armée, du département d’Etat, des services de renseignement (CIA), de l’agence de la sécurité nationale (NSA) ainsi que d’autres ministères.

L’Africom brassera tous les pays du continent africain à l’exception de l’Egypte, qui dépend du centre de commandement central des Etats-Unis. Toutefois, Washington n’a pas encore trouvé un pays d’accueil pour l’Africom. Suite au refus de pays jugés disposant les infrastructures et les moyens logistiques y compris de communication tels que l’Algérie, des responsables du Pentagone sont contraints depuis avril dernier à se tourner vers d’autres pays susceptibles d’abriter l’Africom. Un haut responsable du ministère de la Défense américaine (Pentagone), Ryan Henry, a fait savoir que le lieu où sera installé l’Africom fait toujours l’objet de négociations avec des « partenaires » des Etats-Unis dont certains ont fait part de leur volonté de l’accueillir

=D

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les americain ne lache pas le morceau.....il change de stratégie :mad:

L'Africom pourrait être réparti dans plusieurs pays d'Afrique

WASHINGTON - Le futur Commandement régional militaire américain pour l'Afrique (Africom) pourrait être dispersé en plusieurs endroits d'Afrique au lieu d'être installé dans un seul pays, a déclaré jeudi un haut responsable du Pentagone.

"Nous étudions la possibilité de répartir le commandement en un certain nombre de cellules différentes à travers le continent", a dit le sous-secrétaire adjoint du Pentagone aux affaires politiques, Ryan Henry, lors d'une conférence de presse.

"Les technologies de l'information nous permettent de faire travailler ensemble des gens qui sont dispersés géographiquement", a-t-il expliqué.

Le haut responsable du Pentagone a indiqué qu'aucune décision n'avait encore été prise concernant la localisation du quartier-général de l'Africom en Afrique ni quel serait le général américain qui serait nommé à sa tête.

M. Henry vient d'effectuer une deuxième tournée de consultations sur le continent africain. Il a rencontré de hauts responsables de défense et des affaires étrangères en Algérie, au Maroc, en Libye, en Egypte, à Djibouti et des responsables de l'organisation régionale, l'Union africaine (UA). Il a eu également des discussions à Paris avec le gouvernement français.

Il avait effectué une première tournée en Afrique en avril. Il s'était alors rendu au Nigeria, en Afrique du Sud, au Kenya, en Ethiopie, au Ghana et au Sénégal.

M. Henry a rappelé que le Pentagone souhaitait que l'Africom commence à fonctionner à partir d'octobre de cette année et soit pleinement opérationnel en septembre 2008.

Le Pentagone a décidé de constituer ce commandement régional spécifique car il considère que l'Afrique est en train de devenir un acteur stratégique sur la scène mondiale. Washington s'inquiète aussi beaucoup de l'implantation d'organisations comme Al-Qaïda dans certains pays africains.

"La lutte contre le terrorisme était une des principales préoccupations des pays que nous avons rencontrés lors de ce voyage. Ils veulent savoir comment l'Africom les aidera dans leurs efforts contre le terrorisme", a dit M. Henry.

Il a assuré que le but de l'Africom n'était pas de prendre la tête des opérations de sécurité en Afrique mais d'apporter un soutien aux pays africains dans ce domaine.

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il ne mettrons jamais les pieds en algerie =D

Washington s'inquiète aussi beaucoup de l'implantation d'organisations comme Al-Qaïda dans certains pays africains.

il fallait y pensée avant,

quand nous avions besoin d'aide maintenant c'est trop tard,

l'algerie n'a plus besoin de personne =D

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il ne mettrons jamais les pieds en algerie =D

Washington s'inquiète aussi beaucoup de l'implantation d'organisations comme Al-Qaïda dans certains pays africains.

il fallait y pensée avant,

quand nous avions besoin d'aide maintenant c'est trop tard,

l'algerie n'a plus besoin de personne =D

oui faux allé voire chez les voisin peut étre que ça intérésra quelqu1 =D
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  • 3 weeks later...
comme l'a dit general plus haut,

mon avis sera le maroc,

pour sur.La problématique de l’installation du commandement du Pentagone pour l’Afrique (Africom) serait parmi les principales raisons qui font courir les experts américains. Malgré le niet signifié par l’Algérie à la demande d’installer ce commandement sur son sol, au même titre d’ailleurs que le Maroc et la Libye, il reste que Washington ne désarme pas.

En effet, l’Algérie s’est montrée hostile à ce projet, en affirmant qu’elle refusait d’être intégrée dans le champ d’action de ce commandement régional. «Le territoire algérien n’est pas concerné par le commandement américain projeté.

L’Algérie n’a jamais accepté l’installation de bases étrangères sur son sol, ce qui serait incompatible avec sa souveraineté et son indépendance

http://www.lexpressiondz.com/article/2/2007-07-09/44404.html

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L'Algérie n'a "jamais" autorisé de bases étrangéres sur son sol  :O

Pourquoi donc demande elle des réparations pour le site d'essai d'armes chimique français  qui à fonctionné jusqu'a la fin des années 1970 bien aprés son indépendance ?

Cela faisait partie des accords d’Evian ainsi que les essais nucléaires jusqu’en 1963 après la protestation du gouvernement Algérien, d’ailleurs c’est a ce moment là que la France annonce son intention de construire une base d’essais nucléaires sur l’Atoll de Mururoa

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Cela faisait partie des accords d’Evian ainsi que les essais nucléaires jusqu’en 1963 après la protestation du gouvernement Algérien, d’ailleurs c’est a ce moment là que la France annonce son intention de construire une base d’essais nucléaires sur l’Atoll de Mururoa

dr.watson

sur se coup tu a été plus rapide que moi,

merci pour t'a reponse,

clair et precis :lol:

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Je ne parle pas des sites nucléaires, mais du site B-2 Namous.

Jusqu'en 1978, une usine d'armements chimiques française a fonctionné secrétement dans le Sahara algérien, à cent kilomètres de Figuig ce qui à ulcéré le Maroc quand l'affaire fut publique.

A signalé cette reproduction d'un article de Science & Vie sur les accord franco algériens :

http://www.algerie-francaise.org/enquete/sciencevie.shtml

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Je ne parle pas des sites nucléaires, mais du site B-2 Namous.

Jusqu'en 1978, une usine d'armements chimiques française a fonctionné secrétement dans le Sahara algérien, à cent kilomètres de Figuig ce qui à ulcéré le Maroc quand l'affaire fut publique.

A signalé cette reproduction d'un article de Science & Vie sur les accord franco algériens :

http://www.algerie-francaise.org/enquete/sciencevie.shtml

collectioneur, je te remercie pour cette infos,je n'etais pas au courant de cette affaire,

je vais faire des recherches,a ce sujet

a moins que quelqu'un peu nous eclaicir un peux plus,

merci bien collectionneur

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