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[Le monde de l'ALAT] Aviation Légère de l'Armée de Terre.


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Le 14/04/2019 à 03:17, collectionneur a dit :

Quelqu'un a la date de livraison à l'année près des 18 AS550 Fennec livrés a l'origine a l'ALAT ?

C'était dans les années 90 mais je ne trouve pas d'infos précises sur le sujet.

Mis en service en 1990. https://www.escadrilles.org/avions/aeronefs-1/fennec/

https://centraledesmarches.com/marches-publics/Paris-Cedex-15-MINARM-DMAe-Prestations-de-mise-en-oeuvre-maintien-en-condition-operationnelle-et-mise-a-disposition-d-heures-de-vol-sur-les-helicopteres-Fennec-de-l-Aviation-Legere-de-l-Armee-de-Terre-ALAT/3743819

http://www.senat.fr/rap/r17-650/r17-650_mono.html

Modifié par Philippe Top-Force
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Le 01/02/2018 à 22:36, Bechar06 a dit :

"D’après Janes 360, l’ALAT étudierait l’acquisition d’un certain nombre de Pilatus PC-12. Cet avion est notamment utilisé par les forces spéciales américaines, sous l’appellation U-28A. Les appareils pourraient être équipés de capteurs électro-optique/infrarouge et être armés, comme le sont les Cessna 208 Caravan des forces irakiennes, philippines et libanaises (avec des missiles Hellfire)"

Rappel d'un post passé... Les missions se précisent donc !  => 

http://www.opex360.com/2019/04/15/laviation-legere-de-larmee-de-terre-voudrait-15-avions-pilatus-pc-12-ou-cessna-grand-caravan-de-plus/

Citation

EXTRAITS  [ L'Alat ] dispose en effet d’une dizaine d’avions de type Pilatus PC-6, TBM-700 et Cessna F406 Caravan II pour des missions de convoyage et de logistique. Et l’idée d’accroître cette flotte de « voilures fixes » fait son chemin.

En février 2018, son commandant [COMALAT], le général Michel Grintchenko avait en effet expliqué ... que l’avion pouvait être un complément intéressant aux hélicoptères, en particulier pour le transport

Seulement, la Loi de programmation militaire 2019-25 n’évoqua pas le projet d’augmenter la flotte d’avions de l’ALAT.... "on pourrait très bien utiliser un Pilatus pour des missions actuellement conduites avec un NH90"   

le besoin serait de 15 avions supplémentaires. Le choix de l’appareil [Pilatus PC-12 ou Cessna Grand Caravan] n’a pas encore été arrêté

Ces avions ne seront pas utilisés pour des missions de combat   FIN EXTRAITS

 

Modifié par Bechar06
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il y a une heure, Philippe Top-Force a dit :

Le terrain n'est pas immense et fortement enclavé, dans mon souvenir .. Pas beaucoup de respiration ! Ton avis "objectif" ?

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Il y a 22 heures, Bechar06 a dit :

Le terrain n'est pas immense et fortement enclavé, dans mon souvenir .. Pas beaucoup de respiration ! Ton avis "objectif" ?

Faut d'abord avoir les crédits pour acheter les avions, car ce n'est pas budgété dans la LPM.

Sinon, le 9 RSAM s'est modernisé. Par contre, la piste est la même, un peu courte.

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Le 17/04/2019 à 12:37, Philippe Top-Force a dit :

Faut d'abord avoir les crédits pour acheter les avions, car ce n'est pas budgété dans la LPM.

Sinon, le 9 RSAM s'est modernisé. Par contre, la piste est la même, un peu courte.

Le PC-12 est capable d'utiliser des pistes sommaires non revêtues (terre ou herbe), et Il est capable de faire des décollages et atterrissages courts.

Take-Off Distance Over 15 m Obstacle (MTOW) 793 m

Landing Distance Over 15 m Obstacle (MLW, no reverse) : 661 m

Çà doit le faire ...

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5 minutes ago, Bechar06 said:

De nos jours en matière de ADAC / STOL  les ambitions sont bien limitées !   Mais si cela peut faire l'affaire ...

Ce sont des atterrissage court dans le cadre d'un avion civil destiné a un usage commercial...

... accessoirement ce sont les valeurs normalisé ... ont peut faire plus court ... en emportant moins notamment.

 

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Bientôt des ballons et des dirigeables pour l’Aviation légère de l’armée de Terre?

Le 26 juin 1794, les armées de la jeune République française remportèrent une victoire décisive contre les forces commandées par le prince Frédéric de Saxe-Cobourg à Fleurus. Et, lors de cette bataille, des moyens aériens furent mis en oeuvre pour la première fois, les Français ayant utilisé le ballon d’observation « L’Entreprenant », capable d’élever à 500 mètres d’altitude une nacelle occupée par deux hommes. Pour communiquer avec le sol, ces derniers utilisaient les pavillons du code de signalisation maritime ou faisaient glisser le long d’un câble un sac contenant des notes.

La compagnie d’Aérostiers, créée le avril 1794 [qui sera dissoute en 1802, ndlr], est depuis considérée comme étant l’ancêtre de l’Aviation légère de l’armée de Terre [ALAT], qui vit officiellement le jour le 22 novembre 1954. Et, 225 ans plus tard, ballons et dirigeables pourraient faire leur retour au sein des forces françaises.

Lors d’une audition à l’Assemblée nationale, en septembre 2018, le chef d’état-major de l’armée de Terre [CEMAT], le général Jean-Pierre Bosser, fit une allusion à une telle éventualité en évoquant l’idée de doter l’ALAT de davantage d’avions légers, afin de réduire le coût de l’heure de vol pour certaines missions qui n’exigent pas forcément l’utilisation d’un hélicoptère.

« S’agissant de la stratégie des voilures fixes, la comparaison du coût de l’heure de vol du NH90 avec celui du Pilatus est sans ambiguïté. De fait, pour certaines missions, on pourrait très bien utiliser un Pilatus pour des missions actuellement conduites avec un NH90. Je suis donc parfaitement d’accord, au point que j’avais envisagé ce sujet en début de loi de programmation et je ne l’ai pas oublié », avait expliqué le général Bosser. Puis, il avait lâché ce détail : « Pas plus que les ballons, puisque nous évoquons la troisième dimension. Il existe donc des perspectives intéressantes sur lesquelles nous travaillons. »

À l’époque, on pensait que le CEMAT évoquait les possibilités offertes par les ballons en matière de transport. Ainsi, le Commandement logistique des forces [COMLOG] avait fait part de son intérêt pour le concept de navette aérienne de transport automatique de containers [NATAC] qui, développé par l’entreprise française Voliris, combine les capacités d’un drone avec celle d’un dirigeable. Mais visiblement, d’autres utilisations sont envisagées… Du moins, ce que suggèrent les propos du général Michel Grintchenko, le commandant de l’ALAT [COMALAT], dans les colonnes du magazine Air Fan.

« Ma vision est que, pour recueillir du renseignement, il faut un vecteur aérien porteur d’un ou de plusieurs capteurs. En fonction de la mission, de la menace, de la météo, du plafond nuageux, ce pourrait être un Rafale, un Atlantique 2, un hélicoptère, un drone lent ou rapide, voire un ballon ou un dirigeable, qui referont probablement surface, car ils offrent des coûts de possession très réduits. Je crois dur comme fer en la complémentarité des différents vecteurs », a expliqué le COMALAT.

« L’idée est d’avoir la même boule optronique sur notre futur drone Patroller, le H160, un avion lent, un ballon ou un dirigeable », a insisté le général Grintchenko. « Ce que nous voulons créer, c’est la capacité à mener une véritable manoeuvre de renseignement multicapteurs. Le Tigre standard 3 pourra directement coopérer avec les drones. Ce sera un bon en avant très appréciale », a-t-il ajouté.

S’agissant des drones tactiques Patroller, qui seront potentiellement armés, les propos du général Grintchenko sont ambigus : ces appareils ne seront pas mis en oeuvre par l’ALAT mais par le 61e Régiment d’Artillerie [RA] de Chaumont. Cependant, la formation aéronautique de ses télépilotes est assurée par l’École de l’ALAT.

Quoi qu’il en soit, l’idée de revenir aux dirigeables pour des missions de renseignement n’est pas nouvelle. Dans les années 1960, aux États-Unis, il y eut le projet Mogul qui a consista à envoyer des ballons-sonde en URSS pour détecter les essais nucléaires soviétiques.

D’autres projets furent lancés par la suite, comme le JLENS [Joint Land Attack Cruise Missile Defense Elevated Netted Sensor System], qui visait à doter l’US Army de 16 aérostats équipés de radars afin de détecter les menaces aériennes [avions, missiles, drones]. Mais la perte de deux engins a visiblement sonné le glas de ce projet, qui aura coûté 2,8 milliards de dollars.

En Europe, l’allemand Zeppelin Luftschifftechnik GmbH a mis au point le Zeppelin NT, dans les années 1990, essentiellement pour des applications civiles.

http://www.opex360.com/2019/04/22/bientot-des-ballons-et-des-dirigeables-pour-laviation-legere-de-larmee-de-terre/

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Le 18/04/2019 à 22:56, g4lly a dit :

Ce sont des atterrissage court dans le cadre d'un avion civil destiné a un usage commercial...

... accessoirement ce sont les valeurs normalisé ... ont peut faire plus court ... en emportant moins notamment.

Je n'avais pas vu la vidéo jusqu'à présent. Impressionnant, oui, mais terrain en pente ! même la sortie de hangar se fait en pente !  M'étonnerait qu'il ait un moteur électrique pour le sol ...!

Pas mal, oui: mais ce serait encore mieux avec un bimoteur à ailes soufflées et hautes ...

Après l'expérience du PC-6, jamais compris pourquoi Pilatus n'avait pas investit ce genre de solution, à la Twin-Otter en + petit  

Modifié par Bechar06
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5 minutes ago, Bechar06 said:

Après l'expérience du PC-6, jamais compris pourquoi Pilatus n'avait pas investit ce genre de solution, à la Twin-Otter en + petit   

Peut etre parce qu'il n'y a pas tant de demande civile que ca pour un engin a décollage tres tres court ... et que la concurrence hélico existe sur ce segment.

En gros plus les aile sont porteuse ... moins ton engin va vite. Sauf a adopter une mécanique tres complexe faisant varier l'aile de forme.

Donc plus ton avion décolle court ... moins il vole vite ... et plus il se retrouve en concurrence avec les hélico.

Il y a donc une enveloppe de performance "distance décollage / vitesse croisière" commercialement intéressante pour un avion ... zone qui n’intègre pas forcément les décollages plus court que le PC-6 ... ou les croisière lente ... ou trop concurrentielle.

L'autre petit souci c'est le cout et la facilité a produire une piste de telle ou telle longueur. En pratique une piste relativement compact de quelques centaine de mètre ... ce n'est pas forcément très compliqué ou très coûteux à mettre en place.

Reste le cas des pistes absolument non préparée ... ici ce n'est pas un sport de masse ... et en général ce sont des avions préparé spécialement qui s'y frotte.

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Pour le général Lavigne, l’armée de l’Air doit remplacer ses hélicoptères Puma avant 2028

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L’armée de l’Air dispose actuellement de 76 hélicoptères, dont 40 Fennec, des Caracal, deux EC225 et une petite vingtaine de Puma. Et il n’est pas question de moderniser cette flotte d’ici 2028. Du moins, c’est ce qu’affirme la Loi de programmation militaire [LPM] 2019-25, laquelle a repoussé à 2028 les livraisons d’hélicoptères interarmées légers [HIL], censés remplacer plusieurs types d’appareils.

....

http://www.opex360.com/2019/05/24/pour-general-lavigne-armee-air-doit-remplacer-helicopteres-puma-avant-2028/

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Il y a 15 heures, jojo (lo savoyârd) a dit :

Parler de l'armée de l'air dans le fil spécifique ALAT. :wacko:

Les hélicoptères de l'armée de l'air c'est ici

Il y a 15 heures, jojo (lo savoyârd) a dit :

Parler de l'armée de l'air dans le fil spécifique ALAT. :wacko:

Les hélicoptères de l'armée de l'air c'est ici

 

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Il y a 3 heures, Philippe Top-Force a dit :

Parler de l'armée de l'air dans le fil spécifique ALAT. :wacko:

Les hélicoptères de l'armée de l'air c'est ici

Parler de l'armée de l'air dans le fil spécifique ALAT. :wacko:

Les hélicoptères de l'armée de l'air c'est ici

 

L' urgent c'est les 3 Puma de Nouvelle Calédonie et les 5 Puma de Guyane qui sont armée de l'air.  

Et l'histoire des 8 H175 en leasing commence à refaire surface.  

H175-brochure-helicopters-2019.pdf?wid=9

Et l'armée de l'air qui depuis la Guyane devra détacher en permanence un H175 en Martinique pour préserver les 2 Dauphins   

https://www.defense.gouv.fr/operations/prepositionnees/forces-de-souverainete/antilles/actualites/antilles-creation-du-pole-aeronautique-etatique-pae-du-lamentin

 

a8db2a_f62c47bb756449d08ed1a8b6c5fd1e8a~

 

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Le 31/05/2019 à 16:47, seal33 a dit :

Plus de Puma à Pau. Régiment « moderne » à présent. A moins qu’il ne reste une/des escadrilles de Gazelle. 

https://www.larepubliquedespyrenees.fr/2019/05/31/video-le-dernier-vol-du-puma-dans-le-beth-ceu-de-pau,2559739.php

Sans parler du 4 RHFS

 

Petit complément :

 

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