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Russie et dépendances.


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il y a 1 minute, Ciders a dit :

Ils jouent une sorte de stratégie de la tension pour dissuader les Polonais et les Baltes et/ou renvoyer en interne une image de fermeté. Ou alors ils les font sortir. Ça urine combien de fois par trimestre un Tochka ?

Je vais sortir aussi, la Lada a soif.

Ou alors c'est une stratégie jamais l'ennemi ne croira qu'on est assez idiot pour ne pas défendre la bonne frontiére, donc si on le fait il croira a un piège et attaquera pas.

ça boit beaucoup une Lada?

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il y a 4 minutes, nemo a dit :

Ou alors c'est une stratégie jamais l'ennemi ne croira qu'on est assez idiot pour ne pas défendre la bonne frontiére, donc si on le fait il croira a un piège et attaquera pas.

ça boit beaucoup une Lada?

HAAAAAAAAAN. Ils mettent leurs meilleures troupes loin de la frontière russe pour éviter qu'elles ne se fassent laminer tout de suite. Ils forment une réserve pour la contre-attaque !

Une Lada ? Mon grand-père avait une magnifique Lada 2105 (ou bien une 2107 ? Ma mémoire me joue des tours). Ça devait taper dans les 10 litres aux cents en urbain. Mais j'adorais cette caisse.

Modifié par Ciders
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il y a 1 minute, Ciders a dit :

HAAAAAAAAAN. Ils mettent leurs meilleures troupes loin de la frontière russe pour éviter qu'elles ne se fassent laminer tout de suite. Ils forment une réserve pour la contre-attaque !

Une Lada ? Mon grand-père avait une magnifique Lada 2105. Ça devait taper dans les 10 litres aux cents en urbain. Mais j'adorais cette caisse.

Ouais bref ils sont surtout entrain de gesticuler historie de dire qu'ils font quelque chose je crois.

LA vache 10l au cent, et c'est pas bien gros comme bagnole.

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Il y a 3 heures, LunchTime a dit :

Minister of Defense of Belarus ordered to deploy Tochka surface-to-surface missiles division, MLRS Polonez division, UAVs and air defense at western border.  

https://belarus.liveuamap.com/en/2020/19-august-minister-of-defense-of-belarus-ordered-to-deploy

Ils sont bourrés à Minsk, ou quoi ??? S'ils espèrent que ça va faire changer d'avis les manifestants...

Alternative : ils sont bourrés à Minsk, préparent l'intervention de la Russie (opération весна Минска *) et espèrent dissuader ainsi toute velléité d'intervention polonaise ; et puis un bon exercice, ça occupe la troupe !

 

* j'imagine que Deepl marche mais je n'ai aucune certitude !-)

il y a 1 minute, nemo a dit :

LA vache 10l au cent, et c'est pas bien gros comme bagnole.

Ca dépend de la taille du litre !

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il y a 3 minutes, nemo a dit :

Ouais bref ils sont surtout entrain de gesticuler historie de dire qu'ils font quelque chose je crois.

LA vache 10l au cent, et c'est pas bien gros comme bagnole.

On parle d'une voiture des années 1980 pas conçue pour les économies de carburant. Elles se sont bien vendues en Corse, on en trouvait encore pas mal dans les zones de montagne il y a quelques années de cela aux mains de personnes âgées (les Niva sont encore bien présents mais là c'est plus pour la chasse et les bergers).

Le Tochka est clairement là pour signifier un haussement de sourcils. Pour qui, c'est à réfléchir. Mais on ne sort pas ce type d'armements que pour la gloriole.

Après... ça bouge encore dans la population civile mais le pouvoir paraît s'être raffermi. Et visiblement, il a enfin compris que fracasser au hasard des gens dans la rue était vaguement contre-productif.

Modifié par Ciders
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Les membres de l'UE se sont fait violence. Ils se sont abstenus d'appeler la Biélorussie à devenir leur 29e État membre, et à adhérer à l'OTAN.

Mais ça les démangeait :

https://www.tagesschau.de/kommentar/eu-gipfel-belarus-kommentar-101.html (19 août 2020)

Pas de geste militaire menaçant, pas de dérapage verbal : lors du sommet extraordinaire en Biélorussie, les États de l'UE ont décidé conjointement de ne pas se soumettre à un test de force politique. Même la Hongrie n'a pas abandonné. C'est remarquable.

Un commentaire de Helga Schmidt, ARD Studio Bruxelles

L'UE n'est pas tombée dans le piège tendu par le président russe Vladimir Poutine. Toute apparence d'ingérence directe en Biélorussie a été évitée. Les diplomates ont travaillé sur la déclaration du sommet jusqu'à la fin, en ont affiné la formulation et ont supprimé tout ce qui aurait pu donner au Kremlin l'occasion d'utiliser l'armée pour résoudre la crise dans la république voisine.

L'Europe a décidé de ne pas se lancer dans une lutte de pouvoir en matière de politique étrangère, et ce n'est pas un signe de faiblesse. Toute nouvelle avancée, toute démonstration de force verbale n'aurait fait qu'aider le dictateur défaillant Alexandre Loukachenko et fournir des arguments pour sa version : selon celle-ci, l'Occident planifie son renversement, et les insurgés en Biélorussie sont contrôlés à distance depuis les capitales européennes.
L'unité démontrée

Les Européens ont résisté à la tentation de faire preuve de force contre ceux qui sont au pouvoir à Moscou et à Minsk. Au lieu de cela, ils ont envoyé un message clair à la population biélorusse. Le message est le suivant : les dirigeants européens sont unis aux côtés des manifestants pacifiques, ils condamnent la violence brutale des forces de sécurité. Et ils exigent des élections véritablement libres et équitables pour les citoyens de l'ancienne République soviétique. Ils devraient avoir le droit de déterminer leur propre avenir politique maintenant, après 26 ans de dictature.

Au début, ce ne sont que des mots, c'est sûr. Mais quiconque dit que c'est un imbécile doit dire quelle pourrait être l'alternative. Des gestes menaçants de la part des troupes de l'OTAN en Europe de l'Est ? Avec la possibilité d'une intervention militaire ? Aucun pays membre ne soutiendrait cela. La force de l'UE ne repose pas sur les armées, mais sur les règles de droit, y compris dans les relations internationales.

Les mots clairs ne manqueront pas d'avoir un effet. Car jusqu'à récemment, M. Loukachenko pouvait compter sur une personne de contact parmi les dirigeants de l'UE. Le Premier ministre hongrois Orban a parlé ouvertement et avec plaisir de ses bonnes relations avec le dictateur à Minsk.

Le fait que les chefs d'État et de gouvernement aient néanmoins réussi à parler d'une seule voix et à manifester ensemble leur solidarité avec les insurgés, est un progrès qu'il ne faut pas sous-estimer. Même dans les conflits internationaux mineurs, il n'a souvent pas été possible de concilier les intérêts nationaux des 27. Les dirigeants de l'UE ont fait un pas en avant aujourd'hui.

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Assez amusant de voir que l’article postule que Moscou souhaite intervenir militairement. Les echos que j’ai de Moscou me décrivent plutôt une couverture assez honnête de la crise par les médias et je pense que VP sait bien qu’une intervention militaire sans très forte justification sera très dommageable à la Russie. 

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Les manuels d'histoire

https://laviedesidees.fr/La-guerre-des-manuels-en-Russie.html (13 juillet 2020)

En réalité, ce que les nouveaux manuels montrent, c’est l’état actuel de la politique historique russe. À l’intérieur d’un cadre dicté par le pouvoir, une certaine marge de manœuvre reste autorisée. Les trois séries présentent en effet des nuances dans leur description des événements historiques. Cela concerne tant le monde paysan au XVIIe siècle (dépeint comme harmonieux et solidaire dans une série de manuels, alors qu’une autre série pointe la dureté de la vie quotidienne des paysans et semble justifier les révoltes populaires) que le pacte germano-soviétique de 1939, plus ou moins fortement défendu selon les séries de manuels.

Or cette nécessité de construire un récit collectif sans évoquer les « interprétations incompatibles » a un coût : celui, notamment, de passer sous silence le caractère impérialiste des conquêtes russes et les résistances des différentes populations intégrées à la Russie tout au long de l’histoire. En juin 2013, lors d’un entretien à la radio Écho de Moscou, l’historien et auteur de manuels Alexandre Danilov expliquait que, 22 ans après la disparition de l’URSS, le « pluralisme » qui régnait dans l’historiographie commençait à « créer des problèmes dans les régions ».

En effet, les manuels d’histoire régionaux allaient à l’encontre des « avis et des conclusions qui émanaient du centre » et laissaient émerger un « patriotisme local ». La « conservation de l’unité de notre pays » doit être placée au centre des manuels d’histoire, affirmait-il. Cette tâche peut être réalisée, ajoutait-il, en introduisant par exemple dans le récit scolaire un « héros national », qui serait mentionné en lien avec des événements « panrusses ». Lorsqu’un de ses interlocuteurs lui demanda que faire si les régions proposaient d’introduire des personnages ayant lutté contre leur intégration à la Russie, il répondit qu’ils ne seraient probablement pas introduits dans les manuels fédéraux, puisque, répéta-t-il, il s’agit avant tout de montrer « ce qui nous unit ».

On perçoit aisément dans la Conception, et donc dans les nouveaux manuels, une volonté de gommer les aspects sombres de l’histoire russe. Mais il s’agit également de réconcilier les points de vue antagonistes. C’est pourquoi les affirmations les plus outrancières présentes dans les manuels de tendance monarchiste, en particulier les diatribes à l’égard de l’Occident, ont disparu.

Quant à ceux et celles qui s’opposent à la vision « patriotique » de l’histoire, ils peuvent se dire que le pire a été évité. En effet, dans les nouveaux manuels, Staline n’est pas réhabilité, ni les répressions staliniennes justifiées par des considérations supérieures. Telle est vraisemblablement la raison pour laquelle la publication des nouveaux manuels a suscité peu de polémiques dans les médias russes, mettant ainsi peut-être un terme, en Russie, à la longue « guerre des manuels ».

Considérées pour l’instant comme les seules conformes à la Conception, ces trois séries de manuels sont régulièrement rééditées depuis 2016. Le marché des manuels d’histoire s’est donc certes considérablement rétréci en Russie, mais l’idée d’un retour au manuel unique, auquel une partie des historiens et des enseignants se sont toujours opposés, semble être abandonnée.

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Le Monde / La Russie sous le choc après le probable empoisonnement d’Alexeï Navalny

https://www.lemonde.fr/international/article/2020/08/20/la-russie-sous-le-choc-apres-le-probable-empoisonnement-d-alexei-navalny_6049481_3210.html

"Le principal opposant à Vladimir Poutine est dans le coma. Vendredi matin, les médecins de l’hôpital ont à nouveau refusé de délivrer les documents nécessaires à une évacuation, jugeant le patient intransportable." 

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https://www.spiegel.de/politik/ausland/belarus-behoerden-gehen-strafrechtlich-gegen-opposition-vor-a-d94af63c-0537-42bf-b910-ab4dd9e67abe (20 août 2020)

Le procureur général [biélorusse] Alexander Konjuk a fait état dans un enregistrement vidéo d'enquêtes criminelles contre les tentatives présumées de l'opposition de prendre le pouvoir dans le pays. Selon M. Konjuk, la création d'un conseil de coordination vise à "prendre le pouvoir et à saper la sécurité nationale du Belarus". C'est une violation de la constitution, a-t-il déclaré.

Le Kremlin, à son tour, a mis en garde les pays étrangers contre toute ingérence. "Si des pays étrangers, dont la Russie, entrent en dialogue avec l'opposition, c'est déjà une ingérence dans les affaires intérieures", a déclaré le porte-parole Dmitri Peskov à l'agence Interfax. Moscou s'abstiendrait de le faire. "Tout d'abord, il doit y avoir un dialogue en Biélorussie", a déclaré M. Peskov. Poutine avait déjà téléphoné deux fois à Loukachenko et l'avait notamment félicité pour sa victoire électorale.

Entre-temps, les dirigeants autoritaires du Belarus ont reconnu la nécessité de réformes. Personne ne nie que des changements sont nécessaires, a déclaré le ministre des affaires étrangères Vladimir Makej aux diplomates.

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https://www.tagesschau.de/ausland/nawalny-275.html (21 août 2020)

Ce matin même, les médecins russes avaient refusé de transférer Nawalny à l'étranger - ils ont maintenant accepté un transport : l'état du critique du Kremlin serait "stable". Ainsi, il pourrait bientôt être transporté par avion à Berlin.

Les médecins russes ont déclaré qu'ils n'avaient pas trouvé de poison dans son corps. Selon leurs propres déclarations, ils ont diagnostiqué un trouble métabolique. Le médecin personnel de Nawalny, Anastasia Vasilyeva, a déclaré que l'hypoglycémie et un trouble métabolique ne sont pas un diagnostic mais une description de la maladie.

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https://www.zeit.de/politik/ausland/2020-08/belarus-swetlana-tichanowskaja-kandidatur-ende (22 août 2020)

Svetlana Tikhanovskaya ne veut plus se présenter à la présidence

L'opposition en Biélorussie est en train de perdre son icône : après des menaces massives, la femme de 37 ans ne veut pas se représenter contre le dirigeant de longue date, Loukachenko.

La leader de l'opposition biélorusse Svetlana Tikhanovskaya ne veut pas se représenter comme candidate à la présidence lors d'une nouvelle élection. "Je n'ai pas l'intention de participer à la course moi-même", a déclaré M. Tikhanovskaya à l'agence Tass. Son mari ne serait pas non plus intéressé. L'ancienne professeur d'anglais s'était présentée à la place de son mari après l'arrestation en mai du blogueur qui critiquait le gouvernement.

Tikhanovskaya est actuellement en exil en Lituanie car elle craint pour sa sécurité et celle de sa famille.

Vendredi, elle a déclaré que, sous certaines conditions, elle voulait retourner dans son pays d'origine. Lundi, elle s'était encore déclarée prête à prendre le pouvoir.

Les Biélorusses n'accepteraient "jamais" Loukachenko comme président, a déclaré Tikhanovskaya vendredi lors de sa première conférence de presse depuis son vol vers la Lituanie. Les Biélorusses voudraient un changement politique. "J'espère que le bon sens prévaudra et que l'appel du peuple sera entendu afin qu'il y ait de nouvelles élections", a déclaré M. Tikhanovskaya. Le peuple biélorusse "ne pardonnera jamais et n'oubliera jamais" la violence qu'il a subie. Tous les Biélorusses vivraient dans la peur. "Mais nous devons surmonter toutes nos craintes et prendre de nouvelles mesures", a exigé la politicienne de l'opposition. Elle a appelé à une nouvelle élection présidentielle. Par l'intermédiaire de son avocat, elle a officiellement demandé vendredi à la Cour suprême biélorusse de déclarer l'élection invalide.

La justice biélorusse a ouvert jeudi des enquêtes criminelles sur le Conseil de coordination mis en place par l'opposition pour apporter un changement pacifique dans la direction politique du pays. Selon les autorités, le conseil viole la constitution. Vendredi, l'avocat Maxim Snak, qui est membre du Conseil, a été interrogé par les autorités de Minsk. Snak, pour sa part, a déposé une requête auprès de la Cour suprême pour annuler l'élection présidentielle, selon la porte-parole de Tikhanovskaya, Anna Krasoulina.

L'UE a vivement critiqué l'action en justice des autorités du Belarus. Un porte-parole du représentant des affaires étrangères de l'UE, Josep Borrell, a déclaré que les enquêtes contre le conseil de coordination doivent être arrêtées. Elle a accusé le gouvernement de Minsk d'"intimider" ses détracteurs.

https://www.france24.com/fr/20200822-l-opposante-tikhanovskaïa-ne-se-présentera-pas-en-cas-de-nouveau-scrutin-en-biélorussie (22 août 2020)

Biélorussie : l'opposante Svetlana Tikhanovskaïa ne se présentera pas en cas de nouveau scrutin

"Je n'ai pas prévu de me présenter moi-même", a-t-elle dit dans un entretien à Belsat TV à la question de savoir si son mari ou elle envisageaient de se porter candidats si une nouvelle élection présidentielle était organisée, comme l'opposition l'a souhaité.

Sortie de l'ombre après l'arrestation en mai de son mari Sergueï Tikhanovski, un blogueur très connu qui s'était porté candidat, Svetlana Tikhanovskaïa a constitué la plus grande menace pour le président Alexandre Loukachenko depuis que celui-ci a accédé au pouvoir en 1994. Elle se trouve désormais à Vilnius depuis que son adversaire a revendiqué une large victoire après le scrutin du 9 août.

Svetlana Tikhanovskaïa, âgée de 37 ans, a dit en avoir "plus qu'assez" de la politique, en réponse à une question en ce sens. L'ancienne professeure d'anglais n'était pas censée devenir la cheffe de file de l'opposition biélorusse, mais l'arrestation de son mari et l'exclusion d'autres candidats ont fait d'elle la principale rivale d'Alexandre Loukachenko.

L'opposante a appelé vendredi à des nouvelles manifestations en Biélorussie dans le but de contraindre les autorités à organiser un nouveau scrutin. Elle a aussi exhorté ses partisans à intensifier les grèves dans les usines. "Je vous demande de continuer et d'étendre les grèves", a-t-elle dit dans son allocution. "Ne vous laissez pas berner par les intimidations."


https://www.challenges.fr/top-news/bielorussie-tsikhanouskaia-rencontre-lundi-le-vice-secretaire-d-etat-us_724009 (22 août 2020)

La cheffe de l'opposition biélorusse en exil, Sviatlana Tsikhanouskaïa, va rencontrer lundi le vice-secrétaire d'Etat américain Stephen Biegun en Lituanie.

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Il y a 9 heures, Wallaby a dit :

https://www.challenges.fr/top-news/bielorussie-tsikhanouskaia-rencontre-lundi-le-vice-secretaire-d-etat-us_724009 (22 août 2020)

 

La cheffe de l'opposition biélorusse en exil, Sviatlana Tsikhanouskaïa, va rencontrer lundi le vice-secrétaire d'Etat américain Stephen Biegun en Lituanie.

Et pourquoi donc?

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Je viens de voir une vidéo où on voie le fils de Lukachenko et lui descendre ce soir de l'hélicoptère d'avant le palace présidentielle...

Les deux équipé de gilet tactique et d'AK et tout en tenu de combat...

 

Ils semble ce radicalisé les deux loustique...

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il y a 10 minutes, gustave a dit :

15 ans je crois. Le chargeur retiré en hélico semble montrer un respect des procédures générales, et peut-être aussi un symbole.

Le gamin même si il est tout fin, semble bien tenir son armement.

École militaire ? Airsoft :biggrin: ?

Lukachenko a chargé son AK le gamin aussi.

 

Ils sont chaud les deux !!!

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