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"Algérie, un "pays frère" (Kouchner)


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Terrorisme: Sarkozy remercie l'Algérie

A l'occasion de sa visite d'Etat en Algérie, Nicolas Sarkozy a salué le combat livré dans les années 1990 par "le peuple algérien" contre "la barbarie terroriste". "Le peuple algérien a combattu, souvent seul, au nom de valeurs qui nous sont communes: la tolérance, la liberté, le refus de la violence. Sa victoire sur le terrorisme est un succès majeur qui nous concerne tous, car l'installation à Alger d'un régime de type taliban n'aurait pas été seulement une tragédie pour l'Algérie: elle aurait été une catastrophe pour tous les pays riverains de la Méditerranée", a expliqué le chef de l'Etat.

http://www.lejdd.fr/cmc/scanner/politique/200749/terrorisme-sarkozy-remercie-l-algerie_76744.html?popup

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Nicolas Sarkozy entame sa visite en Algérie en dénonçant un «système colonial profondément injuste» --par Christine Ollivier--

ALGER (AP) -- «Je suis venu pour construire», pas «pour la nostalgie», a affirmé lundi Nicolas Sarkozy au début de sa visite d'Etat en Algérie, même s'il a dû d'emblée affronter les questions de mémoire si sensibles dans ce pays, en qualifiant le système colonial «d'injuste».

«Oui, le système colonial a été profondément injuste, contraire aux trois mots fondateurs de notre République: liberté, égalité, fraternité», a déclaré le président français devant des hommes d'affaires français et algériens réunis dans un hôtel d'Alger. «Mais il est aussi juste de dire qu'à l'intérieur de ce système profondément injuste il y avait beaucoup d'hommes et de femmes qui ont profondément aimé l'Algérie, avant de devoir la quitter», a-t-il ajouté.

«Des crimes terribles ont été commis tout au long d'une guerre d'indépendance qui a fait d'innombrables victimes des deux côtés». Et «aujourd'hui, moi qui avais sept ans en 1962 (date que je veux honorer)».

Dans son discours aux mots soigneusement pesés, Nicolas Sarkozy n'est donc pas allé jusqu'à prononcer les «excuses» que réclame une partie de la classe politique algérienne. A l'Histoire, Nicolas Sarkozy continue donc de préférer la «géographie», en rappelant qu'Algériens et Français sont «voisins».

Et si MM. Sarkozy et Bouteflika ont évoqué les questions de mémoire lors de leur premier entretien lundi, c'est «assez rapidement», selon une source française.

Le ministre algérien des Anciens Combattants Mohamed Chérif Abbas avait provoqué la semaine dernière un regain de tension entre Paris et Alger en affirmant que «si la France ne reconnaît pas les crimes qu'elle a commis en Algérie, une normalisation ou une réconciliation n'(était) pas envisageable». Il avait dénoncé dans la foulée le «lobby juif» qui aurait porté selon lui M. Sarkozy au pouvoir.

Histoire de faire oublier l'effet désastreux de ces propos, les autorités algériennes avaient mis les petits plats dans les grands lundi, avec des drapeaux français et algériens sur les principales avenues d'Alger, mais aussi des portraits d'Abelaziz Bouteflika et de Nicolas Sarkozy. Le ministre des Anciens combattants, lui, était absent de la cérémonie d'accueil du président français à l'aéroport.

Nicolas Sarkozy n'en a pas moins mis les points sur les «i»: «il n'y a rien de plus semblable à un antisémite qu'un islamophobe», a-t-il lancé. «Tous deux ont le même visage: celui de la bêtise et de la haine».

«Le racisme, l'islamophobie et l'antisémitisme ne s'expliquent pas. Ils se combattent». Et «ce qui vaut pour la France vaut partout ailleurs dans le monde», a-t-il asséné.

Mais «je suis venu en Algérie pour parler d'avenir», a assuré Nicolas Sarkozy. «Je suis venu en Algérie pour bâtir (...) entre nos deux peuples un partenariat d'exception». Et cela passe d'abord par des contrats: ceux qui seront signés mardi «s'élèvent à plus de 5 milliards d'euros», a-t-il assuré. Car «pour moi, l'amitié ne se traduit pas par des mots, par des traités ou par des discours, mais par des projets, des actes, des décisions».

Ces accords doivent porter notamment sur la reconduction des contrats gaziers pour garantir l'approvisionnement de la France jusqu'en 2019, alors que Gaz de France (GDF) doit investir un milliard de dollars (683.500 euros) sur le gisement de Touat, et Total 1,5 milliard de dollars (1,02 milliard d'euros) pour la construction d'un complexe pétrochimique à Arzew.

Par ailleurs, «nous avons décidé avec le président (Abdelaziz) Bouteflika de nous engager ensemble dans un immense chantier (...) celui de l'énergie nucléaire civile», a affirmé Nicolas Sarkozy. Un accord devra «concrétiser cette volonté» mardi.

«La France veut travailler avec l'Algérie», a affirmé le chef de l'Etat. «Je veux que la France redevienne le premier investisseur étranger en Algérie».

«Le passé, il existe. L'avenir, il est à construire. Moi je suis venu pour construire. Je ne suis pas venu pour la nostalgie», a conclu Nicolas Sarkozy. AP

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Pour une fois je trouve qu'il a très bien fait l'ami Sarkozy.

le gars fait campagne contre la repentance et c'est ce qu'il fait en algerie... 

En fait il n'a qu'énoncé un fait historique.

En parlant d'histoire et de mémoire du système colonial, voici un bouquin que j'ai lu il y a un ou deux ans. J'ai beaucoup appris sur le système colonial et le pourquoi du comment de la colonisation française. Si il y a bien une chose à faire en tant que citoyen français c'est ça...lire des bouquins.

Le voici :

http://www.lescarnets.net/index.php?2006/08/21/62-marianne-et-ses-colonies

Image IPB

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En fait il n'a qu'énoncé un fait historique.

Il a donné "son avis" sur un fait historique, c'est different

En fait je doute qu'il ait un quelconque avis sur le sujet vu le retournement de veste qu'il a opperé par rapport aux mois précédents.

Je constate qu'il fait de la repentance alors qu'il avait fait campagne contre ça, preuve que sa parole n'a pas grande valeure.

Apres la Turquie c'est son deuxieme retournement de veste.

Quelle sera la suivante ? jamais 2 sans 3 comme on dit.

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Nicolas Sarkozy entame sa visite en Algérie en dénonçant un «système colonial profondément injuste» --par Christine Ollivier--

[.....]

Mais «je suis venu en Algérie pour parler d'avenir», a assuré Nicolas Sarkozy. «Je suis venu en Algérie pour bâtir (...) entre nos deux peuples un partenariat d'exception». Et cela passe d'abord par des contrats: ceux qui seront signés mardi «s'élèvent à plus de 5 milliards d'euros», a-t-il assuré. Car «pour moi, l'amitié ne se traduit pas par des mots, par des traités ou par des discours, mais par des projets, des actes, des décisions».

il me fait vraiment honte ce bouteflika, comment est-ce qu'il a l'audace de signer des accords commerciaux avec les francais ?

apres les propos de sarko sur le sahara occidental, apres la loi sur les bienfaits de la colonisation, apres les propos de sarko devant un parterre de journalistes ou il affirmait que construire des centrales nucleaires au maghreb s'etait pas risque car l'interrupteur serrait a Paris, ce cancereux en phase terminale de bouteflika signe des accords commerciaux avec lui ??!!

franchement aujourd'hui j'ai honte d'etre Algerien

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Je vie au states, c'est autorise ? je suis pas en infraction la ?

bon quand t'auras fini de jouer au flic tu pourras revenir au sujet

si je reniai mon pays j'aurai pas autant les boule en voyant ce demago de sarko venir fanfaroner dans mon pays, les algeriens ont toujours eu une politique de non alignes, droit dans leurs bottes, la crise petroliere de 1973 c'est l'Algerie qui assurait la presidence de l'OPEP quand les vannes ont ete fermes,

ce que Bouteflika vient de faire il risque de le payer au prix fort,

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Invité barbaros pacha

''La France doit s'excuser auprés de l'Algerie et de son peuple pour 130 ans de colonialisme injuste'' Et la Turquie de méme pour son injuste mainmise impérialiste sur l'Afrique du Nord et le Proche Orient durant des siécles  >:(

Tu peut interroger les Algeriens, les Tunisiens, les Lybiens et les autres du MO, ils ont veulent pas a la Turquie (pour la majorité), les Algeriens nous ont apeler a les secourir contre les Espagnols, on a expulser les Espagnols de l'Afrique du nord....

fin du hs...

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Tu peut interroger les Algeriens, les Tunisiens, les Lybiens et les autres du MO, ils ont veulent pas a la Turquie (pour la majorité), les Algeriens nous ont apeler a les secourir contre les Espagnols, on a expulser les Espagnols d'Afrique du nord....

fin du hs...

Exact d'ailleur dans les grandes villes algeriennes ,mon copain qui est algero-americain ma dit que beaucoup des "grandes/anciennes" familles sont d'acendance turque/ottomane, et il n y'a aucune annimausité en vers eux.

Ps: pourquoi a chaque foi que l'on parle de se qu'on bien pue fair les occidanteaux , vous sortez "ah oui mais tartompion n'a pas fait mieux" ?? , nous ne parlons ni des ottomans ni d'X ni d'Y , mais des relations frano-algeriennes.

Edit: j'accepte les conditions particulières de participation a ce fil de discussion comme décrites ci dessus; signé sezen.

Akhilleus modo =) , par contre l'ancien avatar etait mieux , là ça fait un peut GeeK :p .

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Dernier HS, j'aurait dut rajouter les Balkans, les grecos-roumano-bulgaro-serbes n'ont pas du tout apprécier la présence ottomande durant des siécles sur leur sol.

Pour en revenir au suget, j'ai l'impression que Paris veut offrir des centrales nucléaires à tout le monde. Au Maroc, le gvt français n'a pas de telle offre mais à la Lybie, oui, pour quelle raison a t on oublié Rabat ?

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Pour le nucléaire civil marocain, il me semble que c'est les americains qui sont dessu (article posté ici même l'année derniere)

Si non concernant les propos de Sarkozy, je pense qu'il ne pouvait pas dire mieux que "ce système coloniale était injuste mais dans ce celui-ci il y avait des personnes qui aimaient profondément l'Agerie..."

Jene vois pas pourquoi Bouteflika ne devrait pas signé les contrats, c'est tout bénéf pour l'Algerie mais cependant je regrettes la trop grand importance de l'hydrocarbure (50%) dans ces contrats, l'abscence des entreperises algeriennes et ainsi que des discussion sur defense soient complétement absente...  :-[

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Jene vois pas pourquoi Bouteflika ne devrait pas signé les contrat,

Bin il a été signé je crois, c'est grosso-modo la meme chose que nous avons signé avec les USA, Chinois, Russes, Sud-Af, Argentins...

Algérie : accord algéro-français sur l'énergie nucléaire civile

Par AFP le 04/12/2007 à 15:21

L'Algérie et la France ont paraphé mardi à Alger un accord sur l'utilisation et le développement de l'énergie nucléaire à des fins pacifiques. L'accord paraphé couvre tous les champs de la coopération en matière d'énergie nucléaire civile, a-t-on indiqué de source française, citant la recherche fondamentale, les transferts de technologie, la formation, la production d'électricité et la prospection et l'exploitation de l'uranium.

http://www.toutsurlalgerie.com/algerie-france-nucleaire-civil-1912.html

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«système colonial profondément injuste»

non non se qu'a dit sarko a était le bien venu coté algeriens d'ailleur dé qu'il a dit ça c'est bouteflika qui a aplaudit le premier et apres toute la salle la suivit donc c'est déja un bon début et ça devré relancé les relation algero-française pour un temp =D .....en fin jusqu'a la prochaine loi du bien fait de la colonisation en france  :lol:
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Sarkozy et Bouteflika s'efforcent de dépasser leurs divergences

par Emmanuel Jarry

ALGER (Reuters) - Nicolas Sarkozy et Abdelaziz Bouteflika se sont efforcés de dépasser leurs divergences sur le passé colonial de la France en Algérie, qui a continué de peser sur la visite d'Etat du président français.

"Sur la mémoire, chacun a fait un pas l'un vers l'autre et aujourd'hui les choses sont vraiment stabilisées", déclarait l'Elysée au soir du deuxième jour de cette visite.

Sans aller jusqu'à présenter les "excuses" qu'exigent de la France les dirigeants algériens, Nicolas Sarkozy a fait un nouveau pas, dans un toast en l'honneur du président Abdelaziz Bouteflika, lors d'un déjeuner officiel.

"Nous sommes prêts à regarder en face cette partie de notre histoire et à la considérer sans tabou, y compris dans ce qu'elle a de plus sombre, a-t-il dit.

Le "partenariat d'exception" entre les deux pays doit s'accompagner "d'un travail de mémoire pour rapprocher notre lecture de l'histoire", a renchéri Nicolas Sarkozy le soir, devant des représentants de la communauté française.

Il a cependant ajouté que ce "travail de mémoire" ne devait pas être un "préalable" au développement des relations entre la France et son ancienne colonie.

Nicolas Sarkozy a réaffirmé qu'il fallait "reconnaître ce que le système colonial avait d'injuste", sans faire d'amalgame avec "ceux qui ont construit sur cette terre" qu'ils ont dû quitter lors de la guerre d'indépendance algérienne (1954-62).

De son côté, Abdelaziz Benflika s'était dit convaincu, dans un toast lors du déjeuner, que la visite du président français permettrait "d'aborder avec franchise et courage" les problèmes pesant sur les relations franco-algériennes et de trouver "le moyen d'y porter remède dans un esprit d'ouverture".

Il a au passage adressé sa "sincère reconnaissance à tous les Français" qui ont apporté leur aide et leur "solidarité" aux Algériens pendant leur "guerre de libération".

Lundi soir, dans son premier discours, devant des chefs d'entreprise algériens et français, Nicolas Sarkozy avait qualifié de "profondément injuste" le système colonial et évoqué les "crimes terribles" commis pendant la guerre d'indépendance.

Le ministre algérien de l'Intérieur, Noureddine Yazid Zerhouni, a estimé mardi matin que ces propos constituaient un "progrès" mais ne suffisaient pas.

ACCORD SUR LE NUCLEAIRE CIVIL

"Nous dirons toujours que ce n'est pas assez mais ça va dans le bon sens", a-t-il dit à des journalistes à Tipasa, où le président français a visité avec lui les ruines romaines, en bordure de la Méditerranée, à 70 km à l'ouest d'Alger.

En regagnant Alger pour des entretiens avec Abdelaziz Bouteflika, Nicolas Sarkozy a fait une étape symbolique au sanctuaire dédié aux "martyrs" de la guerre d'indépendance.

L'Elysée fait valoir que le président français a multiplié les gestes pour ouvrir une "nouvelle page" avec l'Algérie.

Les deux gouvernements ont ainsi signé mardi une "convention de partenariat", présentée du côté français comme une sorte de "traité d'amitié simplifié" qui se substitue à un projet avorté de "traité d'amitié" lancé en 2003.

Cette convention de partenariat remplace et complète la convention de coopération culturelle, scientifique et technique qui liait la France et l'Algérie depuis 1986.

La France a également paraphé un accord cadre couvrant tous les aspects d'une future coopération franco-algérienne dans le domaine du nucléaire civil, dont la négociation s'est prolongée jusque dans la nuit de lundi à mardi. C'est le premier accord de ce type entre la France et un pays arabe, fait valoir l'Elysée.

Les deux chefs d'Etat ont présidé la signature de cinq milliards d'euros de contrats et accords d'investissement et de la prolongation des contrats d'approvisionnement de Gaz de France en gaz naturel algérien jusqu'en 2019.

Autre geste : la France enverra des experts pour étudier les conséquences des essais nucléaires qu'elle a effectués dans le désert algérien et "assumera ses responsabilités", dit-on de source proche du président français.

En matière de circulation des personnes, sujet sensible, la ministre française de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie et son collègue de l'Immigration Brice Hortefeux iront en Algérie "dans les semaines qui viennent pour poser les bases d'une politique d'immigration concertée entre les deux pays".

Enfin, sur les sujets internationaux, "nous avons les mêmes positions à l'exception du Sahara occidental mais nous observons là aussi que les choses ne sont pas figées", dit l'Elysée.

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:lol: :lol:

Image IPB

:lol:

J'aime bien les caricatures humoristiques de Dilem !  =)

C'est toujours un plaisir de voir ses dessins.

Sur Kiosque TV5 Monde, il dessinait avec Plantu (dessinateur du journal "Le Monde") des scènes de ménage politiques : très marrant.  =)

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Algérie : Sarkozy a eu raison de ne pas s'excuser, selon Enrico Macias

Par AFP le 05/12/2007 à 18:55

Le chanteur Enrico Macias a déclaré mercredi sur France Info que le président Nicolas Sarkozy avait «eu raison de ne pas s'excuser» lors de son voyage officiel de trois jours en Algérie. «Le président a eu raison de ne pas s'excuser sinon les Algériens dans ces cas là doivent aussi s'excuser de pas mal de choses», a-t-il dit.

"Il a parlé du colonialisme, c'est la moindre des choses pour ne pas faire de la repentance parce qu'il a tout le temps été contre cela", a ajouté le chanteur pied-noir pour qui Nicolas Sarkozy a "brisé les anciens tabous" et "été obligé aussi d'employer des mots qui font plus ou moins plaisir au nombril des Algériens".

Interrogé sur le discours de Constantine du président de la République, Enrico Macias a jugé que Nicolas Sarkozy "mérite un prix Nobel de la Paix par ce qu'il a dit en parlant de l'antisémitisme, de l'islamophobie, en parlant d'Israël, de la Palestine, il fallait le faire. Personne n'avait osé faire cela en Algérie".

Pour le chanteur, "les gens de bonne volonté vont apprécier son discours dans la mesure où il est constructif pour l'avenir. Je ne pense pas que les jeunes puissent s'adonner à la violence des extrémistes, des terroristes".

Revenant sur sa décision de ne pas accompagner finalement la délégation française, Enrico Macias a affirmé qu'il n'avait "jamais" été menacé mais qu'"on a plutôt pratiqué à son égard l'exclusion". "J'ai tout pour leur plaire. Je suis un bon chanteur. Je n'ai jamais dit du mal de l'Algérie, je suis généreux, j'ai assisté l'Algérie dans ses moments les plus difficiles mais ils ne veulent pas de moi. Ils ont refusé que je fasse partie de la délégation", a-t-il dit.

Questionné sur le pourquoi, le chanteur a répondu: "ils me reprochent d'être juif. Je pense que cela doit être cela. Je ne vois pas autre chose". "En ce moment, je n'ai plus envie de retourner là-bas (...) mais je ne ferme pas encore la porte de l'avenir, on ne sait jamais", a-t-il conclu.

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