Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Armée de l'air des E.A.U


Libanais_75
 Share

Messages recommandés

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/air-defense/actu/0201741252432-rafale-les-emirats-mettent-la-pression-sur-la-france-248159.php

Coup de bluff ? A la surprise générale, Abou Dhabi a demandé au consortium qui fabrique l'avion de combat européen Eurofighter de lui remettre rapidement une offre commerciale. La nouvelle a fait sensation, ce matin, dès l'ouverture du salon aéronautique de Dubaï, plus habitué des annonces de méga commandes d'avions civils. Et pour cause : près de trois ans et demi après avoir engagé des négociations de gré à gré pour l'achat d'une soixantaine de Rafale, les Emirats Arabes Unis et Dassault sont très proches de conclure.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Soit on va avoir une mauvaise surprise, soit c'est pour faire pression, mais déjà que les EAU n'aimaient pas qu'on propage des

nouvelles sur l'offre en cours.

sur bfm tv ca tourne en boucle. on a pas l'air con.

Abou Dhabi fait miroiter la possibilité d'acheter sur étagère le « Sniper » de Lockheed Martin. Ce qui signifierait que la France devra trouver plusieurs centaines de millions d'euros pour financer seule ce programme dont elle a besoin. « Je n'imagine pas qu'on bloque la vente de 60 Rafale pour cela », estimait hier un observateur averti.

Mais si ce sont des ef2000, les m2000 resteront à leur charge, y en a pour des sous.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Soit on va avoir une mauvaise surprise, soit c'est pour faire pression, mais déjà que les EAU n'aimaient qu'on propage des

nouvelles sur l'offre en cours.

Sur bfm tv ca tourne en boucle. on a pas l'air con.

Ils ont osé reprendre cette info sur BFM ? Mais qui sont ces idiots de journalistes ! Ce n'est pas une info capitale ça! :rolleyes:

En tout cas, ce qui est dommage, c'est que l'on aura pas notre signature durant ce salon .

Et ça c'est étrange car j'était sur que les Emiratie allait utiliser cette fenêtre médiatique pour annoncer (ENFIN) cet achat.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

DUBAI: Dassault keeps mum on Rafale UAE prospects

Dassault's Rafale made a noisy display appearance on the opening day of the Dubai air show, but away from the flight line, the company was much quieter about its prospects with selling the fighter to the UAE.

Questions about the current status of long-running talks to potentially replace the UAE's Dassault Mirage 2000s with up to 60 Rafales were met with a polite "no comment", one day after a surprise request for Eurofighter to also submit a proposal based on its Typhoon became public knowledge.

http://www.flightglobal.com/news/articles/dubai-dassault-keeps-mum-on-rafale-uae-prospects-364746/?utm_medium=twitter&utm_source=twitterfeed

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Certain victory for Rafale turns uncertain

So much for the rampant rumours (well, rampant throughout France anyway) that the UAE's long-delayed fighter contract was a done-deal for the Rafale.

Everything we know about the United Arab Emirates fighter modernisation plans have turned upside down within the first 24h of the Dubai Air Show.

Quick summary: Dassault Rafale still in, Saab Gripen still out, Eurofighter Typhoon made a surprise entrance, Lockheed Martin F-16 Block 60 is now lurking and Boeing throws F-15 Silent Eagle into the mix.

Allowing the UAE sale to slip away may not be devastating to the Rafale, with Brazil, India, Kuwait and Switzerland still in talks with the French. But such a loss would surely be long remembered in the industry as yet another can't-miss deal that only the French could mess up.

http://www.flightglobal.com/blogs/the-dewline/2011/11/dxb11-certain-victory-for-rafa.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

Si ils continuent comme ça ils auront gagner: On va se casser et

- Plus de Rafales deployés de manierre permanente la bas

- Plus de batiment de combat permanent la bas, plus de base ALINDIEN la bas

- Plus de légion, elle retournera a Djibouti

- Plus de Sorbonne, Louvres, St Cyr et autres conneries du genre la bas

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'éspère que c'est une blague.

Et non  :lol: Tout comme l'échec de l'IPER aux EAU, ou celui du TGV ou NH90 en Arabie Saoudite voire les nombreuses non vente du Rafale à l'export, les émiriens sont de redoutables négociateurs et veulent encore revoir le prix à la baisse (crise oblige). Les américains font monter la pression ils veulent vendre encore plus d'armes dans le coin pour contrer l'Iran.

PS/ 50 777 vendus ce jour.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et non  :lol: Tout comme l'échec de l'IPER aux EAU, ou celui du TGV ou NH90 en Arabie Saoudite voire les nombreuses non vente du Rafale à l'export, les émiriens sont de redoutables négociateurs et veulent encore revoir le prix à la baisse (crise oblige). Les américains font monter la pression ils veulent vendre encore plus d'armes dans le coin pour contrer l'Iran.

PS/ 50 Dreamliner vendus ce jour.

Des 777 pas des Dreamliner. Et sur ce fait justement, ils avaient prévenus qu'ils étaient intéressé par l'A350-1000 à la place du 777 mais que ce dernier était dans les rangs pour la competition. Mais vu qu'Airbus à prit 2 ans de retards sur cette version, pour l'instant ce sera du triple 7 et peut être l'annulation de l'ancienne commande d'A350-1000. Ce que je remarque c'est qu'ils sont plutôt clair et net dans la négociation avec Airbus. Par contre bizarrement avec le contrat rafale ça fait un peu marchand de tapis...
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bon ! on va s'en prendre plein la tronche, ca sent les grosses maladresses. un Maroc bis. j'y crois pas, avec eux on a aucune chance de le vendre  :'(

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20111113trib000663712/l-eurofighter-defie-le-rafale-dans-le-ciel-d-abu-dhabi.html

Les Emirats arabes unis, agacés par la gestion brouillonne des Français, font monter les enchères et demandent à BAE Systems de concurrencer l'offre de Dassault Aviation avec leur Eurofighter.

Douche glacée pour le Rafale et la France ce dimanche lors de l'inauguration du salon aéronautique, le Dubaï Airshow. Les Emirats arabes unis (E.A.U.), jusqu'ici en négociations exclusives avec Dassault Aviation pour l'acquisition de 60 Rafale, pour un montant éstimé entre 6 à 8 milliards d'euros, ont révélé avoir demandé au consortium Eurofighter (BAE Systems, EADS et l'italien Finmecannica) de lui faire une offre commerciale (« Request for proposal » ou RFP). Une annonce qui a complètement pris au dépourvu tous les industriels et officiels français présents au salon.

Les discussions entre Abu Dhabi et BAE Systems, qui porte la proposition commerciale de l'Eurofighter aux Emirats, ont débuté il y a moins d'un mois. Le 17 octobre dernier, le groupe britannique a présenté l'Eurofighter Typhoon aux Emiriens, qui, dans la foulée, ont demandé à BAE Systems de formuler un RFP.

Pris à froid, les industriels et officiels français, interrogés au Dubaï Airshow par « La Tribune », minimisent ce coup de théâtre. Ils assurent pour la plupart qu'il s'agit d'une tactique des E.A.U. pour faire baisser le prix du Rafale, jugé trop cher. La ficelle semble grosse mais aujourd'hui les industriels veulent croire à leur analyse. « Est-ce un moyen de faire courir un lièvre devant Dassault Aviation ou les E.A.U. cherchent-ils vraiment une alternative », se demande un industriel tricolore. « Il y a différentes grilles de lecture celle que l'on privilégie pour le moment, c'est celle d'une tactique de négociations des Emiriens », estime un autre. Il est vrai que les E.A.U. avaient déjà fait en 2010 à Boeing une demande d'information technique pour le F/A-18 Super Hornet. Sans aller beaucoup plus loin.

Pas de pilote dans l'avion

Le ministre de la Défense, Gérard Longuet, confirme que « cette demande de cotation apparaît plus comme une mesure d'animation de la procédure ». Il veut encore croire que la France est proche « du point final d'une négociation très bien engagée ». « Selon la position que l'on occupe, chaque froncement de sourcils peut rapporter ou coûter quelques centaines de millions d'euros », dit-il. Une chose est sûre, si Abu Dhabi choisit l'Eurofighter, il ne pourra plus compter sur la France pour lui reprendre les 60 Mirage 2000-9 que l'Emirat avait la possibilité de céder en cas d'accord sur le Rafale.

Pourtant, depuis plusieurs semaines, les clignotants s'étaient mis au rouge pour l'avion de combat de Dassault Aviation. La décision des E.A.U. de mettre en piste l'Eurofighter est donc clairement « un signal envoyé à Dassault Aviation », estime un industriel. L'échec cuisant du Rafale au Maroc a été semble-t-il aujourd'hui trop vite oublié. Et pourtant ce n'était qu'en 2007, un temps pas si lointain où Nicolas Sarkozy voulait constituer une équipe de France unie, qui parle d'une seule voix à l'exportation pour gagner les grands appels d'offres internationaux civils et militaires en général, et ceux concernant le Rafale en particulier. Car le chef de l'État s'est secrètement fixé le défi d'être celui qui vendra enfin l'avion de combat tricolore à un pays étranger. Pour ce faire, il avait nommé un pilote, Claude Guéant, alors secrétaire général de l'Élysée, en qui il avait toute confiance, et créé un outil, la « war room », censée impulser une stratégie et une cohérence à ce qu'il appelait « l'équipe de France ». Le bilan est plutôt mitigé au bout de cinq ans mais au moins, la France parlait d'une seule et même voix à ses interlocuteurs.

Las. Claude Guéant, parti au ministère de l'Intérieur, la cacophonie semble être revenue dans cette « équipe de France » privée de capitaine. Chassez le naturel il revient au galop. C'était le cas il y a peu de temps encore pour le Rafale aux Emirats. Abu Dhabi, qui a relancé les négociations en plein été et a maintenu un rythme intensif, y compris lors du ramadan en août, entendaient depuis quelques semaines plusieurs sons de cloche au gré des visiteurs venus vendre les qualités et les prouesses du Rafale. « Les Emirats avaient trop d'interlocuteurs, l'industriel mais aussi beaucoup trop d'étatiques », confirme-t-on au ministère de la Défense, qui stigmatise plutôt « l'État et ses chapelles trop nombreuses ». Il manque visiblement à nouveau un pilote d'autant que le nouveau secrétaire général de l'Élysée, Xavier Musca, n'a vraiment pas le temps de gérer ce dossier jugé « mineur » au regard de toutes les catastrophes qui s'abattent les unes après les autres sur la zone Euro. Par défaut, le dossier échoit au chef d'état-major particulier du président de la République Benoît Puga, un officier de la Légion étrangère, ancien patron des opérations spéciales et qui était auparavant à la tête de la Direction du renseignement militaire. Le général, qui a remarquablement géré l'intervention militaire française en Libye (opération Harmattan), selon la plupart des observateurs, est semble-t-il moins aguerri sur ce type de dossier.

Incompréhensions

À Abu Dhabi, l'incompréhension monte de plus en plus. À tel point que furieux le prince héritier d'Abu Dabi, Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, qui a l'impression que les Français ne l'écoutent plus, fait une visite express de quelques heures à Paris après l'été en septembre pour rencontrer Nicolas Sarkozy à l'Élysée. Mal préparée, la visite, censée tout remettre en ordre, ne fait pas avancer d'un pouce le dossier du Rafale. Bien au contraire. Mal briefé, le chef de l'État, pensant que le dossier Rafale était enfin réglé, aborde cette rencontre avec un angle de politique régionale, évoquant entre autre la question de la Palestine. Cheikh Mohamed repart de Paris sans avoir les réponses qu'il attendait. D'autant qu'il se plaindrait d'un gros écart de prix. C'était pourtant l'une de ses trois demandes personnelles à Nicolas Sarkozy : obtenir un prix raisonnable. Ses deux autres souhaits : disposer d'un avion plus performant que le Mirage 2000-9 et que la France finance une partie des coûts « non récurrents » du Rafale.

« Le débriefing de la visite de Cheikh Mohamed à l'Élysée est violent », rapporte un observateur. Conséquence, quelques jours plus tard, Nicolas Sarkozy décide de confier le dossier au ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé. « Il fallait une personne de poids pour remettre le dossier à l'endroit », explique-t-on à « La Tribune ». La « nomination » d'Alain Juppé, en tant que nouveau patron des négociations, a semble-t-il permis de remettre le dossier sur les rails. Trop tard ? Les E.A.U., boudeurs, ont quant à eux mis très longtemps pour désigner un nouveau patron des négociations. Et ont décidé de mettre à l'épreuve les Français avec l'Eurofighter. Aussi, dans le camp français, certains, comme Gérard Longuet, parient sur une annonce le 2 décembre, pour le quarantième anniversaire de la fédération des E. A. U.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mouais, il faut se rappeler que le dossier marocain était loin d'être mirobolant: totalité de l'achat par crédit (via les banques françaises) et remboursement très "étalés"...sans compter que les US ont offert avec ce contrat, je crois, 300 millions de dollars d'aides diverses au pays.

Ceci dit au même moment et ironiquement, Renault investissait plusieurs milliards d'euros dans une immense usine à Tanger. Tout comme en Inde, où Renault a investi ces dernières années des milliards...milliards qui auraient pu très bien faire partie des offset du MMRCA.

Bon de toute manière pour les EAU, ça fera donc 3 nouvelles semaines à patienter. Nous ne sommes plus à ça près...

J'espère que ce "deal" n'est pas celui des pods US.  O0

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Everyone likes to have something juicy to put on the front page of their show daily so what better than when an announcement everyone thought might be made at the Dubai air show is turned on its head?

Instead of announcing that they were ready to sign the contract for up to 60 Rafales with France's Dassault Aviation, the United Arab Emirates has issued the Eurofighter consortium with a request for proposals after an October 17 UK briefing requested by the UAE.

This seems a little strange given that they are looking for a multi-role aircraft and that, today at least, the Eurofighter's air-to-ground capacities are more than limited (a 1,000 pound free-fall bomb, a Paveway 2 laser-guided 1,000 pound bomb and an E-Paveway 2 dual mode (GPS/laser) 1,000 pound bomb and this only on the British variant of the aircraft).

http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckBlogPage=BlogViewPost&newspaperUserId=27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3a4b61dd49-6dd6-4c7a-a564-2191071f0ed3&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a un commentaire de Bill SweetMan

Bill Sweetman wrote:

Ploy, or a serious move? The UAE will have to look like they are serious if they want to see a counter-offer that will put real pressure on the French.

It seems to me that there's a lot here that rides on India. Whoever wins India (and I will say again that I am not sure if I am more sorry for the winner or the loser, because the contract will be a bear to execute) has a fast track to AESA, multi-role, and globalised production and support. That has to be worth money to customers like UAE, who will otherwise be leading the process.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pffff!!

bon, le rafale ne se vendra pas cette semaine à Dubaï, ça c'est sur, d'autre part tout cela montre que notre offre est certainement jugée "négociable" vers le bas ...

Décidément cet avion est commercialement extérieurement parlant maudit ... l'avion ou les équipes françaises de négociation, parce qu'enfin ce n'est pas le premier contrat négocié avec les EAU ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Punaise, moi qui m'attendais enfin a voir arriver un contrat ferme pour le Rafale, voila que ca repart dans tout les sens cette histoire.

Pour l'histoire du Typhoon, ca me parait tellement tardif, pour ne pas dire decale, que j'ai du mal a imaginer que ca pose un reel probleme alors qu'un Super Hornet, c'etait autre chose.

Par contre, quand je lis qu'on a toujours ce probleme de desorganisation ou tout le monde se tire dans les pattes ....

Las. Claude Guéant, parti au ministère de l'Intérieur, la cacophonie semble être revenue dans cette « équipe de France » privée de capitaine. Chassez le naturel il revient au galop. C'était le cas il y a peu de temps encore pour le Rafale aux Emirats. Abu Dhabi, qui a relancé les négociations en plein été et a maintenu un rythme intensif, y compris lors du ramadan en août, entendaient depuis quelques semaines plusieurs sons de cloche au gré des visiteurs venus vendre les qualités et les prouesses du Rafale. « Les Emirats avaient trop d'interlocuteurs, l'industriel mais aussi beaucoup trop d'étatiques », confirme-t-on au ministère de la Défense, qui stigmatise plutôt « l'État et ses chapelles trop nombreuses ». Il manque visiblement à nouveau un pilote d'autant que le nouveau secrétaire général de l'Élysée, Xavier Musca, n'a vraiment pas le temps de gérer ce dossier jugé « mineur » au regard de toutes les catastrophes qui s'abattent les unes après les autres sur la zone Euro. Par défaut, le dossier échoit au chef d'état-major particulier du président de la République Benoît Puga, un officier de la Légion étrangère, ancien patron des opérations spéciales et qui était auparavant à la tête de la Direction du renseignement militaire. Le général, qui a remarquablement géré l'intervention militaire française en Libye (opération Harmattan), selon la plupart des observateurs, est semble-t-il moins aguerri sur ce type de dossier.

Incompréhensions

À Abu Dhabi, l'incompréhension monte de plus en plus. À tel point que furieux le prince héritier d'Abu Dabi, Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, qui a l'impression que les Français ne l'écoutent plus, fait une visite express de quelques heures à Paris après l'été en septembre pour rencontrer Nicolas Sarkozy à l'Élysée. Mal préparée, la visite, censée tout remettre en ordre, ne fait pas avancer d'un pouce le dossier du Rafale. Bien au contraire. Mal briefé, le chef de l'État, pensant que le dossier Rafale était enfin réglé, aborde cette rencontre avec un angle de politique régionale, évoquant entre autre la question de la Palestine. Cheikh Mohamed repart de Paris sans avoir les réponses qu'il attendait. D'autant qu'il se plaindrait d'un gros écart de prix. C'était pourtant l'une de ses trois demandes personnelles à Nicolas Sarkozy : obtenir un prix raisonnable. Ses deux autres souhaits : disposer d'un avion plus performant que le Mirage 2000-9 et que la France finance une partie des coûts « non récurrents » du Rafale.

« Le débriefing de la visite de Cheikh Mohamed à l'Élysée est violent », rapporte un observateur. Conséquence, quelques jours plus tard, Nicolas Sarkozy décide de confier le dossier au ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé. « Il fallait une personne de poids pour remettre le dossier à l'endroit », explique-t-on à « La Tribune ». La « nomination » d'Alain Juppé, en tant que nouveau patron des négociations, a semble-t-il permis de remettre le dossier sur les rails. Trop tard ? Les E.A.U., boudeurs, ont quant à eux mis très longtemps pour désigner un nouveau patron des négociations. Et ont décidé de mettre à l'épreuve les Français avec l'Eurofighter. Aussi, dans le camp français, certains, comme Gérard Longuet, parient sur une annonce le 2 décembre, pour le quarantième anniversaire de la fédération des E. A. U.

Pour ce que j'ai mis en gras. Bon, pour le prix, je pense comprendre, mais pour le reste, le rafale ne tient il pas convenablement la route face au mirage 2000-9 ? Et les couts "non recurrents", qu'est ce ??

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bon ! on va s'en prendre plein la tronche, ca sent les grosses maladresses. un Maroc bis. j'y crois pas, avec eux on a aucune chance de le vendre  :'(

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20111113trib000663712/l-eurofighter-defie-le-rafale-dans-le-ciel-d-abu-dhabi.html

Pas de pilote dans l'avion

Si cet article est exact, alors c'est une effroyable gabegie. La "War Room Rafale" bougeant au grès de chaque remaniement.

Le seul point positif est que c'est probablement une ruse pour baisser les prix. Mais ce n'est pas une certitude. Si le client a trop l'impression de se faire plumer, alors il ira ailleurs.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 966
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Aure-Asia
    Membre le plus récent
    Aure-Asia
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...