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Russie et dépendances.


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Bon, UNE remarque de plus qui me fait tiquer et tu as droit à un ticket gratuit pour l'orbite basse, BCP. Tes commentaires de troll commencent à sérieusement me les briser menues et si on ajoute à cela tous tes autres "faits d'armes", t'es bon pour le pas de tir.

Après comme le souligne Soyouz, on est pas comme dans le cadre de la France qui d'un coup perd 10 soldats (peu importe l'effectif global) alors qu'une telle perte n'avait jamais eu lieu depuis longtemps, avec les conflits qui ont secoué sa périphérie, la Russie a perdu des hommes de manière assez régulière - impondérable de la guerre - donc 50 soldats en trois attaques... Chiffre pour le moment non confirmé qui plus est bah disons que c'est pas quelque chose d'exceptionnel.

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Ce post est comme l'Iran qui se prépare à se défendre, immortel. :lol: Ceci dit le fond des choses n'a pas changé: il n'y a pas à vue humaine de retour à la Russie d'avant. La Russie remonte la pente, mais le chemin à parcourir pour redevenir une super-puissance sera long. Je ne reviens pas sur les raisons, qui sont avant tout économiques. ;)

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Jojo : oui et non.

Sur le plan économique, technologique, industrielle, stratégique, la Russie a largement de quoi être une super-puissance (peut-être la première si l'on considère les données géo-politiques de base) mais il faut évidemment mettre cela en balance de la démographie, de la culture, des choix politiques et du contexte économique.

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pour redevenir une super-puissance sera long

La notion de super puissance est propre aux discours occidentaux. A l'ouest on ne rêve que de cela, que la Russie se releve et que Poutine tape sur le pupitre de l'ONU avec la chaussure en criant:" Capitalistes aux goulag", car ca permet d'écrire et de publier plein de papier inutiles avec des couvertures rouges sur qui a la plus grosse entre US et la Russie, sachant d'avance qu'on finira par écrire :"Ben c'est les States leur budget militaire est comme ca ( :O )".On en a rien à battre de se qui se passe de l'Estonie au Nikaragua, qu'au Soudain on se decoupe, que les americains n'ont pas de couverture medicale. C'est pas le probleme des russes.

Ni Poutine, ni Medveded, ni Ivanov n'ont jamais evoqué le terme de "superpuissance" et de "comment on va les casser aux americains". Il s'agit surtout de defendre ses propres interets et ainsi que plus territoire du monde qu'on tente de diviser en petits morceaux pronnant les etats 'démocatiques' par ci par là.  Le probleme de russes c'est quand on lui dit quel president serait meilleur pour leur pays, quels tarifs il faut adopter sur les hydrocarbures, quand certains Etats financent des soulevements dans ses Republiques qui composent la Federation de Russie, quand on arme le pays d'à coté et qu'on lui prepare ses militaires pendant 3 ans dans le but de destabiliser la region. Ca c'est notre probleme. Puisque les gens ne comprennent rien de maniere normale, il faut montrer sa force. Les temps de Jesus sont terminés, on est plus dans :" On te frappe sur la joue droite tend l'autre", on est plutot "On t'a frappe sur une joue? Tend lui l'autre mais prepare ton poing pour lui faire cracher 3-4 dents".

Oui la Russie n'a pas l'argent pour devenir une superpuissance et ce n'est d'ailleur pas son objectif. L'objectif c'est de se faire une reputation pour qu'il n'y ait pas de premier coup sur la joue et qu'on laisse tranquille la Rodina.

Les Etats Unis sont la superpuissance par defaut, c'est dans leur nature de s'affirmer en humiliant et s'affichant en tant que plus forts, en intimidant, leur pouvoir c'est l'argent ouai, car avec l'argent on a ce qu'on veut, de l'arme jusqu'au pot de vin.

la Rodina EST immortelle

Da!!!!

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La russie d'avant : non, l'URSS ne risque pas de revenir et "l'aura" idéologique, qui en faisait une superpuissance en opposition à la superpuissance américaine, est morte.

Une autre Russie : oui, mais pour l'instant avec de graves problèmes dont celui d'une armée à reconstruire.

"Dans son livre posthume, Qu'ai-je fait, publié en France il y a quelques jours, la journaliste Anna Politkovskaïa consacre nombre de pages à décrire le quotidien souvent tragique des conscrits russes entre 2000 et 2006 : leurs conditions de vie misérables ; l'arbitraire effrayant dont ils sont les victimes au sein d'une armée qui en 2006 perdait toujours près de 1 000 soldats par an dans les casernes, morts assassinés ou par accident, selon des chiffres du parquet militaire. Elle évoque notamment l'histoire terrifiante d'Andreï Sytchev, amputé des jambes et des parties génitales, après avoir été tabassé par des aînés ivres en janvier 2006. Les choses ont-elles fondamentalement changé depuis la mort d'Anna ? L'arrivée à la défense du ministre Anatoli Serdioukov, réputé plutôt réformateur, pourra-t-elle mettre fin à la crise profonde de la conscription ?

Certains experts, comme Thomas Gomart, qui publie chez Carnegie un livre sur les relations civilo-militaires en Russie, jugent que l'amélioration des finances et le passage à un service de douze mois ont permis une amélioration du quotidien des soldats et donc du recrutement. Mais l'état moral et matériel des troupes semble rester précaire. Les vidéos de soldats, mises en ligne par leurs soins sur YouTube, et les montrant pillant des bases militaires géorgiennes en s'étonnant du luxe dans lequel vivait l'armée ennemie, avec ses «supercasernes» alors que «nous vivons comme des clochards», en dit long. Les Russes continuent de fuir à 40 % une armée considérée comme une menace pour les appelés. Malgré la propagande «patriotique», seuls les milieux défavorisés servent en masse. «Le bizutage ne peut cesser, regrette le journaliste russe Alexandre Golts, car chez nous ce n'est pas une enfreinte à la discipline, c'est un moyen - barbare - de l'assurer. Nous n'avons toujours pas de corps de sous-officiers professionnels.» L 'en­gagement de Medvedev à construire une armée «prête au combat», et donc à terme «entièrement professionnelle», apparaît toutefois à Golts comme un signal «positif, au milieu d'autres décisions folles reprenant les vieilles méthodes». «Une bataille est en cours», dit-il, décrivant une institution non monolithique."

http://www.lefigaro.fr/international/2008/10/10/01003-20081010ARTFIG00021-l-arbitraire-alimente-le-malaise-de-l-armee-russe-.php

S'il a triomphé de la petite armée géorgienne sans grandes difficultés, l'ours militaire russe reste englué dans des affres matérielles et morales qui limiteront sans doute sa capacité à se lancer dans une nouvelle guerre froide avec les États-Unis.

Depuis la campagne militaire éclair menée par Moscou au mois d'août dernier en Ossétie du Sud, l'heure est officiellement à l'eu­phorie au sommet de la hiérarchie militaire russe et du pouvoir. Grisés par «le coup à la tête» qu'ils ont infligé en cinq jours à la petite armée géorgienne, selon les propres mots de Vladimir Poutine, les dirigeants relayés par des médias télévisés unanimes ne cessent d'annoncer le «grand retour» de la puissance militaire russe sur la scène mondiale. Des émissions sur les nouveaux muscles de l'ex-Armée rouge défilent sur les écrans, tandis que la rhétorique guerrière bat son plein avec l'objectif de contrer «l'encerclement de la Russie par l'Otan». Le tapis rouge déroulé sous les pieds de l'éruptif Hugo Chavez par le Kremlin, et l'annonce d'une coopération militaire russo-vénézuélienne qui devrait déboucher sur des manœuvres communes, à la barbe de l'Amérique, participe de cette fièvre d'affirmation du nouveau «rôle mondial» que se voit jouer la Russie.

Alors que les bombardiers stratégiques russes n'hésitent plus à aller chatouiller les nerfs de leurs homologues européens et américains, en menant des patrouilles à la limite de leurs espaces aériens, le président Medvedev a d'ailleurs annoncé fin septembre une hausse substantielle du budget de la défense et une grande réforme de l'armée, présentée comme «la plus haute des priorités d'État».

L'effort financier en faveur de la Défense devrait s'élever à près de 50 milliards de dollars en 2009, soit une augmentation de 22 %. Le budget de la Défense n'a cessé d'augmenter depuis l'arrivée de Poutine aux affaires, mais reste cependant modeste, au regard des 700 milliards de dollars du budget militaire américain. Et ce d'autant que l'utilisation réelle des dépenses votées reste très opaque, notait au printemps un rapport de l'ancien ministre réformateur Boris Nemtsov, qui insistait sur la corruption des forces armées.

Selon la plupart des rapports officiels russes, l'effort mené par le gouvernement depuis le début des années 2000 aurait pourtant déjà porté ses fruits, vu les résultats obtenus en Géorgie. L'armée russe est apparue plutôt mieux tenue et plus efficace qu'en Tchétchénie, où «l'opération de rétablissement de l'ordre constitutionnel» avait révélé la confusion et l'inquiétante décomposition d'une institution livrée à elle-même. «Ce qui est nouveau, note l'expert russe indépendant Alexandre Golts, d'ordinaire très critique, c'est que les militaires ont réussi à mobiliser des unités entières relativement préparées, et pas des assemblages hétéroclites de conscrits sans expérience.» «C'est le résultat de la réforme militaire en cours, qui a consisté à accélérer le passage d'une armée de conscription à un système mixte privilégiant les militaires sous contrat», précise-t-il.

Alexandre Golts, qui en cela partage l'avis de nombre d'experts occidentaux, reste cependant très sceptique sur la renaissance de l'armée russe. Derrière le «succès militaire» de Géorgie, se profile, selon lui, un bilan beaucoup plus mitigé, révélateur des problèmes graves et persistants de l'institution. Les matériels, vieux d'au moins 25 ans, ne correspondent pas aux exigences de la guerre moderne, leur blindage serait incapable de protéger efficacement les équipages contre les armes antichars. Certaines ru­meurs affirment même qu'au moins 15 % des véhicules envoyés en Ossétie du Sud n'auraient jamais passé le tunnel de Roki, en raison de pannes diverses. «Il faut surtout savoir que l'armée russe n'a pas de moyens de télécommunications et de reconnaissance modernes, ce qui la condamne à se battre à l'aveugle», souligne Alexandre Golts, qui voit là l'explication de l'embuscade dans laquelle est tombé le général Anatoli Khrouliov, patron de la 58e armée qui s'est battue en Ossétie du Sud. Aucun travail de reconnaissance n'ayant été effectué, le haut gradé a été blessé et évacué à la hâte. Aucun drone russe n'a participé à l'opération.

«L'armée russe se bat comme pendant la Seconde Guerre mondiale. Il est par exemple frappant qu'aucun hélicoptère n'ait participé aux combats», insiste Golts. Christopher Langdon, qui suit les questions militaires russes à l'Institut d'études stratégiques de Londres, parle d'une guerre gagnée «grâce à la supériorité écrasante du nombre». Il souligne les pertes importantes de l'aviation (4 avions, dont un bombardier TU 22). «Les forces russes ont eu à se battre dans un environnement d'infériorité technique», a carrément affirmé l'analyste russe Konstantin Makiyenko. Un bilan partiellement repris par de hauts gradés, comme le général Popovkine.

Décidé à réagir, Moscou annonce un vaste programme de relance de l'industrie de défense. Mais là encore, Golts est sceptique car les bureaux militaires censés travailler sur de nouvelles armes s'appuient toujours sur des schémas soviétiques, nouveaux pour l'armée russe, mais déjà dépassés, affirme-t-il. Il explique aussi que pour construire les 1 500 pièces qui permettent la construction d'un avion moderne, existaient jadis des centaines de sous-traitants qui ont disparu dans la débâcle de la fin de l'URSS. Tout cela rend la relance d'une véritable guerre froide plus qu'improbable à court terme, juge-t-il. En estimant que, pour refaire de la Russie un véritable concurrent militaire de l'Amérique, il faudrait porter l'effort militaire à 40 % du budget national, contre 2,5 à 4 % aujourd'hui.

http://www.lefigaro.fr/international/2008/10/10/01003-20081010ARTFIG00020-l-armee-russe-se-remuscle-mais-reste-un-monde-en-crise-.php

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Russie-Inde: une coopération stratégique unique (sécurité nationale indienne)

NEW DELHI, 23 octobre - RIA Novosti. La coopération stratégique avec la Russie occupe une place particulière dans la politique extérieure indienne, a déclaré jeudi le conseiller du premier ministre indien pour la sécurité nationale M.K.Narayanan.

Le secrétaire du Conseil de sécurité de Russie Nikolaï Patrouchev s'est rendu le 21 octobre en Inde pour une visite de 4 jours pour aborder avec la partie indienne des questions de coopération bilatérale, de sécurité, d'énergie et de lutte contre le terrorisme.

"L'Inde souligne que le partenariat stratégique avec la Russie est tout-à-fait unique", a relevé M Patrouchev à l'issue d'une rencontre avec le conseiller du premier ministre indien pour la sécurité nationale M.K.Narayanan, précisant que ces derniers temps beaucoup de partenaires de la Russie avaient cru en elle et tenté de renforcer leurs liens avec Moscou.

D'après lui, au cours des consultations, les parties ont abordé la situation dans le Caucase, et l'Inde "comprend entièrement les problèmes que la Russie résout" dans cette région et lui offre son soutien.

De plus, l'Inde a exprimé un vif intérêt pour l'échange d'informations sur l'Afghanistan et le Pakistan avalisant de surcroît toute forme de coopération dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et le trafic des stupéfiants.

La Russie et l'Inde se sont mises d'accord sur l'élargissement des programmes dans le cadre des travaux de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) et du BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine).

En outre, la prochaine visite du président russe Dmitri Medvedev en Inde prévue pour début décembre 2008 devrait être remplie d'évènements de toutes sortes visant à renforcer les relations bilatérales.

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  • 4 weeks later...

ESTONIE •  L'espion venait de la Baltique

http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=91835

Profitant du poste clé qu'il occupait au ministère de la Défense, un Estonien a transmis des documents confidentiels de l'OTAN aux services secrets russes. Son arrestation n'a pas fini de faire des vagues au sein de l'Alliance.

L'espion présumé et son officier traitant communiquaient comme au temps de la guerre froide. Pour échanger des nouvelles avec son contact russe, Herman Simm, 61 ans, se servait d'une radio trafiquée qui ressemblait à première vue à une relique. Ce que cet homme grisonnant, qui avait un poste important au ministère de la Défense estonien, a transmis pendant des années à Moscou était en revanche de la première actualité. Il a été arrêté le 21 septembre.

L'affaire s'est déroulée à Tallinn, la capitale de l'Estonie, mais elle concerne avant tout l'Union européenne (UE) et l'OTAN à Bruxelles. Herman Simm s'occupait de la gestion des documents confidentiels. Il avait donc accès à presque tous les documents qui étaient échangés au sein de l'UE et de l'OTAN. En résumé, comme le suppose un fonctionnaire proche de l'enquête, "pratiquement tout" ce qui a circulé entre les Etats membres, y compris les analyses confidentielles de l'OTAN sur la crise du Kosovo, la guerre en Géorgie et le programme de défense antimissile, est allé au SVR, le service des renseignements extérieurs russe.

Herman Simm est donc ce qu'on appelle un "gros poisson". Depuis la fin de la guerre froide, aucune affaire d'espionnage n'a eu de répercussions aussi vastes.

Le cas illustre à quel point l'élargissement de l'OTAN et de l'UE vers les pays de l'Europe de l'Est a rendu ces organisations vulnérables. Quand est tombée la décision d'intégrer la petite Estonie et ses 1,3 million d'habitants (en même temps que six autres pays) dans l'OTAN et dans l'UE, en 2004, Peter Struck, le ministre de la Défense allemand de l'époque, s'est réjoui de ce grand "pas vers une Europe libre et unie, vers une sécurité accrue" et vers "une OTAN renforcée". On voit aujourd'hui à Tallinn le revers de ce succès politique. Au sein de l'Alliance, en ce qui concerne les informations sensibles, l'Estonie est traitée à égalité avec l'Italie ou l'Allemagne, par exemple. Pour une grande puissance comme la Russie, qui rejette l'OTAN depuis toujours et voit avec méfiance l'élargissement à l'est de l'UE, la Baltique constitue une parfaite porte d'entrée pour parvenir jusqu'au cœur de Bruxelles en prenant un risque limité. Et c'est ce qui s'est passé sans problème avec l'aide de Herman Simm.

Les enquêteurs pensent que celui-ci entretenait des contacts avec les services secrets russes depuis la fin des années 1980. Mais "il a été véritablement recruté par le gouvernement russe au milieu des années 1990", estime Jaanus Rahumägi, qui préside la commission parlementaire estonienne sur les organes de sécurité, c'est-à-dire au moment où l'entrée de l'Estonie dans l'OTAN commença à être sérieusement envisagée. Dans son pays, la carrière de Herman Simm a été rapide. Chef de la police en 1994, il est ensuite devenu chef de département au ministère de la Défense, où il était responsable de la coordination secrète entre l'OTAN et l'UE. Quand l'Estonie a rejoint l'OTAN, en 2004, il occupait un poste qui valait de l'or pour Moscou.

Pour l'heure, l'OTAN s'efforce de "déchiffrer l'écriture des Russes", comme on dit à Bruxelles. L'affaire devrait avoir un impact considérable sur la gestion du matériel classifié au sein de l'Alliance et entraîner une enquête poussée pour trouver d'autres fuites en Europe de l'Est. "On doit partir du principe que les services secrets russes ont encore quelques Simm dans les Etats baltes", confie un fonctionnaire de l'OTAN, alors que l'enquête en est à son tout début.

Holger Stark

Der Spiegel

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Faut être logique, toute personne qui à passé une grande partie de sa carrière à l'époque communiste en Europe de l'Est et dans l'ex URSS était ''fiché'' par les diverses polices politiques de l'époque. Les services russes doivent avoir des moyens de pression sur nombres de dirigeants est européens...

Sinon, quelqu'un à noté le retour officielle de la censure en Russie annoncé il y 2 ou 3 jours ? Les journalistes écrivant des articles pouvant paniqué la population sont prié de n'en rien faire  >:(

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En résumé, comme le suppose un fonctionnaire proche de l'enquête, "pratiquement tout" ce qui a circulé entre les Etats membres, y compris les analyses confidentielles de l'OTAN sur la crise du Kosovo, la guerre en Géorgie et le programme de défense antimissile, est allé au SVR, le service des renseignements extérieurs russe.

Et comme il y a certainement également un Simm au sein de l'EM géorgien, on comprend mieux comment la Russie a pu mener une guerre-éclair contre ce pays en août dernier...

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Et comme il y a certainement également un Simm au sein de l'EM géorgien, on comprend mieux comment la Russie a pu mener une guerre-éclair contre ce pays en août dernier...

Çà, c'est un coup en traitre.  :lol:

Çà sous-entend que les services de renseignement russes sont assez mauvais pour avoir laissé lancer une campagne très mitigée au bilan plutôt moyen s'ils avaient, outre l'avantage du nombre, celui de l'information.

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La réforme de l'armée russe exaspère les militaires

il y a 21 min-LeMonde.fr

Réduction des effectifs, refonte de la chaîne de commandement, ventes de terrains et d'immeubles, fermetures des instituts et des académies : la réforme de l'armée dévoilée le 14 octobre par le ministre russe de la défense, Anatoli Serdioukov, est à l'origine d'une vague de mécontentement chez les gradés. "Je le vois bien autour de moi, les officiers ont une dent contre le pouvoir en place. Ils n'ont aucune confiance. L'armée attend son chef", confie Viktor Baranets, un colonel de réserve, aujourd'hui analyste militaire pour le quotidien à grand tirage Komsomolskaïa Pravda. Lire la suite l'article

Vieux serpent de mer de la vie politique russe, la réforme de l'armée, en gestation depuis vingt ans, a pris une tournure concrète avec l'annonce d'un grand dégraissage. D'ici à 2012, 200 000 officiers seront mis à pied, 140 000 sous-officiers devront partir à la retraite ou se reconvertir. Les généraux ne sont pas épargnés : 200 d'entre eux - sur un total de 1 104 - sont invités à partir. Il est vrai que l'armée russe, avec en moyenne un officier pour deux soldats, compte une pléthore de gradés.

L'inquiétude est grande chez les professeurs des académies militaires et parmi le personnel médical car, là aussi, des coupes importantes ont été annoncées. Sur 70 établissements d'enseignements militaires, dix seulement seront conservés. Personne ne croit aux cours "de requalification en quatre mois" promis en haut lieu. L'annonce de la construction de logements "en Sibérie et en Extrême-Orient" pour les familles des militaires mis à pied a été du plus mauvais effet, assimilée à un exil forcé.

"Tout se fait en catimini, sans consultations. C'est comme si le pouvoir en place, où figurent pas mal de représentants des services de sécurité, avait peur de l'armée et, pour cette raison, voulait la réformer", déplore un sous-officier, soucieux de garder l'anonymat. "Notre peuple est prêt à tout endurer mais la moindre des choses est de lui expliquer au nom de quoi on fait tout cela", affirme Edouard Vorobiev, un général-colonel à la retraite, chargé jadis de l'évacuation du contingent soviétique de Tchécoslovaquie.

Ces voix n'ont pas été entendues, l'état-major a décidé de serrer la vis. Le 11 novembre, son chef, le général Nikolaï Makarov, a interdit la diffusion d'informations sur la réforme ainsi que les contacts des militaires avec les médias.

Témoin du mécontentement ambiant, trois généraux de haut rang - Valentin Korabelnikov, numéro un du renseignement ; Vladimir Issakov, en charge des lignes arrière, et Vladimir Gochkodera du commandement général - ont déjà remis leur démission, affirme le quotidien Kommersant du 29 novembre. Récemment, à Mourmansk, des officiers et sous-officiers sont sortis dans la rue, ont interrompu le trafic routier sur une artère pour crier des slogans contre la réforme. L'état-major dément.

La réforme est une véritable révolution. Elle prévoit la suppression des divisions traditionnelles, remplacées par des brigades aux effectifs réduits, plus mobiles. "La double chaîne de commandement va être abolie. La guerre en Tchétchénie (1994-2004) et le conflit d'août dans le Caucase (du 7 au 12 août) ont prouvé que ce système, créé dans les années 1960, est si lourd et compliqué qu'il empêche toute prise de décision rapide", a expliqué Nikolaï Makarov lors d'une conférence de presse à Moscou.

La guerre en Géorgie a servi de révélateur. Grâce à sa supériorité aérienne, Moscou a gagné mais les leçons ont été tirées. "L'infanterie, l'aviation, la défense antiaérienne sont dans un état déplorable", rapporte Viktor Baranets. Il rappelle que six avions ont été abattus par la défense antiaérienne de l'ennemi, dont un Tupolev 22, un bombardier stratégique à long rayon d'action, véritable forteresse volante, envoyé sur le terrain non pas pour bombarder mais à des fins de reconnaissance.

La vulnérabilité de l'armée est apparue dès les premières heures de l'opération d'août, quand le général Khroulev, à la tête de la colonne de blindés qui faisait route vers Tskhinvali, la capitale ossète du sud, a été grièvement blessé par des tirs géorgiens. Peu de temps auparavant, son unité avait tenté d'entrer en contact avec la hiérarchie moscovite, en vain. Les appareils de communications, vétustes, ne fonctionnaient pas. Finalement la liaison a pu se faire grâce au téléphone satellite d'un journaliste qui suivait la troupe.  :O

Un autre volet de la réforme prévoit la modernisation des équipements et de l'armement. Lundi 1er décembre, le vice-premier ministre russe, Sergueï Ivanov, a annoncé que la Russie allait bientôt produire en série son nouveau missile intercontinental, le "Boulava", censé équiper les sous-marins de la flotte russe, même si, testé depuis 2005, ce dernier n'est pas encore tout à fait au point.

Là, les patriotes en épaulettes apprécient. "Nous devons avoir la possibilité de porter des coups sur le territoire de l'agresseur, la réforme militaire doit se faire dans cet esprit", explique le général de réserve Leonid Ivachov, aujourd'hui président de l'Académie des problèmes géopolitiques. De quel agresseur parle-t-il ? Les Etats-Unis ? L'Europe ? "L'Occident ne sera jamais l'ami de la Russie. C'est un mensonge diffusé là-bas mais la guerre d'août a montré combien c'était faux", affirme le vieux général. Il plaint "les pauvres habitants des pays de l'OTAN, si mal informés".

La condamnation de l'Occident fait l'unanimité. Selon Viktor Baranets : "Sarkozy et Medvedev peuvent toujours s'embrasser, nos intérêts seront toujours divergents." Quant aux pays de l'ancien glacis soviétique, comme la Pologne et les républiques baltes qui ont rejoint l'OTAN "dès que l'armée aura retrouvé sa puissance de l'époque soviétique, ils reviendront à genoux nous supplier d'être nos alliés".

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Au fond, entre américains ou russes, aucune différence si ce n'est que la Russie ne déclenche pas des guerres pour stimuler son économie, et trouver des contrats pour ses compagnies pétrolières, au motif d'exporter la démocratie et la liberté.

Le résultat est le même, les plus petits doivent se taire devant l'avidité des pus grands.

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Invité barbaros pacha

Déçue par l'Europe, la Turquie fait les yeux doux au Kremlin


Image IPB



Se sentant repoussé par l'UE et traité en subalterne par la puissance militaire américaine, le pouvoir turc retrouve ses réflexes ottomans, s'autonomise et entend traiter d'égal à égal avec Bruxelles et Moscou.

L'Europe et la Russie devraient signer un «nouveau Yalta». Pour ce haut représentant de l'AKP, le parti islamiste au pouvoir en Turquie, il s'agirait, ni plus ni moins, de geler définitivement l'adhésion de l'Ukraine et de la Géorgie à l'Otan, et celle, Croatie exceptée, de tous les États balkaniques à l'Union européenne. Le propos, tenu devant une poignée de journalistes et diplomates occidentaux récemment réunis par le German Marshall Fund à Istanbul et Ankara, a de quoi marquer les esprits. Par cette formule de «nouveau Yalta», il est difficile de mieux complaire aux Russes, qui affirment qu'un glacis de pays neutres doit protéger leur nation de l'expansion de l'Union européenne et de l'Otan.

Comment un élu, proche du premier ministre turc, peut-il exprimer une position à ce point contraire à la tradition diplomatique et aux alliés de son pays, membre de l'Alliance atlantique et candidat reconnu à l'adhésion à l'UE ? Certes, l'aigreur, notamment vis-à-vis de la France pour qui la Turquie n'a pas vocation à intégrer l'UE, est perceptible dans toutes les couches de la société turque. De même les élites militaires d'Istanbul ne cachent-elles pas avoir été déçues par l'Amérique, depuis que le président George W. Bush, pour les besoins de sa guerre, a conforté un pouvoir kurde dans le nord de l'Irak.

Pour autant, loin de céder à une simple réaction épidermique, ce dignitaire de l'AKP, favorable à un nouveau partage des rôles sur le continent euro-asiatique, décrit un mouvement de fond qui, peu à peu, charrie responsables islamiques de l'AKP, cercles militaires, élites laïques «progressistes» et tout un peuple travaillé par ses pulsions nationalistes : se sentant repoussée par l'Europe et traitée en subalterne par la puissance militaire américaine, la Turquie, retrouvant ses réflexes ottomans, s'autonomise et entend traiter d'égal à égal avec l'Europe et la Russie.

À tous les étages de l'immeuble du ministère des Affaires étrangères d'Ankara, les frontières du pays sont censées expliquer la frénésie diplomatique qui a saisi la Turquie.

Pouvoir d'influence
«Nous utilisons notre soft power», répètent les diplomates, en utilisant un pouvoir d'influence qu'aime à s'attribuer l'Union européenne. Au sud, la Syrie et l'Irak justifient les missions de bons offices avec Israël. La paix au Proche-Orient et les tensions avec Washington obligent également à entretenir le dialogue avec l'Iran ; plus loin, regardant vers des «profondeurs stratégiques» pendant des décennies oubliées, la Turquie tente de rapprocher Afghanistan et Pakistan. Avec l'Arménie et la Géorgie, c'est la paix dans le Caucase qui est en jeu, la sûreté en mer Noire, et le dialogue avec la Russie. Enfin à l'Ouest, vers l'Europe, voilà les Balkans où la diplomatie turque aime à rappeler que les Russes ont des devoirs pour mieux rappeler ses anciennes prérogatives ottomanes.

Au ministère des Affaires étrangères turc, on parle volontiers d'une Russie qui s'est sentie «humiliée» par l'Occident et qui aujourd'hui «a gagné en confiance». Il y a de l'autoportrait dans cette description. Toujours est-il que les diplomates d'Ankara, une fois souligné que la Russie est le premier partenaire commercial de leur pays, indiquent que la reconnaissance de l'indépendance du Kosovo a créé un dangereux précédent, qu'il n'y a aucune urgence à intégrer l'Ukraine dans l'Otan, et qu'il convient, plus que tout avec la Russie, de «maintenir le dialogue», «parler coopération» et «engager des projets économiques». Sans doute est-ce cette vision qui a conduit la Turquie à inviter la Russie dans le projet Nabucco, cette route énergétique partant d'Iran dont l'objet, vue d'Europe, est de tenir à l'écart le pays de M. Poutine…

Nécessaires contorsions
Certes, pas un diplomate turc ne remet en cause un ancrage, célébré, de leur pays dans l'Otan. Mais cette alliance avec l'Ouest contraint la Turquie à certaines contorsions. Ainsi pendant la crise géorgienne, Ankara a-t-il autorisé le passage de navires militaires américains chargés d'aide humanitaire dans la mer Noire, non par solidarité entre membres de l'Alliance atlantique, mais au nom du très restrictif traité de Montreux, signé par les États riverains de cette mer, donc par la Russie.

La Turquie a d'autant plus vivement redécouvert l'intérêt d'une entente avec Moscou, qui la fournit en énergie, qu'elle s'est sentie rejetée par l'Europe. Cengiz Çandar, éditorialiste au journal Radikal, assure que «la Turquie attend une reconfirmation officielle qu'elle deviendra bien membre de l'UE si elle remplit tous les critères d'adhésion». De fait, les diplomates d'Ankara disent attendre une déclaration en bonne et due forme lors d'un Conseil européen. «Avant une claire indication sur notre adhésion à l'Europe, il n'y aura pas de solution à Chypre», ajoute Ferai Tinç, éditorialiste au quotidien al-Hurriye.

C'est «la crédibilité de l'Europe qui a été mise en doute», assure un ministre turc, pour expliquer que son pays a sérieusement ralenti le rythme des réformes devant le placer sur la voie de l'intégration. La Commission européenne vient d'ailleurs d'inviter Ankara à «renouveler ses efforts» pour se rapprocher de l'Union européenne. Des regrets qui n'ont ému personne à Ankara.

>>> http://www.lefigaro.fr/international/2008/12/03/01003-20081203ARTFIG00434-decue-par-l-europe-la-turquie-fait-les-yeux-doux-au-kremlin-.php
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Au fond, entre américains ou russes, aucune différence si ce n'est que la Russie ne déclenche pas des guerres pour stimuler son économie, et trouver des contrats pour ses compagnies pétrolières, au motif d'exporter la démocratie et la liberté.

Le résultat est le même, les plus petits doivent se taire devant l'avidité des pus grands.

Tu peux me rappeler combien d'arme russe ont servies dans les conflits.

Pour déclencher des conflits, regarder en Géorgie, pour soi disant aider leurs frères, ils n'ont pas hésiter à aller en guerre.

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Il fut un temps où on trouvait autant de FAL et de MAS en Afrique que de Kalash, mais nous savons tous que l'armement russe est simple et rustique, bien plus adapté aux guerres des proxy que les M16 chers et difficiles à entretenir. Les américains n'ont pas hésité à payer des armes russes à leurs pantins, en Afrique ou en Asie, pour les raisons que je cite plus haut. En Géorgie, c'est les troupes de Sakashvili qui ont commencé les bombardements au Grad, se croyant fortes du soutien US.

De plus la guerre ne Géorgie n'a pas servi à récolter plus de commander auprès de Sukhoi ou de Mig, et le hostilités ne se poursuivent pas, comme c'est le cas en Irak ou la guerre fait rage depuis 2003.

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Après l'envoi de navire pour lutter contre les pirates, la Russie envoie maintenant 4 hélicos et 200 soldats pour participer à la mission de l'UE au Tchad

Russia sends helicopters, peacekeepers to Chad

MOSCOW, December 8 (RIA Novosti) - A Russian An-124 Condor heavy transport plane has delivered four helicopters along with personnel to Chad to take part in an EU-led mission to support UN peacekeeping efforts in the country, an Air Force spokesman said on Monday.

Russia signed an agreement with the EU on November 5 on the deployment of a 200-strong peacekeeping contingent and four Mi-8MT helicopters in the Central African region for up to a year.

"The An-124 plane delivered four Mi-8MT helicopters and over 30 personnel, including helicopter crews and technicians, who will soon begin assembling the aircraft," Col. Vladimir Drik said.

According to Drik, the transport plane made an eight-hour non-stop flight from a military airfield in central Russia to the capital of Chad, Ndjamena, carrying over 40 tons of cargo.

Russian transport planes have so far delivered over 200 tons of cargo, more than 80 personnel, five vehicles, and four helicopters as part of a Russian peacekeeping contingent in Chad.

In addition, Russia already has a helicopter support group deployed in neighboring Sudan. The unit comprising 120 personnel and four Mi-8 helicopters provides transport and rescue services for UN military observers in Sudan.

The foreign ministers of the 27 EU-member states approved in April a plan to send a peacekeeping mission to Chad and the Central African Republic, through five years of clashes between Chadian rebels and government troops trying to oust President Idriss Deby, who seized power in 1990.

Over 700 people, including 400 civilians, were reported to have died in February this year following fighting triggered by a rebel assault on Ndjamena.

The EUFOR contingent, comprising 3,700 personnel from 14 EU countries, began a year-long UN humanitarian mission in March to help protect the civilian population and provide humanitarian aid in the country's troubled eastern region.

Chad gained independence from France in 1960. Since 2003, Chad and Sudan have accused each other of inciting conflict on their common border, which includes most of the troubled west Sudanese region of Darfur.

http://en.rian.ru/russia/20081208/118749208.html

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Il fut un temps où on trouvait autant de FAL et de MAS en Afrique que de Kalash, mais nous savons tous que l'armement russe est simple et rustique, bien plus adapté aux guerres des proxy que les M16 chers et difficiles à entretenir. Les américains n'ont pas hésité à payer des armes russes à leurs pantins, en Afrique ou en Asie, pour les raisons que je cite plus haut. En Géorgie, c'est les troupes de Sakashvili qui ont commencé les bombardements au Grad, se croyant fortes du soutien US.

De plus la guerre ne Géorgie n'a pas servi à récolter plus de commander auprès de Sukhoi ou de Mig, et le hostilités ne se poursuivent pas, comme c'est le cas en Irak ou la guerre fait rage depuis 2003.

En Irak les américains occupent un pays hostile et sont beaucoup trop gentils...

En Abkasie-Ossétie les russes occupent un pays ami...

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En Irak les américains occupent un pays hostile et sont beaucoup trop gentils...

En Abkasie-Ossétie les russes occupent un pays ami...

La Russie n'occupe personne en Ossétie, elle garantit aux ossètes qu'ils ne se feront pas exterminer à la roquette par un autre larbin de Washington. Si Moscou peut en plus s'en servir pour éloigner les américains de ses frontières, c'est son droit, c'est même une très bonne chose a mon avis, il est temps de retrouver un peu d'équilibre, les US ont pris beaucoup trop de libertés avec les pays plus faibles depuis la fin de la WWII.

Je ne reparlerai plus de l'Irak içi, nous sommes HS/ mais ça me scandalise quand tu dis qu'ils sont beaucoup trop gentils.

La guerre en Irak est illégale, elle a été déclenchée pour faire vendre des armes, amasser du pétrole, décrocher des contrats indécents, pour les sociétés de mercenaires et de construction. Les américains sont très loin d'être gentils, ils ont laissé piller le musée de Baghdad, patrimoine mondial de l'humanité, pendant que devant le ministère de l'énergie, il y avait tellement de Bradleys que ça devenait presque rigolo. Les américains tirent au Tomahawk, Hellfire et Bushmaster quand un tireur embusqué, en zone résidentielle, leur pose problème. Donc gentils... tu dois aimer voir couler le sang toi!

Fin du HS, si tu veux, on continue sur le thread réservé à l'Irak.

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CUBA •  Navires de guerre russes à La Havane

http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=92697

Un groupe de navires de guerre russes de la Flotte du Nord, avec à leur tête le croiseur nucléaire Piotr Veliki et le bâtiment de lutte anti-sous-marine Amiral Tchabanenko, va se rendre à La Havane, capitale de Cuba, du 19 au 23 décembre 2008. "Depuis la chute de l'Union soviétique, des navires de guerre russes n'ont jamais été aussi près des côtes des Etats-Unis", soulignent les Izvestia de Moscou. Ces navires avaient participé à des manœuvres militaires avec la flotte vénézuélienne début décembre. Ils ont plus récemment accompli une "visite humanitaire" au Nicaragua en apportant des médicaments, des vêtements, des tentes et autres fournitures pour une valeur de 200 000 dollars (147 000 euros) aux victimes de cyclone. Durant sa présence à La Havane, le commandement russe va rencontrer les chefs des forces navales cubaines, le maire de La Havane et les représentants de l'ambassade de Russie. En outre, la population de la capitale cubaine aura la possibilité de visiter les navires russes.

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Pendant ce temps-là, le FSB ne chome pas :

"La Russie a arrêté cinq Russes et un Géorgien qu’elle accuse d’espionnage pour le compte de la Géorgie, rapporte jeudi l’agence Interfax. Le directeur du Service fédéral de sécurité (FSB), Alexandre Bortnikov, a déclaré qu’il s’agissait d’un réseau d’agents des services spéciaux géorgiens opérant en Russie. Le ressortissant géorgien appartient aux renseignements extérieurs de Tbilissi, a-t-il ajouté. A Tbilissi, le président de la commission parlementaire de la Défense, Givi Targamadze, a démenti toute implication de la Géorgie dans cette affaire."

source :

http://www.lejdd.fr/cmc/scanner/international/200851/un-reseau-d-espions-pro-georgiens-en-russie_173502.html

"En 2008, le Service fédéral de Sécurité (FSB) a mis fin à l’activité de 48 employés et 101 agents des services secrets étrangers opérant sur le territoire russe, a annoncé jeudi le directeur du FSB Alexandre Bortnikov lors de sa traditionnelle rencontre avec les journalistes russes.

"Dans le cadre de la lutte contre le renseignement étranger, nous avons mis fin à l’activité de 48 employés et de 101 agents des services secrets étrangers, dont 76 étrangers et 25 citoyens russes. Plusieurs d’entre eux ont été pris en flagrant délit. 9 étrangers ont été extradés", a déclaré M. Bortnikov à l’occasion de la journée des travailleurs des organes de sécurité.

Selon lui, un réseau d’espionnage géorgien a été démantelé en début d’année, et son organisateur arrêté."

source :

http://fr.rian.ru/russia/20081218/118926326.html

"Quinze services secrets de treize pays peuvent se servir de la base de données internationale du Service fédéral de Sécurité de Russie (FSB), a annoncé jeudi à Moscou le directeur du FSB Alexandre Bortnikov.

"Le FSB russe a notamment coopéré avec les Services de sécurité d’Ukraine et la police nationale des Pays-Bas pour arrêter le ressortissant russe Koniouchko et les Ukrainiens Levtchenko et Iourtchenko, impliqués dans le détournement de fonds d’établissements financiers allemands et néerlandais", a indiqué M.Bortnikov.

La coopération avec les services secrets kazakh et ukrainien a également permis d’arrêter un certain Lopoukhine, citoyen russe, pour création, utilisation et distribution de logiciels malicieux. "Il lançait des attaques contre les sites internet de banques russes et étrangères, de médias et de magasins de vente en ligne, avant de leur proposer de rétablir le fonctionnement de leurs sites contre rémunération", a noté le responsable.

Le FSB russe a également aidé le ministère azerbaïdjanais de la sécurité nationale à retrouver les personnes impliquées dans l’organisation d’une explosion dans une mosquée sunnite de Bakou en août 2008. "Nos partenaires azerbaïdjanais ont arrêté 18 auteurs présumés de ce crime", a conclu le directeur du FSB."

source :

http://fr.rian.ru/world/20081218/118935128.html

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En Irak les américains occupent un pays hostile et sont beaucoup trop gentils...

Tu penses réellement ça ???????  Si les irakiens leur sont hostiles, c'est parce qu'ils sont envahis.... (en général, personne n'aime ça, meme quand ce sont les contedefeesquement gentils us qui envahissent). Et vu le nombre d'irakiens tués/blessés/torturés/maltraités/..... par ces enc... officiellement venus leur apporter la démocratie, on peut comprendre que l'hostilité ne baisse pas.

(euh... c'est pas vraiment sur la Russie tout ça mais bon)

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