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Russie et dépendances.


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Il y a 14 heures, TarpTent a dit :

C’est tellement « bon » que je ne résiste pas à le poster, et non, ça ne doit pas aller dans la partie humour (quoique...) :

Seagal, l’émissaire russe pour les liens humanitaires avec les Etats-Unis

« «Steven Seagal a été nommé représentant spécial du ministère russe des Affaires étrangères, chargé des liens humanitaires russo-américains», a indiqué la diplomatie russe sur sa page officielle sur Facebook. Sa tâche est d'«assister au développement des relations russo-américaines dans le domaine humanitaire, y compris la coopération dans le domaine de la culture et de l'art», selon la même source. Il s'agit d'un poste ressemblant à celui d'«ambassadeur de bonne volonté de l'ONU» et qui «ne prévoit pas de rémunération», a souligné la diplomatie russe. »

http://m.20minutes.fr/monde/russie/2317591-20180804-steven-seagal-nomme-emissaire-russe-liens-humanitaires-etats-unis

 

Moi, je dis, quand on prend Steven Seagal pour traiter des questions humanitaires, de la culture et des arts entre la Russie et les USA, on est inconstestablement dans ce que ce siècle peut faire de mieux en la matière en ce moment. Vivement le prix Nobel.

 

(j’ai vraiment pensé à une parodie au départ, mais l’info semble vraiment reprise partout, sur le Parisien notamment, qui précise qu’il avait déjà étê chargé de mission entre les 2 pays en 2015 http://www.leparisien.fr/international/steven-seagal-nomme-emissaire-russe-pour-les-liens-humanitaires-avec-les-etats-unis-05-08-2018-7843857.php )

En tant que citoyen russe (depuis 2016), petit-fils d'immigrants russes et figure culturelle américaine, S. Seagal présente quelques qualités pour cet office :cool:.

D'autres personnes présentent des qualités sans doute comparables, mais s'il fallait confier ce type de mission à des philosophes, intellectuels ou quelques autres personnages incongrus capables d'émettre en permanence des phrases de plus d'une dizaine de mots dont certains franchement complexes, quel ennui :amusec: !

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Il y a 4 heures, Benoitleg a dit :

En tant que citoyen russe (depuis 2016), petit-fils d'immigrants russes et figure culturelle américaine, S. Seagal présente quelques qualités pour cet office :cool:.

Trump qui adore les rapports de force va être comblé !

(Bon maintenant si Seagal dévisse la Touffe je n'irai pas m'en plaindre)

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Bonjour, je pense poster ici mon message car ça concerne la russie.

http://www.opex360.com/2018/08/08/premier-ministre-russe-evoque-guerre-terrible-cas-georgie-rejoindrait-lotan/

Croyez vous possible qu'il y est une autre guerre de georgie ?

Je me demande si l'armée russe est prête à cette éventualité, le problème c'est qu'ils sont dêja sur deux front, la syrie et l'ukraine.

 Seront ils capablent de gérer un nouveau front .

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il y a 50 minutes, Bastion a dit :

Bonjour, je pense poster ici mon message car ça concerne la russie.

http://www.opex360.com/2018/08/08/premier-ministre-russe-evoque-guerre-terrible-cas-georgie-rejoindrait-lotan/

Croyez vous possible qu'il y est une autre guerre de georgie ?

Je me demande si l'armée russe est prête à cette éventualité, le problème c'est qu'ils sont dêja sur deux front, la syrie et l'ukraine.

 Seront ils capablent de gérer un nouveau front .

Il me semble que leur meilleur armée est dans le Caucase. Donc je pense que oui.

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https://nationalinterest.org/feature/russian-perspective-foreign-affairs-interview-konstantin-zatulin-27302 (30 juin 2018)

Interview de Konstantin Zatulin, président de la commission de la Douma sur les relations avec la Communauté des Etats Indépendants et la diaspora russe.

Rien de sensationnel, mais certaine cohérence avec ce que le pouvoir russe répète depuis ces 20 ou 30 dernières années :

La Russie n'a pas de désir expansionniste, mais veut avoir un rôle clé dans les relations internationales, comme naguère l'URSS, et comme y aspirent la plupart des autres "acteurs clés" de la scène internationale.

La reconnaissance de l'appartenance à l'Ukraine de la Crimée était partie intégrante du traité d'amitié de 1997 : si ladite amitié cesse, alors la Russie a le droit de reprendre la Crimée.

En faisant référence aux attaques de l'empire suédois, de la France napoléonienne et de l'Allemagne nazie, Zatulin conclut : " Il est clair que notre expérience historique nous dit que nous devons nous préoccuper de notre sécurité, et nous sommes préoccupés par elle".

Le parlementaire russe a noté que les deux anciennes républiques soviétiques [Géorgie et Ukraine] participent à des manœuvres conjointes avec l'OTAN, envoient des officiers de leurs forces armées pour étudier dans des collèges de l'OTAN et reçoivent un soutien logistique de la part des membres de l'alliance. "Ils font essentiellement partie de l'OTAN. La seule chose qui leur manque, c'est la légitimation officielle de leur appartenance ", a-t-il dit.

Néanmoins, la Russie riposterait encore si l'Ukraine ou la Géorgie rejoignaient formellement l'alliance. M. Zatulin a averti qu'une telle évolution " signifierait sans aucun doute une confrontation entre la Russie et les gouvernements de l'OTAN ". La poursuite de l'expansion de l'OTAN inciterait également Moscou à continuer d'approfondir sa coopération avec Pékin pour contrebalancer l'Occident.

Modifié par Wallaby
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Il y a 3 heures, Kelkin a dit :

Par définition, ils ne feront pas la guerre à la Géorgie si elle rejoint l'OTAN. Ils lui feront la guerre avant qu'elle ne puisse le faire, parce qu'après c'est trop tard.

Non pas besoin : il me semble qu'il faut être maitre de son territoire et pas dans une situation de guerre civile ni en guerre avec un voisin... ou autres joyeusetés de ce genre. Ukraine et Georgie seraient donc disqualifier d'office

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Exactement. Faire la guerre à l'Ukraine et la Géorgie permet de les empêcher de rejoindre l'Alliance ; les laisser rejoindre l'Alliance empêche de leur faire la guerre. Donc il faut pour la Russie leur faire la guerre avant qu'il ne soit trop tard, et c'est exactement ce qui ce passe ; personne n'ignore que le Kremlin est derrière l'Ossétie du Sud tout comme derrière le Donbass.

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il y a 58 minutes, rendbo a dit :

Non pas besoin : il me semble qu'il faut être maitre de son territoire et pas dans une situation de guerre civile ni en guerre avec un voisin... ou autres joyeusetés de ce genre. Ukraine et Georgie seraient donc disqualifier d'office

Il y a un petit obstacle en plus : le besoin d'unanimité à l'OTAN pour accepter cette intégration, unanimité qui n'a jamais été atteinte, puisque plusieurs membres ont signifié, de manière très explicite bien que diplomatique, qu'ils étaient contre.

Il y a 3 heures, Wallaby a dit :

La reconnaissance de l'appartenance à l'Ukraine de la Crimée était partie intégrante du traité d'amitié de 1997 : si ladite amitié cesse, alors la Russie a le droit de reprendre la Crimée.

Et le traité de 1994 c'est du poulet. Bien sûr.

--

Dans la série "rassurons nos voisins, assurons les de notre amitié pacifique", nommage d'unités russes :

Citation

Vladimir Poutine a adopté fin juin une série de décrets pour renommer des unités de l'armée du nom de villes d'ex-URSS situées aujourd'hui en dehors des frontières russes. Une mesure «patriotique» pour le régime, jugée «provocante» par les pays voisins.

Le point commun entre Berlin, Varsovie, Tallinn et Lviv? Elles désignent des villes européennes bien sûr, mais ce sont aussi les noms choisis par la Russie pour désigner certains de ses régiments de tanks et d'artillerie. Le 30 juin, Vladimir Poutine a signé une série de décrets qui renomment onze unités militaires (régiments blindés ou d'infanterie) du nom d'anciennes conquêtes situées en dehors des frontières de la Russie actuelle, en Allemagne, en Pologne, en Ukraine et en Biélorussie.

Le but de l'opération est, selon le Kremlin, de «préserver des traditions militaires et historiques glorieuses» et de «nourrir la loyauté envers la patrie et le devoir militaire parmi le personnel militaire».

[...]

 

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Vicieux comme un agent du KGB le Vlad ... :laugh:

Et en face, certains doivent faire encore de l'huile.

 

En attendant je propose de nommer nos SLBM avec le nom de grandes villes russes.

Modifié par Arland
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Il y a 10 heures, Boule75 a dit :

Vladimir Poutine a adopté fin juin une série de décrets pour renommer des unités de l'armée du nom de villes d'ex-URSS situées aujourd'hui en dehors des frontières russes. Une mesure «patriotique» pour le régime, jugée «provocante» par les pays voisins.

Le point commun entre Berlin, Varsovie, Tallinn et Lviv?

Je ne savais pas que Berlin et Varsovie avaient fait partie de l'URSS.

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C'est encore un article simplificateur. Les Russes reviennent simplement à des pratiques courantes dans l'Armée Rouge comme le baptême des unités selon des lieux de combat où elles se sont illustrées... ou le retour au système des politkom et des zampolit. Je dois avouer que sur certains points, c'est assez étrange voire très dérangeant.

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Il y a 14 heures, Boule75 a dit :

 

Dans la série "rassurons nos voisins, assurons les de notre amitié pacifique", nommage d'unités russes :

 

 

Euh... on a vraiment un journaliste du Figaro qui vient de pondre ça dans son article : « Dans un contexte où l'annexion de la Crimée, en 2014, a déclenché un conflit contre l'Ukraine et fait déjà plus de 10.000 morts [.] » ?

Sérieusement ?!

Modifié par TarpTent
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Je ne sais pas si ça avait été dit (il ne me semble pas l'avoir lu sur ce fil), mais l'Admiral Kuznetsov va être mis au repos pendant 2 ans et demi pour upgrades.

Russia's aircraft carrier aka heavy aircraft-carrying cruiser Admiral Kuznetsov will be upgraded to carry 4++ gen jets such as MiG-29K / MiG-29KUB and Su-33. The modernisation will take up to 2,5 years, the flagship is expected to return to full operational capacity early 2021

https://twitter.com/EmbassyofRussia/status/1026892689042821122?s=19

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La Russie met en garde contre une terrible guerre si la Géorgie rejoint l’OTAN !

Actualités Alain Henry de Frahan 7 août, 2018

Le ralliement d’anciens membres du Pacte de Varsovie à l’OTAN ne cesse d’irriter les Russes au plus haut point. Il faut absolument les comprendre. Cela avait commencé avec la promesse faite en 1990 et 1991 au président Mikhaïl Gorbatchev par le président George Bush (père) et l’OTAN – violée plusieurs fois depuis lors – de ne pas étendre les limites de l’OTAN au-delà de celles qui existaient, ceci en échange de son feu vert pour la réunification de l’Allemagne. Alors Moscou prévient : si l’OTAN accepte la demande faite avec insistance par la Géorgie de la rejoindre, ce sera la guerre. Une terrible guerre régionale !

 

Rien de tel qu’une carte pour visualiser un enjeu géostratégique, en l’occurrence l’adhésion de la Géorgie à l’OTAN ! (Source: Wikimedia Commons)

Georgia-640x336.jpg

 

Une fois encore, au-delà des susceptibilités identitaires, c’est du côté des énergies fossiles qu’il faut chercher le ou les motifs d’un tel avertissement que l’OTAN aurait grand tort de prendre à la légère. En effet, une section de l’un des plus longs oléoducs au monde traverse l’ancienne république soviétique.

 

Alors l’adhésion de la Géorgie à l’OTAN pour la Géorgie, vu qu’elle abrite l’un des plus grands oléoducs au monde, pourrait conduire à des crises régionales, a prévenu Dmitri Medvedev, le premier ministre russe, ce lundi 6 août (soit dit en passant 73ème anniversaire de la destruction de Hiroshima par une bombe atomique). Il a réagi de la sorte après que le secrétaire-général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, ait accueilli le Premier ministre géorgien Mamuka Bakhtadze à Bruxelles en juillet, à l’issue d’un sommet au cours duquel les vingt-neuf membres de l’alliance ont soutenu la candidature de la Géorgie à l’OTAN. Une quasi déclaration de guerre à la Russie…

 

La preuve ? Dmitri Medvedev (« la voix de son maître » !), cité par l’agence de presse russe Tass, a déclaré que l’adhésion de la Géorgie, ancienne république soviétique, pourrait déclencher un « terrible conflit ». La Géorgie ne dispose pas de réserves substantielles de pétrole ou de gaz mais se trouve le long du principal point de transit du pétrole de la mer Caspienne et de l’Asie centrale vers l’Europe par l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan (BTC), long de 1.770 kilomètres.

 

Le pipeline BTC a été mis en service en 2007 pour transporter environ 1 million de barils de pétrole par jour depuis la capitale de l’Azerbaïdjan, Bakou, jusqu’à la Géorgie et au port turc de Ceyhan. La section géorgienne de l’oléoduc passe à moins de 55 kilomètres de l’Ossétie du Sud contrôlée par la Russie depuis le début du conflit régional déclenché il y a dix ans.

 

En ce qui concerne le gaz naturel, la première phase de livraison du gisement de Shah Deniz, au large de la côte azerbaïdjanaise, annoncée en 1999 par la société BP comme sa plus grande découverte de gaz, a traversé la Géorgie et la Turquie en 2006. La deuxième phase de construction puis exploitation de pipelines surnommés le corridor de gaz du sud passe donc par le sud de l’Europe, au grand damn des Russes qui y voient une concurrence politiquement et commercialement dramatique.

 

Car l’Europe constitue un client majeur – vital – de la Russie pour son gaz. Problème actuel, et pas des moindres : la majeure partie de son approvisionnement passe par le réseau de transit construit à l’époque soviétique en Ukraine, où les conflits géopolitiques présentent un risque de sécurité pour son approvisionnement énergétique. Le Corridor Sud élargi – impliquant la Géorgie – se trouve placé dans une course contre les projets de la compagnie énergétique russe Gazprom visant à jumeler le gazoduc Nord Stream à travers la mer Baltique vers l’Allemagne.

 

Alors oui, l’adhésion de la Géorgie à l’OTAN poserait un tel problème à la Russie qu’elle provoquerait un conflit d’ampleur régionale comparable à un cancer dont les métastases seraient aussi rapides qu’incontrôlables. Avec des implications de diverses natures sur l’Union européenne qui vit déjà un cauchemar avec les mouvements migratoires actuels. Attendez, bonnes gens : vous n’avez encore rien vu ! Et vivement une quasi auto-suffisance grâce aux énergies renouvelables, en tête desquelles il convient de placer la géothermie stupidement sous-estimée au profit du photovoltaïque et de l’éolien. Ceci est un autre débat…

FOB

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Bonjour, je voudrai poser une question suite à cet article :

http://www.opex360.com/2018/08/10/force-spatiale-voulue-lexecutif-americain-devra-franchir-plusieurs-obstacles-detre-operationnelle/

Au niveau de la guerre spatiale, je sais que les chinois ont des missiles capable de détruire des satellites, mais la russie niveau militaire spatiale ont ils des moyens, armes de guerre spatiale ?  Quel est l'état et le niveau du programme spatiale militaire russe ?  

Comme par exemple des missiles pouvant détruire des satellites, ou autre arme ?  

Et vue la nouvelle armée spatiale américaine, sont-il capable de se defendre face à une telle menace ?   

Modifié par Bastion
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Tout pays qui a les moyens d'envoyer un satellite en orbite a aussi les moyens d'envoyer un missile sur un satellite en orbite. En fait, c'est même plus simple et moins cher, puisqu'il n'y a pas besoin de stabiliser l'orbite et que le projectile peut être beaucoup plus petit et donc léger que sa cible.

A la base, il n'y a pas de différence majeure entre une fusée spatiale et un missile ballistique intercontinental. La technologie est la même. C'est ainsi que les fusées Delta américaines sont issues des missiles Thor. Tous les pays qui ont un programme de missiles ballistiques ont un programme de fusées spatiales et vice-versa.

 

Ensuite il faut bien comprendre que la principale défense contre la menace de destruction des satellites, c'est la menace de destruction des satellites. Non seulement en représaille, mais aussi en simple conséquence d'une cascade de Kessler. Plus il y a de débris en orbites, plus grand est le risque qu'un de ces débris rentre en collision avec un satellite en fonctionnement, provoquant l'apparition de nouveaux débris. Plus il y a de satellites en orbite, et plus ce risque est grand, et il y a des tas et des tas de satellites en orbite. 4635 recensés l'an dernier, la plupart en orbite basse, et chaque année il s'en rajoute plus qu'il n'en retombe. Autrement dit, si on commence à casser du satellite, on va priver l'ennemi de ses satellites, mais on va aussi se priver soi-même de nos propres satellites à nous. Et accessoirement, on va aussi fâcher tous les autres pays du monde. Si on en est déjà au stade de la guerre mondiale, pourquoi pas, mais sinon, ça fait réfléchir.

Modifié par Kelkin
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http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20180812-mer-caspienne-accord-russie-azerbaidjan-iran-kazakstan-turkmenistan (12 août 2018)

Accord historique sur la mer Caspienne entre les pays riverains :

Le Turkménistan et l’Azerbaïdjan vont (...) enfin pouvoir construire le gazoduc qu’ils espéraient construire depuis des années.

il est admis désormais qu’aucune puissance étrangère ne pourra avoir de base ou de vaisseau militaire sur la mer Caspienne et ça c’est un point auquel les Russes et les Iraniens d’ailleurs tenaient beaucoup, de façon à ce qu’aucun navire américain ou de l’Otan ou chinois ou autre ne vienne perturber leur contrôle de la sécurité d’une grande partie de la mer Caspienne.

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Difficile d'amener un navire de guerre en mer Caspienne de toute façon. Si l'on écarte la science fiction hollywoodienne, je ne vois guère que le Système des Cinq-Mers pour rejoindre la Caspienne depuis l'extérieur, et donc il serait très, très difficile à un navire de guerre de passer par là sans l'assentiment de la Russie.

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