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Marine brésilienne


Invité grinch
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Mer et Marine

C'est mardi prochain, à l'occasion du voyage officiel de Nicolas Sarkozy au Brésil (22 et 23 décembre), que devrait être conclue la vente de quatre sous-marins français du type Scorpène. D'un montant de plusieurs milliards de dollars, ce contrat comprendrait également une coopération en vue d'aider le Brésil à réaliser son premier sous-marin nucléaire d'attaque (SNA). Selon la presse brésilienne, qui tient la signature du contrat pour acquise, l'offre de l'Allemand TKMS, qui proposait son sous-marin du type 214, a été repoussée par Brasilia. Le président Lula préfèrerait, en effet, sceller une alliance stratégique avec la France. Pour DCNS, il s'agirait alors d'une nouvelle victoire face à son concurrent TKMS en Amérique latine, chasse gardée traditionnelle de l'industrie allemande. DCNS et l'Espagnol Navantia (les deux groupes ont conçu en coopération le Scorpène), avaient réalisé une première brèche sur ce marché avec la vente de deux Scorpène au Chili, en 1997. Le groupe français, s'appuyant sur Armaris, son ancienne filiale commune avec Thales, avait ensuite remporté les contrats de modernisation des sous-marins chiliens, vénézuéliens puis équatoriens, tous d'origine allemande.

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La France et le Brésil signent ce matin un partenariat stratégique de défense. Au menu du volet industriel : hélicoptères de transport et sous-marins. Plus de 5 milliards d'euros pour la part française.

DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL À RIO DE JANEIRO. Les échos.

Pour DCNS et Eurocopter, Noël 2008 a un air de samba ! Paris et Brasilia vont signer ce matin une série d'accords bilatéraux dont le plus important repose sur la vente d'armements pour 8,6 milliards d'euros, dont 5,2 reviendront directement aux deux entreprises et à leurs sous-traitants : 50 hélicoptères de transport militaires EC725, 4 sous-marins à propulsion classique de la famille Scorpène, assistance au développement d'un sous-marin nucléaire, et construction d'une base navale pour abriter ces navires. Et encore, l'armement reste à négocier (missiles Exocet SM39 et torpilles lourdes MU90). De même, les équipements numérisés du fantassin et l'électronique du champ de bataille pourraient se rajouter à la liste.

Négociations difficiles

Tout n'a pas été simple pour en arriver là. En visite à Brasilia il y a deux semaines, Hervé Morin s'est aperçu avec Nelson Jobim, son homologue brésilien, que les négociations pour les hélicoptères patinaient. A force de rajouter des équipements et des appareils, les militaires ont fait grimper la facture à 2,6 milliards d'euros, soit 1,1 milliard de plus que le budget initial. Autre souci : le niveau d'acompte réclamé par Eurocopter, anormalement élevé. Les modalités industrielles de l'accord s'avèrent très complexes à négocier avec Hélibras, sa filiale brésilienne. Le tout sans que les commerciaux ne fassent remonter les infos à Paris... Irrité, le ministre français a alors décroché son téléphone et sermonné Louis Gallois. « Vous avez quinze jours pour régler tout cela », lui a-t-il lancé. Nelson Jobim, sous la pression de Lula, a fait de même avec ses généraux. Résultat, un accord a été trouvé tout récemment pour 1,89 milliard, dont 1,1 milliard environ pour la part française. Les premiers hélicoptères seront assemblés par Hélibras, puis, à terme, complètement produits sur place. Pour cela, le Brésil projette la construction d'une usine de turbines à Rio et autres composants à São Paulo et dans le Sud.

Le volet naval de l'accord est estimé à 6,7 milliards d'euros, dont 4,1 pour DCNS, et le solde pour son partenaire local de génie civil Odebrecht. De quoi assurer d'importantes charges de travail pour Cherbourg. De même qu'à Thales pour les sonars, MBDA pour les missiles, ou Sagem pour l'optronique. Mais, comme pour les hélicoptères, l'assemblage des sous-marins se fera au Brésil. Car, contrairement aux Etats-Unis et à la Russie, Paris ne rechigne pas à accorder d'importants transferts de technologie. « Je veux que le Brésil ait une armée et cette armée, c'est la France qui la modernisera et qui l'équipera », aurait d'ailleurs dit le président Lula à son homologue français, lors de leur dernière rencontre, en février. Aux yeux de Lula, la France est en effet le seul pays prêt à garantir l'indépendance du Brésil en acceptant de partager ses secrets de fabrication.

Renouveau des exportations

Pour Paris, ces contrats signent le renouveau des exportations d'armements. Il y a bien longtemps qu'un tel engagement n'avait pas été conclu avec un pays. A condition évidemment que le financement suive. C'est le cas pour les hélicoptères, via la Société Générale, mais pas encore pour les sous-marins. Vu le montant en jeu, la crise n'aide pas BNP Paribas, leader du « pool » bancaire, à trouver des partenaires. « C'est difficile mais soluble », explique-t-on de source française. Du coup, la mise en oeuvre des contrats, c'est-à-dire leur entrée en vigueur une fois les acomptes payés par le Brésil, pourrait intervenir cette année pour Eurocopter, mais plus probablement en 2009 pour DCNS.

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Quelques 7 milliards d'euros. C'est, de sources concordantes, le montant du gigantesque contrat d'armement naval conclu aujourd'hui par la France et le Brésil au cours d'une rencontre entre Nicolas Sarkozy et son homologue Luiz Inacio Lula Da Silva. Le marché porte sur la vente de quatre sous-marins d'attaque à propulsion conventionnelle, une assistance technique pour la réalisation du premier sous-marin nucléaire d'attaque (SNA) brésilien, ainsi que l'édification d'une base navale et d'un nouveau chantier près de Rio de Janeiro.

Une bonne partie du premier sous-marin à Cherbourg

Bonne nouvelle pour l'établissement DCNS de Cherbourg, une grande partie du premier sous-marin conventionnel, prévu pour entrer en service d'ici 2016, sera réalisée dans le Cotentin. Les unités suivantes seront, en revanche, construites en transfert de technologie au Brésil. Les sites français de DCNS se verront néanmoins confier, comme pour d'autres contrats similaires (exemple de l'Inde), d'importants travaux d'ingénierie (50.000 heures au total) ainsi que la production d'équipements complexes et sensibles (on pense par exemple, aux brèches, éléments de coque résistante, mâts, tubes lance-torpilles et systèmes de manutention...) Pour mener à bien ce programme, DCNS et le groupe brésilien Odebrecht vont créer une société commune, chargée de la maîtrise d'oeuvre des sous-marins conventionnels. Ces derniers pourraient être du type Scorpène, étudié en coopération avec l'industrie espagnole. Toutefois, quant à la question de savoir si Navantia est impliqué, ou non, dans ce contrat, DCNS se refuse pour le moment à tout commentaire.

SNA, base et chantier naval

En plus des sous-marins conventionnels, qui seront amenés à assurer la protection des approches brésiliennes dans un rayon dépassant 8000 kilomètres, le groupe français, et c'est une grande première, assistera la marine brésilienne dans l'élaboration du design de son futur SNA. Cette assistance technique ne portera, toutefois, que sur les parties « non nucléaires » du navire. La conception et la réalisation de la chaufferie embarquée restera, en effet, à la charge des Brésiliens.

En plus du contrat portant sur les cinq sous-marins, DCNS a également été sélectionné dans le cadre de la réalisation d'une nouvelle base navale et d'un nouveau chantier de construction, où seront assemblés les futurs bâtiments. Le groupe français apportera son expertise dans ce domaine pour permettre à son partenaire Odebrecht de mener à bien l'édification des nouvelles infrastructures.

Nouvelle percée en Amérique latine

Plus gros marché remporté jusqu'ci à l'export par DCNS, l'ensemble de ces contrats doit entrer en vigueur courant 2009. Outre son importance financière et stratégique, ce succès permet au groupe français de renforcer significativement ses positions en Amérique latine, restée longtemps la chasse gardée de l'industrie allemande. Depuis 1997, DCNS est en effet parvenu à vendre ses produits au Chili, au Venezuela, à l'Equateur et maintenant au Brésil. « Nous nous félicitons de la décision des plus hautes autorités du Brésil en faveur de DCNS. Ce succès confirme la capacité de maître d'oeuvre de notre groupe, ainsi que sa valeur technologique et sa compétitivité à l'exportation. Il représente un apport de charge significatif pour nos activités d'ingénierie et de production. La majorité des centres du groupe sont concernés, au premier rang desquels Cherbourg et Lorient » se félicite Jean-Marie Poimboeuf, qui achève donc son mandat de président de DCNS sur l'un des plus beaux succès commerciaux de l'entreprise.

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=109144

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Les brésiliens ont acheté le foch à la royale il y a quelques années de celà, ce pays a donc des ambitions aéronavales, un espoir de leur caser du rafale marine? ca va se tirer la bourre avec le F18. La sélection du gripen m'a un peu surpris, même si cet avion excellent au demeurant a rencontré de beaux succés à l'export.

Qu'est ce qu'ils ont actuellement comme avions sur ce PA?

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Les chasseurs embarqués modernes sont des avions lourds puissants et couteux qui semblent bien mal adaptés à l'ex Foch

Les SEM seront usés jusqu'à la corde quand la Marine va s'en séparer...

Rafale F18 sont trop lourd sauf à être sous utilisés. C'est un peu la quadrature du cercle pour la Marinha do Brasil

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Ces derniers pourraient être du type Scorpène, étudié en coopération avec l'industrie espagnole. Toutefois, quant à la question de savoir si Navantia est impliqué, ou non, dans ce contrat, DCNS se refuse pour le moment à tout commentaire.

ça sent mauvais pour Navantia a mon avis. La DCNS avait essayé de vendre un Scorpene 100% DCNS sous le nom de "Marlin" au Pakistan, mais ça a jeté le trouble et l'affaire a foiré. Il se pourrait bien qu'alors la DCNS ait décidé de vendre un Scorpene sans Navantia en gardant le nom "Scorpene".

A confirmer.

A moins que Navantia change a nouveau son fusil d'épaule si c'est pas trop tard.

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23/12/2008 - 15h38

Jobim diz que 8,6 bi de euros para submarinos é "especulação"

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da Agência Brasil

da Folha Online

O ministro da Defesa, Nelson Jobim, afirmou nesta terça-feira que apenas em março de 2009 os governos do Brasil e França conversarão sobre o valor do investimento em submarinos. Segundo ele, o montante de 8,9 bilhões de euros não passa de "especulação". "Não há valores. A imprensa francesa está especulando em torno desse valor."

Hoje, com o objetivo de dar novo impulso à parceria estratégica entre Brasil e França, foi firmado no Rio de Janeiro, na presença dos presidentes dos dois países, Luiz Inácio Lula da Silva e Nicolas Sarkozy, acordo na área da defesa, que prevê a construção de 51 helicópteros militares e cinco submarinos, sendo um movido a propulsão nuclear.

Jobim disse que esse acordo poderá "transformar o Brasil na base de um grande mercado internacional para a construção de helicópteros". Segundo ele, o único acordo, que já tem valor fixado, é o que envolve a construção de helicópteros pela empresa brasileira Helibras.

"São sete helicópteros para cada força, com complementações específicas, e 20 helicópteros básicos, além de mais dois híbridos. Nós vamos ter um custo de 1,89 bilhão de euros, através de um financiamento, que já está sendo constituído. E nós vamos pagar isso até 2026."

O ministro esclareceu que, na verdade, o Brasil não está comprando helicópteros da França. "Nós estamos criando uma fábrica no Brasil."

A montagem das aeronaves será feita em Itajubá (MG), mas as turbinas serão fornecidas pela companhia Turbomeca, do Rio de Janeiro. A parte de aviônica (sistemas elétricos e eletrônicos das aeronaves) será também feita no Brasil, por uma empresa gaúcha, com experiência no ramo. "Tem todo um conjunto de pessoas que vão se envolver", disse Jobim.

Cálculos preliminares da Helibras indicam que a empresa terá um aumento de 500 empregos diretos e 5.000 indiretos, com todos os fornecedores.

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DCNS remporte un contrat majeur au Brésil

DCNS a remporté un succès majeur dans le domaine des sous-marins auprès de la Marine brésilienne.

DCNS a remporté un succès majeur dans le domaine des sous-marins auprès de la Marine brésilienne. Le Groupe se voit confier la conception et la réalisation en transfert de technologie de quatre sous-marins conventionnels, l’assistance pour la conception et la réalisation de la partie non-nucléaire du premier sous-marin brésilien à propulsion nucléaire, ainsi que le soutien à la réalisation d’une base navale et d’un chantier de construction navale au Brésil. En ce qui concerne le sous-marin à propulsion nucléaire, l’assistance technique fournie par DCNS concernera la partie non-nucléaire du sous-marin, la Marine brésilienne étant totalement responsable de la chaufferie nucléaire.

Ce contrat participe au renouvellement et à la modernisation de la flotte de sous-marins brésiliens. Il s’inscrit dans le droit fil de l’accord de coopération stratégique dans le domaine de la défense signé ce même jour à Rio de Janeiro par le Président de la République brésilienne, Luiz Inacio Lula Da Silva, et le Président de la République française, Nicolas Sarkozy. Le contrat entrera en vigueur au terme d’un processus d’approbation au Brésil.

Jean-Marie Poimbœuf, Président Directeur Général de DCNS, déclare : « Nous nous félicitons de la décision des plus hautes autorités du Brésil en faveur de DCNS. Ce succès confirme la capacité de maître d’œuvre de notre Groupe, ainsi que sa valeur technologique et sa compétitivité à l’exportation. Il représente un apport de charge significatif pour nos activités d’ingénierie et de production. La majorité des centres du Groupe sont concernés, au premier rang desquels Cherbourg et Lorient. »

DCNS assurera la maîtrise d’œuvre des quatre sous-marins conventionnels réalisés par la Joint Venture qui sera créée par DCNS et son partenaire brésilien, Odebrecht. Ces navires, conçus en coopération avec les équipes brésiliennes sous l’autorité de conception de DCNS, répondront aux spécifications particulières de la marine brésilienne : ils sont parfaitement adaptés aux besoins de protection et de défense des 8 500 kilomètres du littoral brésilien. Le premier de ces quatre sous-marins devrait entrer en service actif en 2015. DCNS assurera également la fabrication, dans ses centres, de nombreux équipements de haute technologie.

DCNS fournira l’assistance pour le design – sous l’autorité de conception de la Marine brésilienne – de la partie non-nucléaire du premier sous-marin à propulsion nucléaire brésilien, qui sera également réalisé par la Joint Venture créée entre DCNS et Odebrecht.

DCNS fournira une assistance à maîtrise d’ouvrage pour la réalisation par Odebrecht du chantier de construction navale où seront produits les cinq sous-marins faisant l’objet du contrat annoncé ce jour, ainsi que d’une base navale pour la Marine brésilienne.

Avec son offre de sous-marins, DCNS est capable de répondre à des besoins opérationnels spécifiques des Marines et de leur apporter la meilleure technologie, à prix compétitif, pour un coup de possession optimisé. Ces sous-marins bénéficient des innovations développées ces dernières années pour d’autres programmes et rassemblent les technologies les plus avancées, notamment dans les domaines de l’hydrodynamisme, de la discrétion acoustique, de l’automatisation et des systèmes de combat.

Ces sous-marins sont destinés à tous types de missions anti-surface ou anti-sous-marine, ainsi qu’aux opérations spéciales ou au recueil de renseignements.

DCNS en bref

Le groupe DCNS est un acteur européen de tout premier plan sur le marché mondial des systèmes navals de défense. Pour répondre à une demande de plus en plus globale et intégrée, DCNS assure la maîtrise d’œuvre des navires armés et leur soutien, en s’appuyant sur ses moyens propres de développement, de commercialisation et de réalisation, et sur des partenaires sélectionnés. Pour maîtriser la complexité des navires armés, DCNS fait jouer son expertise de l’architecture navale, de l’ingénierie des principaux systèmes du navire armé, de la conduite des chantiers d’assemblage et d’intégration, de la réalisation d’équipements spécifiques et du soutien au service opérationnel. Le groupe DCNS compte 13 000 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires d’environ 2,8 milliards d’euros.

Contacts Presse DCNS

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Et quatre de plus ! Au Brésil, le constructeur a signé un contrat majeurpour quatre nouveaux Scorpène.

Le contrat signé hier entre le Brésil et la France n'est pas sans conséquences pour Cherbourg. Certes les quatre sous-marins de type Scorpène ne seront pas construits ici, mais ce transfert de technologie donnera quand même du travail aux ingénieurs et techniciens de DCNS Cherbourg.

Après deux sous-marins de ce type pour le Chili, deux pour la Malaisie, et six pour l'Inde, cette nouvelle commande assoit la réussite commerciale de ce type de navire.

Les quatre Scorpène proposés à la Marine brésilienne seront construits en transferts de technologies. Le volet sous-marins du contrat, est selon une source proche du chef de l'État d'un montant de 6, 7 milliards d'euros, dont 4,1 milliards pour la France.

Jean-Marie Poimboeuf, le PDG de DCNS se félicite bien sûr de ce contrat « majeur » pour son groupe.

« Il représente un apport de charge significatif pour nos activités d'ingénierie et de production. La majorité des centres du groupe sont concernés, au premier rang desquels Cherbourg et Lorient. »

DCNS va assurer la maîtrise d'oeuvre des quatre sous-marins. Ils seront construits en coopération avec Odebrecht, le partenaire brésilien. Le premier devrait en service actif en 2 015. Rappelons que selon leur version, les sous-marins de classe Scorpène mesurent de 60 à 76 mètres de long. Ils plongent au-delà de 300 mètres et emportent un équipage réduit de 31 hommes. À l'origine ce produit était exclusivement destiné à l'exportation. Ils bénéficient des technologies les plus avancées. Polyvalents, ils sont destinés à des missions.

Sous-marin nucléaire

Ce contrat est aussi une victoire appréciée par DCNS puisqu'il se fait dans un pays, qui certes avait racheté le porte-avions Foch, sorti de flotte en France, mais qui, en matière de sous-marins, se fournissait habituellement en Allemagne. Les cinq unités actuellement en service ont été mises en service entre 1989 et 2006.

Avec 8 500 kilomètres de côtes à surveiller, le Brésil veut augmenter son arsenal de défense. C'est l'une des originalités du contrat. Le pays a demandé à DCNS de l'aider à réaliser un vieux projet : un sous-marin à propulsion nucléaire. Dans ce cadre, DCNS s'occupera du design de la partie non nucléaire. On peut s'attendre à ce que des éléments de coque soient fabriqués à Cherbourg. Mais la construction de ce bateau ne se fera pas avant 2020.

Le groupe fournira aussi une assistance à la maîtrise d'ouvrage pour la réalisation par Odebrecht du chantier de construction navale, situé près de Rio de Janeiro, où seront construits ces sous-marins. Il donnera aussi son expertise pour la réalisation d'une base navale pour la Marine Brésilienne.

Thierry DUBILLOT.

Ouest-France

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http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3a7d2a3b4b-8f09-47e1-8325-db8aaf59d13c

... Edit:  Since SSNs are not photogenic, here's a video of the French President's missus, performing a charming French ditty:

...

Caution: NSFW if you work with French-speaking Baptists.

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