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Galileo


Adriez
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  • 2 weeks later...

l'UE publie un avis de marche pour la fourniture de 4 satellites Galileo de transition qui serviront a préparer la 2nd génération de la constellation.

A noter qu'il reste donc selon l'article 16 satellite de première génération a lancer.  4 cette année via A5, 2 en 2020 et 2 en 2021 avec Ariane 6. Et on suppose que les 8 autres devraient être lancer au même rythme de 2 par ans.

http://www.air-cosmos.com/l-union-europeenne-prepare-la-deuxieme-generation-galileo-110945

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Il y a 1 heure, The mouse a dit :

Au doigt mouillé, il y aura fin 2018 assez de satellites opérationnels pour couvrir le monde car si je ne me trompe pas le Vol VA-244  lancera les Galileo 22 à 26. De mémoire  il en faut 24 réparti sur 3 plans. Sans oublier quelque démonstrateur encore en service.   En plus il me semble que cette fusée Ariane 5 ES doit être la  dernière avant le passage à  la fusée Ariane 6 (6.2) en 2020. Il y a eu que 3 fusées de ce type de commandé

Oui. Il y a aussi peut être la question de batchs. Certains satellites ayant été commandé a des dates plus tardives ce qui peu impacter. Pour les 26 satellites c'est un peu plus complique. 2 sont sur la mauvaise orbite et ne font pas parti de la constellation (ils sont utilise pour des tests) et 1 a eu des soucis lie a ses horloges et n'est plus opérationnel. Il faudra donc attendre 2020 pour avoir la constellation de base et un peu plus tard pour avoir les satellites en réserve (6).

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  • 2 weeks later...

avec plaisir, :)

Londres menace de réclamer un remboursement pour Galileo

https://fr.yahoo.com/news/projet-galileo-londres-compte-réclamer-un-remboursement-083055352.html

LONDRES (Reuters) - Le Royaume-Uni a averti jeudi l'Union européenne qu'il réclamerait le remboursement de l'argent qu'il a investi - jusqu'à un milliard de livres, soit 1,14 milliard d'euros -, dans le projet Galileo si les Européens continuent d'obliger les entreprises britanniques à se retirer du système de positionnement par satellites.

Un haut responsable européen a jugé la demande sans fondement, ajoutant que le bloc communautaire souhaitait continuer de coopérer avec les Britanniques sur le projet après le Brexit mais selon de nouvelles règles induites par la sortie du Royaume-Uni de l'UE, y compris celles empêchant à des pays tiers d'obtenir des informations cruciales pour la sécurité de l'UE.

Galileo est le rival européen du GPS mis au point et contrôlé par les Etats-Unis. Lancé en 2003, le projet Galileo doit aboutir à l'horizon 2020.

La Commission européenne a entrepris d'exclure le Royaume-Uni et ses entreprises des futurs travaux sur Galileo, dans la perspective du Brexit, qui doit être effectif au 29 mars 2019.

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  • 3 weeks later...
  • 1 month later...

 

Galileo, bientôt 100 % opérationnel et à l'abri du Brexit

https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0302030111672-galileo-bientot-100-operationnel-et-a-labri-du-brexit-2194433.php

 

Après le lancement de quatre satellites supplémentaires, le système européen de géolocalisation sera 100 % opérationnel d'ici à six mois, avec des performances supérieures à celles du GPS américain.

Vingt ans après le lancement du projet, le système européen de positionnement satellitaire Galileo touche presque au but : faire mieux que le GPS américain. Ce mercredi, une fusée Ariane 5 tirée depuis Kourou a en effet mis en orbite quatre satellites supplémentaires - les numéros 23 à 26 - qui manquaient encore à la constellation Galileo pour couvrir la totalité de la planète.

Si le service Galileo est déjà opérationnel depuis bientôt deux ans et compte plusieurs centaines de millions d'utilisateurs quotidiens, le système avait encore des trous dans la raquette. Une fois achevée la mise en service de ces quatre satellites, d'ici à six mois, le système européen sera enfin disponible partout, avec un niveau de précision de l'ordre du mètre, contre 2 mètres au mieux pour le GPS américain et 10 mètres pour leurs équivalents russes (Glonass) et chinois (Beidou).

La fin du premier chapitre

De quoi permettre aux Européens de crier victoire, après vingt années d'efforts jalonnées de plusieurs déconvenues. « La constellation de première génération est désormais complète, s'est réjoui Jean-Yves Le Gall, le président du Centre national d'études spatiales (CNES), où fut conçue l'architecture du système Galileo. C'est la fin du premier chapitre, qui s'est traduit par 10 lancements depuis 2012. Nous allons continuer à améliorer le service, mais nous sommes déjà très au-delà du niveau de précision offert par le GPS américain », affirme-t-il.

Objectif 2020

Le chantier Galileo, qui a déjà nécessité 8 milliards d'euros d'investissements de l'Union européenne, n'est toutefois pas encore totalement achevé. Deux milliards d'euros, deux ans de plus et au moins quatre autres satellites supplémentaires seront encore nécessaires pour atteindre l'objectif final de 30 satellites opérationnels en 2020 et assurer ainsi la robustesse du système. « Les prochains satellites seront destinés à remédier aux défaillances et remplacer les satellites les plus anciens », précise Jean-Yves Le Gall.

Pour l'heure, Galileo reste en effet un peu juste. Sur les 26 satellites lancés depuis 2012, deux n'ont pas rejoint l'orbite prévue et ne sont pas totalement opérationnels. D'autres ont connu des problèmes d'horloge interne. Or le strict minimum requis pour assurer une couverture complète du globe est de 24 satellites pleinement opérationnels.

Le risque Brexit écarté

La Commission européenne a également dû prendre en compte une menace pesant sur Galileo : celle d'un  Brexit sans accord avec le gouvernement britannique, qui priverait la constellation de certains moyens terrestres situés au Royaume-Uni. « Tout risque a été écarté, assure Jean-Yves Le Gall. L'une des deux stations terrestres en charge de la surveillance du PRS, le service gouvernemental de Galileo, est effectivement située en Royaume-Uni, mais dans  la perspective de la sortie du pays de l'Union européenne, il a déjà été décidé de la fermer en mars 2019 [date prévue du Brexit, NDLR] pour la remplacer par une station à Madrid. Néanmoins, les Britanniques pourront continuer à utiliser Galileo et le gouvernement britannique pourrait éventuellement obtenir un statut de pays associé, comme la Norvège et les Etats-Unis, lui permettant de continuer à utiliser, sous certaines conditions, le service gouvernemental de Galileo ».

[/SPOILER)

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  • 5 weeks later...

Ca leur prendre un max de temps et d'argent.

Theresa May vient de débloquer 130 millions d'euros pour commencer à élaborer une alternative au système de navigation par satellite européen.

https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0302173291289-brexit-londres-active-la-sortie-de-galileo-2200527.php

Les négociations sont mal embarquées. Dans le bras de fer qui l'oppose à la Commission européenne  sur le dossier Galileo , Theresa May commence à mettre  ses menaces à exécution .

Selon « The Telegraph », la Première ministre a donné son feu vert dimanche au lancement d'une version britannique du système de navigation par satellite européen.

Le ministre des Finances de l'île, Philip Hammond, vient à ce titre de débloquer 130 millions d'euros issus d'un fonds de 3,31 milliards d'euros en vue du Brexit. Cette somme doit permettre au Royaume-Uni de commencer à élaborer un système alternatif et donc concurrent de Galileo.

Se préparer à toute éventualité

Selon le média britannique, cette décision aurait été motivée par l'intangibilité de la Commission européenne dans le dossier. « Nous voulons toujours faire partie du projet Galileo mais nous devons nous préparer à toute éventualité », confie une source gouvernementale au « Telegraph ».

Une façon d'avouer à demi-mot que Londres semble croire de moins en moins à la possibilité d'un accès à Galileo après avoir quitté l'UE.

Bruxelles, qui n'est en réalité pas opposée à son maintien dans le programme, exige des garanties de la part des Britanniques. Elle souhaite cependant exclure le Royaume-Uni de la fabrication de certains éléments critiques pour la prochaine génération de satellites. Une question de sécurité et de souveraineté, juge Bruxelles, qui  irrite particulièrement le Royaume-Uni .

Le Royaume-Uni sur les deux tableaux

Londres ne veut pas se contenter pas du siège passager, après avoir déjà contribué à hauteur de 1,4 milliard d'euros à la mise en orbite  des 26 satellites européens . Début mai, le Royaume-Uni  avait déjà menacé de saboter Galileo , en demandant le remboursement de cette somme investie.

Se heurtant à la fermeté de Bruxelles en la matière, les Britanniques sont obligés de se préparer à l'éventualité d'une sortie du programme sans accord, tout en veillant à ne pas rompre définitivement les négociations. Un exercice d'équilibriste avec lequel le Royaume-Uni est devenu coutumier.

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  • 7 months later...
il y a 43 minutes, Shorr kan a dit :

Ce qui me fait poser la question : est ce qu'en même temps qu'elle vent ses armes, la France pourra donner à une armée tiers non européenne la droit d'utiliser les services de Galileo sans que les autres membres de l'UE n'interfèrent ?

A mon avis, non. Rien qu'à Berlin ça ferait hurler dans les chaumières. Et on avancerait à raison que Galileo est un système purement civil.

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Il y a 3 heures, Shorr kan a dit :

Ce qui me fait poser la question : est ce qu'en même temps qu'elle vent ses armes, la France pourra donner à une armée tiers non européenne la droit d'utiliser les services de Galileo sans que les autres membres de l'UE n'interfèrent ?

C'est mort.

D'autre part les indiens ont développé leur propre réseau de géopositionnement. L'IRNSS.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Indian_Regional_Navigation_Satellite_System

IRNSS-India-Overview-Navigation-Satellit

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  • 3 months later...

 

Galileo Outage Update: Service failure poses serious questions

https://insidegnss.com/galileo-outage-update-service-failure-poses-serious-questions/

 

Take into account that the two major outages in the last two years were also caused by problems in the PTF. There are major architectural problems within the GMS [Galileo Mission Segment] under Thales Alenia Space…responsibility.

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Citation

"The technical incident originated by an equipment malfunction in the Galileo control centers that calculate time and orbit predictions, and which are used to compute the navigation message," the GSA wrote on Thursday in its most specific statement yet. "The malfunction affected different elements on both centers."

That generally confirms what researchers who use the Galileo system had noticed independently. Satellites transmit packages of data to Earth that convey a set of astronomical positioning and timing data, used to compute satellite orbits and positions. But some combination of errors in the Galileo processing system led it to base these calculations on the wrong date, for example, using July 11 time stamps—the day the outage began—throughout the week. Eventually, the system even interpreted this data as referring to July 18, instead of the previous Thursday. The frozen time stamp seemed to be a symptom of problems with the ground-based processing system, rather than the satellites themselves.

"From the operational satellites the signals were good, the time was good, but in the messages the satellites send the positions were not updated," says Fabio Dovis, a researcher in the satellite navigation lab at Politecnico di Torino University in Italy. "We tried replacing that part of the message with information on position taken from other reliable sources and you could get the correct position. So it was working, it just seems like there was a problem in the control system that was not able to update this information."

https://www.wired.com/story/galileo-satellite-outage-gps/

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  • 1 month later...
  • 3 years later...

Voilà qui va faire plaisir à @Picdelamirand-oil :

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/pourquoi-thales-est-devenu-un-acteur-cle-de-la-constellation-galileo-970305.html

Révélation

Pourquoi Thales est devenu un acteur clé de la constellation européenne Galileo

Le groupe Thales a remporté auprès d'EUSPA, l'Agence de l'Union européenne pour le programme spatial, plusieurs contrats s'élevant à près de 400 millions d'euros et portant sur la constellation de nouvelle génération Galileo. Le groupe français a progressivement détrôné l'industrie allemande qui avait réussi dans les années 2010 à avoir la mainmise sur l'un des programmes les plus emblématiques en Europe.

Le groupe Thales de plus en plus présent à bord de la constellation Galileo (Crédits : Thales Alenia Space)

En concurrençant férocement l'industrie allemande sur Galileo, notamment OHB, Thales est devenu un des acteurs incontournables de la prochaine génération de satellites de la constellation européenne en mettant en avant ses implantations en Italie et en France. Après avoir remporté en 2021 la fabrication de six satellites de nouvelle génération Galileo sur les douze attribués, Thales Alenia Space, la société commune entre Thales (67%) et Leonardo (33%), poursuit sa moisson de contrats pour le compte d'un des programmes les plus emblématiques en Europe.

Ainsi, le constructeur de satellites franco-italien a signé des contrats d'un montant total de plus de 300 millions d'euros avec l'Agence spatiale européenne (ESA) agissant au nom d'EUSPA, l'Agence de l'Union européenne pour le programme spatial, et de la Commission européenne en vue de concevoir et réaliser le segment sol de mission de Galileo 2ème Génération (G2G), puis apporter un support technique à l'ingénierie du système. Il aura comme partenaires, Leonardo et Telespazio.

Thales, acteur clé de la résilience de Galileo

En outre, Thales a remporté deux contrats d'un montant de plus de 60 millions d'euros (hors options) dans le domaine de la cybersécurité du programme G2G. Le groupe français sera en charge de l'ensemble des éléments liés à la sécurité et à la résilience de G2G : architecture, équipement de sécurité et protection contre les cyberattaques en termes de détection et réponse. Ces contrats prolongent le rôle clé du groupe pour la cybersécurité de la deuxième génération du programme Galileo, Thales étant en charge de l'ensemble des éléments liés à la sécurité et à la résilience de G2G.

En avril, Thales avait obtenu de l'ESA un contrat de spécification et de conception de la sécurité du système. Ce contrat doit améliorer les performances du système G2G par l'introduction de nouveaux services, des fonctions de résilience renforcées, et des fonctionnalités supplémentaires pour le service de navigation PRS (service à usage gouvernemental). Face aux nouvelles menaces des ordinateurs quantiques capables de casser les algorithmes cryptographiques existants, Thales, reconnu pour son expertise dans le domaine cryptographique, doit sécuriser les données de Galileo qui pourraient être mise à mal sur le long terme. Dans ce cadre, le groupe s'est vu confier par l'ESA la mission de spécifier les solutions de chiffrement post-quantiques de dernière génération. Puis, en mai, Thales a remporté auprès de l'ESA un contrat de supervision de sécurité des infrastructures du système G2G.

Deux versions du segment sol

La première version du nouveau système sol de mission G2G entrera en service à temps pour assurer le lancement et la mise à poste du premier satellite G2G et pour supporter également la validation en orbite des capacités opérationnelles initiales de G2G. Au total, 12 satellites devraient être lancés au cours des prochaines années. La Commission prévoyait de lancer les premiers satellites de nouvelle génération avant la fin de 2024. « Ce système se distingue par plusieurs innovations technologiques clés et une infrastructure flexible cybersécurisée moderne », a précisé Thales Alenia Space dans un communiqué publié jeudi.

La seconde version sera responsable à la fois de la mission des satellites Galileo de première et de seconde génération. Il générera et assurera la transmission montante des services de navigation vers les satellites Galileo, et maintiendra la synchronisation des satellites avec une référence temps commune, offrant ainsi « des performances de positionnement, navigation et de temps à l'état de l'art à plus de quatre milliards d'utilisateurs dans le monde ».

 

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Il y a 10 heures, herciv a dit :

G2G =>  il m'a fallu plusieurs lignes pour que je déduise  : Galiléo 2-ème Génération 

Bravo THALES  .... Pas beau du tout  OHB la Honte !  un jour ou l'autre la "Justice" passe naturellement 

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Le segment sol de la seconde génération du système de navigation Galileo confié à Thales Alenia Space

Révélation

Le contrat, signé avec l’Agence spatiale européenne, a été annoncé le 20 juillet. Il atteint un montant de 300 M€.

Précis et incontournable

Officiellement décidée il y a vingt ans, la constellation Galileo de l’Union européenne apparaît aujourd’hui comme le système le plus précis au monde pour le positionnement par satellite, devant ses concurrents aux Etats-Unis (GPS), en Chine (Beidou) ou en Russie (Glonass).

Sachant que désormais tous les smartphones vendus sur le marché européen sont compatibles avec Galileo, l’estimation du nombre de personnes pouvant s’y connecter dépasse les 4,4 milliards.

Outre ses multiples applications civiles et militaires (assistance à la conduite des trains, au guidage des véhicules et des missiles, à l’atterrissage des avions, au positionnement des troupes…), la constellation européenne contribue notamment au sauvetage de milliers de vies, constituant la pièce maîtresse du dispositif d’urgence automatique européen eCall.

Par ailleurs, Galileo reste seul système GNSS au monde sous contrôle civil.

26 satellites en service

Les premiers lancements de la première génération de Galileo étaient intervenus en octobre 2011 depuis le Centre spatial guyanais, les premiers tests s’étaient déroulés avec succès en mars 2013, et les services initiaux de Galileo avaient démarré en décembre 2016.

Depuis le premier semestre 2019, la constellation est déclarée opérationnelle.

Le dispositif a été complété en décembre 2021 par l’envoi de deux autres satellites FOC.

Sur les 26 satellites actuellement en service, 14 ont été lancés sur Soyouz et 12 sur Ariane 5.

D’une génération à l’autre

En janvier 2021, la Commission européenne avait passé commande de deux fois six satellites de seconde génération (G2G) à Airbus Defense and Space en Allemagne et Thales Alenia Space en Italie.

Le déploiement de ces satellites était alors prévu à partir de 2024, et Arianespace a décroché les contrats de lancement des douze premiers exemplaires sur Ariane 62 (version équipée de deux propulseurs d’appoint), contrats officialisés en septembre 2017 (quatre satellites en deux missions) et mars 2020 (huit satellites en quatre missions).

Un contrat pour le segment sol

Pour le segment sol de la seconde génération de la constellation, l’ESA, agissant au nom de l’Agence de l’Union européenne pour le programme spatial (Euspa) et de l’Union européenne (représentée par la Commission européenne), a retenu Thales Alenia Space et ses partenaires européens.

Il s’agit de concevoir et réaliser le segment sol de mission des satellites, ainsi qu’un support technique à l’ingénierie du système.

Par ailleurs, Thales s’est vue notifier par l’ESA deux contrats pour la cybersécurité du programme G2G.

 

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