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Batellerie et engin & moyens de débarquement


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Motorisation musclée = plus lourd ==> moins de charge possible.

Les impératifs dimensionnelles sont très contraignant sur la longueur, ce qui n'est pas "super" pour filer vite à pleine charge.

Cela dit je pense que nous sommes au début d'un nouveau concept, et je ne veux pas trop m'avancer sur ce qui est possible ou pas.

Je pense que ça dépend de beaucoup de paramètre sur les équipements, la motorisation voulue, l'autonomie etc.

Dans l'idée ça doit être possible mais avec beaucoup trop de sacrifices qui fait que le navire serait globalement moins "polyvalent" pour  son usage.

C'était pour voire si les L-cat pouvez satisfaire au "feature" réclamé par les US et UK dans le quete d'un nouveau transbordeur. Ils explorent des hybride catamaran/SES par forcément simple a mettre en oeuvre ... pour aller chercher 30 à 40kts plus ou moins chargé, avec un seakeeping de catamaran, la vitesse et le tirant d'un hovercraft.

On a vu des projet de Skoljd a jupe et coussin d'air ... voir d'autre projet avec jupe latérale super compliqué. Comparé la solution L-cat a l'air super simple - meme si elle ne permet pas un tirant d'eau zero - , mais les ambitions niveau vitesse affichées peuvent sembler légère, du moins pour les petit modele de la gamme.

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Si tu parles du programmes PASCAT,

j'attends de voir quelle est la charge embarquable.

Parceque pour aller chercher + de 30 nds avec + de70t de charge il faut dépenser une énergie colossale. (* avec une coque de gabarit 30x13m type radier LCAC/OTAN)

Et pour aller dans les 40 nds là il faut en "gaspiller" une grande partie pour la sustentation, avec tous les problèmes de centrage de charges et de sensibilité à l'état de la mer qu'on connait bien sur les LCAC.

Bref c'est quasiment une autre doctrine.

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Si tu parles du programmes PASCAT,

j'attends de voir quelle est la charge embarquable.

Parceque pour aller chercher + de 30 nds avec + de70t de charge il faut dépenser une énergie colossale.

Et pour aller dans les 40 nds là il faut en gaspiller une grande partie pour la sustentation, avec tous les problèmes de centrage de charges et de sensibilité à l'état de la mer qu'on connait bien sur les LCAC.

Bref c'est quasiment une autre doctrine.

Exactement ... je suis dubitatif sur les spec réclamé par la marine américaine ... et je voulais savoir si l'architecture L-cat pouvais pas chatouiller ces spec a minima.

Si on met de coté le tirant d'eau nul ... il n'est a priori pas impossible de faire monter un L-cat-like un peut plus long a 30kts en charge voire un chouilla plus.

Y a plusieurs projet sur l'architecture PASCAT. Un projet fluvial pour remplacer les barges lente par des transport "rapide" ignorant l'effet de squat en régime torrentiel. Un projet "militaire" transbordeur rapide pour les transfert Roro littoral.

J'ai plus sous la main le doc avec les spec US ... mais je me souviens que c'etait assez délirant. C'est le projet T-craft, visiblement c'est dimesionné comme le MPC2.

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c'est pas E-CRAFT ?

Image IPB

l'histoire qu'on ma raconter sur ce truc est assez "triste"

CNIM aurait déposé le brevet du LCAT aux US. Après 6 mois sans nouvelles il aurait été rejeté pour anglais trop approximatif (ou un truc comme ça)

Le temps de reprendre le brevet et hop une boite avait posé un brevet étrangement similaire pour le territoire US.

Qqs mois après le projet E-Craft était présenté...

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c'est pas E-CRAFT ?

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l'histoire qu'on ma raconter sur ce truc est assez "triste"

CNIM aurait déposé le brevet du LCAT aux US. Après 6 mois sans nouvelles il aurait été rejeté pour anglais trop approximatif (ou un truc comme ça)

Le temps de reprendre le brevet et hop une boite avait posé un brevet étrangement similaire pour le territoire US.

Qqs mois après le projet E-Craft était présenté...

Arf nan je connais pas celui la

T-craft

- http://www.onrglobal.navy.mil/public/about/conferences/rd_partner/2007/docs/thursday_070802/Sea_Basing_Enablers_INP_Cooper.ppt

- Et ici dans Warship Technology http://publishing.yudu.com/Ab1hd/WTJan08/resources/17.htm

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D'après le Naval-strategic plan de 2007 "Sea Warfare and Weapons S&T (Code 33)",deux concepts sont évalués:

  • Expeditionary Craft (E-CRAFT) d'Alaska Ship and Drydock

Design Specifications for E-Craft Demonstrator:

Length:195 Feet

Beam:60 Feet

Displacement:940 LT (full load)

Range:200 NM

Barge Draft:4 Feet 8 Inches

SWATH Draft:12 Feet

Propulsion:MTU Diesels (4)

Propulsors:WLD 810 Axial-flow water jets (4)

                     360 degree mid ship thrusters (2)

Speed:20 Knots

Large -scale demonstrator in an extended operational environment Summer 2008

  • T-craft

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c'est pas E-CRAFT ?

l'histoire qu'on ma raconter sur ce truc est assez "triste"

CNIM aurait déposé le brevet du LCAT aux US. Après 6 mois sans nouvelles il aurait été rejeté pour anglais trop approximatif (ou un truc comme ça)

Le temps de reprendre le brevet et hop une boite avait posé un brevet étrangement similaire pour le territoire US.

Qqs mois après le projet E-Craft était présenté...

Quelle bande d'enflures.. =(

Bravo pour votre boulot, c'est impressionnant !

dites donc, vous seriez pas à la recherche d'un stagiaire ingé génie mécanique pour le second semestre 2009 par hasard ?  =D

bonne continuation, bon courage pour la suite des essais

mat

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Quelle bande d'enflures.. =(

Bravo pour votre boulot, c'est impressionnant !

dites donc, vous seriez pas à la recherche d'un stagiaire ingé génie mécanique pour le second semestre 2009 par hasard ?  =D

bonne continuation, bon courage pour la suite des essais

mat

Aujourd'hui c'était une étape importante, mais ce n'était qu'une étape  =)

La suite bientôt.

PS :Pour les stages tu peux tenter ta chance ma foi

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http://www.defenseindustrydaily.com/whatever-floats-your-tank-the-usns-improved-navy-lighterage-system-02251/

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Lighterage is about loading or unloading ships using lighters (barges) that can form a sort of ad-hoc ramp or shuttle from ships at anchor; they are often used when a port’s dockside is too shallow for the ship, or dockside berths are unavailable. These modules greatly expand landing options for well-equipped militaries, and may be versatile enough to be used in sea-based transfers as well. Even so, lighterage is one of those quiet enablers that rarely receives the attention it merits.

In August 2003, Marinette Marine Corp. in Marinette, WI won a firm-fixed-price contract for the manufacture of the new Improved Navy Lighterage System, including both powered and non-powered modules. The total contract could rise to $404.8 million if all options are exercised. The systems will be delivered at Naval Amphibious Construction Battalion One in Coronado, CA; Naval Amphibious Construction Battalion Two in Little Creek, Norfolk, VA; the Expeditionary Warfare Training Group Pacific; and Blount Island Command in Jacksonville, FL.

DID explains the new INLS ferries and lighterage, details the program’s contracts which are approaching $400 million, and discusses the systems uses and trials under a new concept called seabasing…

INLS, Explained

The INLS is made up of pontoon sections a.k.a. platforms. Different mixes of pontoon sections are used to make up different assemblies. The Causeway Ferry is used as a lighter for vehicles and large cargo from ship to shore, and has a top speed of 12 knots compared to 4.5 knots for its predecessor. There are 12 modules for 4 ferries, in a 4×3 arrangement where each ferry assembly comes with a Power section (with engine and controls), an Intermediate section, and a Beach section (with ramp). It takes less than 2 hours to assemble the causeway ferry at sea.

A different set of INLS sections can be assembled to make up a Roll-on/Roll-off Discharge Facility (RRDF): 1 docking module, up to 7 combination modules that can be fitted together in various ways, and 1 docking module. Warping tugs, also carried on MPF ships, work to push the RRDF the modules into place, and moving the completed discharge facility into position. Once complete, the 240×72 foot assembly becomes a floating transfer dock onto which Maritime Prepositioning Ships and others lower their ramps. It takes 18 – 24 hours to assemble the RRDF discharge facility, depending on waves and wind. The tactical vehicles and other rolling stock can roll down the ships’ ramps onto the RRDF, then onto waiting lighterage such as barge ferries or LCU landing craft.

RRDF also has obvious potential uses under the Navy’s proposed Seabasing doctrine, which would allow offloading, housing, and transfer of supplies for operations on land from floating platforms that could act as mobile bases. Since these sea-bases could be deployed in international waters, or near areas without convenient ports nearby, they would sharply expand the US military’s ability to project power from the sea. The INLS does not yet have a defined seabasing role, but recent exercises have begun to explore this capability.

The SeaBees have always been the buyers and maintainers of the pontoon based lighterage. The Amphibious Construction Battalions are the specialist operators, and NAVFAC gets its INLS procurement money from Navy N42 Strategic Mobility and Combat Logisitics Branch.

INLS in Use

At present, the older Navy Lighterage and the newer INLS are only carried on MSC’s Maritime Prepositioning Ships. Navy lighterage had been side loaded on LSTs since WW2, and subscriber Lee Wahler remembers carrying 4 pontoons on the USS Newport [LST-1179]. But the Navy has stopped doing that, as the number of LSTs has declined drastically and the navy is left with worn out lighterage sections that must be replaced.

The new INLS system begins to replace these worn out systems, and also has the advantage of operating in waters up to Pierson-Moskowitz Sea State 3 (3.5-4 foot high, regular waves). Previous lighterage systems had problems above Sea State 2.

Seen in this light, the new INLS lighterage buys are welcome contributions to an eroding capability. The longer term question is whether the US Navy is buying enough lighterage to meet its future needs, and make its seabasing doctrine and Maritime Prepositioning Force – Future (MPF-F) plans a reality. Ships may be sexy, but seabasing will depend on connectors. The JHSV catamarans are still in design selection and probably won’t go into production until 2009 at the earliest. While they can offload at austere ports, and will make excellent shuttles due to their speed, the last few feet to ships or beaches remains beyond their capabilities. The replacement for the 20+ year old LCAC hovercraft fleet is even further down the road, and their reliability levels and design hour limitations make them questionable choices as the key connector option. That leaves the unsexy – but ever so necessary – lighterage to fill the gap.

INLS: Contracts & Key Events

Unless otherwise noted, the Naval Facilities Engineering Command Headquarters in Washington, DC issues these contracts to Marinette Marine Corporation in Marinette, WI. The basic contract was competitively procured via the NAVFAC e-solicitation website with 6 proposals received. The US Naval Facilities Engineering Command Headquarters in Washington, DC manages the contract.

Jan 15/09: A $5.8 million firm-fixed-price contract option item under the previously awarded “rotable pool” spares provision of the Improved Navy Lighterage System (INLS) production contract (N00025-03-C-0002). the contract will buy one warping tugboat, which is used to maneuver other INLS modules into place during amphibious landings. The total contract amount after exercise of this option will be $398.7 million.

Work will be performed at the shipyard in Marinette, WI , and the boat will be delivered in December 2009.

...

Sur le haut a on voit les éléments pousseur, au fond les éléments rampe, et dessous les flotteurs.

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Les essais de ce matin se sont bien passés. Ils ont confirmés les études faites au niveau interopérabilité du concept LCAT avec les BPC.

La météo était belle, avec quasi pas de vent ni houle. BPC à quai (comme le prévoit le déroulé des ops prévu avec la marine). Idéal pour une première.

Nous avons effectué 2 enradiages par l'avant.

Et première mondiale à ma connaissance (à vérifier), un enradiage en marche AR avec posé de la porte AR sur la rampe du BPC. Près à recevoir du matériel roulant en marche AV.

Suite des essais très prochainement.   ;)

Bonjour,

est t'il possible de voir quelques photos de ces essais ?

J' avoue que je comptais beaucoup sur Jean-louis Venne qui diffuse habituellement ses photos sur le portail des sous marins (www.corlobe.tk/)et sur Mer et marine (www.meretmarine.com/). Mais là, ...

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Une news, le parquet de La Rochelle fait appel de la décision du tribunal de commerce de choisir CNIM et CNN comme repreneurs des chantiers Gamelin. Le substitut du procureur préfèrait, tout comme les ouvriers, l'autre proposition de Ocea et Socarenam et est bien décidé à pousser ce dossier jusqu'au bout.  =)

D'autre part le DG des chantiers Gamelin est en garde à vue à propos du montage financier des chantiers avec la SAS Chantiers Gamelin et d'éventuels présentations de compte inexacts, recels, abus et autres..

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Bonjour,

est t'il possible de voir quelques photos de ces essais ?

J' avoue que je comptais beaucoup sur Jean-louis Venne qui diffuse habituellement ses photos sur le portail des sous marins (www.corlobe.tk/)et sur Mer et marine (www.meretmarine.com/). Mais là, ...

Mais là les essais ce sont +/- fait à huit-clos*. (prise de vue interne CNIM et interne Marine)

J'imagine qu'il y aura peut être une diffusion d'images officielles par la suite.

*Donc Jean Louis n'étais pas de la partie => pas de diffusion sur les sites habituels.

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Une news, le parquet de La Rochelle fait appel de la décision du tribunal de commerce de choisir CNIM et CNN comme repreneurs des chantiers Gamelin. Le substitut du procureur préfèrait, tout comme les ouvriers, l'autre proposition de Ocea et Socarenam et est bien décidé à pousser ce dossier jusqu'au bout.  =)

D'autre part le DG des chantiers Gamelin est en garde à vue à propos du montage financier des chantiers avec la SAS Chantiers Gamelin et d'éventuels présentations de compte inexacts, recels, abus et autres..

http://www.sudouest.com/accueil/actualite/france/article/509823/mil/4202450.html

Samedi 21 Février 2009

LA ROCHELLE. Le 9 avril, le directeur général des chantiers et la veuve du PDG Joël Gamelin comparaîtront à la barre du tribunal correctionnel

L'autre histoire Gamelin

Les Chantiers Gamelin spécialisés dans l'aluminium sont encore dans la tourmente. (PHOTO XAVIER LEOTY)

    Les Chantiers Gamelin spécialisés dans l'aluminium sont encore dans la tourmente. (PHOTO XAVIER LEOTY)

Chacun des deux volets - le commercial et le pénal - du très sensible et médiatique dossier de l'entreprise Gamelin est en ébullition. Chacun des deux pans de cette affaire, du nom du fondateur et PDG du chantier naval rochelais qui s'est suicidé le 23 décembre dernier dans son bureau, vient de connaître des événements déterminants, qui devraient en susciter d'autres.

L'entreprise de 89 personnes (dont 21 sur le site de Saint-Malo) a été mise en redressement judiciaire le 5 décembre, puis liquidée le 21 janvier. Son passif est au moins de 2,3 millions d'euros. De nombreux fournisseurs ont le bec dans l'eau.

Très vite après le choc du décès brutal du dirigeant, d'aucuns, comme la présidente de la Région Poitou-Charentes, Ségolène Royal, avaient considéré que les banques n'avaient pas suffisamment soutenu l'entreprise. C'était dans l'air du temps. D'autres observateurs affirmaient plus timidement que le système bancaire avait fait son travail et que les graves dysfonctionnements existant dans l'entreprise s'étaient accrus.

Fanny Gamelin, la fille aînée du premier mariage de Joël Gamelin lançait, elle, un SOS sur Facebook afin de recueillir des dons pour payer les salaires. L'objectif des 200 000 euros a été récemment atteint. Pour la jeune femme de 23 ans, il convenait ainsi d'honorer la mémoire de son père, qualifié par les dirigeants et notables locaux d'entrepreneur exceptionnel. « La belle histoire » de Fanny, consécutive au drame, se racontait en boucle dans les médias.

Un pavé dans la reprise

Le tribunal de commerce de La Rochelle a, le 6 février, retenu l'offre de reprise de la Compagnie nationale de navigation (CNN) et des Constructions industrielles de la Méditerranée (Cnim). Ces deux poids lourds travaillent, entre autres, pour la Défense nationale, et sont deux clients des Chantiers Gamelin.

Mercredi, la substitut du procureur de la République, Dominique Chevalier, qui n'avait pas requis pour le montage CNN-Cnim, a jeté un pavé dans la mare en faisant appel du jugement du 6 février. L'affaire sera examinée le 17 mars devant la cour d'appel de Poitiers.

Cette remise à zéro a plus qu'irrité les responsables de la CNN. Son président, Patrick Molis, a fait hier le déplacement jusqu'au site de La Rochelle pour rencontrer les salariés. Il était ensuite reçu par le préfet Henri Masse. Au représentant de l'État, il a fait valoir toute la solidité et cohérence du montage fait avec les Cnim.

Fin de l'enquête de la PJ

L'événement le plus récent, qui redistribue le jeu, est la conclusion de l'enquête préliminaire (ouverte le 11 décembre par le procureur de la République) menée par la police judiciaire. Elle portait sur la gestion de l'entreprise sur les trois années écoulées. À la suite de leur garde à vue, Jean-Marie Caillaud, directeur général des Chantiers Gamelin, et Mireille Gamelin, deuxième épouse et veuve de Joël Gamelin, ont été déférés, hier matin, dans le bureau de la substitut Dominique Chevalier.

Tous deux sont convoqués jeudi 9 avril à la barre du tribunal correctionnel de La Rochelle pour répondre de faits entrant dans le champ des abus, recel et complicité d'abus de bien sociaux.

Jean-Marie Caillaud aura sans doute à répondre de sa participation à la présentation de bilans inexacts, et d'escroquerie dont ont été victimes la SAS Chantiers Gamelin voire différents organismes. Me Alain Peron, avocat de Jean-Marie Caillaud, considère que son client n'a pas « fait les infractions qui lui sont reprochées ». L'audience du 9 avril donnera peut-être lieu à des révélations, voire à la mise en cause de Joël Gamelin dans la conduite de ses affaires.

Directeur général des Chantiers Gamelin, en tant que mandataire social non salarié depuis 2007, Jean-Marie Caillaud est le numéro 2 de la société. Des salariés et anciens salariés à des postes administratifs ou techniques soulignent même qu'« il était devenu le numéro un des Chantiers. Joël Gamelin, souffrant, lui avait remis les clefs ».

Insistant sur ses prises de responsabilité, ces mêmes personnes rappellent également que Jean-Marie Caillaud était aussi le gérant, à 40 %, d'une société soeur des chantiers : la Compagnie de location maritime, CLM. Le parquet considère que cette dernière a appauvri les Chantiers Gamelin via la vente, par ces derniers, et au profit de CLM, de deux bateaux mis ensuite en location par celle-ci.

Alors que la PJ a recherché des informations et documents explicitant les relations suspectes entre les deux sociétés, les enquêteurs ont décortiqué le fonctionnement interne de l'entreprise Gamelin. Cela leur a permis de relever d'autres infractions sur, entre autres, le parc automobile Mercedes de la société et deux emplois salariés, dont celui de Mireille Gamelin (qui est présumée innocente), qui ne seraient pas effectifs dans la société.

Les dessous de l'affaire commencent à remonter à la surface.

L'histoire a aussi (malheureusement) une tournure politique. Il semble se dessiner une confrontation entre "plan de relance gouvernemental" (sur fond d'investissement militaro-industriel) et politique locale plutôt pro Royal.

Reste à savoir ce qu'il va en ressortir...

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Wouah jolie photo  :O (c'est les photos des photographes officielles MN qui étaient là ?, on ne les a pas encore vues )

Tu l'as en plus grand ?

Porte à porte avec le mistral avec notre rampe AR. Qqs minutes plus tard ya les camions qui montent !

Demain on enradie dans le TCD Sirocco si tout se passe bien  ;)

Edit : je viens de voir que c'est les photos pour l'IDEX , donc peut être des photos de nos photographes qu'on a pas encore vues passer côté Etudes.

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Wouah jolie photo  :O (c'est les photos des photographes officielles MN qui étaient là ?, on ne les a pas encore vues )

Tu l'as en plus grand ?

Porte à porte avec le mistral avec notre rampe AR. Qqs minutes plus tard ya les camions qui montent !

Demain on enradie dans le TCD Sirocco si tout se passe bien  ;)

Edit : je viens de voir que c'est les photos pour l'IDEX , donc peut être des photos de nos photographes qu'on a pas encore vues passer côté Etudes.

Tu peut nous expliquer comment se fait le porte a porte de la photo?

La porte du TCD est imergé a -20° comme une cale? Et le positionnement se fait au moteur par le pilote du L-cat? Je demane parce que la porte repose "a peine" dans le radier.

Ou bien le "tableau arriere" - du moins le  pare battage situé sous la rampe - du L-cat repose t il  contre la porte du BPC pour assurer le postionnement?

La second chose y a il un poste de pilote a l'arriere du L-cat ... ou du moins des commandes?

Une photo pour expliquer

Image IPB

Lorsque la pateforme descend completement - un bon metre en moins que la photo - les deux renflement de part et d'autre de la rampe protege les hydrojet.

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Tu peut nous expliquer comment se fait le porte a porte de la photo?

La porte du TCD est imergé a -20° comme une cale? Et le positionnement se fait au moteur par le pilote du L-cat? Je demane parce que la porte repose "a peine" dans le radier.

Ou bien le "tableau arriere" - du moins le  pare battage situé sous la rampe - du L-cat repose t il  contre la porte du BPC pour assurer le postionnement?

La second chose y a il un poste de pilote a l'arriere du L-cat ... ou du moins des commandes?

Les portes à portes se font toujours avec la rampe des BPC ou TCD à -20°

La manoeuvre retenue à ce jour:

les manoeuvriers du batiment pcpal lance les aussières mais ne les "souquent" pas.

Le LCAT fait sa manoeuvre de manière autonome. Il pose sa rampe AR (ou AV selon, c'est la même manio) a partir de ce moment là il n'a pratiquement plus de mouvement relatif entre le BPC et le LCAT, on souque les aussière et machine AR sur le LCAT.

Il est normal que seule l'extremité de la rampe soit posée.

Le commandant a un poste de manoeuvre à l'AR tribord.

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