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Atlantique 2


tom
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Dans l'aéronautique navale, il y a 58 Rafale Marine à payer, ainsi que 27 Caïman, la revalorisation de 16 Panther et 22 ATL2.Commander 50 hélicoptères 4 tonnes.Alors les Nord 262 E sont passés aux oubliettes.

Sacré philippe, j'étais sûr que tu nous ressortirais sans tarder la liste des matériels à payer d'ici 2020 ;)

On peut aussi faire la liste des investissements aérospatiaux prévus de la Marine qui sont passés aux oubliettes : le missile Polyphème, la modernisation des Lynx en début des années 2000 et au motif que le NH90 était sur le point d'arriver et que donc c'était pas la peine, plus récemment le 4ème Hawkeye, le projet d'ATL3 avec hélices octopales, puis ensuite la modernisation approfondie des ATL2 reportée au profit d'une mise à niveau minimaliste ... Et je suis sûr que j'en oublie.

C'est clair que le remplacement des avions de SURMAR et PATMAR de la Royale n'a pas le même caractère de priorité que les programmes FREMM et Baraccuda/Sufren, ni même que celui du remplacement des BATRAL ou A69 et P400.

Du coup ce sera logiquement pour après 2020, et comme le dit BPC on aura largement le temps d'en discuter d'ici là, mais au vu des délais de développement d'une version navalisée d'un appareil cargo ou d'un appareil purement civil (cf le programme du P8A Poseïdon américain étudié depuis 2005, puis lancé en 2007 pour MSO en 2013) il faudra bien que l'Amirauté définisse précisément le besoin avant 2015 et l'inclut dans ses besoins de budget annuel à solliciter auprès des politiques.

 

   

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Sans compter que - sans offence - il ne reste pas encore 58 Rafale M a payer d'ici 2020 mais seulement environ 25 (plus la renovation des 10 premiers...) et que pour les Caiman on commence la aussi a esperer voir bientot le bout de la queue (ou des pales... c'est selon) des 3 ou 4 premiers. Courage ! On y arrivera a avoir quelques aeronefs qui sont a la fois neufs ET portant une ancre sur leurs cocardes...

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AC évoque la possibilité de vendre qq ATL2 modernisés à l'Arabie Séoudite

J'ai lu cela, et m'en suis offusqué. Y aurait il un tel besoin de fric ? Alors qu'on a là un zinc exceptionnel ?

Alors que la flotte actuelle d'ATL2 est limite pour aller aussi bien sur le sud-sahara qu'aux abords des côtes britanniques, en sus des missions plus courantes ?   

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Y en qui n'ont pas été modernisés il me semble. Ils pourraient donc être modernisés puis vendus à l'Arabie Saoudite.

Oui, il est prévu qu'une partie des appareils ne soient pas modernisés. Personnellement, si on peut les revendre, ça me dérange pas, vu qu'ils ne pourront de toute façon plus servir.

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il reste 27 cellules la 28 ème est stocké suite à un atterrissage raté.

Sur ces 27 avions seuls environ une quinzaine est en ligne les autres sont stockés en volant de révision et d'attrition soit presque un sur deux...

Il y a indéniablement de la marge car quoiqu'il arrive la Marine ne semble pas prête à mettre en ligne plus d'appareils qu'à l'heure actuelle

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il reste 27 cellules la 28 ème est stocké suite à un atterrissage raté.

Sur ces 27 avions seuls environ une quinzaine est en ligne les autres sont stockés en volant de révision et d'attrition soit presque un sur deux...

Il y a indéniablement de la marge car quoiqu'il arrive la Marine ne semble pas prête à mettre en ligne plus d'appareils qu'à l'heure actuelle

Autant versé une partie a l'ADA et les modernisées pour les missions de :

Guerre électronique, le sud-sahara

Et a les vendre autant aux Britanniques

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AC évoque la possibilité de vendre qq ATL2 modernisés à l'Arabie Séoudite

Pourquoi pas puisqu'il n'est pas prévu de toute façon de tous les moderniser (mais seulement les 2/3) ; ça fera rentrer un peu de pognon dans la caisse publique. En plus nos meilleurs "amis officiels, mais ennemis officieux" yankees ne font pas encore des pressions dilomatiques et autres combines d'enfer pour nous empêcher de vendre ce gnere de matériel d'occasion, comme ils le font avec succès pour le Rafale =|
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Les US ne peuvent guere faire pression sur les transactions ayant lieu sur le marche de l'occasion, ce ne serait pas rentable de divertir du fric par rapport aux efforts necessaires pour decrocher de nouveaux marches, la ou tout le monde se bagarre pour conquerir des parts... mais c'est un autre sujet.

Si on peut retrofitter 16 appareils pour en avoir 12 en ligne dans la MN jusqu'en 2025 et en vendre 4 aux Saoudiens, ca sera deja beau...

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Autant versé une partie a l'ADA et les modernisées pour les missions de :

Guerre électronique, le sud-sahara

Et a les vendre autant aux Britanniques

Pourquoi les envoyer à l'Adla ? La marine les utilise déjà pour les missions que tu évoque, et la parc modernisé est configuré dans cette optique (et même plus, il restera un volant d'attrition). Pas besoin d'appareil supplémentaire.

La belle entente Franco Britannique a vite pris du plomb dans l'aile.  :lol:

Avec les britannique il est envisagé de leur prêter certains de nos Atl2. Ils ne veulent plus d'avion de patrouille maritime en propre. (à tord ou à raison, c'est un autre débat)

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Avec les britannique il est envisagé de leur prêter certains de nos Atl2. Ils ne veulent plus d'avion de patrouille maritime en propre. (à tord ou à raison, c'est un autre débat)

Et au début il était pas plutot envisagé de leur caser des ATL2 rénovés?

Et comme d'habitude les ambitions de coopérations fondent comme la neige au soleil.........

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Et au début il était pas plutot envisagé de leur caser des ATL2 rénovés?

Et comme d'habitude les ambitions de coopérations fondent comme la neige au soleil.........

Probablement dans tes rêves. :lol:

Les 13 domaines de coopération

• Arsenaux nucléaires. Pour renforcer la coopération dans la gestion des arsenaux nucléaires, Français et Britanniques prévoient une installation commune à Valduc (France) où sera « modélisée la performance des têtes nucléaire et des équipements associés, afin d’en assurer la viabilité, la sécurité et la sûreté à long terme ». Un Centre de développement technologique commun à Aldermaston (Royaume-Uni) soutiendra ce projet.

• une Force expéditionnaire commune interarmées « adaptée à toute une série de scénarios, y compris des opérations de haute intensité. Cette Force associera les trois armées. Elle comprendra une composante terrestre composée de formations au niveau brigade, une composante maritime et une composante aérienne avec leurs états-majors associés, ainsi que la logistique et les fonctions de soutien ». Il ne s’agira « pas d’une force permanente, mais elle sera disponible avec un préavis pour des opérations bilatérales, de l’OTAN, de l’Union européenne, des Nations Unies ou d’autres opérations ». Cette force va commencer « des exercices aériens et terrestres conjoints en 2011 et un concept sera développé « d’ici le prochain Sommet franco-britannique», afin d’être « pleinement opérationnel dans les années qui suivront ».

• Porte-avions. Le Royaume-Uni a décidé d’installer des catapultes et des dispositifs d’arrêt sur son futur porte-avions opérationnel. « Ceci permettra aux avions britanniques et français d’opérer à partir des porte-avions des deux pays ». A partir d’une coopération sur un groupe maritime autour du porte-avions Charles de Gaulle, le Royaume-Uni et la France se « doteront, d’ici le début des années 2020, de la capacité à déployer une force aéronavale d’attaque intégrée franco-britannique composée d’éléments des deux pays ».

• A400M. Les futures flottes d’avions de transport A400M bénéficieront d’un « soutien intégré ». Objectif : « réduire les coûts, améliorer la disponibilité des avions et ouvrir la voie à une coopération renforcée en matière de maintenance, de logistique et de formation ». Un « groupe bilatéral d’utilisateurs commun » va être créé pour coopérer en matière de systèmes de formation A400M, de techniques et de procédures opérationnelles, ainsi que pour les formations sur simulateur et en vol.

• Sous-marins. Les deux pays on en vue de « développer ensemble des équipements et technologies pour la prochaine génération de sous-marins nucléaires ». Une étude commune et des accords seront conclus en 2011.

• Antimines. Les plans d’équipements et de systèmes antimines vont être « harmonisés ». Une équipe de projet commune pour définir les spécifications d’un prototype de système antimines sera mise en place en 2011.

• Communications par satellite. Une étude de concept commune sera lancée en 2011 pour les prochains satellites qui entreront en service entre 2018 et 2022.

• Ravitaillement en vol. Les capacités excédentaires britanniques du FSTA (Future Strategic Tanker Aircraft) pourraient être utilisées par la France. Reste à en fixer « des conditions financièrement acceptables pour les deux pays ».

• Drones. Une « phase d’évaluation concurrentielle » sera lancée en 2011, « financée conjointement », dans la perspective de développer de nouveaux équipements entre 2015 et 2020. Objectif : partager les coûts de développement, de soutien et de formation pour la prochaine génération de drones de surveillance moyenne altitude et longue endurance. Pour le plus long terme, les « besoins et les options » pour la prochaine génération de drones de combat sera évaluée ensemble à partir de 2030. Et une feuille de route technologique et industrielle commune sera élaborée au cours des deux années, pouvant aboutir à la « décision de lancer en 2012 un programme commun technologique et opérationnel de démonstrateur de 2013 à 2018 ».

• Missiles. Les deux pays se sont accordés sur un « plan stratégique décennal » et pour « travailler à la mise en place d’un maitre d’œuvre industriel européen unique », avec comme objectif, la réalisation « d’économies pouvant aller jusqu’à 30 % ». Une série de projets pourrait etre lancée en 2011 : développement du missile antisurface naval léger FASGW(H)/ANL, évaluation des améliorations des missiles de croisière Scalp/Storm Shadow et feuille de route commune pour les technologies de défense aérienne à courte portée. La coopération dans ce domaine servira de « test » pour les autres domaines.

• Recherche et technologie. Les deux pays s’engagent à consacrer « chacun un budget annuel de 50 millions d’euros à des projets communs de recherche et développement » et « d’accroître si possible ce montant ». Dix domaines « prioritaires » ont été dressés : les communications par satellite, les drones, les systèmes navals et les missiles, les capteurs, les technologies de guerre électronique et d’autres équipements, ainsi que la simulation et un programme de PhD co-financé…

• Cyber-attaques. Un cadre régissant la coopération a été défini pour « renforcer la résilience des (deux) systèmes nationaux et communs ».

• Lutte contre le terrorisme. Plusieurs domaines de coopération sont listes : détection précoce des activités terroristes et du recrutement des terroristes ; partage des informations sur les modifications de l’évaluation du niveau de la menace terroriste ; prévention des menaces terroristes dans les domaines nucléaire, radiologique, biologique, chimique et explosif, notamment avec le programme Cyclamen de contrôle du trafic transitant par le Tunnel sous la Manche ; protection des populations et des infrastructures critiques ; sûreté de l’aviation commerciale ; soutien au développement de capacités des partenaires non européens dans leur lutte contre le terrorisme.

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Pourquoi les envoyer à l'Adla ? La marine les utilise déjà pour les missions que tu évoque, et la parc modernisé est configuré dans cette optique (et même plus, il restera un volant d'attrition). Pas besoin d'appareil supplémentaire.

Avec les britannique il est envisagé de leur prêter certains de nos Atl2. Ils ne veulent plus d'avion de patrouille maritime en propre. (à tord ou à raison, c'est un autre débat)

En fait on pourrait modernisé qu'une partie du parcs ASM

Et une autre plus mission opération spéciale style Afrique

Une partie de modernisation commune oui

Comme les Flirs, l'auto protection

Mais pas besion de MAD pour l'ADA Voir moins de consoles

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=112321

Voilà un exemple de parc:

16 ATL2 ASM 12 en ligne (French Kiss)

8 ADA

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En fait on pourrait modernisé qu'une partie du parcs ASM

Et une autre plus mission opération spéciale style Afrique

Une partie de modernisation commune oui

Comme les Flirs, l'auto protection

Mais pas besion de MAD pour l'ADA Voir moins de consoles

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=112321

Voilà un exemple de parc:

16 ATL2 ASM 12 en ligne (French Kiss)

8 ADA

...

L'Adla a déjà des appareils de surveillance électronique et de surveillance optique.

Elle n'a pas besoin d'atl2, n'en a pas envie et surtout a d'autre priorités budgétaire.

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surtout que pour l'atlantic 2 la marine doit a mon avis beaucoup douiller pour les garder en état de vol

L’ampleur de la rénovation a nécessité une phase de conception retardant de 24 mois la réalisation du programme.

Fabriqué par la société européenne de construction des avions Bréguet Atlantic (SECBAT), l’avion de patrouille maritime ATLANTIC 2 a succédé à l’ATLANTIC 1 ou Bréguet ATLANTIC en 1990.

La marine nationale dispose de 27 exemplaires pour des missions de renseignement, de surveillance et de lutte contre des bâtiments de surface et sous-marins. Selon le chef d’état-major de la marine, « le format des avions de patrouille maritime Atlantic 2 est convenable, mais leur taux de disponibilité l’est moins, d’autant que s’y ajoute l’obsolescence de certains de leurs équipements. Leur rétrofit va donc devenir urgent. Les trois appareils que nous avons déployés en Afrique, à l’occasion des événements récents au Mali, représentaient 40 % du parc disponible ; nous remplissons les missions qui nous sont confiées, mais difficilement ».

On peut s’interroger sur la pertinence de cet appareil dans de telles opérations. Si ses capacités ne sont pas à remettre en cause, le fait que les armées ne soient pas en mesure de déployer d’autres systèmes, et notamment des drones, montre d’une part la tension existant sur nos moyens et, d’autre part, interroge quant à la doctrine d’emploi opérationnel des ATLANTIC 2. Cette doctrine doit être nécessairement précisée car elle dimensionne le volume et le contenu de la rénovation à venir.

Servi par un équipage de 12 hommes, l’ATLANTIC 2 a une grande autonomie, ce qui est un de ses principaux atouts : il peut voler plus de 18 heures, l’autorisant à mener des patrouilles de 8 heures à 600 miles nautiques de sa base ou de 5 heures à 1 000 miles nautiques de sa base.

Ses capacités de détection s’appuient sur plusieurs systèmes : un système de traitement acoustique traitant des bouées acoustiques larguées depuis l’avion pour détecter, localiser, identifier et pister les sous-marins ; un radar à compression d’impulsion capable de détecter des cibles de très faible dimension tel un périscope, même par mer forte ; un système de détection d’émission radar à très large bande capable de détecter des émissions très brèves ; un détecteur magnétique permettant de classifier et de localiser, avec précision, les sous-marins en plongée ; un détecteur infrarouge permettant d’identifier à grande distance, de jour comme de nuit, toutes les cibles de surface. Son armement embarqué (huit torpilles anti-sous-marines Mk 46, six torpilles MU-90, deux missiles EXOCET AM-39 et 12 grenades de luttes anti-sous-marines) lui confère une capacité d’attaque anti-navire et anti-sous-marine.

La rénovation des ATLANTIC 2 doit se faire en deux phases. La première vise au maintien capacitaire en traitant les obsolescences techniques. Elle doit se concrétiser par la livraison d’un premier appareil en 2015. Initialement, cette livraison devait intervenir en 2011. La seconde phase vise à un élargissement capacitaire mais ne concernera que 18 appareils sur 22. Elle doit intervenir au mieux dans le cadre de la prochaine loi de programmation militaire.

Sur le plan industriel, ces opérations de rénovation sont assurées par le SIAé, Dassault Aviation et Thalès

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